Gastronomie MontrĂ©al 😋

Le restaurant Beau Mont de Normand Laprise changera de nom et de concept, pour devenir une Brasserie T !. Ce sera un concept moins cher, et justifiĂ© par la proximitĂ© du nouveau Campus Outremont, oĂč une clientĂšle pourrait ĂȘtre intĂ©ressĂ©e par une telle offre.

Aussi, on mentionne que le Groupe SignĂ© ToquĂ© ! souhaite rĂ©-ouvrir une Brasserie T! au centre-ville, quand l’achalandage sera bien revenu.

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Une institution ferme soudainement :frowning:

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Ah, quel dommage! Car ce genre de resto ‘‘old school’’ disparait peu Ă  peu et avec cela disparait la vraie diversitĂ© culinaire de MontrĂ©al. J’aimerais bien que des jeunes puissent le reprendre et redynamiser ce resto tout en gardant le cotĂ© nĂ©gligĂ© et un peu dĂ©suet.

Il ne faut pas oublier qu’on a aussi perdu le ‘‘Slovenia’’ un peu plus au sud sur la Main il y a un an de cela, malhereusement.

Reportage au Téléjournal 18h

Et discussion Ă  l’émission radio Le 15-18

Grand incontournable à Montréal, Main Deli ferme ses portes

Fermeture du Main Deli : Lesley Chesterman, chroniqueuse gastronomique


Le restaurant Le Main Deli, du boulevard St-Laurent à Montréal, a fermé ses portes définitivement.PHOTO : Facebook : Main Deli Steak House

Le 15-18
Publié le 9 mai 2023

Le restaurant Main Deli, situĂ© sur le boulevard Saint-Laurent, Ă  MontrĂ©al, ferme ses portes dĂ©finitivement. Cette fermeture a Ă©tĂ© annoncĂ©e par un simple Ă©criteau sur la porte, puis par une mention sur la page Facebook de l’établissement; les raisons de cette fermeture sont par ailleurs encore inconnues. « Ce n’était pas Schwartz, mais c’était [une bonne option de remplacement] si on ne voulait pas faire la file! » lance la chroniqueuse gastronomique Lesley Chesterman Ă  propos du restaurant, bien connu pour ses sandwichs au smoked meat.

Dans cette entrevue, Lesley Chesterman soutient qu’il ne faut toutefois pas craindre pour la pĂ©rennitĂ© de ce cĂ©lĂšbre sandwich Ă  MontrĂ©al.

« Ça fait vraiment partie de notre culture. [
] Je ne pense pas que ça va se perdre. »

— Une citation de Lesley Chesterman, chroniqueuse gastronomique

Elle croit cependant que les problùmes de main-d’Ɠuvre commenceront à toucher plus directement l’industrie de la restauration.

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Les derniĂšres fois oĂč je suis allĂ© au Main, c’était plutĂŽt vide ; genre 2-3 banquettes d’utilisĂ©es seulement. Sa fermeture est triste, mais je ne suis pas trĂšs Ă©tonnĂ©.

Les institutions de MontrĂ©al L’Express, source d’allĂ©gresse

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

C’est l’architecte Luc Laporte (mort en 2012) qui avait imaginĂ© l’intemporel intĂ©rieur de L’Express.

Les tables montrĂ©alaises Ă©tablies sont-elles toujours Ă  la hauteur de leur rĂ©putation ? Nous en visiterons quelques-unes pendant l’annĂ©e, question de renouer avec ces restaurants qui rĂ©sistent Ă  l’épreuve du temps. L’Express, ouvert il y a 42 ans, est plus que jamais un musĂ©e vivant de la restauration montrĂ©alaise.

Mis Ă  jour Ă  11h00

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Ève Dumas
Ève Dumas La Presse

Un peu d’histoire

L’Express servait ses premiers clients le 19 dĂ©cembre 1980, avec pour cible les artistes et autres travailleurs du théùtre, ainsi que leurs spectateurs. François Tremblay, Colette Brossoit et Pierre Villeneuve en Ă©taient les fondateurs. On dit souvent que l’équipe voyait son restaurant comme un « service public » : « fiable, rĂ©confortant, accueillant, peu importe l’heure », est-il Ă©crit sur le site.

Et on connaĂźt la suite. Pendant des annĂ©es, les portes ont Ă©tĂ© ouvertes sept jours, matin, midi, soir et mĂȘme la nuit, ne fermant qu’à 3 h. AprĂšs la COVID-19, le petit-dĂ©jeuner n’a pas repris. Le restaurant a rouvert cinq jours par semaine, six depuis peu, bientĂŽt sept, si la main-d’Ɠuvre se maintient. « Ça commence Ă  sentir les dimanches ! », confirme Mario Brossoit (frĂšre de Colette, morte en 2014). La cuisine et la salle ferment une heure plus tĂŽt qu’avant. Il reste que de pouvoir commander un saumon au cerfeuil Ă  minuit et demi est une chose bien rare dans la mĂ©tropole.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Le chef Jean-François Vachon (au centre) a pris la relĂšve des cuisines en 2016. Le maĂźtre d’hĂŽtel de jour Jacques-Yves BoltĂ© (Ă  gauche) travaille Ă  L’Express depuis plus de 20 ans. Yannick Chaput occupe pour sa part le poste de sous-chef.

C’est en 2016 que Jean-François Vachon, un ancien des Caprices de Nicolas, du Club des pins et du M sur Masson, entre autres, a pris les commandes de la cuisine, Ă  la place d’un JoĂ«l Chapoulie retraitĂ©. Ce dernier avait donnĂ© trois dĂ©cennies de loyaux services. Comme bien des chefs français, il Ă©tait arrivĂ© Ă  MontrĂ©al pendant Expo 67. Aujourd’hui, c’est presque au pĂ©ril de sa vie que M. Vachon peut apporter des modifications au mythique menu dĂ©veloppĂ© par M. Chapoulie et proposer de nouveaux plats ! Mais jusqu’ici, tout va trĂšs bien.

La direction de L’Express est maintenant assurĂ©e par HĂ©lĂšne Dansereau, Pierre Villeneuve et l’infatigable Mario Brossoit, qui alimente toujours la superbe carte des vins de l’endroit. Ne cherchez pas le fameux barman Monsieur Masson. Il a servi son dernier martini juste avant la COVID-19 et profite de sa retraite bien mĂ©ritĂ©e.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Le chef Jean-François Vachon nous montre la cave courante de L’Express, qui ne contient qu’une partie du trùs grand stock de vin de la maison.

L’expĂ©rience

L’Express est source d’allĂ©gresse pour ceux et celles qui y ont des habitudes de longue date. Les fidĂšles ont leurs plats prĂ©fĂ©rĂ©s que la cuisine serait bien mal avisĂ©e de faire disparaĂźtre : potage Ă  l’oseille, os Ă  moelle, mousse de foies de volaille, tartare, foie de veau, rognons, etc.

Pour ma part, ça remonte Ă  l’enfance, quand ma mĂšre et moi faisions l’occasionnel voyage Ă  MontrĂ©al, depuis la capitale fĂ©dĂ©rale oĂč nous habitions. C’est dans la salle aux murs et plafond lustrĂ©s et au mythique quadrillĂ© noir et blanc que j’ai dĂ©couvert le chĂšvre chaud, le cĂ©leri-rĂ©moulade et les petits cornichons français. On mangeait aussi les raviolis et le steak-frites. J’y ai appris l’existence de ces petits volatiles dĂ©licieux que sont les cailles. Bref, L’Express a Ă©tĂ© une de mes premiĂšres « Ă©coles » culinaires.

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À l’exception du chĂšvre, qui est aujourd’hui emballĂ© dans de la pĂąte kataifi (ces cheveux d’ange avec lesquels on fait aussi un dessert semblable aux baklavas) plutĂŽt que d’ĂȘtre posĂ© sur des croĂ»tons, comme je le prĂ©fĂ©rais (nostalgie quand tu nous tiens !), mes « madeleines de Proust » sont demeurĂ©es Ă  peu prĂšs intactes. La sauce des raviolis est toujours aussi dĂ©licieusement collante de collagĂšne, tant elle a Ă©tĂ© rĂ©duite. Les cailles toutes dorĂ©es reposent comme avant sur un lit de riz sauvage, avec leurs petits Ɠufs cuits durs.

Mon amoureux, qui a encore plus que moi grandi avec cette cuisine, dans l’Hexagone, a profitĂ© de l’excellente rĂ©putation de la maison pour commander les rognons. Plat « brun » s’il en est, avec ses champignons, ses cubes de pommes de terre rĂŽties bien fondants et sa riche sauce moutarde, l’abat remplit parfaitement sa mission de rĂ©confort. Le dessert, un gĂ©nĂ©reux baba au rhum, Ă©tait aussi une plongĂ©e dans les souvenirs d’enfance pour lui, avec sa texture impeccablement spongieuse. Au premier service, il s’était laissĂ© tenter par les dĂ©licats harengs fumĂ©s des Îles-de-la-Madeleine, servis sur une petite salade crĂ©meuse de lĂ©gumes en dĂ©s.

Peut-on, en 2023, toujours apprĂ©cier L’Express, mĂȘme quand ses codes ne nous sont pas familiers ? Certaines personnes dĂ©testent, mais la grande majoritĂ© en redemande. L’éclairage vif, le son des assiettes qui s’entrechoquent, le vieux tĂ©lĂ©phone Ă  cadran qui sonne, le classicisme de la cuisine et le service costumĂ© centrĂ© sur l’efficacitĂ© en font une maison tout Ă  fait unique de nos jours.

À propos du service, d’ailleurs, les membres de l’équipe de salle sont de vrais de vrais guerriers. Ils et elles ont des yeux tout le tour de la tĂȘte. Une serviette tombĂ©e par terre est aussitĂŽt remplacĂ©e, le verre d’eau n’est jamais vide, les couverts sont changĂ©s Ă  chaque service sans mĂȘme qu’on s’en rende compte.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

À la place d’une enseigne sur la façade, L’Express a choisi de s’annoncer au sol, au-dessus d’un trottoir chauffant oĂč la neige ne se pose pas.

Un restaurateur qualifiait rĂ©cemment L’Express de « caisse de rĂ©sonance », oĂč l’expĂ©rience du restaurant est amplifiĂ©e par son cĂŽtĂ© historique, quasi musĂ©al, mais loin d’ĂȘtre figĂ©. Lorsque je parcours la salle bien vivante du regard, un mardi soir oĂč le restaurant fait comme toujours salle comble, je suis frappĂ©e par l’éclectisme de la clientĂšle. Il y a des familles, des personnes seules au zinc, des couples, un petit groupe de jeunes hommes casquettĂ©s Ă  la dĂ©gaine bien urbaine, d’apparents touristes, des vieux de la vieille, etc.

Quant Ă  l’accessibilitĂ© qui Ă©tait si chĂšre aux fondateurs, elle est toujours d’actualitĂ©, malgrĂ© la flambĂ©e des prix d’à peu prĂšs tout. Si on n’a pas les moyens (ou l’envie) de se gĂąter avec entrĂ©e-plat-dessert et un grand cru de Bourgogne pigĂ© sur la carte des vins parallĂšle, on peut encore trĂšs bien commander un croque-monsieur avec frites ou une quiche pour 17,25 $ et un verre de vin Ă  7,75 $. Service public bien rendu !

3927, rue Saint-Denis, Montréal

Consultez le site de L’Express

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Que de bons souvenirs pour ce resto devenu un classique Ă  MontrĂ©al avec sa formule europĂ©enne, dont le steak/frite avec les yeux fermĂ©s me transportait Ă  Paris. Rare sont les endroits sur St-Denis qui peuvent se vanter de survivre aussi longtemps, en traversant les hauts et les bas de l’économie, tout en ayant prĂ©servĂ© leur image de marque depuis autant d’annĂ©es. :clap:t2:

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Effectivement, c’est un plaisir de savoir que ce genre de restaurant est devenu un classique de la gastronomie montrĂ©alaise et qu’il permet Ă  la rue Saint-Denis de garder un tĂ©moin de la belle Ă©poque. Mais il ajouter Ă  cela le CafĂ© Cherrier qui est aussi un classique avec une excellente cuisine abordable bien qu’un peu moins Ă©laborĂ© que L’Express. Et sa terrasse en Ă©tĂ© lui donne ce cotĂ© parisien
quoique trĂšs montrĂ©alais !

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Palmarùs Canada’s 100 Best Mon Lapin au sommet de la gastronomie canadienne

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

Le restaurant montrĂ©alais Mon Lapin est cette annĂ©e au sommet de la liste Canada’s 100 Best, une premiĂšre pour un restaurant quĂ©bĂ©cois depuis ToquĂ© !, en 2016. Ci-dessus, le restaurant photographiĂ© en 2021.

Le restaurant Mon Lapin poursuit son irrĂ©sistible ascension. L’établissement installĂ© depuis 2018 dans la Petite Italie trĂŽne dĂ©sormais au sommet du palmarĂšs Canada’s 100 Best, la rĂ©fĂ©rence canadienne en la matiĂšre, un bond de cinq places par rapport Ă  2022.

Mis Ă  jour hier Ă  20h00

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Pierre-Marc Durivage
Pierre-Marc Durivage La Presse

C’est d’abord avec une certaine dose d’incrĂ©dulitĂ© que l’équipe de Mon Lapin a rĂ©agi Ă  la nouvelle. « On est super contents, mais on ne s’attendait pas Ă  ça. On souffre un peu du syndrome de l’imposteur, nous dit le chef et copropriĂ©taire Marc-Olivier Frappier. On ne travaille jamais pour ces prix-lĂ , mais ça fait vraiment plaisir. »

Le plus rĂ©cent palmarĂšs des 100 meilleurs restaurants au pays tĂ©moigne en effet de la direction que prend la restauration au Canada, mais aussi du fait que les juges doivent voter, depuis l’an dernier, pour la qualitĂ© de la nourriture avant tout, plutĂŽt que de juger, comme par le passĂ©, de l’expĂ©rience complĂšte au restaurant, qui comprenait le service, le dĂ©cor ou la carte des vins. On tient encore compte de ces Ă©lĂ©ments, mais ils sont dorĂ©navant rĂ©pertoriĂ©s au sein de palmarĂšs secondaires. « La cuisine de Mon Lapin est trĂšs disciplinĂ©e, le service est impeccable, mais c’est tout sauf prĂ©tentieux, on injecte une dose de plaisir dans la cuisine gastronomique, c’est la voie du futur », soutient Jacob Richler, Ă©diteur en chef de Canada’s 100 Best.

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

Le chef Marc-Olivier Frappier, l’un des copropriĂ©taires de Mon Lapin

On a ainsi droit Ă  un palmarĂšs de plus en plus hĂ©tĂ©rogĂšne oĂč se cĂŽtoient des tables comme Mon Lapin et Alo, Ă©tablissement haut de gamme torontois qui arrive cette annĂ©e en deuxiĂšme place – le restaurant Ă©toilĂ© Michelin de la rue Spadina est un abonnĂ© du top 10 du Canada’s 100 Best. « On est toujours un peu mitigĂ©s quand on parle de rĂ©compenses, souligne Marc-Olivier Frappier. Comme dans la musique ou dans l’art, donner un grade Ă  quelque chose comme la cuisine est extrĂȘmement suggestif. Aussi, mettre tous les restos dans le mĂȘme bateau est quelque chose d’abstrait. Mais ça vient avec une reconnaissance qui reprĂ©sente quelque chose de trĂšs rassembleur pour l’équipe. Et le palmarĂšs Canada’s 100 Best s’est positionnĂ© comme la liste que les gens regardent le plus au pays, alors on est vraiment contents. »

Plaisir et dynamisme

« C’est certainement un beau coup de chapeau pour ce que l’on accomplit, un Ă©norme merci Ă  une Ă©chelle un peu diffĂ©rente, ajoute de son cĂŽtĂ© le sommelier Alex Landry. On prend plaisir Ă  faire ce qu’on fait, le fun dining est dĂ©sormais quelque chose que les gens reconnaissent et qu’ils prennent plaisir Ă  dĂ©couvrir. »

Pour Jacob Richler, la rĂ©ussite de Mon Lapin tient d’abord et avant tout dans l’assiette. Elle tĂ©moigne du dynamisme de la cuisine quĂ©bĂ©coise, qui compte, selon lui, sur la gamme de produits la plus diverse au pays. « Quand je suis chez Mon Lapin, je sais exactement oĂč je me trouve et quel mois on est, explique le MontrĂ©alais d’origine – il est le fils du romancier Mordecai Richler. Plusieurs restaurants se rĂ©clament du mouvement ‟de la ferme Ă  la table”, mais l’affirmation est parfois un peu tĂ©nue. Chez Mon Lapin, on n’a absolument pas l’impression que l’on a rempli un cahier des charges. »

C’est le QuĂ©bec qui compte cette annĂ©e le plus de restaurants au sein du palmarĂšs Canada’s 100 Best, avec 34. Beba, de l’arrondissement de Verdun, se classe au 8e rang, alors que Pichai arrive au 15e rang, tout juste devant le Monarque. MontrĂ©al Plaza (21e), Joe Beef (24e), Moccione (28e), Salle ClimatisĂ©e (30e), Gia (36e), Cabaret l’Enfer (39e), Mousso (41e), ToquĂ©! (45e) et Île Flottante (50e) ont aussi rĂ©ussi Ă  s’inscrire dans le top 50.

Deux fois plus de juges en 2024

Le palmarĂšs Canada’s Best 100 a Ă©tĂ© Ă©tabli cette annĂ©e par 135 membres, qui comptent des chefs, des consommateurs avisĂ©s ainsi que des critiques culinaires – notre collĂšgue Ève Dumas est du nombre. L’an prochain, Jacob Richler compte doubler ce nombre, toujours en respectant la proportion de la population de chaque province. Par ailleurs, chaque juge doit consacrer 30 % de ses votes Ă  des restaurants qui ne se trouvent pas dans sa province d’origine.

Consultez le site de Canada’s 100 Best

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Bien heureux de constater que la belle Province compte plus de 34 des meilleurs restaurants dans ce palmarĂšs. Bravo !

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CTV a monté une carte des 34 restaurants du Québec qui sont dans le top 100

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Im so proud
 BEBA in Verdun made #8 :slight_smile:

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Voici les 4 meilleurs restaurants montrĂ©alais selon le magazine Maclean’s

Mastard (Ă  gauche) et Elena (Ă  droite) sont tous les deux dans le classement des meilleurs restaurants du magazine Maclean’s. Photo: GracieusetĂ©, Mastard / GracieusetĂ©, Elena

Alexis Drapeau-Bordage

23 mai 2023 Ă  15h20 - Mis Ă  jour 25 mai 2023 Ă  15h52 2 minutes de lecture

Quatre restaurants de MontrĂ©al figurent dans la liste des vingt meilleurs restaurants canadiens du magazine Maclean’s. Le critique Ă  l’origine de l’article a visitĂ© une cinquantaine de restaurants d’un ocĂ©an Ă  l’autre avant de faire son choix.

Le restaurant Mon Lapin, qui est apparu au sommet du palmarĂšs Canada’s 100 Best plus tĂŽt ce mois-ci, est Ă©galement encensĂ© par Chris Nuttall-Smith, l’auteur de l’article du Maclean’s. Au sujet de ce resto situĂ© dans la Petite-Italie qui fĂȘte tout juste ses cinq ans, le critique Ă©crit: «C’est l’endroit dont je rĂȘve quand je rĂȘve de sortir pour un repas.»

La pizzeria Elena P.S., qui se trouve Ă  Saint-Henri, se taille aussi une place dans le palmarĂšs. Ses pizzas napolitaines faites d’ingrĂ©dients frais provenant de l’agriculture locale ainsi que son service au comptoir sont ce qui lui a valu cette reconnaissance.

Dans l’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, Mastard se dĂ©marque par son menu cinq services en perpĂ©tuel changement. Pour 85 $, avec possibilitĂ© d’un supplĂ©ment de 50 $ pour l’accord vins (quatre verres), le restaurant offre un des prix les plus «raisonnables» de la liste, considĂ©rant la qualitĂ© et la quantitĂ© des services.

Enfin, le Damas situé à Outremont vient clore la présence montréalaise dans cette sélection canadienne. Le restaurant est connu pour ses spécialités syriennes raffinées.

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Mastard represent!

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