Hard to tell, but all things considered, I believe that they will be the biggest tenant and as such be able to put their logo.
J’aurais tendance à penser que oui, à l’époque de l’annonce de leur nouveau siège social, on parlait de 4 ou 5 locations du centre-ville qui seraient agglomérée en 1
(Place D’armes, 500 de la Gauchetière, 1100 Robert-Bou., les bureaux sur Maisonneuve ?)
Je ne suis pas sûr si la banque a des bureaux satellites ailleurs en ville.
Il faudra suivre cette restauration de façade de près.
L’aspect patrimonial de ce bâtiment, en plus d’être largement incompris, tient à peu de choses.
Un mauvais choix de brique (si on ne peut récupérer l’existante) ou la mauvaise exécution d’un détail enlèverait tout intérêt au bâtiment.
Enfin, l’immeuble est vendu ! J’espère que les locataires seront intéressants et que cela pourra participer à la relance de cette rue.
Des rénovations à l’hôtel Sofitel
Chronique de Maxime Bergeron sur la conversion des immeubles à bureaux en logements
1 million de pieds carrés.
C’est la quantité d’espaces de bureaux qui pourraient être convertis en logements, au centre-ville de Montréal. Des projets de transformation sont entamés ou à l’étude dans au moins quatre immeubles, ai-je appris, et une demi-douzaine d’autres, voire davantage, pourraient suivre.
(Montréal) Les bureaux haut de gamme continuent d’avoir la cote auprès des locataires corporatifs. L’écart entre les taux d’inoccupation de ces immeubles et ceux de niveau inférieur s’est encore creusé dans plusieurs centres-villes du pays, selon un nouveau rapport de la société de services immobiliers commerciaux CBRE.
Résumé
Les immeubles de bureaux de prestige gagnent encore en popularité
PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE
Le projet de réaménagement du 600, rue de La Gauchetière Ouest par Kevric est un exemple d’investissement visant à améliorer les espaces en vue de rejoindre une clientèle qui recherche du plus haut de gamme, selon le vice-président exécutif chez CBRE, David Cervantes.
(Montréal) Les bureaux haut de gamme continuent d’avoir la cote auprès des locataires corporatifs. L’écart entre les taux d’inoccupation de ces immeubles et ceux de niveau inférieur s’est encore creusé dans plusieurs centres-villes du pays, selon un nouveau rapport de la société de services immobiliers commerciaux CBRE.
Publié hier à 14h33
Frédéric Lacroix-Couture La Presse Canadienne
L’étude, publiée cette semaine, montre que le taux de disponibilité est resté relativement stable à 16,4 % à l’échelle canadienne pour les immeubles de bureaux de catégorie A (haut de gamme) au deuxième trimestre de 2024. Les actifs dits « de prestige », qui représentent le niveau supérieur de cette catégorie, ont affiché un taux de 10,3 %, contre 11,2 % au premier trimestre.
À l’inverse, le taux de vacance des immeubles de moindre qualité (soit de catégories B et C) a poursuivi sa progression pour atteindre 24,9 %, selon le rapport sur l’immobilier des bureaux au Canada.
Au centre-ville de Montréal, le taux de disponibilité des espaces de catégorie A est passé de 14,7 à 14 %, alors que celui de la catégorie B a atteint 22,6 %, contre 21,4 % aux trois premiers mois de l’année. Pour le segment dit de « prestige », le pourcentage se situe à 7,2 %. Il était de 9,8 % au premier trimestre.
Cet attrait vers les bureaux haut de gamme est observé depuis plusieurs années, indique le vice-président exécutif chez CBRE, David Cervantes. Le rapport note que les locataires corporatifs « procèdent à des exodes vers la qualité, laissant derrière eux des produits de plus en plus obsolètes ».
« Ce qui explique pourquoi nos meilleurs immeubles vont se remplir plus rapidement que ceux qui sont âgés ou qui ont besoin d’investissements. […] On observe certains immeubles de classe B qui ont des taux de vacance au-dessus de 50 % », dit M. Cervantes en entrevue.
La classification des immeubles de bureaux prend en considération différents facteurs tels que l’emplacement, la qualité du bâtiment et ses équipements. Les espaces de catégorie A sont considérés comme haut de gamme notamment pour leur excellente accessibilité et leur forte visibilité sur le marché.
Une meilleure expérience recherchée
M. Cervantes mentionne que les sociétés ne recherchent plus seulement la qualité, mais aussi une « expérience » à l’intérieur des lieux. Des propriétaires d’immeubles vont réaliser d’importants investissements, entre autres pour l’animation du rez-de-chaussée, la conciergerie et les services alimentaires, indique-t-il.
Les locataires sont de plus en plus exigeants. Ils vont choisir de plus en plus des environnements de meilleure qualité assurément, mais aussi les propriétaires qui offrent une meilleure expérience.
David Cervantes, vice-président exécutif chez CBRE
Le projet de réaménagement du 600, rue de La Gauchetière Ouest par Kevric est un exemple d’investissement visant à améliorer les espaces en vue de rejoindre une clientèle qui recherche du plus haut de gamme, avance M. Cervantes.
PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE
Le 600, rue de La Gauchetière
La corporation immobilière a réussi à attirer le siège social du CN, qui occupera les 18 premiers étages de l’édifice du Quartier International de Montréal d’ici 2028.
Dans un communiqué daté du 9 mai, qui annonce la venue de la compagnie ferroviaire, il est indiqué que « le réaménagement complet de la tour offrira un environnement de travail de nouvelle génération à ses occupants ».
Le taux d’occupation de l’immeuble était à plus de 80 % en date de la publication du communiqué. Seuls les cinq étages situés au sommet de l’immeuble étaient encore disponibles.
Taux d’inoccupation global
Selon le rapport de CBRE, le taux d’inoccupation global au centre-ville de Montréal était à 17,4 % au deuxième trimestre, contre 17,7 % au trimestre précédent. Il affiche le troisième meilleur taux devant Toronto (18,1 %), mais derrière Ottawa (14 %) et Vancouver (10,8 %).
Historiquement, la métropole québécoise a toujours eu un taux de disponibilité moyen au-dessus de 10 %, pendant que Toronto et Vancouver étaient à des niveaux plus bas, fait remarquer M. Cervantes.
« C’est une différence moins dramatique que ce qu’on observe présentement à Toronto qui était avant la pandémie à moins de 5 % de taux vacance », soutient-il.
Le centre-ville de Montréal a affiché une absorption nette au deuxième trimestre positive de 1,2 million de pieds carrés. L’ajout des espaces entièrement loués de la Banque Nationale, aux 700 et 800, rue Saint-Jacques, a contribué à ce chiffre, indique M. Cervantes.
Je ne sais pas si c’est le bon fil de discussion, mais j’imagine qu’un projet pourrait venir remplacer le môtel dans le futur
Un message a été fusionné à un sujet existant : Édifice du Canal - 6 étages (2021)
Juste un PSA si des gens veulent suivre l’actualité des bureaux commerciaux et des entreprises qui s’installent au centre-ville.
Les permis de transformation dans Ville-Marie comprennent les modifications de bureaux et identifient les locataires.
Des exemples des derniers jours:
1015 rue Saint-Alexandre
Au 3e étage, réaménager la suite #310 pour les bureaux de « Avantage Plus » d’une superficie de ±1048m². Tel que plans approuvés.
1600 avenue McGill College
Au 12e étage, suite 1200, réaménager les bureaux de la Banque Scotia, tel que documents approuvés.
1000 rue De La Gauchetière Ouest
Au niveau mezzanine, réaménager les suites MZ150 et MZ300 pour les bureaux de BLG tels qu’aux plans approuvés.
Si ça intéresse quelqu’un de suivre les compagnies et l’espace occupé au centre-ville, c’est une belle ressource à consulter, mise à jour les jeudis.
Données intéressantes du communiqué de presse des résultats de Allied properties sortis hier:
Colliers’ Workplace Activity Tracker places utilization in early June of 2024 compared to November of 2019 at 66% for Downtown Montréal, 84% for Downtown Toronto, 81% for Downtown Calgary and 70% for Downtown Vancouver.
Les difficultés du marché des immeubles de bureaux ont continué de peser lourd dans le rendement global de la Caisse de dépôt et placement durant la première moitié de son exercice 2024.
Résumé
Bilan semestriel de la Caisse de dépôt L’immobilier toujours un boulet
PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE
La Caisse possède notamment Place Ville Marie, à Montréal
Les difficultés du marché des immeubles de bureaux ont continué de peser lourd dans le rendement global de la Caisse de dépôt et placement durant la première moitié de son exercice 2024.
Publié à 1h13 Mis à jour à 6h00
Par conséquent, le portefeuille immobilier de la Caisse, qui compte pour 11 % de tout son actif net, affiche un rendement négatif de 3,6 % durant les six premiers mois de l’année.
Et ce rendement négatif se situe encore sous le rendement légèrement négatif de 0,9 % de son indice de référence en immobilier.
« Les défis de l’industrie immobilière des dernières années se sont poursuivis au premier semestre, en raison notamment des difficultés du secteur des bureaux et de l’environnement de taux d’intérêt élevés qui pèse sur le coût de financement », indique la Caisse dans son rapport de mi-année 2024, divulgué mercredi.
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Le PDG de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Charles Emond
L’immobilier est un secteur qui demeure en profonde transformation.
Charles Emond, PDG de la Caisse de dépôt et placement du Québec
« C’est le reflet entre autres des difficultés du secteur des bureaux. Depuis la pandémie, les habitudes de travail [au bureau et en télétravail] ont changé. Le secteur n’a pas repris son niveau d’avant la pandémie, notamment en Amérique du Nord. »
En revanche, Charles Emond a souligné que les changements apportés depuis quatre ans dans la gestion et la composition du portefeuille immobilier de la Caisse avaient « vraiment donné des résultats » en réduisant l’écart négatif de rendement par rapport à l’indice de référence.
« On a entrepris un “pivot” [en immobilier] depuis 2020. On a acheté plus dans [les secteurs de] la logistique et du résidentiel, qui sont porteurs en rendement, a expliqué le président de la Caisse.
« En contrepartie, on a baissé notre exposition [pondération] du côté des bureaux et des centres commerciaux, qui ont eu des vents de face durant et depuis la pandémie. »
Des « résultats »
Rendu à la mi-année 2024, on constate que « ces changements ont vraiment donné des résultats », selon Charles Emond.
« Notre écart [de rendement en immobilier] par rapport à l’indice de référence, sur cinq ans, s’est réduit de près de 300 points de base [3 points de pourcentage] en quatre ans. Donc, on est sur la bonne voie », a soutenu le président de la Caisse.
Mais pour la suite, a-t-il admis, « c’est important de rester actifs avec notre portefeuille en immobilier. Nous continuons de réviser ce qui fonctionne par rapport à ce qui doit être repensé afin de répondre aux besoins d’un marché qui est très différent de ce qu’il était il n’y a pas si longtemps ».
Par ailleurs, c’est aussi durant le premier semestre de 2024 que la Caisse a mis en œuvre la restructuration de ses filiales immobilières, Ivanhoé Cambridge et Otéra Capital, afin de les intégrer dans sa structure de gestion.
Selon la Caisse, cette intégration qui devrait se conclure en début d’année 2026 lui permettra de réaliser des économies annuelles d’environ 100 millions en frais de gestion et d’exploitation.
L’immobilier à la Caisse de dépôt
- 45,6 milliards en actif net
- 11 % du portefeuille global de la Caisse
- investis dans plus de 1500 immeubles
Au 31 décembre 2023, d’après les plus récents chiffres divulgués par la Caisse de dépôt
Il y a un espace dans le 1000 DLG qui présente une mini-exposition sur un projet de rénovation du hall d’entrée et du secteur de la patinoire. C’est très embryonnaire. Il semble que le groupe Petra a acquis le 1000 DLG en 2021. La maquette a subi le traitement “Complexe Desjardins”
Article sur les investissements faits dans 4 hôtels de Montréal :
- Honeyrose
- Vogue
- Sofitel
- Centre Sheraton
Je ne sais pas dans quel sujet mettre cela, mais j’ai trouvé une liste des immeubles mis en vente par la ville de Montréal pour défaut de paiement de taxes:
Ça fait énormément de propriétés saisies!
D’après mes lectures, les dettes de la plupart de ces propriétés seront payées juste à temps; après tout, l’extrême majorité des dettes se solde dans les 4 chiffres, donc c’est 2-3 ans de retard de paiement; pas la catastrophe.
Ceci dit, certains montants sont énormes: on parle dans les 6 chiffres.
Pas pour lancer des ragots, mais Guzzo doit 216k$ sur son cinéma de Lacordaire…
Mais c’est très peu en compaison du record:
1 043 506$ de taxes non payées pour le bâtiment au 1223-1243 Sainte-Catherine O!
UN CA**** DE MILLION!
Ça empire: le bâtiment appartient à La Compagnie d’investissement Les Cours du Roi, géré par un certain Atef H. Ajjaoui.
AND I SHIT YOU NOT, son nom apparaît dans les Panama Papers (voir offshoreleaks.icij.org)
Bref.
Si la ville est intelligente (LOL), elle pourrait conserver certains de ces immeubles pour en faire du logement abordable.
Ou bedon, prenez une chance financière pis scorez un bloc à rabais!
!!
C’est l’immeuble qui a une façade commerciale entièrement vide depuis des années et des années (Canada college). Cet été, toute la façade a été recouverte, je me demande vraiment ce qui se passe. Si le propriétaire a changé ou peut-être des rénovations ? Je comprends que ce n’est pas facile de conserver des locataires sur Ste-Catherine, mais 6-7 espaces commerciaux entièrement vides avec zéro locataire pendant des années, ils n’essaient même pas.
Surtout pas avec 1M$ de dettes envers la ville.
Ça devient de plus en plus urgent d’imposer une taxe sur l’inoccupation commerciale.
Je pensais que la ville devait, selon la loi, enchérir jusqu’à un maximum des taxes dues + créances plus importantes que les taxes pour acquérir un édifice mis en vente pour taxes impayées.
Donc qu’elle ne peut pas “conserver” un terrain. Elle doit gagner l’encan en offrant ce montant.
Est-ce une interprétation erronée ? Je ne suis pas un expert.