Métro - Discussion générale

3 milliards de dollars pour remplacer les rames ? Cela vient avec le caviar? Paris a acheté 72 rames de 8 voitures pour 1,5G$ CAD il y a deux ou trois ans…

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La STM plaide pour le remplacement des voitures MR-73


Graham Hughes La Presse canadienne
La ligne verte devrait être en mesure d’absorber l’augmentation d’achalandage, mais il faudra lancer rapidement les travaux visant à remplacer les vieilles voitures MR-73 par des trains Azur, prévient la STM.

Jeanne Corriveau
19 h 18
Transports / Urbanisme

La Société de transport de Montréal (STM) estime que l’arrivée du Réseau express métropolitain (REM) de l’Est entraînera une augmentation d’environ 4000 passagers durant l’heure de pointe sur la ligne verte du métro. Celle-ci devrait être en mesure d’absorber cette augmentation d’achalandage, mais il faudra lancer rapidement les travaux visant à remplacer les vieilles voitures MR-73 par des trains Azur, prévient la STM.

Dans un rapport d’analyse préliminaire publié vendredi, en même temps que celui du groupe de travail sur le REM de l’Est, la STM signale qu’à l’heure actuelle, la capacité de la ligne verte est de 23 300 passagers durant l’heure de pointe alors que l’achalandage actuel est de 18 500 passagers.

Selon la STM, la capacité de la ligne verte pourrait être accrue de 8700 passagers, soit un gain de 37 %, grâce à diverses mesures dont l’augmentation de la fréquence du service et le remplacement des voitures MR-73 par des voitures Azur de type boa de plus grande capacité.

« La ligne verte du métro dispose encore d’une capacité résiduelle significative qui devrait suffire pour au moins une dizaine d’années », précise le rapport, tout en signalant qu’avec l’arrivée du REM de l’Est, il sera nécessaire d’accélérer le déploiement de nouvelles mesures pour augmenter sa capacité. L’acquisition de trains Azur, nécessaires en 2036 au plus tard, devrait permettre de répondre à la hausse d’achalandage à la suite de la mise en service du REM de l’Est, croit-on.

Mais pour remplacer les MR-73, dont la fin de vie utile arrivera en 2036, la STM devra construire un nouveau complexe Beaugrand et modifier l’arrière-gare et le garage Angrignon. « L’ensemble des solutions à mettre en place représente un chantier considérable de modernisation de la ligne verte, et par extension de tout le réseau du métro de Montréal. Ce chantier permettra d’augmenter la capacité de la ligne verte mais aussi, simultanément, de maintenir sa fiabilité, d’améliorer sa performance et de bonifier l’expérience client », souligne-t-on.

Remplacer les MR-73 ne sera pas une mince affaire. La STM recommande donc de lancer, dès 2023, la planification du projet de remplacement des MR-73 ainsi que les études nécessaires pour préciser les échéanciers. Elle suggère de créer rapidement un bureau de projet à cet effet. À lui seul, le remplacement des 360 voitures MR-73 est estimé à 2,9 milliards de dollars, auquel s’ajoute la construction du complexe Beaugrand (700 millions), la modification de l’arrière-gare et le garage Angrignon (300 millions) en plus du remplacement du contrôle de trains de la ligne verte (1,5 milliard).

Plusieurs scénarios pour le REM de l’Est

Le groupe de travail dirigé par l’Autorité régionale de transport métropolitain et mandaté par le gouvernement Legault afin d’examiner plusieurs scénarios concernant le futur REM de l’Est, a également rendu public son rapport préliminaire vendredi.

ll s’est d’abord attardé aux antennes principales, celle vers le nord jusqu’au cégep Marie-Victorin, et l’autre vers l’Est jusqu’à Pointe-aux-Trembles.

Rappelons qu’en mai 2022, Québec avait retiré le projet du REM de l’Est des mains de CDPQ Infra afin de le confier à l’ARTM, l’amputant du même coup du tronçon aérien au centre-ville qui avait suscité une vive opposition.

Le comité estime que l’axe Lacordaire, soit l’antenne nord depuis le cégep Marie-Victorin, ne laisse pas entrevoir d’enjeu majeur puisqu’il était déjà prévu en souterrain, ce qui favorise une meilleure insertion urbaine. La qualité du roc dans ce secteur ne devrait pas causer de problèmes pour la construction d’un tunnel, ajoute-t-on.

Comme l’avait indiqué la ministre des Transports de la Mobilité durable, Geneviève Guilbault, lundi, l’option d’un REM aérien dans le secteur de Mercier-Est est abandonnée « compte tenu des enjeux majeurs d’insertion urbaine et d’acceptabilité sociale dans le secteur de Mercier ». À cet égard, le groupe de travail a examiné plusieurs scénarios de tunnels, l’un dans l’axe de la rue Sherbrooke et l’autre dans l’axe de la rue Hochelaga avec une connexion à la station de métro L’Assomption. La première option, dans l’axe Sherbrooke, permettrait aussi une correspondance avec la station Honoré-Beaugrand.

Dans le segment plus à l’est, vers Pointe-aux-Trembles, le groupe de travail a examiné le scénario d’un REM aérien.

Globalement, le comité estime à 18 800 passagers l’achalandage anticipé en période de pointe pour le futur REM de l’Est et évalue un transfert modal de 19 % des usagers qui délaisseront leur voiture pour le transport collectif.

Prolongements

Le groupe de travail avait aussi pour mandat de se pencher sur de futures extensions du projet vers Rivière-des-Prairies, Laval et Lanaudière. Un REM qui se rendrait jusqu’au boulevard Rodolphe-Forget ferait bondir l’achalandage de 4000 passagers, soit un ajout de 20 %. Vers Laval, l’ajout de passagers varierait de 1000 à 1800 usagers additionnels dépendant du secteur desservi. Vers Lanaudière, avec un tronçon de 19,7 km et 2 stations en plus des trois gares existantes, la hausse est évaluée à 2100 usagers. « Cependant, cet ajout de 2100 usagers demeure relativement faible par rapport aux autres composantes du projet compte tenu de la longueur du prolongement à construire et à exploiter », précise le rapport.

Vers Mascouche, le REM, qui est automatisé, ne pourrait emprunter les voies existantes du Canadien National, signale-t-on.

Le rapport définitif du groupe de travail est attendu en juin prochain.

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Retour de la classe sardine sur la ligne orange aujourd’hui!. J’ai pris le métro de bonaventure a jarry. Plein à craquer à partir de square victoria. Juste après berri uquam il est impossible de monter abord. Le métro s’arrête et personne ne peut monter avec les quais remplis de monde…
Et c’était le cas mêmes en quittant a jarry, je sais pas ou ts ce monde va aller… laval peut être?

Je penses que la réduction de services en fin de semaines est une très mauvaises idée surtout avec les changements d’habitude de déplacement post pandémie.

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The Salon d’Auto was much busier than I expected, yesterday in the middle of a weekday.

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Est e qu’on peut télécharger le document complet quelque part?

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Quick 4-minute podcast exploring how Montréal’s Métro came to be.

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Y-a-t’il un utilité à inclure les buses de nuit dans la liste des correspondances sur les écrans des trains Azur? Il faut attendre longtemps pour faire ces correspondances.

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I think they should really improve how they show buses overall. Currently it’s very very small, and not easy to read because it’s grey on black. It would also be nice if they made it so the displays would show live time of the buses that are right at the exit (like the 24 at Sherbrooke, 51 at Snowdon, 45 at Fabre and Papineau).

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Un nouvel « employé » au métro

Un chien-robot dans le métro de Montréal


Osedea
Le chien-robot est équipé d’une caméra et d’un bras articulé avec pince, ce qui lui permet d’effectuer des tâches que des caméras de surveillance ne pourraient pas accomplir.

Alain McKenna
14 h 39
Économie

Terminus. Spot, le chien-robot de Boston Dynamics, a débarqué à la station Bonaventure cet été. Le quadrupède automatisé et autonome a été enrôlé par la Société de transport de Montréal (STM) pour repérer des anomalies dans les stations du métro. Et pour signaler lorsqu’il y rencontrait un os, pour ainsi dire.

Entre 1 h et 4 h durant une dizaine de nuits réparties entre mai et septembre, après la fermeture des stations, Spot a arpenté le quai Montmorency de la station de métro Bonaventure, au centre-ville de Montréal. Tous les dix mètres, il prenait des photos de la station. En arrière-plan, ces photos étaient regroupées pour produire un portrait à 360 degrés de la station. Un logiciel créé sur mesure repérait ensuite la présence d’indésirables : lumières brûlées au plafond, graffitis sur les murs, déchets au sol et autres éléments du décor qui ne devraient pas en faire partie.

Pour mettre le chien-robot réellement à l’épreuve, la STM a elle-même laissé traîner quelques déchets et esquissé quelques faux tags sur les murs de la station. L’objectif de la STM était de voir s’il serait possible d’automatiser une partie de la surveillance et de l’entretien de ses stations, pour que ses employés puissent se mettre plus rapidement à la tâche lorsqu’ils arrivent sur place le matin venu.

Presque parfait

Ce projet a vu le jour grâce à une aide financière provinciale appelée Soutien aux projets d’innovation. Ce programme a aidé la jeune pousse montréalaise Osedea, en quelque sorte le maître-chien de ce projet, à couvrir la moitié des frais de cette vitrine technologique. Osedea, qui a prêté « son » chien Spot à la STM, a reçu 48 000 $ de ce programme.

Surtout, Osedea a pu à travers cet exercice développer une plateforme logicielle qui lui permettra d’utiliser Spot avec d’autres partenaires, ailleurs en province. Son chien-robot est équipé d’une caméra et d’un bras articulé avec pince. Cette combinaison lui permet d’effectuer des tâches que des caméras de surveillance ne pourraient pas accomplir.

«En cas d’urgence, Spot pourrait couper un circuit électrique », explique Robin Kurtz, le développeur d’Osedea responsable du bon fonctionnement de Spot. « Spot peut aussi faire d’autres lectures que visuelles, comme détecter une présence importante de CO2, quelque chose d’utile pour les services d’incendie… »

Ce n’était cependant pas le rôle de Spot pendant ses rondes à la station Bonaventure, précise-t-on chez Osedea. En fait, certaines limites du robot, dont l’autonomie de sa batterie, ont affecté son utilité dans le projet de la STM. Le chien-robot ne pouvait pas ouvrir toutes les portes ni faire fonctionner les tourniquets, ce qui lui aurait permis de visiter la totalité de la station sans intervention humaine.

Osedea estime que Spot a accompli l’équivalent de 83 % de ce qu’aurait fait un humain à sa place. Ce n’est pas si mal, mais ce n’est pas le gain de productivité qui rend les robots véritablement attrayants pour les entreprises, privées ou publiques. Surtout compte tenu du prix d’acquisition du robot, ajoute le président d’Osedea, Martin Coulombe.

«Si Spot coûtait quatre fois moins cher, ça ferait toute une différence », dit-il. Car forcément, le manque de travailleurs crée une demande pour des solutions automatisées et robotisées, mais toutes les organisations n’ont pas les moyens d’investir dans la technologie. Adopter son propre chien-robot Spot coûte, si on se fie à son fabricant Boston Dynamics, environ 75 000 $US (100 000 $CA).

Une menace pour des métiers risqués

Les dirigeants d’Osedea voient tout de même des cas où un tel robot peut, dès aujourd’hui, valoir son pesant d’or. En fait, on pourrait dire que les premiers emplois menacés par l’arrivée des robots sont les emplois les plus risqués, justement.

«Dans des situations où un humain ne peut pas accomplir des tâches pour des raisons de sécurité ou de difficulté d’accès, un robot peut être pratique, voire rentable », assure Martin Coulombe. « Par exemple, un robot comme Spot peut effectuer des relevés dans des zones d’une usine où les normes de sécurité du travail interdisent à un travailleur d’aller. »

Spot a aussi quelques avantages sur un simple système de caméras de surveillance. On compte déjà 2000 caméras réparties dans tout le métro de Montréal. Leur usage est toutefois encadré par des règles qui découragent l’intégration d’une vision par ordinateur capable d’identifier des gens ou des objets comme celle appelée AME et produite par Osedea dans le cadre de ce projet-pilote dans le métro.

Du côté de la STM, ce test a surtout permis de lancer la réflexion sur des applications futures où un robot comme Spot simplifierait la vie de ses quelque 11 000 employés. Sans citer de cas précis, le porte-parole Philippe Déry a indiqué au Devoir qu’une inspection plus poussée des quelque 71 kilomètres de voies sur lesquelles le métro repose pourrait être confiée à un robot-chien au flair bien aiguisé.

«Si Spot peut effectuer des tâches plus dangereuses, pendant qu’il les fait, l’humain peut faire autre chose », conclut Philippe Déry.


Sur la page LinkedIn de la STM

[Innovation :bulb:] Connaissez-vous SPOT le chien robot? :robot: :dog: La STM a travaillé avec la firme montréalaise OSEDEA pour tester les compétences du robot quadrupède dans le réseau de métro!

Cet été, SPOT a parcouru deux stations de métro en pleine nuit sans se laisser arrêter par les escaliers, les tourniquets ni même les portes. Sa mission? Contribuer à l’entretien des stations en identifiant les graffitis, les déchets ou encore les néons brisés. :paw_prints:

SPOT peut être contrôlé à distance ou faire son travail de façon autonome. L’intelligence artificielle intégrée au robot peut accomplir une foule de tâches. À la STM, nous souhaitions expérimenter sa capacité à automatiser certaines tâches comme la création de bons de travail détaillés pour accélérer le processus d’entretien et faire en sorte que l’ouvrage de nos équipes soit à valeur ajoutée.

Les tests se sont avérés positifs et d’autres secteurs ont vu le potentiel de SPOT pour transformer leur quotidien. Bien qu’à court terme il ne soit pas dans nos plans d’adopter le chien robotique, ça demeure une excellente expérience pour la STM dans une perspective d’innovation. :bulb:

Si nous avons piqué votre curiosité, les prouesses de SPOT ont également intéressé l’équipe de l’émission Planète Techno! Visionnez l’épisode au lien suivant : LinkedIn

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J’ai vu passer ceci dans mon fil Twitter :wink:

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Bon je vais encore l’avoir dans la tête pendant des jours :sweat_smile:

Il y a eu la parodie « Il fait chaud dans le métro » :hot_face:

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Has anyone else noticed that the Métrovision clocks have been wrong the past few months? It’s 9:03 but one at Lionel-Groulx says 9:06 and I’ve seen them 5+ minutes ahead of the real time.

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The only valid excuse would be that the system is completely disconnected from web for security reasons. Otherwise, almost all modern devices synchronise their time with atomic clocks so precise they’ll only lose a single second ever 100 million years.

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I’ve noticed too. Have you told the STM ? They may not be aware

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Whats more fun is that different tracks’ times are wrong, I remember once seeing at (i think it was Atwater?) that the angrignon and hobe screens showed different times (one was correct and one was not). Similarly at lionel, the orange line and the green line clocks seem to be different…

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Le fil de nouvelles en continue m’amène à croire que ce n’est pas le cas.

Aïe ! :roll_eyes:

Métro de Montréal Un homme crache au visage d’une femme après des propos racistes


PHOTO TIRÉE D’UNE VIDÉO SUR TWITTER | La STM rappelle que les témoins d’une telle situation « sont également invités à intervenir, dans la mesure où ils se sentent confortables de le faire, par exemple en s’alliant à une autre personne ou ne serait-ce qu’en créant une distraction ».

La Société de transport de Montréal (STM) invite les usagers à dénoncer les comportements problématiques dans le métro, à la suite de la diffusion d’une vidéo montrant un usager crachant sur une autre femme qui aurait prononcé le « mot commençant par N ».

15 février 2023 | Publié à 14h57 | HENRI OUELLETTE-VÉZINA | LA PRESSE

Sur les réseaux sociaux, depuis quelques jours, ladite scène captée par un téléphone intelligent a été partagée à plusieurs reprises. L’altercation survenue à la hauteur du métro Beaubien, sur la ligne orange, aurait commencé parce que la femme a utilisé le « mot commençant par N » pour qualifier le jeune homme, de peau noire. Piqué au vif, l’homme avance alors vers la femme, qui lui dit : « lâche-moi » à deux reprises.

« Abaisse-toi pas à elle », semble alors dire un autre usager au jeune homme, pour tenter de calmer les choses. « Je ne suis pas une pute justement. Je ne vends pas mon cul pis je ne vends pas de dope. Je suis juste enceinte », lance alors la femme, avant de rasseoir dans un siège vide.

Peu après, la femme dit s’être « excusée pour le mot » qu’elle a employé. C’est à ce moment que le jeune homme lui crache en plein visage, provoquant des réactions apparentes dans le reste du train.

« Fais quelque chose ! […] Traite-moi de n**** une dernière fois », lance alors l’homme avant de quitter les lieux. « J’espère que tu ne vas pas porter plainte à la police », ajoute la femme alors qu’il quitte. « S’il porte plainte, je vais être de son côté », termine alors un autre usager.

Les signalements sont « importants »

Appelée à réagir, la STM a indiqué mercredi avoir été mise au courant de l’existence de cette vidéo dans les derniers jours. « Nos équipes en effectuent un suivi approprié. De tels évènements sont rares et le métro de Montréal est sécuritaire », maintient toutefois le porte-parole de la société, Philippe Déry.

« Nous n’avons reçu aucun signalement lié à cet incident, alors nous ne disposons pas d’informations supplémentaires sur les circonstances ayant mené à cette altercation. Nous sommes conscients qu’il peut être éprouvant de rapporter de tels évènements, pour les victimes comme pour les témoins, mais ces signalements sont importants. Ils nous permettent d’agir de façon informée », précise-t-il au passage.

M. Déry rappelle que la sécurité des clients du transport collectif « est une responsabilité et une priorité partagée entre la STM et le SPVM ». « De concert avec les policiers qui patrouillent le métro, nos équipes de constables spéciaux sont également présents et actifs dans nos réseaux de bus et de métro pour assurer la sécurité des clients et employés », assure-t-il.

Des téléphones situés sur chaque quai des stations de métro permettent notamment « d’entrer en contact directement avec le centre de contrôle du métro », qui fait ensuite le lien avec les autorités au besoin.

« Il est également possible d’utiliser l’intercom situé à proximité des portes dans chaque voiture de métro pour entrer en communication avec l’opérateur. Le métro est également couvert dans son ensemble par un réseau de téléphonie cellulaire, permettant de communiquer rapidement avec le 911 », poursuit le porte-parole, ajoutant que 2000 caméras couvrent le réseau de métro.

La STM rappelle que les témoins d’une telle situation « sont également invités à intervenir, dans la mesure où ils se sentent confortables de le faire, par exemple en s’alliant à une autre personne ou ne serait-ce qu’en créant une distraction ».


Autre article dans lequel se retrouve la-dite vidéo:

https://www.tvanouvelles.ca/2023/02/15/incident-dans-le-metro-il-lui-crache-au-visage-apres-un-commentaire-raciste

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Strange, people seem to be losing it