Gestion des matières résiduelles - Discussion générale

Journée de collecte des matières organiques en banlieue. Tout est tellement bien placé :sweat_smile:

Ces photos m’apporte un questionnement. Pourquoi plusieurs quartiers ont des bordures de bétons en bord de rue? Des rue qui descendent directement sur le gazon comme sur ces photos, il me semble que ça permet de capter de l’eau pluviale. En plus des parcs éponges, pourquoi ne pas retirer ces bordures pour diminuer la quantité d’eau qui se retrouve dans le réseau dégoût?
Exemple de bordures:

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Enquête du Devoir

Derrière les paillettes et l’inventivité scénique du Cirque du Soleil, un constat dérange : la confection des costumes génère des montagnes de déchets textiles, souvent voués à la destruction plutôt qu’au recyclage ou à la réutilisation.

Deux employées (dont l’une qui ne travaille plus pour le Cirque), qui ont demandé à rester anonymes pour ne pas nuire à leur carrière, ont témoigné au Devoir du gaspillage systématique dont elles ont été témoins au sein de l’atelier de costumes du Cirque du Soleil, situé à Montréal. Nous les nommerons ici Laurence et Carla.

Contacté par Le Devoir, le Cirque affirme être « conscient des défis liés à l’absence d’infrastructures de recyclage textile à grande échelle au Québec » et affirme avoir mis en place « une procédure rigoureuse pour maximiser la réutilisation des matières ».

L’entreprise rappelle que « la gestion responsable des textiles fait partie intégrante de [son] engagement en matière de développement durable ».

Sur le terrain, toutefois, la réalité paraît parfois plus contrastée. « Je me retrouvais avec quatre gros sacs poubelles pour trois petits costumes, c’était déchirant », se souvient Laurence, employée depuis plusieurs années dans les ateliers du Cirque, qui observait chaque jour que la quantité de retailles jetées dépassait largement celle des costumes fabriqués. « On ne parle pas de 2 grammes de plus, c’est comme six fois la quantité du costume en soi qui est jetée. »

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Dans l’article:

« On a proposé de créer un comité interne, de réfléchir à comment donner une seconde vie à ces tissus. La réponse a toujours été : “Oh, on a déjà essayé, ce n’est pas le bon timing. ” Il n’y avait pas vraiment d’ouverture »

Pourtant, on peut aller chercher de l’aide. On a du talent au Québec pour rendre les productions culturelles plus écologiques:

Quand l’écoresponsabilité devient une opportunité
La Tribune le 17 mars 2025

Peut-on le mettre dans le bac de récupération? Pas toujours. Voyez pourquoi.

Le polystyrène, parfois appelé styromousse, est un type de plastique. Il est connu pour sa légèreté et ses propriétés isolantes.

Type de polystyrène accepté

Une barquette de viande peut être déposée dans votre bac de récupération.

Vous pouvez déposer le polystyrène dans votre bac de récupération s’il constitue un emballage ou un contenant :

  • Barquette alimentaire, par exemple de viande ou de poisson
  • Gobelet de boisson chaude ou froide

Type de polystyrène refusé

Apportez le polystyrène de protection aux écocentres de LaSalle ou de Saint-Laurent.

Les emballages de protection, par exemple les morceaux blancs qui entourent un téléviseur neuf pour le protéger, ne doivent pas être déposés dans le bac de récupération.

Ce type de polystyrène est facile à reconnaître : il se défait en petites billes lorsqu’on le brise. Ces petites billes créent des problèmes au centre de tri.

Pour que ce polystyrène de protection soit quand même recyclé, vous pouvez l’apporter dans les écocentres de LaSalle ou de Saint-Laurent.

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Oops. J’ai regardé dans Ça va où? récemment et on m’a dirigé vers le bac de recyclage.

les barquettes pour la nourriture, c’est ok dans le bac de recyclage

mais pour le polystyrène utilisé pour protéger les appreils électroniques, il faut aller à l’éco-centre

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Je pensais qu’il fallait encore jeter les barquettes de viande… Une chose de moins dans la poubelle. Celle-ci se sent de moins en moins utile… Et c’est tant mieux.

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Avec la réforme, on peut mettre tous les contenants, imprimés et emballages dans le bacs de recyclage à l’exception des contenants aérosols et la mousse de polystyrène.

Même le sac de chips peut aller dans le bac de recyclage :slight_smile:

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Le gouvernement québécois pourrait s’inspirer de telles mesures, mais il a confirmé à La Presse ne rien avoir dans les cartons. Québec n’a d’ailleurs toujours pas déposé sa Stratégie de réduction et de gestion responsable des plastiques, promise pour 2024, et ignore quand elle le sera. Cette stratégie visera la réduction du plastique et la substitution des produits jetables par des produits plus durables.

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Message que j’ai publié sur Facebook et que je remets ici… désolé de radoter pour ceux qui l’ont déjà vu.

Je viens de jaser un bon 10 minutes avec un monsieur (probablement en situation d’itinérance) qui ramassait les contenants consignés.

Il m’a parlé de dépotoirs qui débordent, de gaspillage alimentaire, de gens qui jettent tout.

Ce gars, il a une conscience environnementale plus que 95% des gens que je connais.

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L’idée d’augmenter le prix de la consigne aura permis de récupérer beaucoup plus de matériel qu’avant, en plus d’aider financièrement ceux et celles qui ramassent les contenants au sol ou dans les bacs et poubelles pour les revendre. De mon côté j’ai beaucoup de respect pour ces personnes, car elles rendent un grand service environnemental à la société tout en s’aidant elles-mêmes.

reportage de CBC News

Are Montrealers actually using their compost bins?

By the end of 2025, all Montrealers will have a brown bin for compost. But according to a 2024 survey, only about half of the city’s population is using them, and even fewer know what can go in the bins.

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Un message a été fusionné à un sujet existant : Politique municipale - Ville de Montréal

L’Association évalue qu’en juillet seulement, 300 millions de contenants ont été traités par les détaillants. C’est énormément de volume, note le PDG. Certains magasins ont eu des augmentations dépassant les 100 %.

La hausse du mercure s’est notamment accompagnée d’une hausse de la consommation de liquide, propice à la consigne, analyse Pierre-Alexandre Blouin.

De plus, des machines brisées n’ont pas été réparées et des récupérations de contenants n’ont pu être assurées en raison de vacances.

Dans le bilan de mi-parcours de Montréal 2030, plan stratégique 2020-2030 de la Ville

En matière de gestion des déchets, le rapport souligne que Montréal a détourné de l’enfouissement 49 % des matières résiduelles, mais sans préciser que la cible était de 70 %.

Et si la collecte des résidus alimentaires est désormais implantée dans 93 % du secteur résidentiel, seulement 39 % des matières compostables se retrouvent dans le bac brun, selon le dernier bilan (nouvelle fenêtre).

L’administration municipale peut toutefois se targuer d’avoir été avant-gardiste au Québec dans la réduction des déchets de plastique et de papier en contrôlant le Publisac et en interdisant les plastiques à usage unique en restauration.

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Mais pourquoi la Ville de Montréal – a contrario de la Ville de Laval – n’interdit-elle pas l’utilisation de sacs de plastique dits compostables s’ils terminent leur vie au dépotoir? Et pourquoi inclut-elle ces sacs dans la liste des contenants acceptés?

« Tout simplement parce qu’elle veut favoriser la participation citoyenne », explique l’expert en gestion des déchets.

CBC Marketplace a aussi fait une enquête sur les contenants compostables

Plastic alternatives: Eco-friendly or eco-fiction? | Marketplace | Full episode

We all know single-use plastics can be a disaster for the planet — but what if their so-called ‘sustainable’ alternatives aren’t much better? Marketplace cuts through the greenwashing claims to expose the truth behind paper straws, compostable cups and compostable plastics. We follow the lifecycle of these products to uncover a troubling truth: Big companies have simply swapped one throwaway solution for another, all while keeping us hooked on the myth of guilt-free convenience. The cost? A heavier toll on the environment and on your wallet.

Read more: Here's what happens when 'compostable' products become litter | CBC News

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Quand le plastique a plus d’une vie

Par Marie-France Létourneau, collaboration spéciale

26 septembre 2025 à 04h12

Jonathan B.-Mailhot, responsable des ventes et achats, et Jean-Sébastien Hétu, copropriétaire et vice-président aux opérations, chez Plastiques DC et ÉnergiPlast. (Stéphane Champagne/La Voix de l’Est)

Il est partout et il a souvent mauvaise presse. Mais cela n’empêche pas le plastique d’être au cœur des activités de certaines entreprises qui veillent à valoriser cette matière critiquée et à lui donner une deuxième vie, ou encore à réduire son utilisation au quotidien. C’est entre autres le cas de Plastiques DC, à Waterloo, d’ÉnergiPlast, à Cowansville, et des Emballages PickPack, à Granby.

Leur travail est souvent méconnu. Par exemple, saviez-vous que 93 % des ballots de polyéthylène haute densité (plastique numéro 2) amassés, en 2024, dans les centres de tri québécois ont été dirigés vers les installations d’ÉnergiPlast? Et qu’ils ont été revalorisés pour entrer dans la fabrication de nouveaux produits?

«ÉnergiPlast est la plus grosse usine au Québec de lavage, de tri et de traitement de plastique numéro 2.»

— Jean-Sébastien Hétu, copropriétaire et vice-président aux opérations de l’entreprise.

Ce type de plastique est entre autres utilisé pour les contenants de détergents à lessive, ainsi que certains produits de beauté et alimentaires (bouteilles de lait, pots de crème glacée, etc.).



Qualifié de recycleur conditionneur, ÉnergiPlast achète notamment la matière à recycler d’Éco Entreprises Québec, responsable de la collecte sélective au Québec, et la transforme en flocons et en billes de plastique.

Une partie de la production d’ÉnergiPlast est utilisée par Plastiques DC à Waterloo, spécialisée pour sa part dans le recyclage du plastique post-industriel. Les deux entreprises appartiennent à deux anciens employés de Cascades qui ont roulé leur bosse dans l’industrie du plastique, Jean-Sébastien Hétu et Pierre Renaud.

Saviez-vous que 93 % des ballots de polyéthylène haute densité (plastique numéro 2) amassés en 2024 dans les centres de tri québécois ont été dirigés vers les installations d’ÉnergiPlast, à Cowansville? (Stéphane Champagne/La Voix de l’Est)

Selon M. Hétu, la résine produite par les deux PME trouve preneurs auprès de clients, canadiens et américains, qui l’utilisent pour la fabrication de drains et de tuyaux, dont des ponceaux, pour les infrastructures routières. À elles deux, les entreprises produisent 3 millions de kilos de matière recyclée par mois.

«Il y a d’autres recycleurs en Amérique du Nord, mais la qualité du produit qu’on fait nous permet de nous distinguer et de vendre jusque dans l’Ouest canadien et américain, dit le vice-président aux opérations. On a développé une expertise, surtout dans le secteur du drainage.»

Vierge ou recyclée?

Plastiques DC et ÉnergiPlast, qui comptent près de 40 employés, visent à diversifier leurs marchés. Mais le prix de la résine vierge, bref 100 % plastique, leur complique la tâche.

Résumé

«Notre défi, c’est d’être compétitif avec la résine vierge parce qu’il n’y a rien qui oblige les fabricants, de n’importe quel marché, à intégrer de la matière recyclée (dans la fabrication de produits)», explique Jean-Sébastien Hétu.



Selon ce dernier, le contexte économique fait d’ailleurs en sorte qu’il y a actuellement un surplus de production de matière vierge. Résultat: les prix sont bas et difficiles à compétitionner.

Les contenants de détergents à lessive, les pots de crème glacée et autres items de plastique numéro 2 sont transformés aux installations de Cowansville en billes et en flocons de plastique, qui sont par la suite utilisés dans la fabrication d’autres produits. (Stéphane Champagne/La Voix de l’Est)

«La seule chose qui nous permet de rester en affaires, c’est la qualité de notre produit, dit Jean-Sébastien Hétu. On le vend au même prix ou plus cher que la matière vierge. Ceux qui restent avec nous ont confiance en ce qu’on fait et veulent s’assurer de pouvoir s’approvisionner s’il y a, demain matin, une obligation minimale d’incorporer des produits recyclés.»

L’entrepreneur est d’ailleurs confiant que le vent pourrait tourner et favoriser un changement de règles. «L’économie circulaire est de plus en plus importante dans le développement des affaires, fait-il valoir. C’est certain que le marché est appelé à prendre de l’ampleur au fil du temps.»

C’est déjà le cas en Europe, où l’écoconception, c’est-à-dire une approche de conception qui vise à minimiser l’impact environnemental d’un produit, a de plus en plus la cote, souligne Jonathan B.-Mailhot, responsable des ventes et achats chez Plastiques DC et ÉnergiPlast.



Haro sur le plastique à usage unique

Jade Trépanier, cofondatrice des Emballages PickPack, à Granby, est bien au fait de cette préoccupation européenne pour l’écoconception. C’est sur le Vieux Continent qu’elle a eu l’idée de développer un emballage réutilisable – jusqu’à 50 fois — dédié au secteur du commerce en ligne, en forte hausse depuis la pandémie. Avec PickPack, exit les sacs à usage unique proposés par plusieurs transporteurs.

Cofondatrice des Emballages PickPack, Jade Trépanier a développé un emballage réutilisable dédié au secteur du commerce en ligne, en forte hausse depuis la pandémie. Exit les sacs à usage unique proposés par plusieurs transporteurs. (Stéphane Champagne/La Voix de l’Est)

«Quand le consommateur reçoit son colis à la maison, notre emballage est conçu pour se replier sur lui-même, explique l’entrepreneure. Une fois replié, il a un format lettre pour Postes Canada et peut être déposé dans une boîte postale. L’emballage revient ici, chez PickPack. On fait la manutention et la logistique inverse, c’est-à-dire qu’on réapprovisionne les entreprises qui utilisent nos emballages.»

En activité depuis quatre ans, la PME compte quelque 80 clients, dont Womance, Empire, Signélocal. La Fondation Véro et Louis a collaboré avec PickPack pour sa récente campagne de financement. Des démarches étaient également en cours pour intégrer d’importantes bannières au moment de l’entrevue.

Les consommateurs peuvent opter pour l’emballage écologique de PickPack, moyennant un léger coût supplémentaire variable, au moment de conclure leur transaction.

Selon Jade Trépanier, quelque 20 000 emballages de la PME granbyenne sont actuellement en circulation. Le taux de retour est d’environ 80 %. Une boîte recyclable et réutilisable — jusqu’à 30 fois — a été développée pour les cosmétiques, bijoux et autres accessoires mode.

Les emballages PickPack peuvent être réutilisés jusqu’à 50 fois avant d’être envoyés dans deux entreprises de la région, où ils par la suite sont revalorisés. (Stéphane Champagne/La Voix de l’Est)

En fin de vie, les emballages de l’entreprise, rentable depuis cette année, sont envoyés chez Go Zéro, à Magog, et chez GreeNovel, à Granby, qui veillent à les revaloriser, explique la cofondatrice de l’entreprise.

«Au début, ça a été difficile, reconnaît Jade Trépanier. Pour les entreprises, ce n’est pas toujours facile de favoriser l’aspect environnemental, quand ça n’apporte pas de retombées économiques directes. La clé, pour nous, c’est quand les consommateurs demandent les emballages PickPack.»

Selon les données fournies par l’entreprise et compilées par la firme I-GES, l’utilisation des emballages PickPack a permis, au cours de la dernière année, d’éviter 460 kg de déchets et l’équivalent de 4451 km d’émissions de CO2.



Postes Canada étant au cœur de la logistique de circulation des emballages PickPack, la menace de grève à la société d’État a par ailleurs incité la PME de sept employés à développer de nouveaux points de dépôt, tels que des dépanneurs et pharmacies, explique Jade Trépanier.

Le rôle de tous

S’il n’en tient qu’au vulgarisateur en environnement et chroniqueur Grégory Pratte, les choix environnementaux devraient d’ailleurs être davantage valorisés et, pourquoi pas, accompagnés d’un incitatif financier.

«Pourquoi les emballages de PickPack sont plus chers, cite-t-il en exemple. Pourquoi le “vert” coûte-t-il toujours plus cher? C’est ridicule.»

Le plastique est «démonisé», mais comme il est bien difficile à éliminer de nos vies, il importe de mieux le gérer et de veiller à réduire son utilisation, estime le vulgarisateur en environnement et chroniqueur, Grégory Pratte. (Fournie)

«Pourquoi il ne pourrait pas y avoir des “bonus-malus”, ajoute celui qui coanime le balado Ça va mieux qu’on pense qui se penche sur les bons coups environnementaux. Si l’emballage se recycle mal ou pas, il pourrait coûter plus cher, tandis que s’il est bon pour l’environnement, il coûte moins cher. Je n’ai pas inventé le concept. Ça se fait déjà en Europe. Ça pourrait inverser le paradigme assez rapidement.»

Le plastique est «démonisé», mais comme il est difficile à éliminer de nos vies, il importe de mieux le gérer et de veiller à réduire son utilisation, croit en outre celui qui a développé une expertise en environnement notamment en ayant travaillé dans des centres de tri.

«Il y a toute une chaîne autour du plastique. Et les citoyens ont aussi leur rôle à jouer», rappelle-t-il.


UN TERREAU FERTILE POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE

De façon générale, le terreau est «riche» en matière environnementale dans le secteur industriel de la Haute-Yamaska, estime la nouvelle conseillère en développement durable et écoresponsabilité chez Granby Industriel, Yona Qi.

En poste depuis le printemps, Mme Qi a notamment pour tâche d’accompagner les entreprises dans leurs projets environnementaux, de développement durable et d’économie circulaire.

Granby Industriel a une nouvelle conseillère en développement durable et écoresponsabilité, Yona Qi. (Fournie)

Et l’intérêt des entrepreneurs à verdir leurs pratiques, voire leurs produits, est bien présent, selon elle. Elle l’observe entre autres auprès des entreprises actives dans l’industrie du plastique. Plus largement, les résultats de l’enquête industrielle annuelle réalisée par l’organisme de développement économique en témoignent également.

«On a ajouté des questions à l’enquête, telles : est-ce que je veux démarrer ou poursuivre un projet de développement durable, est-ce que je veux réduire mes GES, est-ce que je veux faire un projet d’économie circulaire? On voit qu’il y a de plus en plus d’entreprises qui mentionnent ces aspects-là», se réjouit Yona Qi, qui a notamment œuvré au Conseil régional de l’environnement de la Montérégie.



Créé en 2021 par la MRC, le projet de symbiose industrielle, Synergie Haute-Yamaska, continue par ailleurs à se faire rassembleur. Quelque 130 entreprises de la Haute-Yamaska et de Brome-Missisquoi y participent. Elles ont contribué à l’échange de quelque 5800 tonnes de matières, depuis quatre ans.

Avec Synergie Haute-Yamaska, les matières résiduelles (bois, papier, plastique, métal, agrégat, etc.) d’une entreprise peuvent devenir la matière première d’une autre. Bref, c’est l’économie circulaire à son meilleur, fait valoir la conseillère en développement durable et écoresponsabilité.

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