Je suis certain·e que ces jardinières sur 16e avenue étaient oubliés. C’est plus que deux ans depuis qu’elles étaient installées mas pas plantées.
Je suis entrain d’écriver à 311.
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Toujours incroyablement impressionnant la croissance des arbres à la Place fleurs-de-macadam. C’est à se demander s’ils leur donnent des hormones de croissance! :-)))
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C’est une belle démonstration des nombreux avantages environnementaux des parcs-éponges. Non seulement ils protègent les environs d’inondations ponctuelles locales et de reflux d’égouts, ils ralentissent aussi le mouvement de l’écoulement de l’eau de pluie, en la piégeant dans des bassins temporaires. Ce qui au bout du processus évite des surverses dans le fleuve, donc moins de pollution des eaux.
Par ailleurs cette rétention de l’eau lui permet de s’infiltrer plus profondément dans le sol jusqu’à rejoindre les nappes phréatiques, en les alimentant de manière plus régulière. Autre conséquence bénéfique, l’abondante humidité du sol nourrit généreusement les racines des arbres et favorise notablement une croissance plus rapide des végétaux.
Par conséquent les arbres plus denses et plus développés jouent mieux le rôle d’ilots de fraicheur, oxygènent davantage l’air ambiant et attirent une plus grande biodiversité locale, qui à son tour profite aux oiseaux comme aux insectes.
Finalement un avantage et non des moindres, le paysage urbain y gagne en beauté et en résilience climatique, grâce à ces oasis naturalisés qui invitent les citadins au bien-être et à la détente.
J’en conclus que les parcs-éponges sont l’une des meilleures idées d’aménagement permanent du territoire jamais proposée pour les villes sur le plan urbanistique. Ils deviennent de minis marécages ou des zones humides temporaires qui rééquilibrent le mouvement des eaux de surface, en le mettant économiquement au profit du territoire urbain dans son ensemble.
Voilà pourquoi nous devons encourager fortement la multiplication de ces espaces verts distincts des parcs traditionnels, parce qu’ils rehaussent indéniablement la qualité de vie en ville, tout en ramenant un peu plus de nature dans nos cités.
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Tiens, je suis passé par le parc Pierre-Bédard ce matin
Les photos rendent pas justice au fait que c’est vraiment tout un trou qu’il y a dans ce parc. Ce sera plus que drainant quand ce sera fini. En plus les rues Bossuet et Pierre-Bédard sont apaissées.
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Est-ce là où il y a eu levée de bouclier et que les gens demandaient qu’il y ait des travaux d’infrastructures souterraines pour éviter les inondations?
Oui!!
Des gens qui veulent garder leur stationnement de rue plutôt que de diminuer les risques d’inondations de leur sous-sol!! 
Une pétition récoltant près de 280 signatures met cependant en lumière la réticence de certains citoyens concernant l’aménagement. Entre autres, la suppression de plusieurs places de stationnement à proximité de plusieurs habitations préoccupe les habitants du secteur.
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Le pire, c’est que les beaux plexs à l’italienne du quartier devraient voir leur valeur augmenter suite à tout ces investissements, surtout que la partie nord du parc (là où les travaux ont lieu) étaient plus que moche avant ce projet.
Mais tsé, même si j’ai déjà un garage et un espace asphalté devant mon garage, faudrait pas enlevé une vingtaine de place de stationnement
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À date j’aime vraiment l’esthétique des ces infrastructures. Pour ce qui est de leur efficacité est-ce que la ville est satisfaite de leur rendement ? Je serais curieux de savoir les résultats avec un genre d’avant / après.
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Ville-Marie fera une étude. J’arrive pas à trouver l’info dans le thread plus haut.
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C’est l’occasion d’aller visiter les IVD
Il pleut vraiment fort depuis 30 minutes dans le centre des affaires.
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À la quantité d’éclairs et selon l’indice de «liquide intégré verticalement» des radars, je me serais même attendu qu’il y ait de la petite grêle dans un corridor de Côte-Saint-Luc - centre-ville - ile Sainte-Hélène.
ça a cogné dans les fenêtres de mon bureau au 24e étage
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Idem
Photo publiée par Toula Drimonis sur ses médias sociaux dont Bluesky
Photographer Pacholo Libarnes captured the squall today in Montreal.
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On pourrait dire que Montréal mange la claque au point de vue météorologique cette année, en comparaison de Québec, qui semble davantage en dehors des corridors de perturbations météo.