Lieux et nouvelles culturels

I remember my primary school teacher showing us Fanfreluche episodes in the late 1990s.

They were quite well made. We even reproduced the Hansel and Gretel story as a school play :smile:
What a way to show what a little bit of imagination can do.

Kim Yaroshevskaya, interprète de Fanfreluche, est décédée

L’actrice et auteure Kim Yaroshevskaya nous a quittés a 101 ans. Plusieurs l’ont connue sous les traits de Fanfreluche dès les années 50.

Pour d’autres, elle était la grand-mère dans Passe-Partout. Née à Moscou dans les années 30, celle qui est arrivée au Canada à l’âge de 10 ans a incarné plusieurs rôles à la télévision et au cinéma, en plus d’avoir publié toute une série de contes.

Nathalie Chung revient sur les grands moments de sa carrière.

Pour plus d’informations, lire notre article : Kim Yaroshevskaya, la fin d’une grande histoire : Kim Yaroshevskaya, la fin d’une grande histoire | Radio-Canada

Kim Yaroshevskaya raconte son enfance en Russie

Dans une longue entrevue accordée à la journaliste Isabelle Albert à l’émission En toute liberté, l’actrice québécoise d’origine russe Kim Yaroshevskaya revient sur son enfance à Moscou.

Source : En toute liberté, 23 octobre 1994

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Ça devient vraiment un projet francophone où on va célébrer la francophonie et on va essayer de voir à quel point nos cultures francophones sont différentes ou se ressemblent sur certains points. Mais là, il y a la possibilité vraiment d’un réel rassemblement. peut nous transformer et non pas juste une vitrine pour le québécois à l’international.

Une citation de Olivier Arteau, directeur artistique du Théâtre du Trident

Rappelons que le roman d’Éric Charcour, Ce que je sais de toi (Alto) a remporté de nombreux prix depuis sa sortie en août 2023. Notamment le prix Femina des lycéens (2023), le prix des cinq continents de la francophonie (2024) et le prix des Libraires (2024).

Publié dans 16 pays et territoires, le roman est sur la longue liste de Canada Reads, le combat des livres annuel de CBC.

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Denis Dubois refuse de rester les bras croisés devant le désintérêt des jeunes générations pour la production culturelle québécoise et propose des solutions pour renverser la tendance.

Propositions… et rêves

• Je propose un festival « en tournée » pour célébrer les gens d’ici, notre histoire, notre territoire, notre culture, pour célébrer le Québec de demain et nourrir notre estime collective.

• Je propose que Québec inc. redonne à la société québécoise en participant à un nouveau fonds « ambitieux » pour soutenir des projets culturels innovants visant à tonifier notre estime collective. L’objectif : attiser la flamme d’une relève québécoise dans tous les secteurs, en valorisant notre capacité et notre talent créatif. Couche-Tard, Metro, Québecor, Bombardier, Cascades, CGI, AtkinsRéalis, Desjardins et compagnie, vous êtes d’accord ?

• Je rêve que notre société regarde l’avenir avec plus d’étincelles dans les yeux.

• Je rêve que nous continuions d’être fiers de notre rayonnement à l’étranger.

• Je rêve que nous reconnaissions la chance et la valeur de vivre ici, particulièrement en ce moment.

• Je rêve que la fierté québécoise ne soit pas seulement l’apanage des natifs, mais qu’elle additionne tous ceux qui choisissent le Québec.

Voilà mon rêve. Il nourrit une ambition commune : celle de ranimer notre fierté, de consolider nos liens avec les nouvelles générations et d’assurer la pérennité de notre culture. Soyons audacieux. Prenons la parole, passons à l’action et cultivons ensemble cette étincelle qui nous anime.

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Radio-Canada a mis en ligne 15 épisodes de Fanfreluche sur sa plateforme Tou.tv

Étant de la génération Passe-Partout, je n’ai aucun souvenir que Radio-Canada repassait des épisodes quand j’étais jeune. Pour les contes à la TV, c’était surtout Iniminimagimo

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On peut d’ailleurs considérer ces émissions comme faisant clairement partie de notre culture et patrimoine. Aussi faudrait-il en assurer la pleine conservation, car elles sont un des témoignages d’archives parmi les plus éloquents des débuts de la télévision francophone du Québec.

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L’Orchestre métropolitain, dirigé par Yannick Nézet-Séguin, doit annoncer, ce mercredi, l’annulation de deux concerts, invoquant « les défis importants que traverse l’ensemble du milieu culturel ». « L’augmentation des coûts de production, l’inflation et la stagnation des subventions gouvernementales » sont au cœur de la décision prise par l’OM.

« Si nous sommes atteints, alors qu’on a les meilleures conditions possibles, avec Yannick Nézet-Séguin, qui est un ambassadeur hors pair, d’autres sont atteints. Certes, on a une croissance à maîtriser mieux, ce pour quoi on prend nos responsabilités, mais si nous souffrons, beaucoup souffrent, c’est le cri du cœur qu’on veut lancer », nous a confié la directrice générale de l’OM, Fabienne Voisin.

L’Orchestre, qui avait annoncé 45 concerts cette saison, n’échappe donc pas à la conjoncture difficile qui touche l’ensemble du secteur musical.

Les deux concerts qui sont annulés devaient être présentés à la Maison symphonique. Il s’agit d’Amour fatal, le 14 mars, un programme incluant Georges Bizet (Carmen) que devait diriger le chef Nicolas Ellis, et Fiesta latine, le 16 mai, avec des pièces de Gershwin (Ouverture cubaine) et Bernstein (West Side Story), que devait diriger la cheffe portugaise Joana Carneiro.

Fabienne Voisin admet d’emblée que les concerts qui ne sont pas dirigés par Yannick Nézet-Séguin ont plus de difficulté à atteindre leurs objectifs de vente.

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Nous sommes une petite nation entourée d’un océan d’anglophones, notre seule façon de survivre et de prospérer dans cet environnement et pour l’avenir des générations futures, est de prendre un grand soin de nos institutions culturelles afin de leur assurer la pérennité.

Ceci devrait pourtant être une priorité incontournable puisque personne d’autre ne pourra le faire à notre place. Est-il nécessaire d’affirmer que la culture est l’âme d’un peuple au même titre que son histoire et sa langue. Aussi nous devons à tout prix supporter nos artistes et créateurs, en leur permettant de vivre décemment de leur art et de leur production.

Alors les coupures culturelles actuelles de la CAQ sont un choix extrêmement mal avisé qui risque de faire fuir nos plus grands ambassadeurs vers des cieux plus accueillants. En risquant de nous causer un déficit culturel encore plus inacceptable pour le Québec.

En terminant je tiens à rappeler l’incroyable mauvaise gestion financière du gouvernement Legault, qui a hérité d’un surplus de 7 milliards des Libéraux en 2018 lors de leur premier mandat. Le magot de 7 milliards du ministre Leitao Le magot de 7 milliards du ministre Leitao | Radio-Canada

Maintenant ce même gouvernement en mi-mandat est arrivé à un scandaleux déficit de 11 milliards. Où est donc allé la somme de 18 milliards au total? Puisque que la CAQ n’a pratiquement rien investit en transport public et qu’elle a laissé exploser les budgets provinciaux pour arriver maintenant à ce genre de coupures honteuses totalement révoltantes.

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Le Front commun pour les arts réclame la bonification du budget du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) à 200 millions de dollars. L’argent alloué, actuellement, soit 160 millions de dollars pour 2024-2025, ne suffit pas.

Il y a toujours eu un enjeu de fond sur le financement de la culture. Malheureusement, c’est toujours à répéter, déplore Christian Robitaille, directeur général de Culture Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches. L’organisme est un membre influent du Réseau Culture 360o qui regroupe les 15 conseils régionaux de la culture (CRC).

Christian Robitaille est bien conscient que le discours est toujours le même.

On a l’impression qu’on dit les mêmes choses tout le temps, mais ramener la culture à titre de priorité pour vrai. C’est beau de le dire dans le discours, mais de le signifier dans les budgets, ça donne toujours un résultat plus clair, mettons. Donc on répète.

Une citation de Christian Robitaille, directeur générale de Culture Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches

La détresse

Ce que voit Christian Robitaille, c’est la détresse. La détresse que la situation actuelle cause chez de nombreux artistes et travailleurs de la culture dans la région. “Ça se voit beaucoup sur nos tables de consultation. […] Les gens sont tendus parce qu’ils sont à l’heure des choix”, explique-t-il .

La mythique directrice artistique du Théâtre du Rideau Vert, Denise Filiatrault, tire sa révérence après 21 ans à ce poste.

Mme Filiatrault quitte son poste en même temps que la directrice générale, Céline Marcotte, qui se retire après 17 ans. Le théâtre en a fait l’annonce par communiqué mercredi matin.

Il affirme que ces départs marquent la fin d’une « ère mémorable, riche en créativité et en succès pour la plus ancienne compagnie de théâtre professionnel francophone en Amérique ».

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Voilà une belle institution de la rue Saint-Denis qu’on ne valorise pas assez et qu’on prend pour acquis. Et voilà aussi une Grande Dame qui mérite d’être reconnue comme une ambassadrice du milieu théâtral et au delà.

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Des artisans de la scène culturelle québécoise ont tenu une troisième grande manifestation, mercredi après-midi, à Montréal, pour demander au gouvernement Legault de porter le budget du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) à 200 millions de dollars.

Résumé

Kukum: une adaptation émouvante

Par Valérie Marcoux, Le Soleil

21 janvier 2025 à 22h50

Kukum est une belle histoire d’amour qui nous fait découvrir le mode de vie des nomades en plus de témoigner de son extinction. (Caroline Grégoire/Le Soleil)

CRITIQUE / Compte tenu du succès du livre publié par Michel Jean en 2019, il n’était pas étonnant de voir la Salle Albert-Rousseau comble pour la première de Kukum à Québec. Cette adaptation de Laure Morali, mise en scène par Émilie Monnet, propose une expérience émouvante qui, évidemment, ne donne qu’un aperçu de ce magnifique roman.


Cette adaptation de Kukum est un peu comme la forêt qu’apercevait Almanda à partir du rivage du majestueux Pekuakami – aujourd’hui appelé lac Saint-Jean – avant de suivre Thomas pour en découvrir toute la profondeur.

Inspirée par les arrière-grands-parents du Michel Jean, Kukum est une histoire d’amour entre une orpheline blanche et un Innu, mais aussi un récit initiatique au cours duquel on découvre toute la beauté du mode de vie des nomades à travers les yeux d’Almanda. Un mode de vie qu’on verra malheureusement s’éteindre…



Des vidéos d’archive intégrées au spectacle témoignent de cette époque révolue. D’autres projections nous font sentir la vastitude du territoire des nomades, le mouvement des vagues et la respiration de la forêt.

Certaines sont très réalistes et d’autres plus artistiques. Ces dernières font ressortir la poésie de ce récit qui, porté sur scène, s’avère très contemplatif.

Le décor, assez épuré, semble conçu pour accueillir ces projections de Caroline Monnet qui font partie intégrante de la mise en scène.

Cette utilisation des vidéos est très réussie et crée de très belles visions qui sont accompagnées de la musique de Marie-Frédérique Gravel et de chants traditionnels (Mathieu McKenzie, Kim Fontaine, Hugo Perreault) absolument émouvants. Ces chants sont parmi les plus beaux moments du spectacle.

Après avoir fait ses débuts dans la métropole, Kukum entame une tournée pratiquement à guichet fermé. (Caroline Grégoire/Le Soleil)

Comme Almanda, le public découvre la langue innue pendant cette représentation de 100 minutes, car une partie des interprètes s’expriment dans cette langue en plus du français. Des traductions sont proposées sur des écrans de chaque côté de la scène.

Si on s’attache au personnage de cette orpheline intrépide portée par Léane Labrèche-Dor, les autres personnages sont plus difficiles à adopter.



Le rideau de franges tout en longueur derrière la scène presque vide crée un espace vaste que le jeu des interprètes, tout en retenu, peine à remplir. Si bien qu’on pourrait dire que le personnage principal de cette histoire est la forêt. Peut-être est-ce voulu.

Distribution : Sharon Fontaine-Ishpatao, Jean Luc Kanapé, Léane Labrèche-Dor, Marie-Ève Pelletier, Emma Rankin, Étienne Thibeault. (Caroline Grégoire/Archives Le Soleil)

Sans réelle tension narrative, Kukum est une expérience qui relève plus du conte que du théâtre.

Tout de même, cette production du TNM, réalisée en collaboration avec Onishka et sous l’œil bienveillant de Joséphine Bacon, est un bel objet d’art et un bon teaser pour le livre.


Après cet arrêt à Québec, Kukum sera présentée à Saguenay le 23 janvier et à Granby le 30 janvier. Puis, en février, cette production s’arrêtera à Rimouski, Drummondville, Laval, Terrebonne et Gatineau.

Les noms de Clarence Gagnon ou encore de René Richard jouissent d’une belle popularité lorsqu’il est question des peintres ayant croqué les paysages de Charlevoix sur leurs toiles. Mais peut-on en dire autant de leurs collègues féminines qui ont elles aussi capté l’essence de la région dans leurs œuvres?

Résumé

Expositions

Ces peintres charlevoisiennes méconnues…

Par Léa Harvey, Le Soleil

26 janvier 2025 à 05h45

L’exposition Le retour des corneilles met en lumière le talent d’artistes charlevoisiennes méconnues et d’artistes contemporaines bien établies aujourd’hui dans leur région respective. (Gabrielle Lajoie-Bergeron)

Les noms de Clarence Gagnon ou encore de René Richard jouissent d’une belle popularité lorsqu’il est question des peintres ayant croqué les paysages de Charlevoix sur leurs toiles. Mais peut-on en dire autant de leurs collègues féminines qui ont elles aussi capté l’essence de la région dans leurs œuvres?


Pas vraiment, selon Gabrielle Lajoie-Bergeron. L’artiste, qui travaille entre Charlevoix et Baltimore, s’explique mal comment les noms des sœurs Yvonne et Blanche Bolduc, des sœurs Bouchard, de Jori Smith ou de Madeleine Laliberté soient encore trop souvent dans l’ombre de l’histoire du XXe siècle.

«Leurs pratiques étaient de la même qualité que celles des hommes, mais comme pour l’histoire de l’art — et l’histoire en général —, on les a tassées», observe-t-elle d’entrée de jeu, en entrevue au Soleil.



Cette dernière, originaire elle-même de La Malbaie, s’intéresse depuis plusieurs années à l’impact de toutes ces femmes sur l’art canadien. Elles qui ont d’ailleurs fréquenté les cercles d’artistes de l’époque et même eu du succès de leur vivant.

Pour Gabrielle Lajoie-Bergeron, plonger dans ces créations méconnues, c’est aussi découvrir Charlevoix sous un nouvel angle. Au-delà des montagnes, des champs et du fleuve, elles ouvrent une fenêtre sur un nouveau territoire : celui de l’intime. Là où les portraits, les jardins et les scènes de la vie la quotidienne brillent.

Les œuvres du XXe siècle, créées par les peintres charlevoisiennes, font écho au travail d’artistes contemporaines et s’intègrent les unes aux autres. (Gabrielle Lajoie-Bergeron)

«Souvent, les œuvres régionales qui datent de cette époque vont souvent être associées à des paysages : la maison, la tempête, etc. Oui, ça fait partie de notre histoire mais, quand on creuse plus, c’est fou de voir qu’il y a un rapport au mystérieux, aux légendes, à l’histoire orale [à même les peintures]», fait remarquer l’artiste de 37 ans, dont la pratique s’inspire entre autres du folklore, du territoire et des récits collectifs.

Afin de mettre en lumière ces créations et leurs conceptrices méconnues, Gabrielle Lajoie-Bergeron a mis sur pied l’exposition Le retour des corneilles. Un projet, dont le titre s’inspire d’ailleurs d’une œuvre de la peintre et artisane Simone Mary Bouchard (1912-1945).

«Pour moi, la corneille, c’est un oiseau souvent associé aux légendes, au bon ou au mauvais présage, au folklore comme à ce qui est actuel, au passé et à l’avenir. C’est aussi un animal rusé, qui ne se fait pas piéger, qui crie, qui se tient en groupe. Elles annoncent souvent leur retour quand elles arrivent», énumère celle qui a présenté ses œuvres dans plusieurs pays.

L’exposition Le retour des corneilles se construit autour de toiles, mais aussi de sculptures et d’installations aux différents matériaux. (Gabrielle Lajoie-Bergeron)

D’une génération à l’autre

La notion de retour était ici particulièrement importante pour Gabrielle Lajoie-Bergeron. L’exposition, montée en partenariat avec le Musée de Charlevoix, présente des œuvres de «pionnières charlevoisiennes», mais pas que…



Sept artistes contemporaines ont réalisé des créations inédites pour l’occasion: Fanny Mesnard (Québec), Valérie Gobeil (Montréal), Vanessa Locatelli (Saint-Irénée), Audrée Demers-Roberge (Saint-Casimir), Marie-Fauve Bélanger (Portneuf), Alice Longpré (Victoriaville) ainsi que Rafaelle Carrière (Saguenay).

Sur la photo : la commissaire Gabrielle Lajoie-Bergeron, la directrice du Centre Inouï Julie-Andrée Tremblay ainsi que les artistes Valérie Gobeil, Rafaelle Carrière, Audrée Demers-Roberge, Alice Longpré, Marie-Fauve Bélanger. (Pierre Rochette)

«Je voulais créer une sororité, une filiation de femmes qui se parlent entre elles et qui s’influencent même si plusieurs [pionnières] sont mortes ou qu’elles ne se rencontreront jamais», souligne Gabrielle Lajoie-Bergeron, également commissaire du projet.

Au cœur de l’exposition découle ainsi un dialogue multigénérationnel, où les œuvres se font écho de par leurs thèmes, leurs matériaux, leurs couleurs, etc.

Comme une panoplie de «petits fragments qui peuvent se juxtaposer» pour permettre aux visiteurs de créer une nouvelle histoire, personnelle ou collective.


L’exposition Le retour des corneilles est présentée au Centre Inouï, à Saint-Siméon, jusqu’au 20 avril.

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Un message a été fusionné à un sujet existant : Théâtre Plaza (rénovation) - 2 étages

27 janvier 2025

Le ministère de la Culture et des Communications mettra un terme à la mesure de gratuité dans les musées pour tous les Québécois, qui était en vigueur tous les premiers dimanches du mois.

Ce changement de politique sera effectif dès le 2 mars prochain. La mesure est «réorientée» afin d’être offerte uniquement aux jeunes de moins de 20 ans.

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Une politique mesquine qui pénalise les plus pauvres et les prive d’un rare accès gratuit à la culture. Bravo la CAQ :-1:t2:

Encore une fois l’incohérence de la CAQ :grimacing:


Il n’y a pas une journée qui passe sans qu’un théâtre, un musée ou un orchestre annonce qu’il sabre sa programmation ou supprime des postes.

Publié à 7 h 15

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Le Musée de la civilisation de Québec, une société d’État, met à pied 17 de ses employés. Cette décision est liée aux restrictions budgétaires imposées par le gouvernement Legault depuis novembre dernier.

C’est tout de même incroyable que l’un des plus grands musées québécois doive se serrer la ceinture alors que nous sommes en train d’en créer un nouveau (Musée national de l’histoire du Québec) au coût de 92 millions de dollars.

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