Extrait de l’article :
Même ce qu’on dit non recyclable depuis des années, comme les sacs de croustilles, les pellicules de plastique qui recouvrent certains aliments ou les pots de yogourt individuels, ira dans le bac.
L’application " Ça va où ? " devra être mise à jour… (https://cavaouwebapp.recyc-quebec.gouv.qc.ca/)
Les «gobeuses nouvelle génération» installées au nouveau centre de récupération sur le boulevard Henri-Bourassa Ouest, à l’angle de la rue Meilleur, peuvent effectivement broyer les contenants de verre, mais pas les bouteilles de vin. Il faudra attendre 2027, a minima, pour que celles-ci soient acceptées. Le Journal des voisins est allé aux informations.
Comment ça marche?
Le nouveau centre de récupération Consignaction situé à côté de la SAQ offre deux services. Le premier ressemble à celui déjà présent dans les grandes surfaces : des «gobeuses» remettant un coupon à échanger contre de l’argent. Si vous téléchargez l’application de Consignaction, vous aurez aussi l’option de faire créditer votre compte et un virement Interac vous sera envoyé lorsque vos retours totaliseront 25$.
Article dans Le Devoir sur les façons de revaloriser la neige des rues ailleurs dans le monde
Au Québec, où l’hiver est aussi inéluctable que la mort et l’impôt, les villes déneigent à grands frais des quantités astronomiques de flocons, qu’elles abandonnent aussitôt dans les égouts ou dans les dépôts municipaux. La neige, administrée en nuisance sous nos latitudes, est plutôt perçue comme une ressource ailleurs dans le monde, capable de climatiser des aéroports en Norvège ou des hôpitaux en Suède — et même de produire de l’électricité au Japon. Tour d’horizon de différentes initiatives qui pourraient aider le Québec à valoriser son or blanc.
La Scandinavie et le Japon ont adapté aux temps modernes l’idée centenaire des blocs de glace québécois. Depuis 2010, l’aéroport d’Hokkaido, au Japon, refroidit ses terminaux grâce à la neige qui tombe en abondance sur la région, une initiative qui a permis de réduire ses émissions de CO2 de 2100 tonnes chaque année.
La Norvège lui a emboîté le pas en 2017 quand l’aéroport d’Oslo a commencé à climatiser un terminal dont la superficie atteint 120 000 m2, soit 75 patinoires de hockey nord-américaines, uniquement avec un amas de neige entreposé dans un trou et recouvert de copeaux de bois pour le protéger du soleil.
Jamais à court d’inventions, le Japon a développé, dans les laboratoires de l’Université d’électro-communication de Tokyo, une manière de produire de l’électricité à partir de la neige. Le système conçu par l’ingénieur mécanique Koji Enoki repose sur la rencontre entre un courant d’air froid issu d’un amoncellement de neige et un courant d’air chaud tiré d’une source extérieure. Le choc des deux crée une convection thermique capable d’activer une turbine.
Le commerce est fermé la journée de la collecte
Exaspérée, cette commerçante de Montréal transporte ses déchets à Laval chaque semaine
Le salon d’esthétique Version Beauté a pignon sur rue depuis 32 ans sur la rue Lajeunesse, dans l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville. Pendant tout ce temps, la propriétaire a laissé ses déchets à la rue pour la collecte à Montréal, comme n’importe qui d’autre. Ce temps semble révolu pour elle…
Chantale Chartrand apporte maintenant les sacs à vidanges de son commerce chez elle à Laval le samedi, alors que la Ville effectuait auparavant deux collectes par semaine. Mais voilà que les camions ne passent qu’une fois par semaine, le lundi, jour où ses portes sont fermées.
«Ils ne veulent pas qu’on sorte nos déchets avant le dimanche soir à 19h», explique Mme Chartrand au micro de Noovo Info. Elle dit que son propriétaire a déposé ses sacs samedi en partant et a reçu une contravention de près de 500$.
C’est l’usine Owens-Illinois de Pointe-Saint-Charles
Une autre hesitation de la CAQ qui se rajoute a leur palmares.
Pas possible comment ils ne se rende pas compte de leur incapacité a mener a terme quelquonque projet.
C’est simple viarge , mettez des cloche de recuperation de verre un peu partout au coin des rues.
Le bac bleu c’est nul comme mode de recuperation.
A trop vouloir bien faire on fait rien.
Comme l’usine est à Pointe-Saint-Charles, elle est aussi membre de la Société de développement commercial du quartier
Le directeur général de la SDC m’avait dit que la SDC et la direction de l’usine travaillaient à un projet de récupération du verre du quartier.
L’ancienne Dominion Glass de mon enfance sur la rue Wellington au bout de la rue Charlevoix, où j’ai travaillé quelques jours seulement à l’été 67 à l’âge de 16 ans, au moment où j’ai compris que le travail en usine n’était vraiment pas pour moi. Toutefois cela m’a permis de développer une véritable empathie durable pour ces travailleurs qui trimaient dur pour gagner leur pain.
En Espagne ils ont meme installé des container de recyclage de verre service a l’auto.!
Du moins on doit penser a installer des cloches de recuperation dedié au types de matieres a recuperer. comme il font un peu partout a Madrid. Recycler en aval avec le bac bleu ca ne fonctionne pas. Tout meler ca rend cela presque irrecuperable. Ca prend souvent le chemin de l’enfouissement. En plus je suis convaincu que cela reviendrai moins cher que de recuperer de porte a porte.
Il y a deux sites de récupération du verre à Ahuntsic-Cartierville, fruits du premier budget participatif de l’arrondissement
- SAQ Dépôt du Marché central
- Place Fleury
Je crois que ce sont les seuls. Je n’ai pas entendu qu’il y en avait dans d’autres arrondissements.
Peut-être Saint-Laurent ?
C’est un bon début mais ce n’est vraiment pas assez. A Lasalle par exemple je mettrai un container de recyclage de verre au carrefour Angrignon pres de la foire alimentaire.
Meme chose a la place cote vertu.
Je crois sincerement que le bac bleu est voué a l’echec.
On devrai suivre l’exemple des japonais avec le recyclage en amont. (les citoyens sont responsable du triage des matieres. On les éduque en plus la dessus. Peut etre pas necessaire d’aller vers ce niveau mais disont que ca peut nous conscientisé a certains moyens de faire.
Avant les bacs individuels de recyclage, il y avait à plusieurs endroits (surtout en banlieue) des cloches de récupération du verre et autres matières séparées. Puis ces cloches ont semblé disparaitre du paysage urbain.
Maintenant avec la confusion et l’absence de directives claires de la CAQ avec l’abandon du projet de consigne à court terme, on met en péril le recyclage du verre et la perte d’une matière première importante pour la qualité de environnement.
L’implantation de la collecte des déchets toutes les deux semaines dans Mercier–Hochelaga-Maisonneuve (MHM) ne passe pas comme une lettre à la poste. Pourtant, cette mesure, qui vise à réduire la quantité d’ordures acheminée vers les sites d’enfouissement, est en place dans de nombreuses municipalités au Québec et au Canada. La Ville de Montréal entend d’ailleurs l’étendre à d’autres arrondissements dans les prochaines années. Tôt ou tard, tous les Montréalais devront s’y faire.
Depuis le 1er janvier, l’organisme Éco Entreprises Québec est responsable de la gestion du système de collecte sélective et de son financement, selon le principe de la responsabilité élargie des producteurs.
Les entreprises sont facturées selon le volume d’emballages mis sur le marché et les fonds sont réinvestis dans leur collecte et dans leur recyclage.
En avril 2024, Éco Entreprises Québec avait prévenu les entreprises qu’elles devraient se préparer à une augmentation des tarifs de l’ordre de 42,5 %.
Le CTAQ demande d’abord un moratoire sur les sommes facturées, dont le premier versement doit normalement être acquitté pour le 31 janvier, et que le gouvernement Legault ouvre une enquête administrative sur Éco Entreprises Québec.
Le projet d’usine de bioéthanol Recyclage Carbone Varennes fait face à des dépassements de coûts de près de 200 millions de dollars, a appris Le Devoir. La mise en service de l’usine est aussi retardée de quelques mois. En cause : le chantier de la bioraffinerie est temporairement paralysé, à cause d’un changement d’entrepreneur général.
À terme, Recyclage Carbone Varennes doit devenir la première usine à transformer des déchets en biométhanol au Canada et la plus importante usine d’hydrogène vert au Québec. En juin dernier, les dirigeants de l’entreprise avaient ouvert en grande pompe les portes du chantier situé aux abords du fleuve Saint-Laurent pour souligner son passage dans en phase intensive.
Or, la construction coûte finalement plus cher que prévu. « Le coût anticipé du projet passe de 1,3 milliard de dollars à 1,49 milliard », a confirmé l’entreprise au Devoir, par l’entremise de la firme de relations publiques TACT. Les dépassements de coûts s’expliquent « notamment par l’inflation et des perturbations de la chaîne d’approvisionnement ».