Immobilier commercial - Actualités

J’espère toujours qu’on ré-installer l’oeuvre d’art cinétique qui a été retirée


Désolé de la qualité, mon iPhone en 2012 avait pas la meilleure caméra :skull:

4 « J'aime »

Photo de Dom723 retouchée (bougé et redressement).

2 « J'aime »

Canada-Bureaux-Statistiques-T1-2024.pdf (informateurimmobilier.com)

Premier trimestre positif depuis 6 trimestres pour le centre-ville de Montréal. Augmentation de la disponibilité dans les banlieues.

5 « J'aime »

So this means the 600 on Square Viger undergoing renovations will not have CN as 100% client it will have others… can CN still place its logo if it is the biggest company in this building ?

Est-ce que quelqu’un connait si la Banque Nationale va quitter leurs bureaux au 1100 Robert-Bourassa? Comme ils ont récemment annoncé qu’ils vont occuper les 10 étages de bureau de Victoria sur le Parc et ils ont maintenant le tour Banque Nationale, il me semble que ce petit tour risque de devenir vacant.


Par contre, ce serait un bon locaux pour un projet résidentiel.

Il me semble que c’était une filiale de la BN qui était là, soit la Financière BN ou la Trust

En tout cas, le guichet automatique a été retiré

1 « J'aime »

Le 1100 Robert-Bourrassa fait déjà l’objet d’un projet de réfection, mais pas de transformation. :slight_smile:

1 « J'aime »

Hard to tell, but all things considered, I believe that they will be the biggest tenant and as such be able to put their logo.

1 « J'aime »

J’aurais tendance à penser que oui, à l’époque de l’annonce de leur nouveau siège social, on parlait de 4 ou 5 locations du centre-ville qui seraient agglomérée en 1
(Place D’armes, 500 de la Gauchetière, 1100 Robert-Bou., les bureaux sur Maisonneuve ?)

Je ne suis pas sûr si la banque a des bureaux satellites ailleurs en ville.

Le Loft Hotel est à loué ainsi que les bâtiments adjacents

2 « J'aime »

The Double Tree Hilton at Complexe Desjardins has been sold. It has been purchased by the same group who bought and renovated the Hotel Vogue.

The are currently working on a plan to replace the facade of the building, which is estimated at 15 million dollars.

7 « J'aime »

Il faudra suivre cette restauration de façade de près.

L’aspect patrimonial de ce bâtiment, en plus d’être largement incompris, tient à peu de choses.

Un mauvais choix de brique (si on ne peut récupérer l’existante) ou la mauvaise exécution d’un détail enlèverait tout intérêt au bâtiment.

1 « J'aime »

Enfin, l’immeuble est vendu ! J’espère que les locataires seront intéressants et que cela pourra participer à la relance de cette rue.

Institution de la rue Crescent: le Thursday’s est vendu à une firme des Caraïbes pour une fraction de sa valeur passée | JDM (journaldemontreal.com)

image

4 « J'aime »

2 juin 2024
La fontaine du Complexe Desjardins est de retour!

10 « J'aime »

Des rénovations à l’hôtel Sofitel

3 « J'aime »

Chronique de Maxime Bergeron sur la conversion des immeubles à bureaux en logements

1 million de pieds carrés.

C’est la quantité d’espaces de bureaux qui pourraient être convertis en logements, au centre-ville de Montréal. Des projets de transformation sont entamés ou à l’étude dans au moins quatre immeubles, ai-je appris, et une demi-douzaine d’autres, voire davantage, pourraient suivre.

3 « J'aime »

(Montréal) Les bureaux haut de gamme continuent d’avoir la cote auprès des locataires corporatifs. L’écart entre les taux d’inoccupation de ces immeubles et ceux de niveau inférieur s’est encore creusé dans plusieurs centres-villes du pays, selon un nouveau rapport de la société de services immobiliers commerciaux CBRE.

Résumé

Les immeubles de bureaux de prestige gagnent encore en popularité

PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

Le projet de réaménagement du 600, rue de La Gauchetière Ouest par Kevric est un exemple d’investissement visant à améliorer les espaces en vue de rejoindre une clientèle qui recherche du plus haut de gamme, selon le vice-président exécutif chez CBRE, David Cervantes.

(Montréal) Les bureaux haut de gamme continuent d’avoir la cote auprès des locataires corporatifs. L’écart entre les taux d’inoccupation de ces immeubles et ceux de niveau inférieur s’est encore creusé dans plusieurs centres-villes du pays, selon un nouveau rapport de la société de services immobiliers commerciaux CBRE.

Publié hier à 14h33

Partager

Frédéric Lacroix-Couture La Presse Canadienne

L’étude, publiée cette semaine, montre que le taux de disponibilité est resté relativement stable à 16,4 % à l’échelle canadienne pour les immeubles de bureaux de catégorie A (haut de gamme) au deuxième trimestre de 2024. Les actifs dits « de prestige », qui représentent le niveau supérieur de cette catégorie, ont affiché un taux de 10,3 %, contre 11,2 % au premier trimestre.

À l’inverse, le taux de vacance des immeubles de moindre qualité (soit de catégories B et C) a poursuivi sa progression pour atteindre 24,9 %, selon le rapport sur l’immobilier des bureaux au Canada.

Au centre-ville de Montréal, le taux de disponibilité des espaces de catégorie A est passé de 14,7 à 14 %, alors que celui de la catégorie B a atteint 22,6 %, contre 21,4 % aux trois premiers mois de l’année. Pour le segment dit de « prestige », le pourcentage se situe à 7,2 %. Il était de 9,8 % au premier trimestre.

Cet attrait vers les bureaux haut de gamme est observé depuis plusieurs années, indique le vice-président exécutif chez CBRE, David Cervantes. Le rapport note que les locataires corporatifs « procèdent à des exodes vers la qualité, laissant derrière eux des produits de plus en plus obsolètes ».

« Ce qui explique pourquoi nos meilleurs immeubles vont se remplir plus rapidement que ceux qui sont âgés ou qui ont besoin d’investissements. […] On observe certains immeubles de classe B qui ont des taux de vacance au-dessus de 50 % », dit M. Cervantes en entrevue.

La classification des immeubles de bureaux prend en considération différents facteurs tels que l’emplacement, la qualité du bâtiment et ses équipements. Les espaces de catégorie A sont considérés comme haut de gamme notamment pour leur excellente accessibilité et leur forte visibilité sur le marché.

Une meilleure expérience recherchée

M. Cervantes mentionne que les sociétés ne recherchent plus seulement la qualité, mais aussi une « expérience » à l’intérieur des lieux. Des propriétaires d’immeubles vont réaliser d’importants investissements, entre autres pour l’animation du rez-de-chaussée, la conciergerie et les services alimentaires, indique-t-il.

Les locataires sont de plus en plus exigeants. Ils vont choisir de plus en plus des environnements de meilleure qualité assurément, mais aussi les propriétaires qui offrent une meilleure expérience.

David Cervantes, vice-président exécutif chez CBRE

Le projet de réaménagement du 600, rue de La Gauchetière Ouest par Kevric est un exemple d’investissement visant à améliorer les espaces en vue de rejoindre une clientèle qui recherche du plus haut de gamme, avance M. Cervantes.

PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE

Le 600, rue de La Gauchetière

La corporation immobilière a réussi à attirer le siège social du CN, qui occupera les 18 premiers étages de l’édifice du Quartier International de Montréal d’ici 2028.

Dans un communiqué daté du 9 mai, qui annonce la venue de la compagnie ferroviaire, il est indiqué que « le réaménagement complet de la tour offrira un environnement de travail de nouvelle génération à ses occupants ».

Le taux d’occupation de l’immeuble était à plus de 80 % en date de la publication du communiqué. Seuls les cinq étages situés au sommet de l’immeuble étaient encore disponibles.

Taux d’inoccupation global

Selon le rapport de CBRE, le taux d’inoccupation global au centre-ville de Montréal était à 17,4 % au deuxième trimestre, contre 17,7 % au trimestre précédent. Il affiche le troisième meilleur taux devant Toronto (18,1 %), mais derrière Ottawa (14 %) et Vancouver (10,8 %).

Historiquement, la métropole québécoise a toujours eu un taux de disponibilité moyen au-dessus de 10 %, pendant que Toronto et Vancouver étaient à des niveaux plus bas, fait remarquer M. Cervantes.

« C’est une différence moins dramatique que ce qu’on observe présentement à Toronto qui était avant la pandémie à moins de 5 % de taux vacance », soutient-il.

Le centre-ville de Montréal a affiché une absorption nette au deuxième trimestre positive de 1,2 million de pieds carrés. L’ajout des espaces entièrement loués de la Banque Nationale, aux 700 et 800, rue Saint-Jacques, a contribué à ce chiffre, indique M. Cervantes.

1 « J'aime »