Je suis pas mal sûr que le flânage contrevient aux règles dans la plupart des réseaux de transport lourd, du moins ceux que j’ai utilisé, dans le monde.
Reste sur place un 15-20 mins à ne rien faire de concret, surtout après le passage d’une rame, et un constable/employé va venir te voir.
Y’a plein de monde qui attendent dans le métro quelqu’un qui vient les rejoindre, et ça peut prendre du temps…si on commence à intervenir de cette manière, on en finira plus
Je ne crois pas que le flânage soit spécifiquement interdit dans le réseau de la STM cependant. Du moins ce ne l’était pas l’an passé, selon le responsable de la sécurité à la STM: il l’avait dit en entrevue, de mon souvenir.
On dit surement la même chose, oui c’est à la fin une responsabilité provinciale mais la Ville de Montréal en tant que plus grande ville au Québec doit être consciente qu’elle est en quelque sorte l’épicentre de ce problème.
On a vu la mairesse Plante faire sa crisette dans les médias et se pogner avec le ministre Carmant avec sa halte-chaleur à St-Laurent, mais içi on parle du métro. Qu’est-ce que fait la ville ? Elle doit en faire plus et arrêter de se cacher derrière le gouvernement. Ou bien s’ils en font beacoup plus qu’on ne le pense il est temps de faire un examen de conscience et repenser notre stratégie car clairement ça ne fonctionne pas.
Sérieux, quand ils se sont mis à remplacer les lecteurs, ils auraient du remplacer les tourniquet en même temps. Idéalement, ça devrait être des portes palières d’au moins 1.2 mètres de haut. C’est pas mal plus difficile à sauter que les tourniquets existant.
‘‘Discrimination’’ technically yes in the sense on what those people are doing. They are easy to spot, the people who are smoking, sleeping, laying on 3 benche, people with 3-4garbages, people who are yelling.
Someone that is not doing all the above can stay in the station if they need shelter. The problems are the incivilities those peoples are permitting themselves and appears to be ‘‘laissez-faire’’ by the STM, since you can always spot the same people at the same place yelling, pissing and screaming.
Because, let’s be real, if they would not do all those none permitting act, the problem would be less of a issue. If someone stay still and don’t smoke crack in the face of a familiy passing by or is yelling at women, all the users would be already much more ‘‘accepting’’ of having people letf over by the system taking shelter in the metro
The way I see it, other metro users have as much rights as they do. When they abuse the rights that they have, they forfeit those rights. You want to spend a bit of time in the warmth of the metro? Fine. You start asking for money? That may bother users, but as long as you don’t chase them and harass them, its tolerable. When you decide to take a piss or a shit in the metro, smoke and do drugs, you’ve forfeited your right to be in the station and should be sent back out of the station and into the cold. Your rights end where the rights of others start. We deserve to have metro stations that are clean and safe.
Je vois au moins deux à trois fois par jour des jeunes hommes sauter par dessus les tourniquets au vu du changeur qui la plupart du temps baisse les yeux. Les tourniquets semblent extrêmement faciles à “jumper”. Je me demande combien la STM perd en revenus au bout d’une année avec ces méfaits qui ne sont pas vraiment adressés.
It’s a bigger issue in NYC than here, and the city there is adding all sorts of things to prevent it, private security in all stations like the REM, metal bars to prevent holding onto the machines, spikes now on the top, it doesn’t stop people though:
They have famously spent 3x more money on police standing at the gates watching people than the actual fare evasion cost.
I think the problem is since COVID, people in North America have lost confidence in things working and individualism is on the rise with less willing to pay for public services like public transit. It’s also a clear cultural thing, because in Japan, where fare gates are tiny and low, people don’t fare evade there.
We can militarize our fare gates, make them bigger, more strong, but people will always find a way around it, and it’s not as simple as getting new machines
Les gens ont tendance à attendre avant la validation, pas après.
Les agents viennent normalement demander ce que tu fais à attendre sur place. Généralement ils sont compréhensible et te laissent attendre. Ils n’arrivent pas avec une amende toute prête.
C’est aussi un message qu’ils t’ont à l’oeil, donc que la surveillance est active.
Ce sont mes expériences à l’étranger.
Effectivement. Mais il y aurait bénéfice à amender cela.
J’avoue que le commentaire était provocateur. Je veux dire d’utiliser l’exemple de réajuster promptement la stratégie selon la situation.
Amazon a la qualité d’avoir été claire dans son message, même si elle nie le fait qu’elle l’est.
La STM a fait trois demandes, lundi, dans un mémoire déposé en vue du prochain budget provincial.
La première : que Québec débloque une enveloppe supplémentaire de 585 millions sur trois ans, pour lui permettre de lancer très vite deux importants programmes de rénovation.
La première : que Québec débloque une enveloppe supplémentaire de 585 millions sur trois ans, pour lui permettre de lancer très vite deux importants programmes de rénovation.
Parmi les ouvrages visés : la réfection de voûtes de tunnel fissurées, l’installation de dispositifs pour éviter les inondations, l’étanchéisation de la station Berri-UQAM, ou encore le remplacement de 32 escaliers mécaniques dans le réseau.
Une autre demande de la STM tombe dans la catégorie du « nécessaire ».
Elle souhaite lancer au plus vite les études sur la modernisation des lignes jaune et verte du métro, ce qui inclut le remplacement des voitures MR-73.
Le transporteur demande donc 40 millions à Québec pour pouvoir lancer sans délai ses études. En prime : ces voitures pourraient être construites à l’usine d’Alstom à La Pocatière, où 500 travailleurs ont déjà assemblé les premières tranches de trains Azur. (Si l’entreprise est sélectionnée au terme d’un appel d’offres, bien sûr.)
Nous avons l’argent pour ça mais malheureusement, ce n’est pas payant électoralement d’investir tant dans le métro de Montréal. Il y a encore des gens qui pensent que le reste du Québec ‘‘subventionne’’ Montréal, alors qu’on sait très bien que Montréal est le moteur économique de la province et qu’un transport en commun efficace réduit les pertes économiques reliées au traffic.