Métro - Discussion générale

Remember when the ARTM and STM said that REM de l’Est duplicating Green Line service would be bad…

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They could shut down entire sections of the green line for long periods of time to modernise it if we had REM de l’Est.

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le REM de l’est allait utiliser des trains de 2 voitures, alors que les trains de la ligne verte font 150 mètres… en cas d’urgence avoir cette redondance serait bien mais en aucun cas la capacité de la ligne verte ne pourrait être accommodée long terme

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Dans le métro, le message est : Segment fermée de manière préventive jusqu’à nouvel ordre

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Ils pourrait ouvrir entre Lionel-Groulx et McGill. Il y a un échangeur, mais je ne sais si il est encore utilisé !

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C’est probablement une histoire d’alimentation électrique qui empêche d’utiliser cet aiguillage.

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Probablement que quand on coupe le courant à l’ouest Berri, ça coupe le courant jusqu’à Atwater.

Edit : Ou jusqu’à l’aiguillage de McGill comme @Fleurdelys dit s’ils ont coupé l’alimentation du poste Metcalfe

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La Ville ferme le boul. de Maisonneuve pour faciliter l’inspection

Interruption de service sur la ligne verte - Pour faciliter l’inspection en cours de la @stminfo sur la
@stm_Verte, la Ville de Montréal a fermé jusqu’à nouvel ordre, le boulevard de Maisonneuve entre Berri et Saint-Laurent.

https://twitter.com/MTL_Ville/status/1650666725078073345

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Peu importe que ce soit un métro, un tram ou un SRB, je pense qu’on devrait vraiment offrir une certaine redondance à la ligne verte dans l’est de Montréal. Je pense que c’est la ligne qui souffre du plus d’interruptions de service du réseau. Dans l’ouest, plusieurs déplacements peuvent être substitués avec les bus express, exo Vaudreuil et exo Candiac. Dans l’est, il faut remonter jusqu’à la ligne bleue ou exo Mascouche. Les express 410 et 430 font du surplace sur Notre-Dame et les navettes de la STM doivent composer avec l’embouteillage sur Sainte-Catherine et Maisonneuve à l’approche de Papineau et de Lorimier.

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On prend des bets sur combien de temps durera la fermeture? :stuck_out_tongue:

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Le service a repris ce matin. Les fissures seraient superficielles

https://www.stm.info/fr/presse/communiques/2023/reprise-du-service-sur-la-ligne-verte--entre-les-stations-lionel-groulx-et-frontenac

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Sérieusement, oui. Au moins avoir des bus qui partiraient du terminus Centre-Ville pour prendre le tunnel Ville-Marie vers l’est en bordure de parc sur Notre-Dame. La ligne verte en partie Est est la ligne qui subi le plus d’interruptions de service dans tout le réseau.

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Reportage au Téléjournal 18h

https://twitter.com/PatriceRoyTJ/status/1650990404203065344

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Entretien des structures du métro Des investissements peu « glamour », mais nécessaires, dit Plante

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

Valérie Plante, mairesse de Montréal

(Vienne) Québec et Ottawa ne trouvent pas très « glamour » d’investir dans les infrastructures existantes du métro, mais l’évènement de lundi doit leur servir de sonnette d’alarme, a fait valoir mardi la mairesse de Montréal en entrevue avec La Presse.

Publié à 5h00

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Philippe Teisceira-Lessard
Philippe Teisceira-Lessard La Presse

Valérie Plante, qui se trouve en Europe pour la semaine, a appelé les gouvernements supérieurs à s’engager davantage pour éviter que le métro de Montréal suive la voie du métro de New York, en décrépitude.

« Sur le coup, j’ai été très surprise et surtout inquiète », a-t-elle relaté mardi. « On a été préoccupés jusqu’à ce [mardi] matin. On avait une rencontre avec la Société de transport de Montréal (STM) à 5 h justement pour voir les dernières nouvelles et l’état de la situation. La STM a pu garantir la sécurité des utilisateurs et rouvrir le métro à temps pour l’heure de pointe. »

Une fissure dans une voûte de béton révélée par une fuite d’eau avait causé la fermeture d’urgence d’un grand tronçon de la ligne verte, la veille. Après une douzaine d’heures d’expertises et de travaux, la STM a estimé que « l’intégrité de la voûte n’est pas remise en question ».

Une fois résolue, cette crise doit servir de leçon, a affirmé la mairesse de Montréal.

« On ne se réveille pas aujourd’hui en se disant qu’il faut qu’on s’occupe du métro, a-t-elle fait valoir. C’est un message qu’on porte, mais ce n’est pas un message qui a nécessairement beaucoup d’écho au sein des autres [ordres de gouvernement], parce que c’est moins glamour, c’est moins intéressant de s’occuper du maintien d’actifs. Et donc les programmes existants ne sont souvent pas très généreux. »

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Geneviève Guilbault, ministre des Transports

« Ceci étant dit, on a une belle collaboration avec la ministre [des Transports Geneviève] Guilbault. On sent que l’oreille est ouverte, on sent une ouverture et pour nous, c’est très positif, a ajouté la mairesse. J’ai eu énormément d’échanges sur le maintien des actifs, sur le transport collectif, pour mettre la ministre à niveau, ce qui est tout à fait normal quand on prend un nouveau portfolio. »

New York, contre-exemple

En février, la STM plaidait auprès du gouvernement du Québec – alors qu’il préparait son budget – en faveur d’une augmentation des investissements pour le maintien des actifs des transports en commun.

« La réduction des sommes prévues pour le maintien d’actifs au Plan québécois des infrastructures (de 3,8 G$ en 2018 à 2,6 G $ en 2022) est source de préoccupation alors que les besoins restent immenses », indiquait l’organisation dans une lettre au ministre des Finances. « Des projets importants de maintien d’actifs de la STM doivent actuellement être reportés, faute de disponibilité des crédits nécessaires. »

Le gouvernement du Québec ne doit pas être le seul à s’acquitter de cette tâche, a ajouté Valérie Plante.

« Le fédéral aussi doit adapter ses programmes, qui ne sont pas assez généreux : ils refusent presque systématiquement de faire du financement de maintien d’actifs, et ça, c’est un problème. Toronto vit le même problème. Quand je parlais avec le maire [John] Tory, il disait la même affaire, Vancouver, c’est la même affaire », a-t-elle affirmé.

Il ne faut absolument pas minimiser les efforts financiers pour que le réseau existant soit sécuritaire, performant. Le contre-exemple, c’est entre autres le métro de New York, qui a manqué d’investissement et on voit les résultats que ça donne.

Valérie Plante, mairesse de Montréal

Centre-ville : Plante pourrait s’inspirer de Londres

Valérie Plante se trouvait mardi soir à Vienne, deuxième étape d’une courte tournée européenne d’une semaine.

Elle s’est arrêtée à Londres lundi, où elle a rencontré le maire Sadiq Khan, ainsi que d’autres élus municipaux engagés contre les changements climatiques, en plus d’accorder une entrevue à The Economist.

Mme Plante a profité de sa présence dans la capitale britannique pour y constater de visu le fonctionnement de sa zone « à très faibles émissions », qui a réduit considérablement la présence des véhicules au centre-ville. Montréal a promis d’instaurer une zone semblable d’ici 2030.

« C’est sûr que de discuter et de voir la zone à très faibles émissions dans le centre-ville de Londres, ça nous a beaucoup aiguillés sur certaines choses à évaluer, parce que c’est un projet qu’on veut, a-t-elle dit. Il faut vraiment prendre le temps de bien évaluer certains éléments, travailler avec les partenaires. Toute la question de l’électrification des moyens de transport, les bornes de recharge, tout ça doit être à point pour que ça fonctionne. »

Mme Plante dit avoir été particulièrement inspirée par la méthode londonienne : commencer avec une petite zone en plein cœur de la ville, puis l’agrandir graduellement. « C’est intéressant de voir une stratégie progressive », a-t-elle dit.

Mercredi, Valérie Plante doit rencontrer le maire de Vienne et visitera un projet de logements abordables avec des représentants québécois du monde de l’habitation.

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2030…
J’aurais espérer un plan plus optimiste de PM. Pourquoi pas commercer dans quelques années avec le vieux Montreal.
On a pas besoin d’installer tous les systèmes de camera et de surveillance comme Londres des le jour 1, mais au moins juste instaurer la zone et mettre et faire des surveillance aléatoire pour donner des contravention $$$.

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La STM va renforcer la sécurité des usagers dans le métro de Montréal


Une intervention auprès d’un itinérant qui dit avoir consommé du fentanyl.
PHOTO : RADIO-CANADA

Pascal Robidas
Publié à 5 h 00

L’ajout de constables spéciaux dans les différentes stations de métro de Montréal et surtout, d’ici l’été prochain, d’une nouvelle escouade de sécurité formée de 20 nouveaux civils devrait améliorer la sécurité des usagers, annonce la Société de transport de Montréal (STM).

La pandémie a eu pour effet d’exacerber certains phénomènes sociaux complexes tels que l’itinérance, la toxicomanie ou la santé mentale, reconnaît la STM en marge de l’annonce de ces nouvelles mesures de sécurité.

Bien que le métro de Montréal soit sécuritaire, nous devons intensifier nos actions face à des phénomènes sociaux qui prennent de plus en plus d’ampleur dans notre réseau. Notre démarche vise à assurer une plus grande visibilité du personnel, un niveau d’entretien optimal, une protection plus adéquate des lieux critiques et une capacité d’intervention renforcée, a ainsi déclaré Marie-Claude Léonard, directrice générale de la STM

Le nombre d’interventions des constables spéciaux est en hausse dans tout le réseau du métro.

Signalements et interventions des constables spéciaux du métro

  • 2020 : 31 628
  • 2021 : 35 622
  • 2022 : 42 000


La STM prévoit augmenter ses effectifs de constables spéciaux dans le métro en recrutant des nouveaux agents lors des cohortes de 2023 et 2024.
PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-CLAUDE TALIANA

Ainsi, la STM prévoit non seulement d’augmenter le nombre de constables spéciaux dans ses trains et sur les quais du métro, mais aussi de créer une nouvelle escouade de 20 civils qui auront le titre d’ambassadeurs de la sécurité.

Ces ambassadeurs suivront une formation de 80 heures et porteront un uniforme différent de celui des constables spéciaux.

« La mise en place d’une nouvelle équipe composée d’une vingtaine d’ambassadeurs de sûreté est inspirée de programmes similaires dans de grands réseaux nord-américains, comme à Los Angeles, San Francisco ou Philadelphie. »

— Une citation de Extrait d’une déclaration écrite de la Société de transport de Montréal

Selon nos informations, le mandat de ces ambassadeurs alternera entre le service à la clientèle auprès d’usagers ayant besoin d’aide ou d’information et la surveillance d’enjeux en matière de sûreté et d’incidents majeurs.

À Vancouver, l’ajout d’une équipe similaire a permis d’améliorer la surveillance à bord du Sky Train, avait constaté Radio-Canada lors d’un tournage sur la sécurité dans le transport en commun, l’an dernier.

Nous sortons des sentiers battus avec la mise en place d’une nouvelle équipe d’ambassadeurs de sûreté, une première dans l’histoire du métro de Montréal, a ajouté la directrice générale de la STM.

Entretien et population itinérante

L’augmentation de la population itinérante dans certaines stations de métro est un phénomène social qui ne cesse de croître depuis le début de la pandémie.

Dans le cadre de son Plan hivernal, la STM avait établi une politique, avec ses partenaires communautaires, pour prendre en charge les personnes vulnérables afin d’assurer une cohabitation harmonieuse avec les usagers.


La présence de plus en plus nombreuse de la population itinérante dans les stations du métro représente un défi pour les employés de l’entretien, qui doivent s’assurer que les installations ne deviennent pas insalubres.
PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-CLAUDE TALIANA

La STM annonce qu’elle compte embaucher une vingtaine de préposés, histoire que ceux-ci puissent assurer l’entretien adéquat des stations. Ces employés seront accompagnés de constables spéciaux pour assurer leur sécurité lorsqu’ils effectuent leur travail.

Les méthodes et les routines de travail seront aussi adaptées selon certaines situations.

Il est essentiel que nos clients et employés se sentent en sécurité dans notre réseau de transport. Nous sommes confiants que les mesures annoncées aujourd’hui contribueront à faire une différence, a pour sa part fait savoir Éric Caldwell, président du conseil d’administration de la STM.

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Violence dans les transports en commun La STM prévoit 60 embauches en plus pour améliorer la sécurité

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, ARCHIVES COLLABORATION SPÉCIALE

La Société de transport de Montréal embauchera d’ici novembre une vingtaine de nouveaux constables spéciaux, ou inspecteurs, afin de patrouiller dans le métro et les bus.

Ajout de constables spéciaux, de préposés à l’entretien et d’« ambassadeurs de sûreté » : la Société de transport de Montréal (STM) prévoit 60 embauches pour améliorer la sécurité dans le métro et dans les autobus, a appris La Presse.

Publié à 1h14 Mis à jour à 5h00

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Henri Ouellette-Vézina
Henri Ouellette-Vézina La Presse

Ce qu’il faut savoir

  • La STM embauchera d’ici novembre une vingtaine de nouveaux constables spéciaux, ou inspecteurs, afin de patrouiller dans le métro et les bus.
  • Une vingtaine de préposés à l’entretien supplémentaires seront également en fonction d’ici cet été, afin de rendre le réseau plus propre, notamment à Berri-UQAM.
  • De nouveaux agents de sûreté débarqueront dans le métro dès cet été afin de détecter des situations potentiellement problématiques. Ils ne pourront toutefois intervenir auprès d’usagers.

Des constables en plus

Devant la flambée de la violence touchant les transports en commun au Canada, la STM dévoilera jeudi son « plan d’action renforcé » en sécurité. La société prévoit notamment « ajouter une vingtaine » de constables spéciaux, souvent appelés inspecteurs, dans son réseau d’ici novembre. Le tout se fera « graduellement » dès l’automne, affirme la directrice générale, Marie-Claude Léonard.

L’objectif est vraiment d’avoir plus de gens visibles sur le terrain, et d’être au bon endroit au bon moment.

Marie-Claude Léonard, directrice générale de la Société de transport de Montréal

Ces nouveaux effectifs seront surtout déployés dans certains « secteurs névralgiques » du réseau. « Certes, on peut penser à la station Berri-UQAM, mais plus globalement, ils seront partout sur le réseau », dit-elle.

Propreté et sentiment de sécurité

La STM dit aussi vouloir tenir compte de la dégradation de la propreté de certaines stations qui « a un impact important » sur le sentiment de sécurité des usagers. Le transporteur a ainsi décidé de créer dès cet été une vingtaine de nouveaux postes affectés au nettoyage dans les stations. « On va viser particulièrement les stations du centre-ville, qui sont très touchées », affirme Mme Léonard. Elle cite notamment Berri-UQAM à nouveau, mais aussi la station Atwater sur la ligne verte. « On sent que les besoins sont plus grands […] pour ce qui est de la présence de déchets dans nos installations », poursuit la DG.

Une nouvelle escouade « sûreté »

À partir de cet été, vous verrez aussi de nouveaux « ambassadeurs de sûreté » dans le métro. Ces employés, reconnaissables à leur uniforme, auront pour mandat d’« assurer une présence rassurante pour les usagers, en plus de détecter des éléments de sécurité » potentiellement problématiques, affirme Marie-Claude Léonard. « Ça va impliquer une formation spécifique de 80 heures. Ils vont pouvoir faire de la désescalade, mais ne pourront pas faire d’intervention ni employer la force. Ça nous fera ensuite un bassin de gens pouvant devenir des constables spéciaux », poursuit la directrice. Elle dit ainsi s’être inspirée de pratiques à Los Angeles, San Francisco et Philadelphie.

Toutes les mesures citées plus haut se financeront à même le budget 2023 de la STM. Leur coût total n’a pas été précisé.

Une violence accrue

Depuis le début de janvier, de nombreux évènements violents se sont produits dans le réseau de la Toronto Transit Commission (TTC). La sécurité y a d’ailleurs été fortement resserrée. En Colombie-Britannique, le syndicat des chauffeurs d’autobus de West Vancouver a aussi réclamé un renforcement des mesures de sécurité, après une série d’évènements violents survenus ces dernières semaines. Les inspecteurs et chauffeurs montréalais ont fait de même à la fin du mois d’avril. Mme Léonard ne s’en cache pas : « On fait face à des comportements humains complexes qui sont parfois plus imprévisibles. » « Le métro demeure sécuritaire, on tient à le dire, mais actuellement, c’est l’incivilité qui dérange, on en est conscients. »

Nous sommes confiants que les mesures annoncées [ce jeudi] contribueront à faire une différence, mais nous devons aller plus loin et nous avons la volonté de le faire, avec nos partenaires et les acteurs clés du milieu.

Éric Alan Caldwell, président de la STM, dans une déclaration écrite

Pas de « solution miracle »

La directrice générale de la STM le reconnaît : « l’ajout de ressources n’est pas une solution miracle ». « Ça prend un peu de tout : des campagnes, de la présence, et il faut rediriger les gens vulnérables vers les bonnes ressources. » Elle se joint d’ailleurs à l’Association canadienne de transport urbain (ACTU), qui a réclamé en avril que les gouvernements financent davantage « l’accès et l’admission de nuit aux services sociaux, afin que les personnes ayant besoin d’aide évitent de s’abriter » dans les infrastructures de transport collectif. « On est en train de travailler avec nos partenaires pour voir ce qu’on peut faire », conclut Mme Léonard, en rappelant qu’une « présence accrue » a déjà été assurée ces derniers mois au centre-ville.

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Maybe we should bring back the Guardian Angels to patrol the metro system.

May the Fourth be with you!!

Facebook de la STM

[Journée Star Wars] À voir votre réaction l’an dernier, pour ce 4 mai, on vous offre la carte intergalactique au complet. :round_pushpin: Bon «May the Fourth »!:sparkles::robot::milky_way:

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