Métro - Discussion générale

en effet, sauf que ça m’aurait paru plus cohérant de mettre les lignes vertes et oranges gratuites, de Berri Guy/Lucien Lallier

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ma compréhension est que cela remplace la gratuité des parcomètres, ce qui est une excellente chose. La stationnement gratuit envoi un bien mauvais message

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Déniché sur YT. :slightly_smiling_face:

Documentary/History: The STM | Montreal QC, Canada

20 juin 2022

Hey Guys, Here is the next installment to the History/Documentary Series. it is on the STM or the Montreal Metro. The Montreal metro or STM dates all the way back to the 1960s. The original lines opened on October 14, 1966 and was the second subway system, in all of Canada. The system has seen several extensions throughout the decades. The rolling stock has changed a lot too, the MR-63s are the longest running Subway cars in all of North America. Running from 1966 - 2018.

Nick Dalton

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https://www.journaldemontreal.com/2022/07/07/des-distributrices-de-cartes-sim-fizz-dans-le-metro-de-montreal-1

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Sur la page FB de la STM:

image STM - Mouvement collectif

[Dans le métro] La signalétique… est-ce que vous la remarquez? Elle désigne un ensemble d’éléments visuels permettant de se situer et de s’orienter lors de vos déplacements. 🧭 Une nouvelle famille d’outils signalétiques est présente dans plusieurs stations, on vous présente quelques-uns de ces outils! 👇

[Signalétique métro] Démystifions le plan de quartier, les codes de sorties et la rose des vents!

➡ Le plan de quartier: la zone rouge du plan indique différents points d’intérêt et les arrêts de bus situés à 5 minutes de marche. Le plan situe aussi la silhouette de la station dans le quartier.

➡ Les codes des sorties: pour choisir la bonne sortie lorsqu’il y en a plusieurs! Chaque sortie est distinguée par une lettre en plus d’être identifiée par le nom de la rue où elle est située. Ces lettres se retrouvent sur les affiches directionnelles ainsi que sur les plans de quartier.

➡ La rose des vents: collée au sol, elle peut être un outil apprécié pour les gens qui n’ont pas le sens de l’orientation! Elle ressemble à une boussole et permet d’orienter vers les grandes artères avoisinantes en plus d’indiquer le Nord.

Savez-vous quelle est la différence entre le fond blanc et le fond noir?

⬜ Les autobus, les rues, les points d’intérêt du secteur ainsi que certains services à l’intérieur de la station sont ainsi identifiés sur fond blanc.

⬛ Le fond noir est utilisé pour symboliser les destinations de transport, dont celles qui mènent vers le réseau du métro.

La signalétique sur fond bleu marque les informations s’adressant aux personnes à mobilité réduite ou en lien avec l’accessibilité universelle. Les différents points de service sont également indiqués sur fond bleu.

Dans les stations comprenant plusieurs niveaux d’accès par ascenseurs, telles que Berri-UQAM ou Jean-Talon, les ascenseurs sont identifiés par des numéros. Il peut être pratique de noter l’ordre des ascenseurs à emprunter selon les quais à atteindre. 🛗

Saviez-vous qu’auparavant, tous les outils signalétiques utilisaient uniquement la majuscule? Dans la nouvelle mouture de la signalétique, on favorise l’usage de la minuscule dans une optique de lisibilité.

🟠 La pastille de couleur a également fait surface sur plusieurs outils. Le cercle est une forme efficace, intemporelle et contrastante qui rappelle plusieurs détails graphiques et architecturaux des stations de métro.

Si vous voulez en savoir plus sur la signalétique, c’est par ici: www.stm.info/signalétique

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Je n’étais pas sûr dans quel fil le mettre donc n’hésitez pas à le déplacer, mais les nouveaux lecteurs de titres sont en cours d’installation au métro Vendôme.

Par ailleurs, c’est la première fois que je visite le nouvel édicule et je suis vraiment impressionné. C’est absolument magnifique, les mosaïques en tuile bleue style ‘azulejos’ portugais sont superbes et le tout donne vraiment l’impression d’une station moderne du 21ème siècle. Chapeau!

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Une étape de plus vers le paiement par carte bancaire dans le métro de Montréal


Les nouveaux tourniquets (à gauche) remplaceront graduellement les anciens tourniquets (à droite).
PHOTO : TWITTER

Radio-Canada
Publié à 16 h 10

La Société de transport de Montréal (STM) a entamé l’installation de nouveaux tourniquets qui permettront à terme la lecture des cartes bancaires.

La STM a indiqué sur Twitter que l’installation de ces infrastructures devrait s’échelonner sur environ un an.

En plus d’être munis de nouveaux écrans plus visibles et lisibles, à terme, nos valideurs seront compatibles avec la technologie NFC et permettront la lecture des cartes bancaires, mentionne la STM.

Questionnée par un usager qui se demandait si la nouvelle technologie incorporée dans les tourniquets allait permettre de concrétiser le projet visant à avoir la carte Opus dans son propre téléphone, la STM prône la patience.

L’orientation choisie vise en effet à permettre les portefeuilles électroniques. Il reste cependant à mettre en place la technologie allant avec ces infrastructures, qui relève d’un projet mené à l’échelle métropolitaine via l’ARTM, répond l’organisation montréalaise. Ce projet est dans les cartons depuis plus de 7 ans.

Au moment de publier, Radio-Canada était en attente d’une réponse de la STM concernant le coût de remplacement des tourniquets et l’horizon de déploiement du paiement par carte bancaire.

Le tweet de la STM à ce sujet

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Lord! Et vu que l’ARTM planifie sa refonte à l’échelle nationale, on en a pour probablement 7 ans encore.

NB: c’est mon côté impatient et baveux qui ressort. Je suis conscient que la veille technologique de l’écosystème de transport du grand Montréal est extrêmement complexe et que les professionnels de l’ARTM se font des pieds et des mains pour travailler avec. En tant qu’utilisateur qui n’a pas accès à la progression de ce projet, c’est juste frustrant de le voir en phase de planification aussi longtemps.

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Tu n’es en fait pas très loin… selon eux, c’est 6 ans…

Gosh! J’ai le goût de brailler!

Je serais curieux de savoir quel est le ratio technologique / bureaucratique dans ce délais.

On s’entend, rien n’est à inventer, le principe est déjà utilisé dans plusieurs autres villes!

Le danger c’est que ce soit prêt et que ce soit déjà désuet…

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Je suis pas mal sur que la complexité revient à coordonner un effort entre plusieurs organisations de transport. Aussi, remplacer les lecteurs dans tous les autobus, stations de métro, train etc… ça coute cher si on souhaite le faire rapidement. Implémenter l’infrastructure informatique coute cher aussi. Un détail oublié et l’entièreté de la région de Montréal pourrait se transformer en chaos de transports qui couterait très cher à la STM et autres.

Pour ce qui est des lecteurs NFC j’ai peu de craintes que la technologie devienne désuètes. Par contres les lecteurs de carte par code QR me font peur. J’ai vu qu’à Ottawa et autres ça ne marche pas super bien. Après, je comprend que c’est pour permettre l’implémentation de billet “électronique” sur téléphone ou à imprimer.

I don’t think we shouldn’t implement something if it “might” go away in the future. NFC has been used for years worldwide, and the older STM machines are just using a different version of it. We can’t predict technology 100%

I didn’t say we shouldn’t implement it, I said we should do it quicker.

7 ans c’est énorme!
En Chine, plusieurs villes utilisent la reconnaissance faciale.
Au Luxembourg, le transport en commun est rendu gratuit.
Je dis pas qu’on va aller là, mais dépenser autant pour quelque chose qui va être en fonction dans 7 ans, c’est un risque.

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It’s been taking the MTA in NYC so far 6 years when you include planning for their NFC payment method, and they’re not done yet. I do think the ARTM should enable it earlier like they did in NYC, where some stations had it before others, while still recommending the older technology.

Je ne veux pas donner de détails spécifiques au sujet de l’ARTM, mais une implantation comme ça c’est assez complexe.

En partant ce genre de projet nécessite une veille technologique, une coordination avec toutes les parties prenantes (STM, CDPQi, etc.), mais surtout un énorme travail de préparation des infrastructure physiques et numériques. Il y a des enjeux de sécurité qu’il n’y avait pas avant avec des billets papier ou des cartes physiques. La 5G va permettre de traiter toutes les données rapidement et efficacement, mais encore faut il que l’infrastructure qui reçoit la donnée soit capable de traiter tout ça.

Cependant ce n’est pas seulement une question de technologie et de ressources financières, c’est aussi une question de ressources organisationnelles et de gestion du changement. L’ARTM est en train de mener une refonte tarifaire, une planification de projets capitaux, une planification stratégique, et a elle même seulement 5 ans d’existence, dont 2 en crise pandémique qui ont sérieusement chamboulé à peu près tous les projets. Dans un contexte de pénurie de main d’oeuvre, c’est juste normal que tout soit plus lent.

La STM est en train de changer ses tourniquets et ses lecteurs à bord des bus. L’ARTM a été consultée pour que la technologie soit compatible avec une future implantation technologique.

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Je voulais juste préciser que mon exaspération n’est pas par rapport aux paiements ouverts. J’ai travaillé assez longtemps à l’intégration de systèmes de paiements des des infrastructures logicielles pour savoir à quel point ces projets sont complexes. L’intégration des porte-feuilles numériques avec Google, Samsung et Apple est encore plus cauchemardesque. J’essaie d’ailleurs de mettre la main sur les spécifications techniques du standard calypso pour mieux comprendre les limites du système.

Ce qui m’exaspère est la désuétude du système de billetterie, malgré que la maintenance soit contractée au même intégrateur depuis l’introduction de la carte OPUS en 2008. À mon sens l’ajout d’équipement de validation à la sortie du réseau de métro et de train devrait pouvoir se faire à même le processus de maintenance du système de billetterie de la STM et Exo. Au même titre, l’ARTM devrait être en mesure de travailler avec les intégrateurs de billetterie de ses partenaires pour permettre de top-up ses titres de transports dans un horizon rapproché et de communiquer ces projets intermédiaires de maintenance au public. Pour l’instant, j’ai beau chercher à travers les publications, balados, pages de supports et resources client de l’ARTM, j’ai l’impression d’être laissé dans le noir par l’organisme quand à la progression de ces projets.

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Ça! C’est un excellent point! La meilleure technologie est parfois la plus simple. Combien ça coûte annuellement à la STM de maintenir son système de paiement (tourniquets, billetteries, distributeurs, inspecteurs, etc.)? Sûrement que c’est très petit comme montant par rapport aux revenus venant des titres, mais c’est peut-être non-négligeable.

Radio-Canada a mis à jour son article.

Les premières stations concernées seront Berri-UQAM, Snowdon, Vendôme, Lucien-L’Allier et Côte-des-Neiges. Le budget total est de 9 millions $

De son côté, l’ARTM se donne environ deux ans pour déployer le paiement par carte bancaire à l’échelle de la métropole. Un projet pilote est en cours dans les autobus de la Société de transport de Laval.
Il est possible de payer son titre directement à l’entrée avec sa carte de crédit. La prochaine étape, le test de l’utilisation de la carte de débit, indique Simon Charbonneau, porte-parole de l’ARTM, cela devrait se faire au cours de l’hiver.

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Personnellement, je trouve qu’avec le travail hybride on devrait se pencher sur une solution tap-in tap-out en pay as you go avec un fare cap mensuel, mais c’est du wishful thinking :stuck_out_tongue:

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