Donc, tant que l’Amérique du Sud, l’Afrique et l’Asie ne font rien, on ne fait rien ?
C’est très logique… On peut donc abolir le recyclage et le compostage puisque des pays ne le font pas ? Ou même entasser nos vidanges sur notre terrain et y mettre le feu lorsqu’il y en aura trop ? Après tout, certains pays fonctionnent ainsi !
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Non mais on pourrait utiliser les taxes pour acheter des voitures électriques aux gens au lieu de leur imposer une nouvelle taxe. Mais non on le ferra pas parce qu’on voudrait pas déranger l’élite de Londres avec les gens normaux et leur vielles voitures.
Je refuse que l’argent des impôts serve à acheter des voitures. Financer davantage de transports publics, c’est bien, mais pas pour subventionner la cause profonde du problème.
Au fond, vous confondez gaz à effet de serre et pollution. La pollution, produite à la source de la combustion et, dans une moindre mesure, par l’usure des pneus des sur la chaussée, provoque des milliers de décès prématurés par an. Dans certains pays comme l’Inde, ce nombre se compte en centaines de milliers. On constate constamment que les personnes vivant à proximité des autoroutes ont une espérance de vie plus courte et une santé plus dégradée.
La pollution de l’air peut aggraver les maladies cardiaques et pulmonaires. Elle détruit également la façade des bâtiments en laissant des résidus poussiéreux, comme on peut le voir sur n’importe quelle vieille photo où certains bâtiments sont littéralement noirs par manque de nettoyage.
What cela ne change rien au fait que le retrait des vieilles voitures de la route améliorera la santé de la population de ces villes. En particulier des pauvres, qui sont toujours plus susceptibles de vivre dans des zones à fort trafic.
Il est très inquiétant de constater qu’à l’approche de cette élection américaine, tout ce qui touche à l’environnement, à l’éducation, aux droits de l’homme, etc. est dépeint comme soit de la naïveté occidentale, de la dépravation occidentale, de l’hégémonie occidentale, etc. Newsflash, nous vivons dans une ville occidentale et si nous voulons améliorer les choses ici, nous devons tenir compte de ce qui se passe ici, pas en Amérique latine ! Ou en Afrique! la pollution est un problème local
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la cause profonde du problème est la, tu pense que tout le monde est comme toi.
Tout le monde n’est pas comme moi et tout le monde n’est pas comme toi non plus.
Il y a beaucoup plus de chances de subir des abus dans les transports en commun.
Il y a beaucoup moins de risques de se faire agresser ou voler dans une voiture.
La pandémie a montré les dangers des maladies infectieuses – Londres a toujours été un point chaud malgré une population jeune, en raison des transports en commun.
Les trajets prennent régulièrement beaucoup plus de temps en transports en commun, de point à point, avec beaucoup de correspondances et d’attentes.
Je peux transporter beaucoup de choses sur un vélo (un matelas, par exemple), mais très raisonnablement, ce n’est pas pour tout le monde.
Si tu es assis dans les embouteillages pendant une heure, tu n’as pas vraiment à te concentrer sur la route. Tu es dans ton propre espace, plutôt que d’être entassé dans les mêmes embouteillages avec une foule d’inconnus, souvent en train de jouer de la musique sur leur téléphone, de manger, d’être ivres, etc.
ma voiture usagé me coute casiment rien et beaucoup plus rapides pour se déplacer.
tout le monde n’aime pas faire des achats en ligne, c’est une expérience très différente. Ce n’est pas non plus pratique pour beaucoup de gens, attendre à la maison, alors qu’en personne, tu peux aller dans plusieurs magasins.
Déplacer une famille de 4 – voire de 6 ou plus – est beaucoup plus facile avec ton propre transport, surtout s’il y a des jouets, des poussettes, de la nourriture et des boissons à transporter.
Le vélo comporte plus de risques et ce n’est pas pour tout le monde.
ps: je fais du vélo 5 jours semaine pour aller travailler.
Toutes les externalités négatives n’ont rien à voir avec “la façon de penser” d’une personne. Tout le monde subit ces conséquences, peu importe ses préférences personnelles. Elles ne sont pas compensés par du confort ou des obligations individuelles.
C’est bien de parler des déficiences du TEC ou du transport actif (ou certaines perceptions je dirais). C’est en ciblant des problèmes qu’on peut les régler. Et si on prend la peine de le faire, on serait une société immensément plus riche, plus en santé et fonctionnel.
Mais en bout de ligne, les externalités négatives étudiées et invasives, par définition si quelqu’un en subit les conséquences contre son gré, “l’opinion” n’est pas le problème, c’est d’en subir les conséquences réelles.
Par chance, augmenter la sécurité dans le TEC, sa fiabilité, sa couverture et sa vitesse, c’est purement une question d’argent. Le potentiel de croissance est immense. Ce n’est pas le cas avec la dépendance automobile.
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Tu ne me connais pas lol. Tu ne sais pas non plus comment je pense. Mais je connais bien Londres, et là-bas, les transports en commun sont assez bons pour qu’un grand nombre de déplacements soient plus rapides ou plus pratiques en métro. En fin de compte, nous pouvons inventer 100 excuses pour justifier notre besoin de voiture, mais cela ne change pas le fait que les effets négatifs de la pollution sont largement subis par les pauvres, qui en général (à Londres) ne possèdent pas de voiture ! Nous disons donc que nous ne voulons pas abandonner la nôtre, parce que c’est confortable, et nous justifions cela par une sorte de class justice lol. Whatever
On aime être confortable, c’est dans l’ADN humain. Rendez les transports en commun et les pistes cyclables aussi confortables et amusants qu’une voiture, et tout le monde délaissera la voiture. Taper sur les doigts ne fonctionne que temporairement, et la frustration finit par ressortir ailleurs.
Toute mesure qui enlève un centimètre d’espace aux voitures est considérée comme taper sur les doits. L’amélioration des infrastructures de transport en commun et de vélo implique presque toujours de récupérer l’espace public des voitures. On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre.
If the plan is just to wait for things to improve, and to have good feels and good ideas, then nothing improves. You need the carrot and the stick. That’s life, and it has always been that way. How do you think we got to the point of tout a la voiture
à ce stade nous tournons en rond.
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Je republie, parce que le commentaire initial de @Michael_A est maintenant loin 
J’ai défoncé un phare d’un coup de pied, quand un conducteur qui avait brûlé un feu s’est arrêté à quelques centimètres de moi. Ça s’est réglé avec la police qui cogne chez moi et moi qui signe un chèque de la valeur d’un nouveau phare.
J’ai tapé sur un char qui a brûlé un stop et qui est passé près de nous écraser, mon chien et moi-même, pendant une promenade nocturne. Le chauffeur m’a expliqué que si je touchais à sa property une fois de plus, il allait me foncer dedans.
J’ai demandé à deux policiers d’intervenir quand ils ont vu une conductrice passer un arrêt et, encore une fois, manquer de me heurter. Ils m’ont dit de me calmer parce que j’étais simplement dans son angle mort. (J’ai appelé le SPVM pour leur demander le lien entre un angle mort et un stop américain, mais ils n’avaient pas la réponse.)
Quand je frôle la mort, il faudrait que je reste docile et que je demande pardon, peu importe qui est dans le tort.
Ça m’est arrivé il y a deux semaines moi aussi.
J’étais à pied et je venais d’avoir la lumière verte (avec une phase piétonne en plus) et j’avais mon petit sur les épaules. À peine le pied mis dans l’intersection qu’un VUS fait un virage à droite sur la rouge (interdit sur l’île) et me frôle à haute vitesse.
J’ai eu le réflexe de reculer d’un pas (ce qui ma assurément éviter une visite à l’hôpital) et j’ai instinctivement donné un grand coup de pied dans une des portières. J’étais tellement fâché du peu de considération que la conductrice avait eu. Elle m’a fait un doigt d’honneur tout en continuant son chemin. Elle aurait pu faucher deux vies pourtant.
Je n’ai pas endommagé sa carrosserie (hélas), mais mon soulier de course n’a fait que transférer l’impact sur mon gros orteil et j’ai eu vilaine enflure pendant une dizaine de journées.
J’en ai parler à ma conseillère de ville et avec d’autres parents du CPE on a réussi a obtenir une réponse rapide: l’équipe des feux considère que d’altérer les cycles actuels de ce feu de circulation (Dickson/Hochelaga pour les curieux) aurait un impact négatif sur la circulation des marchandises du port…
Alors moi le confort des automobilistes…
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16 octobre 2024
La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) est fière de s’associer avec l’émission L’œil du cyclone, diffusée à Radio-Canada depuis quatre saisons sur la chaîne ICI Télé et sur ICITOU.TV. Cette série met en scène avec humour la famille d’Isabelle, mère de trois enfants, dont le quotidien se déroule au cœur même de la tempête, dans l’œil du cyclone.
Dans le cadre de cette collaboration, des sketches ont été produits pour aborder différents thèmes : la vitesse, la fatigue au volant et la conduite avec les facultés affaiblies par l’alcool. Du 14 octobre au 24 novembre, la première capsule, intitulée « Les conseils de Michel », sera diffusée à Radio-Canada.
17 octobre 2024
Le ministère des Transports et de la Mobilité durable rappelle que la toute première enquête origine-destination (EOD) à l’échelle nationale se poursuit jusqu’à la mi-décembre. Ainsi, il est encore temps de répondre au questionnaire en ligne portant sur les déplacements des membres de votre ménage. Chaque réponse compte! Y participer, c’est contribuer à mieux planifier les transports de demain.
- Seuls les foyers ayant reçu une invitation postale peuvent répondre à l’enquête. Soyez à l’affût de votre courrier; les envois se poursuivent jusqu’au 8 novembre.
- Le Ministère estime que les résultats seront rendus publics en 2026.
pour l’enquête menée par l’ARTM, on devrait avoir les résultats au début de 2025
J’espère que le Québec est plus sévères au sujet des qualifications avant de donner un permis … 
Mais ça n’aide pas si ces personnes font des livraisons interprovinces…
Hidden cameras reveal how unqualified truckers are getting on our roads | Marketplace
Hidden cameras and internal documents reveal how unqualified truckers are getting on our highways. Trucking is the lifeline of Canada’s economy, and as the country faces a shortage of drivers, Marketplace uncovers shocking details about how some new recruits are finding their way onto our roads, including through bribes, forged documents and a failure of oversight and enforcement.
Following the publication of our investigation Ontario’s Ministry of Transportation provided an additional statement to Marketplace.
Referring to their relationship with SERCO, who operates Ontario’s DriveTest centres, they said, “If SERCO is unable to control fraud in the programs it administers, we will re-evaluate the contract with them. We expect full accountability from all partners, and failure to meet our standards will have severe consequences.”
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Résumé
Plus d’un demi-million de plaques récupérées par la SAAQ
Par Paul-Robert Raymond, Le Soleil
18 octobre 2024 à 12h00|
Mis à jour le18 octobre 2024 à 20h26
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Une image du passé. Il est fini le temps où l’usager sortait d’un centre de services de la SAAQ ou d’un des 11 mandataires, exploités par CAA-Québec, avec une plaque d’immatriculation sous le bras. La société d’État a centralisé la distribution des plaques. (Paul-Robert Raymond/Archives Le Soleil)
CHRONIQUE / Avec l’arrivée du service SAAQclic pour les particuliers, la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) avait procédé au rappel de toutes les plaques d’immatriculation non délivrées dans ses bureaux, ceux des mandataires ainsi que chez les concessionnaires automobiles. Plus d’un demi-million de ces objets ont été centralisés et retournés chez le fabricant.
Le but de cette chronique n’est pas de discuter des ratés de l’implantation de SAAQclic. Plusieurs collègues et confrères l’ont fait et le font toujours, hélas! Pour une fois que la société d’État passait au XXIe siècle…
Pour revenir au sujet qui nous occupe aujourd’hui, ce sont en fait 636 000 plaques qui ont été récupérées. Est-ce qu’elles sont allées au recyclage? Non, nous répond la SAAQ. Elles ont été remises dans l’inventaire.
Car, depuis la transition vers le système SAAQclic, toutes les nouvelles plaques délivrées aux clients partent toutes du même endroit, soit chez le fabricant. Quand une personne achète un véhicule d‘un commerçant ou d‘un particulier, la SAAQ attribue un numéro de plaque de l‘inventaire à l‘usager par l’entremise de SAAQclic.
Ce numéro se trouve sur la plaque en papier que le client doit apposer dans la lunette arrière de son véhicule ou dans une pochette transparente vissée à l‘emplacement habituel de la plaque d’immatriculation. La plaque en papier est valide pendant 40 jours ouvrables, le temps de recevoir la vraie plaque en aluminium. Finies donc les plaques distribuées dans les bureaux de services ou chez les concessionnaires.
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«La récupération a débuté le 1er mars 2023 pour finir le 28 août 2024. Les 636 000 plaques récupérées ont été remises en inventaire lorsqu’elles étaient conformes.»
— Geneviève Perron, porte-parole de la SAAQ
«Déjà 50 % [plus de 300 000] de celles-ci ont été mises en circulation», ajoute-t-elle en disant que la SAAQ a estimé que la grande majorité des plaques récupérées étaient conformes. «Nous avons disposé des plaques non conformes selon le processus de disposition en vigueur pour les plaques, soit par le recyclage responsable de celles-ci», appuie-t-elle.
Aperçue dans un stationnement d’épicerie, le numéro de cette plaque en papier se terminait par les lettres FLP, soit une séquence qui avait été originalement délivrée aussi loin que 2013. (Paul-Robert Raymond/Le Soleil)
De vieilles séries
Bon, faisons un peu de «numérologie» de plaques d’immatriculation. Comment est venue l’idée de poser les questions à la SAAQ sur le sujet? Il y a quelques semaines, une voiture avec une plaque en papier dans sa lunette arrière a frappé l’attention. Le numéro se terminait par les lettres FLP, soit une séquence qui avait été délivrée aussi loin que 2013, selon quelques recherches faites auprès de passionnés.
Et là, on ne parle pas des plaques «F», dont le collègue Daniel Germain a décrit les diverses implications fiscales dans l’une de ses chroniques. Ces dernières sont des plaques dites commerciales. Celle aperçue dans le stationnement d’une épicerie était bel et bien une plaque de véhicule de promenade.
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Et ce n’était pas non plus une plaque réimprimée. La SAAQ n’offre plus ce service depuis janvier 2023, un mois avant l’implantation de SAAQclic.
Au cours des derniers mois, on a pu voir apparaître de vieilles séries de numéros, comme les X, les Y et même des S… Mais la série F devait probablement dormir dans un bureau de la SAAQ en région où très peu de véhicules ont été immatriculés depuis 11 ans.
Un code QR
Si vous êtes un fin observateur, un code QR est imprimé derrière les plaques. La SAAQ procède ainsi depuis juin 2019, date à laquelle les nouveaux processus de livraison ont été établis, selon la porte-parole de la SAAQ.
Ces codes QR ont été bien pratiques afin de remettre en inventaire les plaques non écoulées dans les bureaux et chez les commerçants. «Ils servent toujours l’expédition automatisée», enchaîne Mme Perron.
Il demeure que la SAAQ a récupéré 182 000 plaques sans code QR. «[Cette récupération] a débuté en mars 2024 pour se terminer en août 2024», précise la porte-parole. Elle soutient que ces plaques ont reçu un code QR lors de leur rapatriement et qu’elles n’ont pas été entrées manuellement dans le système.
Elle termine en disant que la récupération des plaques non délivrées s’est bien déroulée. «La Société n’a pas eu de cas récalcitrant», conclut Mme Perron.
Les usagers de la route n’ont pas été des modèles à suivre cette semaine au Québec, où 416 comportements à risque ou infractions ont été observés, mardi, autour de seulement neuf écoles.
Ces infractions au Code de la sécurité routière ont été de tous types, allant de la vitesse des automobilistes aux traversées interdites ou dangereuses par les piétons.
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En lien avec le projet de loi de l’Ontario sur l’ingérance de la province dans les aménagements cyclables, CBC a publié un texte sur la demande induite
The subject of bike lanes can be a contentious one, particularly in a busy city like Toronto. Last week, the Ontario government proposed legislation that would require municipalities to get provincial approval to install any bike lanes that would remove a lane of vehicle traffic, which resulted in a firestorm of debate and protests.
The legislation was introduced on Monday.
While advocates look at dedicated bicycle lanes as encouraging more people to travel by bike — resulting in less traffic congestion, safer commutes for cyclists and reduced greenhouse gas emissions — some motorists blame them for causing more congestion.
But research shows that dedicated bicycle lanes are not behind perceived traffic congestion and can have many benefits.
Ajout : La version en français de l’article sur le site de Radio-Canada
Plusieurs experts critiquent la solution du gouvernement Ford aux problèmes de congestions routières, soit de retirer des pistes cyclables « superflues » pour redonner l’espace à la voiture.
La semaine dernière, le gouvernement provincial de l’Ontario a annoncé son intention de légiférer pour demander aux municipalités une approbation provinciale pour toute nouvelle piste cyclable qui impliquerait de retirer de l’espace à la voiture.
L’« explosion » du nombre de pistes cyclables construites pendant la pandémie a pour effet de causer des embouteillages pour « trop d’automobilistes », selon le ministère des Transports.
une courte vidéo sur la chaîne YouTube Build the Lanes à propos de la demande induite
Do Road Widenings Actually Induce Demand? || Ask Steffen
@donnasmith6738 : “I have a question about your last video: does this imply that induced demand doesn’t really work in urban areas?”
Un dossier en 2 articlers dans La Presse sur la disparition des petits véhicules sur le marché
- Le VUS s’impose
- Les facteurs à considérer avant de monter en voiture
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