Ăa dĂ©pend comment lâinspecteur de lâOQLF va appliquer la nouvelle Loi
Selon lâexemple du gouvenrment, juste mettre un petit mo en français ne suffit pas
Ăa dĂ©pend comment lâinspecteur de lâOQLF va appliquer la nouvelle Loi
Selon lâexemple du gouvenrment, juste mettre un petit mo en français ne suffit pas
Ăa respecte la nouvelle loi. Le gĂ©nĂ©rique francophone est prĂ©dominant.
Les lois quâon fait au QuĂ©bec il faut prĂ©server les affiches pour un avenir lointain, ça va ĂȘtre intĂ©ressant Ă dĂ©couvrir!
Une recommandation pour un excellent resto coréen dans le secteur Guy-Concordia ? Ou au centre-ville en general ?
Des connaissances corĂ©ennes mâont recommandĂ© Atti pour une cuisine traditionnelle
Câest au 505 boul. De Maisonneuve en diagonale au La Baie
Sinon, jâaime bien aller Chez Bong dans le Quartier Chinois
Il y a aussi Pony BBQ dans les Faubourgs Sainte-Catherine pour un BBQ coréen
Chez Bong est effectivement une valeur sure.
Sinon il y a Omma (https://ommarestaurant.com/) dans le quartier des spectacles qui est en peu plus centre-ville.
jâaime COQCOR !
1237 rue Guy, au sud de St Catherine
18 juillet 2024 | PubliĂ© Ă 17h00 | ĂMILIE CĂTĂ | La Presse
On peut aussi manger sur place un sandwich, un biscuit de Cookine, ou se laisser tenter par le gùteau aux carottes ou une biÚre en fût de la microbrasserie Le Ketch.
Le cafĂ© provient du microtorrĂ©facteur Bicocle fondĂ© par le copropriĂ©taire Iouri Philippe PaillĂ©. Ce dernier sâest associĂ© avec ceux qui avaient le cafĂ© RosĂ© avant, dans le mĂȘme local du Fleurimont, soit Mathieu Maher, Marie-Pier Cousineau et Xavier Bellefeuille. Tous ont embrassĂ© le nouveau concept de cafĂ©, caviste et microbuvette rĂ©unis dans un seul et mĂȘme (petit) endroit, oĂč on tient aussi des Ă©vĂšnements comme des dĂ©gustations et des ventes de vĂȘtements.
« Un lieu qui donne envie de sây sâarrĂȘter, tout simplement », rĂ©sume Iouri, qui rappelle que Fleurimont est le nom que portait le segment ouest du boulevard Rosemont jusquâen 1961.
907, boulevard Rosemont, Montréal
Petit rappel que le grand poutinefest sera à la plaza Pointe-Claire du 16 aux 18 août
Il y avait bcp de gens hier Ă lâinauguration, mais la file nâĂ©tait pas trop longue. Les billets achetĂ©s Ă lâavance ont aidĂ©. Lâan dernier, il fallait acheter les billets Ă lâentrĂ©e.
Les plats sont entre 5 et 15$
Street market in Montreal celebrates Vietnamese culture
âItâs a great event,â says Charles Nguyen from Chợ ÄĂȘm MTL, a Vietnamese street market in Griffintown that celebrates the culture through food, merchants, and more. It runs until July 21. Adriana Gentile reports.
Je vous suggĂšre fortement le restaurant du Jardin Botanique, accessible Ă tous. Tous les plats sont 100% vĂ©gĂ©tariens et câest vraiment dĂ©licieux.
Par Marc Allard, Ă©quipe dâenquĂȘte
23 juillet 2024 Ă 04h00|
Mis Ă jour le23 juillet 2024 Ă 06h15
VĂ©ronyque Tremblay est prĂ©sidente-directrice gĂ©nĂ©rale de lâAssociation HĂŽtellerie du QuĂ©bec et de lâAssociation quĂ©bĂ©coise des spas. On la voit ici dans une salle de restaurant Ă lâhĂŽtel Le Bonne Entente, Ă QuĂ©bec. (Jocelyn Riendeau/Le Soleil)
LâAssociation hĂŽtellerie du QuĂ©bec (AHQ) sâest inscrite au registre quĂ©bĂ©cois des lobbyistes, la semaine derniĂšre, pour convaincre les autoritĂ©s de modifier la Loi sur la protection du consommateur afin dâ«autoriser la retenue dâun dĂ©pĂŽt lors dâune rĂ©servation au restaurant». LâAssociation quĂ©bĂ©coise des spas a fait la mĂȘme dĂ©marche.
La lobbyiste associée à ce mandat, Véronyque Tremblay, est présidente-directrice générale des deux associations.
Les hĂŽteliers, qui sont nombreux Ă offrir des services de restauration, subissent dâimportantes pertes Ă cause des no-show, souligne Mme Tremblay.
«On constate depuis quelques annĂ©es dĂ©jĂ , et peut-ĂȘtre encore plus aprĂšs la pandĂ©mie, que certains clients nâhonorent pas leurs rĂ©servations ou annulent leurs rĂ©servations Ă la derniĂšre minute, dit Mme Tremblay. Ăa a un coĂ»t, ça, pour les hĂŽteliers qui ont un restaurant.»
Les restaurateurs dĂ©noncent cette problĂ©matique sur la place publique depuis plusieurs annĂ©es. Mais lâAHQ accentue la pression en sâinscrivant Ă son tour comme lobbyiste.
Martin VĂ©zina est vice-prĂ©sident aux affaires publiques et gouvernementales de lâAssociation Restauration QuĂ©bec.
Elle emboĂźte le pas Ă lâAssociation Restauration QuĂ©bec, qui maintient un mandat de lobbyisme actif depuis 2017 pour «permettre aux restaurateurs dâexiger une pĂ©nalitĂ© modique lorsquâun client ne se prĂ©sente pas au moment de sa rĂ©servation et quâil nâinforme pas Ă lâavance son intention dâannuler».
Martin VĂ©zina, vice-prĂ©sident aux affaires publiques et gouvernementales de lâAssociation Restauration QuĂ©bec, salue lâinitiative de lâAHQ. Mais il souligne que son association a dĂ©jĂ bien entamĂ© les reprĂ©sentations auprĂšs du gouvernement. «Nous, on a des discussions trĂšs sĂ©rieuses avec lâOffice de protection du consommateur (OPC), dit-il. On est en voie dâavoir des solutions qui vont survenir bientĂŽt.»
Au moment dâĂ©crire ces lignes, les Coops de lâinformation nâavaient pas Ă©tĂ© en mesure de recueillir les commentaires de lâOPC Ă ce sujet.
Actuellement, lâarticle 13 de la Loi sur la protection du consommateur interdit aux entreprises dâimposer des frais, des pĂ©nalitĂ©s ou des dommages lorsque les clients ne respectent pas leurs rĂ©servations.
Véronyque Tremblay agira comme lobbyiste afin de convaincre les autorités de modifier la Loi sur la protection du consommateur. (Jocelyn Riendeau/Le Soleil)
LâAssociation hĂŽtellerie du QuĂ©bec croit que cet article de la loi devrait ĂȘtre modifiĂ© pour permettre aux restaurants dâexiger des frais dâannulation variables lorsque la rĂ©servation nâest pas honorĂ©e. Le regroupement ne prĂ©voit pas demander un pourcentage fixe pour le dĂ©pĂŽt, prĂ©fĂ©rant laisser les commerçants dĂ©terminer les modalitĂ©s.
«Je pense que lâidĂ©al, câest de laisser un droit de gĂ©rance du restaurateur ou encore du propriĂ©taire de spa de dĂ©cider comment il veut bien faire sa politique, dit VĂ©ronyque Tremblay. Ce qui est important, câest que le client, en bout de ligne, il soit au courant, il accepte, et câest transparent.»
Association Restauration QuĂ©bec, pour sa part, plaide pour des frais dâannulation «modestes».
«On a dĂ©jĂ proposĂ© une pĂ©nalitĂ© de 20 $. On verra aprĂšs oĂč ça va en venir dans la rĂ©glementation. Mais oui, on demande quâil y ait vraiment une pĂ©nalitĂ© qui puisse ĂȘtre mise sur la carte de crĂ©dit du client», dit Martin VĂ©zina.
Selon la plateforme de rĂ©servation Libro, 18 Ă 20 % des rĂ©servations se traduisent par un no-show dans les restaurants. Si un resto fonctionnant Ă pleine capacitĂ© gĂ©nĂšre habituellement 2000 $ de recettes par jour, il pourrait perdre jusquâĂ 400 $ par soir, soit 150 000 $ par an, si un client sur cinq ne se prĂ©sente pas, illustre Libro.
Dans les restaurants de LâhĂŽtel Le Bonne Entente, Ă QuĂ©bec, lâimpact des no-show entraĂźne des pertes de revenus non seulement pour lâhĂŽtel, mais aussi pour le personnel, souligne la directrice du marketing, Karine Rancourt.
«Si un employĂ© sâattend Ă avoir deux groupes de 10 personnes et quâil y en a juste un qui se prĂ©sente, pour lui, câest son gagne-pain, il fait moins de sous.»
â Karine Rancourt
Câest sans compter la nourriture achetĂ©e en trop par le restaurant, puis la perte de clients potentiels qui auraient Ă©tĂ© heureux de prendre la table de ceux qui ne se sont pas prĂ©sentĂ©s, ajoute Mme Rancourt.
Entre 18 à 20 % des réservations se traduisent par un no show dans les restaurants. (Andy Medvediuk)
Option consommateurs sâoppose Ă la proposition de modifier la loi pour autoriser les frais dâannulation au restaurant ou au spa, estimant quâelle fragiliserait les clients.
Me Alexandre Plourde, avocat et analyste auprĂšs de lâorganisme de dĂ©fense des droits des consommateurs, dit comprendre les consĂ©quences des no-show sur les restaurants et invite les clients qui ne se prĂ©sentent pas sans avertir Ă faire preuve de «civilité».
Mais, selon Me Plourde, il existe des motifs légitimes de ne pas honorer une réservation, comme avoir un accident ou tomber malade, et il serait dommage de pénaliser les consommateurs dans de telles circonstances.
Or, lâautorisation des frais dâannulation «permettrait Ă des commerçants de simplement dire: âvous ne vous ĂȘtes pas prĂ©sentĂ©s, on va vous charger une pĂ©nalitĂ©, et tant pis pour vousâ», dit Alexandre Plourde.
«On donnerait un pouvoir important, une grande discrĂ©tion dans les mains du commerçant, dans ces circonstances-lĂ . Ăa pourrait se traduire par toutes sortes dâabus de certains commerçants.»
â Alexandre Plourde
Lâexemple de nombreux QuĂ©bĂ©cois qui nâont pas pu partir en voyage durant la pandĂ©mie, mais ont eu du mal Ă se faire rembourser leurs nuits dâhĂŽtel, montre le genre de problĂšme qui pourrait survenir avec une modification Ă la loi, soutient Me Plourde.
Du point de vue de lâavocat dâOption consommateurs, il existe plusieurs autres avenues qui peuvent ĂȘtre envisagĂ©es pour inciter les clients Ă respecter leurs engagements, sans pour autant affaiblir la protection des consommateurs en modifiant la loi.
Me Plourde croit par exemple que les dĂ©pĂŽts remboursables lors de la rĂ©servation peuvent ĂȘtre une façon de dĂ©courager les consommateurs de rĂ©server dans plusieurs restaurants Ă la fois.
Lâavocat plaide aussi pour davantage de sensibilisation auprĂšs des consommateurs sur lâimportance de respecter leurs engagements auprĂšs des commerçants.
La FĂ©dĂ©ration canadienne de lâentreprise indĂ©pendante (FCEI), qui appuie la proposition de lâAssociation hĂŽtellerie du QuĂ©bec, a dĂ©posĂ© un mĂ©moire lâan dernier pour suggĂ©rer une mise Ă jour de la loi sur la protection du consommateur pour «mieux lâadapter» aux rĂ©alitĂ©s des PME dâaujourdâhui.
La fĂ©dĂ©ration y soulignait notamment que les frais dâannulation existent dĂ©jĂ dans lâindustrie touristique depuis des annĂ©es. Câest le cas, par exemple, des nuitĂ©es Ă lâhĂŽtel ou des sĂ©jours dans les prĂȘt-Ă -camper dâun organisme gouvernemental comme la SĂ©paq.
«Il est temps de corriger le dĂ©sĂ©quilibre pour les autres entreprises touchĂ©es par cet enjeu, fait valoir la fĂ©dĂ©ration dans son mĂ©moire. La FCEI invite le gouvernement du QuĂ©bec Ă prendre des mesures afin dâassurer lâĂ©quitĂ© des exploitants de secteurs touchĂ©s par ces enjeux et confrontĂ©s Ă une rĂ©glementation ambiguĂ«, en leur fournissant les mĂȘmes outils pour faire face Ă la problĂ©matique du no-show.»
la crémerie avec sa façade de chùteau rose et bleu est maintenant un restaurant japonais qui a de la crÚme glacée au menu!
Jâai essayĂ© le nouveau resto Motel Ontario dans Hochelaga et câest vraiment dĂ©licieux. Câest un mix entre Ătat Major et HĂ©licoptĂšre, des plats Ă partager vraiment savoureux. Belle carte de vins. Allez lâessayer
Au 209 Fairmount Ouest dans le Mile End, le KafĂ© Kafta a cĂ©dĂ© Ă la place au Balbastik. Câest par le mĂȘme proprio que la KhaĂŻma pas loin (une cuisine africaine).
Câest un petit local oĂč on sert une gamme trĂšs rĂ©duite de produits. Jus frais Ă 1$, sandwich Ă 9$, salade Ă 6$ et des sucettes glacĂ©es africaines Ă 3$.
Le sandwich est trĂšs gĂ©nĂ©reux et trĂšs bon, Jâimagine quâon pourrait le qualifier de âratatouilleâ lisse de lĂ©gumes avec des boulettes de la protĂ©ine de son choix, dans un pain baguette lĂ©gĂšrement sucrĂ©e. Le jus maison est excellent aussi.
Les prix sont pas chers pour le quartier (et câest un sandwich costaud), plus accessible que plusieurs adresses Ă la mode du secteur. Une bonne option pour dĂźner sur le pouce dans le Mile End.
Aussi sur Fairmount dans le Mile End, une nouvelle adresse de pierogies ukrainien ouvre en fin de semaine. Pas encore essayĂ©, câest dans ce local depuis longtemps vacant que je suis bien content de voir enfin occupĂ©:
A PSC dans lâancien Montreal Smoked Meat il y a une boucherie qui ouvre ses portes. Le smoker original est prĂ©servĂ©, il y a eu une dĂ©gustation, bon smoked meat!
Edit: Mais ce sera aussi un boucher classique + produits italiens.
Il parait que ce nouveau salon de thĂ© sur Notre-Dame rivalise bien avec le thĂ© du dimanche du Ritz. HĂąte de lâessayer.
Câest de la mĂȘme gang qui est derriĂšre RĂ©gine CafĂ© et Janine CafĂ©.
RĂ©pandu en Europe, ce modus operandi est plus marginal de ce cĂŽtĂ©-ci de lâAtlantique. Ouverts rĂ©cemment, deux Ă©tablissements du Bic, dans le Bas-Saint-Laurent, lâont adoptĂ©. Dâautres restaurants comme Alentours Ă QuĂ©bec et le Lawrence Ă MontrĂ©al ont Ă©galement Ă©liminĂ© les pourboires. Dans le cas de ces deux derniers Ă©tablissements toutefois, les prix sur la carte sont indiquĂ©s avant taxes.
« Le fait que le client puisse voir le prix final directement sur le tableau, je trouve ça intĂ©ressant, explique au bout du fil Audrey Banville, propriĂ©taire du Saison deli, Ă la fois cafĂ© et crĂšmerie. En moins dâune minute, on prĂ©pare une crĂšme glacĂ©e ou un cafĂ©, câest un service relativement rapide. Est-ce que ça nĂ©cessite vraiment 25 % de pourboire ? », questionne celle qui a ouvert son Ă©tablissement en juin au Bic.