J’aime bien les terrasses, mais certains restaurants abusent en bloquant même le peu de passage qui reste. En fauteuil roulant, c’est impossible de passer, à moins d’emprunter la voie cyclable.
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Pour les panneaux sandwich qui entravent les trottoirs, je n’hésite pas à les déplacer. J’ai déjà tagguer le proprio d’un commerce sur Facebook pour lui dire de ne pas entraver le trottoir. Maintenant, sea panneaux sandwich ne sont plus placés dans le corridor de circulation du trottoir
Sinon, dans le Sud-Ouest, les commerçants ne peuvent pas occuper les trottoirs (ou ailleurs sur le domaine public) avec de la publicité que ce soit des oriflammes ou des panneaux. Je les signale au 311.
Mais le pire sur Peel était l’India Rosa qui gardait la porte de sortie secondaire ouverte pour faciliter le service aux tables de la terrasse. Ceci réduisait l’espace sur le trottoir pour passer entre la terrasse et le bâtiment. Je devais quasiment passer de côté. 
J’ai signalé au 311 et la porte reste fermé depuis
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La servitude ne concerne pas la terrasse supérieure annexée au Bodeca; seulement la partie inférieure, d’où la différence entre les deux ensembles de mobilier
Le Baristello ouvre vendredi 1er août selon leur publication Instagram
Il n’y aura probablement pas un grand changement de décor entre la fermture du Bodega aujourd’hui et l’ouverture vendredi 
Baristello Griffintown ouvre ses portes ce vendredi 1er août — prêts à découvrir votre nouveau QG caféiné?
Baristello Griffintown opens Friday, August 1st — ready to meet your new coffee HQ?
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Il faudrait aussi, selon moi, se demander pourquoi on autorise une terrasse à empiètement sur le domaine public aussi large, nonobstant la pancarte. Réduire de quelques pieds la terrasse (qui est déjà immense) permettrait une fluidité de mouvement des piétons et personnes à mobilité réduite pas mal plus agréable sur le trottoir. Le même enjeu est présent sur la rue McGill dans le Vieux-Montréal où certaines terrasses permises réduisent la voie piétonne à peau de chagrin, notamment devant le Five Guys et le café Structure.
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C’est une probablement une question monétaire pour la ville, plus de pied carrés sur une terrasse, plus de $$. On a que techniquement la largeur minimale par le code et les pompiers à conserver sur le trottoir.
Même si c’est interdit d’avoir quoi que ce soit dans cette zone, dans la pratique, c’est juste difficile à contrôler vue que ce sont des éléments mobiles
Je dirais que les commerçants en sont aussi ravis: plus de pieds carrés, plus de tables, plus d’argent.
D’ailleurs, on a vu aussi comment tout le monde tombe sur la tomate de la ville quand elle demande aux pauvres commerçants de tasser leur petite pancarte sandwich qui bloque trop le trottoir…
Bref, l’indignation dépend de la situation. 
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Pas vraiment. Ce sont des revenus marginaux pour les arrondissements. Il y a plutôt une volonté d’aider nos restaurateurs et d’animer la rue. Ça n’entre pas dans les considérations (à Verdun du moins).
De mémoire, à Verdun ça représente 40 000$ sur un budget de 42M$. Et des fonctionnaires sont payés pour faire l’analyse des demandes, et des inspecteurs pour faire les suivis des installations : c’est loin d’être une vache à lait.
Mais le passage doit avoir une largeur minimale à peu près équivalente à celle d’un trottoir normal. Dans notre cas c’est 1.8m qui doit être dégagé. Mais ça peut varier selon les arrondissements.
Voici un extrait du guide d’aménagement des terrasses de Verdun :
On peut trouver le guide complet ici
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Je ne savais pas que la dimension de la terrasse amenait un revenu proportionnel à la ville, merci de l’information. Je comprends mieux maintenant pourquoi on limite la voie du trottoir au simple minimum requis par le code, plutôt que d’offrir un dégagement plus aéré aux utilisateurs piétons de la voie publique.
Le 1.8m de dégagement qui est demandé, c’est plus large que les trottoirs standards montréalais, qui font 1.5m. C’est plus que le “simple minimum requis par le code”.
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Et clairement, la raison n’est pas vraiment les revenus de l’arrondissement (une théorie qui était intéressante à explorer), quand on sait maintenant ce que ça rapporte: pratiquement rien.
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Dans le Sud-Ouest, le corridor piéton doit avoir une largeur minimale de 1,8 m
Le prix du permis d’occupation dépend de l’emplacement de la terrasse et de la superficie : trottoir ou chaussée/places de stationnement, ou un mixte des deux.
Café-terrasse standard : Installation à ciel ouvert pouvant disposer de mobilier permettant d’exploiter une aire extérieure de consommation d’aliments et de boissons alcoolisés par un établissement de type restaurant, traiteur ou débit de boissons alcooliques au sens du règlement d’urbanisme.
Placottoir : Installation réalisée sur le domaine public par un établissement commercial, un organisme ou une institution où il est strictement interdit de faire de la vente et du service. Le placottoir doit rester en tout temps accessible à tous.
Les trois nouveaux types de terrasses commerciales désormais autorisés sont :
- café-terrasse commun : installation à ciel ouvert, adjacente à un ou plusieurs bâtiments ou séparée par un corridor piéton desservant plusieurs restaurants ou débits de boissons alcoolisés adjacents, dont l’aire est destinée à la consommation d’aliments et d’alcool, et où peut être disposé du mobilier extérieur tel que des chaises, bancs, banquettes, sofas d’extérieurs et tables pour les consommateurs.
- café-terrasse « de type 3 tables/12 chaises » : installation à ciel ouvert, adjacente à un ou plusieurs bâtiments ou séparée par un corridor piéton desservant un restaurant, une épicerie ou un traiteur, dont l’aire est destinée exclusivement à la consommation d’aliments, et composée d’un mobilier extérieur amovible se limitant à au plus 3 tables et 12 places assises.
- terrasse mutualisée : installation extérieure accessible au public et installée à proximité de commerces, où la consommation d’aliments et d’alcool est autorisée, mais dont l’aire n’est pas destinée à la vente ou au service de produits de consommation.
Tarifs
Les tarifs sont fixés sur la base de 365 jours et facturés pour une occupation complète de la période saisonnière, soit 229 jours.
Les frais ne sont pas remboursables.
Type de frais Montant (taxes comprises) Études techniques 695 $ Occupation périodique du trottoir 64 $ par mètre carré Occupation périodique de la chaussée 240 $ par mètre carré Occupation périodique du trottoir et de la chaussée (mixte) 158 $ par mètre carré
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Même sans la pancarte sandwich, Zibo n’a pas 1.8, c’est clair qu’il est en infraction!
il faut écrire à l’arrondissement dans ce cas pour qu’un inspecteur ou une inspectrice du cadre bâti aille constater → le-sud-ouest@311.montreal.ca
Ça fait penser aux terrasses des Soubois et Campo sur de Maisonneuve (entre Peel et Stanley). Le passage est grandement réduit, il faut faire attention aux marches qui empiètent et lors d’événements au Soubois, il faut carrément contourner par la piste cyclable car le minuscule trottoir est bloqué.
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Je suis bien au fait de cela. Cependant qu’est-ce qui explique que la servitude ne soit pas accessible? N’y a-t-il pas de vérifications faites de la part de l’arrondissement?
Qu’est-ce que ça prend pour faire changer les choses? De toute évidence ce ne sont ni les promoteurs, ni les élus qui prennent les actions nécessaires. D’autant plus qu’il s’agit, je le rappelle, d’un espace publique. À qui incombe la responsabilité alors? Serait-ce le CCU qui est déficient en ce sens? A-t-il les pouvoirs nécessaires? Est-ce que ce sont les règlements qui ne sont pas adéquats? Tant de questions, si peu de réponses…
Ils ne prennent même plus la peine de mettre une photo d’une vraie tasse de café. J’ai horreur du pour-emporter. Le monde ont perdu le plaisir de s’assoir et prendre un café dans une vraie tasse, dans un café. Le pire, c’est le monde qui commande pour emporter et qui boivent le café sur place. Sans parler du carton qui affecte le goût du café…
Vraiment, ça et les complotistes, c’est les 2 pires conséquences de la pandémie. :-)))
C’était mon statement sur le café de la journée :-))
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Il faudrait demander de voir les plans approuvés de la terrasse supérieure en écrivant au greffe de l’arrondissement; ceux qui sont fournis pour la demande de permis de construction, pas ceux des PIIA que le CCU ont vus.
Si ces plans n’ont pas été respectés, l’arrondissement peut demander au promoteur de refaire la terrasse
Sinon, une servitude reste une propriété privée. La Ville ne peut pas intervenir sauf si les plans fournis ne sont pas respectés
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