Métro - Discussion générale

Je n’ai pas lu l’entièreté de la conversation, mais je souhaite juste souligner que ce n’est pas la même dynamique à New York qu’à Montréal. (Par contre, il peut tout de même être valide de faire des comparaisons.)

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Désolé si j’ai utilisé ce terme ce n’était pas mon but de cataloguer personne.

Merci :slight_smile: Dans un débat controversé, je préfère faire un rappel à tous pour éviter qu’on dérive sur ces impressions.

Je crois que c’est un problème bien plus large que le métro ici. Si une personne est rendue au point de tuer, elle peut le faire autant en dedans qu’en dehors. On ne doit pas simplement déplacer un problème de vie ou de mort, mais tenter de le prévenir et le régler. C’est certain qu’une personne dangereuse n’est pas acceptable dans le métro, mais ce ne l’est pas nulle part non plus. L’approche doit donc être universelle.

Du point de vue de la STM, s’assurer que ça n’arrive pas sur sa juridiction fait du sens. Il est préférable de laisser la police, le système de santé, peu importe, s’en occuper. Mais, comme société, il faut aller plus loin.


En tout cas, c’est mon opinion sur tout ce débat: comme citoyen, ce n’est pas préférable pour moi de voir un problème dans un édicule de métro être déplacé dans le parc à côté de chez nous. Ou dans mon entrée d’édifice. La STM peut faire du rapiéçage et tenter de régler les problèmes de son réseau. Cela dit, il faut vraiment faire une priorité claire pour enrayer l’itinérance, les problèmes de drogues et les problèmes de santé mentale non traités, et pour sortir le monde de la misère.

Peut-être qu’on devrait exiger un ministre des services sociaux qui fait sa job avant tout.

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This! health ministry aint allocating resources properly
Until then i can’t see gilbaud wanting to deal with someone’s else “fougère” so we have to find something ourselves

(That was a joke i could not NOT USE)

Le metro est un moyen de transport. Les gens n’ont pas le choix de l’utiliser. Alors oui c’est preferable que ceux avec des problemes mentaux , intoxiqué et violents
soient ailleurs que dans le metro. Un parc on peut toujours éviter d’y aller si c’est dangereux.

On ne regle peut etre pas le probleme de ces personnes comme cela mais au moins la population peut esperer pouvoir utiliser en sécurité les transports en commun.

Quelqu’un qui couche dans le metro sur un banc dans le metro si il ne cause pas de problemes aux usagers je suis tolérant absolument.

Par contre dès qu’une personne commence a crier, faire du vandalisme, uriner, défequer faire preuve de violence physique et verbale alors la c’est innaceptable. Et je me suis souvent permis d’en remettre a leur place plusieurs et je ne parle pas que d’itinérants. Des gens ordinaires qui jettent leur gobelet de café par terre d’autres qui parlent au télephone tres fort juste a coté de toi.

Ce n’est pas qu’a la police de faire cela c’est a nous tous. Et je parle de le faire d’une facon poli. Moi je ne fait tres souvent que regarder d’une facon intense sans dire un mot. C’est suffisant pour que la personne comprennent qu’elle fait quelque chose de pas correct.

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Les heures d’ouverture du métro sont prolongés ce soir, mais pas sur la ligne 5 :sweat_smile:

Imagine we made the calculation that hiring people in Revenu Quebec wasn’t worth it because they collected less tax revenue than they cost. Some people would stop paying their taxes because they could reliably get away with it, and the others that obey the law would be the schmucks. Inevitably state revenue would go down gradually over time as people realize taxes are optional.

This logic doesn’t work for tax enforcement, and it doesn’t work for fare enforcement either.

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Qualified immunity. L’une des principales critiques portées aux policiers est le peu de comptes qu’ils ont à rendre au citoyens et la difficulté d’obtenir justice lorsqu’ils abusent de leur pouvoir. Et des abus de pouvoir, il y en avait beaucoup: “stop and frisk, le harcèlement des itinérant•es incluant de les dropper au milieu de nul part à des km de leurs milieux et les forcer à retourner à pied, les arrestations musclées, etc.

Je vais pas le nier. La situation actuelle est super rushante, mais vu la feuille de route en terme de profilage social des diverses forces de police nord-américaines, je ne suis vraiment pas à l’aise de leur donner carte blanche de faire “ce qu’ils jugent nécessaire” et de ne pas éventuellement être affecté.

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Berri “de Montigny”. Avant la pastille, propre et bien éclairée.

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Vraiment dommage qu’on aie pas restauré les appliqués muraux, ça aurait pu être une trace de l’architecture originelle de la station, surtout qu’on avait dit qu’on allait faire quelque chose pour ‘‘commémorer’’ les 4 grosses colonnes rouges, et on a rien fait… et que dire la qualité d’installation des nouvelles pastilles…

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Je ne sais pas pour vous, mais j’ai remarqué que pratiquement aucune personne qui amène son chien dans le métro ne le mets en muselière…Ça serait dommage qu’un incident malheureux arrive et que la STM annule l’autorisation.

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On a parfois de la misère à faire porter une laisse aux chiens dans la rue et les parcs, la muselière est un objectif ambitieux…

Voyez-vous beaucoup de chiens d’ailleurs? Je vois parfois de petits chiens, mais dans l’ensemble, ce n’est pas si courant. Cependant, ce n’est qu’une expérience personnelle.

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Je ne me rappelle même pas de la dernière fois que j’ai vu un chien qui ne soit pas un chien de service dans le métro.

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Honnêtement, j’ai une très mauvaise opinion de la muselière. Si j’étais propriétaire d’un chien à Montréal, ça serait amplement suffisant pour que je fasse le choix de la voiture pour une part importante de mes déplacements. Je suis désolé, mais la muselière n’est pas une solution, c’est une patch sur le véritable problème.

Un chien, c’est comme un enfant, ça doit être éduqué. La plupart des propriétaires sont responsables, mais une minorité sont des gens qui ne devraient pas avoir de chien. Je pense entre autre au type de personne qui laisse son chien sauter sur les gens, voir, qui encourage ce genre de comportement sans être conscient des problèmes que ça crée quand ce même chien démontre le même comportement en public.

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Dans le métro je n’ai pas eu vent d’aucun incident en lien avec les chiens. Les comportements répréhensible (pas de laisse, ramasse pas les crottes) qu’on peut voir de la part de plusieurs propriétaires de chiens dans les parcs de Montréal ne se sont pas transposés dans le métro.

Je pense que les propriétaires de chiens qui vont dans le métro avec leur animal sont conscient que ce privilège peut être révoqué au moindre incident. La plupart des chiens que j’ai vu dans le réseau se déplacent en dehors des heures de pointes il me semble,ce qui limite les frictions entres usagers et animaux.

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Propriétaire de chien ici. J’ai un french bulldog, cela lui donne un look « badass » (même presque moins rassurant que sans) mais je ne lui mets pas car je trouve ça overkill. Je l’ai avec moi au cas où mais à date aucun problème. Il reste tranquille. Je prends les wagons aux extrémités souvent moins achalandés et quand quelqu’un semble mal à l’aise je fais bien attention de le garder proche de moi.

C’est bizarre que le QC si permissible sur pas mal de choses par rapport à d’autres provinces/pays (par exemple sur l’alcool dans les parcs) soit si strict sur les chiens (par exemple dans les magasins, bars et restaurants).

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Au métro Mont-Royal, les graffitis s’invitent et l’affiche commence à être déchirée. Toujours rien à l’intérieur. Le pari du “bientôt” semble être sur la longue durée.

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Brrr :cold_face:

Dans Le Devoir, Un bilan sur les 25 dernières années du métro

Déjà 25 ans depuis l’an 2000. Le Devoir replonge dans un quart de siècle jalonné par des événements marquants et de nouvelles tendances qui façonnent encore notre société. Ici : comment l’offre de service du métro montréalais a-t-elle changé ?

Lorsqu’on pense au transport collectif à Montréal, en particulier à son réseau de métro, « on a parfois l’impression qu’il ne s’est pas passé beaucoup de choses depuis la période faste des années 1960 à 1980. Erreur ! Les 25 dernières années ont été riches en événements et en changements de toutes sortes », fait valoir Benoît Clairoux, conseiller en communication à la Société de transport de Montréal (STM), dans un courriel au Devoir.

Avec plusieurs ouvrages historiques à son actif, il est perçu par plusieurs comme un historien de la STM en particulier et du transport collectif de la métropole en général. Il rappelle que le dernier quart de siècle a été marqué par plusieurs événements. Notamment, il commence puis se termine par deux prolongements de lignes de métro : celui de la ligne orange, à l’aube des années 2000, et celui de la ligne bleue, amorcé cette année.

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Je n’aime pas le titre de l’article, ce n’est même pas en rapport avec le contenu, on parle juste des projets d’extension sans aller dans le niveau de perturbation du services. La STM a des choses à se reprocher, mais on ne peut la blâmer totalement pour les constantes interruptions de services, avec la cause principale étant le manque de maintenance de par le financement déficient. À ce que je vois, les médias n’ont encore rien appris du REM de l’Est et continuent le bashing sur les tc pour du clic.

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