Immeubles patrimoniaux (restauration, démolition, façadisme) - Discussion

Il est très mal intégré au hall, la lumière n’est pas appropriée, il est constamment entouré de décoration excessivement moche et la piètre qualité architecturale des travaux de rénovation et des matériaux nuisent fortement à son appréciation sur les lieux.

Le tableau est superbe, mais je ne suis absolument pas d’accord qu’il convienne à cet endroit. Son intégration est nulle. L’endroit a été trop édulcoré et banalisé et appauvri.

Sans parler de la perte du terrazzo, des portes du sas, sans parler des mauvais alignements des nouveaux revêtements sur la portion avant, sans parler des transformations des corridors communs aux étages - avec carpette et abus du gris anthracite. Bref. Une transformation en tout point enrageante.

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PVI, il y a une visite guidée du poste de ventillation du métro dans la vieille maison sur la rue Towers

Visite Entretien - Poste de ventilation mécanique Towers_-NPcvvbwzIpXnZFda0rx_

C’est organisée par Héritage Montréal

https://heritagemontreal.tuxedobillet.com/main/visite-entretien-poste-de-ventilation-mecanique-towers

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Un désastre cette transformation du Sternthal. Chaque fois que j’allais dans cet immeuble, je me réjouissais de l’état remarquable de préservation du lobby. Et je redoutais une rénovation comme celle que je vois maintenant. Déplorable.

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Je n’ai pas de photo du avant.

Mais les étages “rénovés” on maintenant l’air de ceci…
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2 messages ont été fusionnés à un sujet existant : Le 1420 Boulevard Mont-Royal (Outremont sur la montagne) - 9 étages

Ils sont allé avec le style Dentiste-revival, intéressant…

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Les Forges de Montréal deviendront propriétaires de l’ancienne station de pompage Riverside

Après des mois de pourparlers, la SIC, la Ville et les Forges ont convenu d’une entente en vertu de laquelle le bâtiment de la rue Riverside et le terrain sur lequel il se trouve seront cédés à l’OBNL pour un dollar.

L’organisme s’engage notamment à investir trois millions de dollars dans un délai de cinq ans pour la restauration patrimoniale du bâtiment.

De son côté, la Ville procédera à des travaux pour déplacer la rue Riverside plus au nord afin de permettre l’agrandissement du bâtiment des Forges et la construction d’un musée et de locaux pour un projet pédagogique.

Les Forges pourront faire leurs demandes de permis et lancer les appels d’offres pour aménager, sur trois étages, le centre d’interprétation et construire une passerelle qui traversera le bâtiment.

À terme, les Forges comptent faire des investissements de 6,5 millions. Mathieu Collette espère pouvoir procéder à l’inauguration des nouveaux espaces à la fin de 2026.

Je trouve cette nouvelle très intéressante! J’avais justement regardé les différentes formations qu’il offre pour une activité dispendieuse, mais unique!

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L’édifice dont j’avais déjà parlé au coin Saint-Viateur et Parc, dont le revêtement était dangereux, continue d’être rénové. Et je souligne la qualité du passage piéton propre et large, ce qui devrait être une norme:


Encore sur Saint-Viateur, l’ancien dépanneur au coin de Clark subit aussi de gros travaux. L’intérieur a été complètement refait de ce que j’ai pu voir (planchers, plafonds, murs…), et maintenant ça s’active beaucoup pour l’extérieur:

On peut remarquer de nouvelles ouvertures au rez-de-chaussée, par rapport à la situation avant (image de Google Maps):

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La succursale de la TD restaurée coin Sainte-Catherine et Guy.

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Le choix du noir lui donne vraiment de la gueule! :star_struck:

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Deux autres photos, cette fois sous le soleil.

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Je viens juste de remarquer la frise en métal, qui n’était plus là avant. Vraiment une des meilleures restorations depuis un certain temps. En espérant qu’il va en avoir d’autre dans le secteur.

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Il manque juste un powerwash à la fin

One of the most beautiful buildings in the city (excluding old Montreal), I cant wait to see what the final results!

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Everytime I see this superb building, it reminds me of Wall Street.

Sameee

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Ça avance vite sur l’édifice au coin de Saint-Viateur et Clark, qui subit une belle rénovation.

Le futur magasin semble déjà partiellement installé à l’intérieur, il semblerait que ce soit du linge et soulier, de ce qu’on voit par les fenêtres. Le magasin s’étend assez loin vers l’arrière, tout le long des nouvelles fenêtres du rez-de-chaussée.

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Un premier appel à projet sera lancé pour l’ancien hôtel de ville de l’ancienne ville de Côte-Saint-Paul

L’immeuble sera vendu au prix symbolique de 1$ par la Ville de Montréal à l’organisme ou l’entreprise retenu

C’est dans le cadre du programme IMPACTE (Initiative montréalaise en vue de la Protection, l’Amélioration et la Conversion des immeubles patrimoniaux excédentaires dans un contexte d’excellence en Transition Écologique) par lequel la Ville veut se départir de ses bâtiments excédendaires.

L’appel à projet sera publié sur seao.ca

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UNEQ | Non aux cotisations, oui à la vente de la Maison


PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE
La Maison des écrivains, avenue Laval, à Montréal

La date du 29 mars 2023 en sera une historique pour le milieu littéraire québécois, alors qu’une courte majorité de membres votants de l’Union des écrivaines et des écrivains du Québec (UNEQ) se sont prononcés contre le prélèvement de cotisations syndicales, mais en faveur de la vente de la Maison des écrivains.

Publié à 8h00
Charles-Éric Blais-Poulin
LA PRESSE

Grâce aux prélèvements controversés, l’association souhaitait remplir un rôle éminemment syndical, avec comme mandat premier de négocier des ententes collectives avec les éditeurs, comme le prévoit la nouvelle Loi sur le statut de l’artiste.

Vers 17 h 30, plus de 550 membres étaient réunis sur Zoom, « du jamais-vu » pour une assemblée de l’UNEQ. Les deux questions épineuses ont été soumises au vote tard mercredi. Problèmes techniques, cacophonie, impatience : les échanges, auxquels La Presse a pu assister en partie, ont été pour le moins agités, les mots « garderie » et « capharnaüm » ayant été prononcés à quelques reprises.

Les cotisations proposées par l’UNEQ, soit 2,5 % des revenus pour les membres et 5 % pour les non-membres, alimentent une controverse depuis le mois de décembre dernier. En début d’assemblée, le directeur général, Laurent Dubois, a longuement argué que cette nouvelle source de revenus était vitale pour mener à bien les négociations et pallier un « déficit structurel », financé par des réserves qui fondent d’année en année.

Les membres, dans une proportion de 56 % (248), ont rejeté la proposition de cotisations, alors que 40 % (178) y ont adhéré. Ce choix démocratique renverse le résultat d’une assemblée tenue en juin dernier, annulé en raison d’une « erreur de procédure ».

Maison des écrivains à vendre

Au terme d’une seconde proposition, le conseil d’administration a reçu le mandat de vendre la Maison des écrivains. La lutte a été féroce : 189 membres ont voté pour tandis que 175 s’y sont opposés. Selon un amendement, l’UNEQ devra toutefois observer un moratoire de 18 mois afin que « les personnes et groupes intéressés [aient] la possibilité de déposer des projets d’acquisition ayant pour mission de promouvoir la littérature ou le métier d’écrivaine et d’écrivain ».

Le vote sur la vente s’est tenu sans aucun débat en raison d’une « question préalable » rapide. L’UNEQ a fait du déménagement de son siège social, carré Saint-Louis, l’un des « points marquants » de son plan d’action 2023-2025, une décision qui a déclenché une levée de boucliers dans le milieu littéraire.

La patience à rude épreuve

Au cours de la soirée, des micros négligemment ouverts permettaient d’entendre de nombreux grognements et jurons parmi les centaines de membres inscrits.

Au gré des interventions, quelques participants ont contesté le choix du syndicaliste Jacques Létourneau, ancien président de la CSN, pour mener l’assemblée, alors que l’UNEQ n’exclut pas de s’affilier à la centrale syndicale. D’autres auraient souhaité que Suzanne Aubry soit davantage entendue au micro en sa qualité de présidente. C’est plutôt le directeur général Laurent Dubois qui répondait aux questions.

La firme de sondage mandatée par l’UNEQ, SimpleSondage, en a aussi pris pour son rhume. De nombreuses erreurs de connexion ont miné le rythme de l’assemblée, au grand désarroi d’un président dont la patience a été saluée à plusieurs reprises. C’est peut-être le message d’erreur « 504 gateway time-out » qui, au final, aura été le plus débattu.

Il reste à savoir comment l’UNEQ pourra remplir sa mission syndicale sans cotisations de ses membres. À 23 h 50 mercredi, la fin de l’assemblée ne signifiait en rien la fin des débats.

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