Gastronomie MontrĂ©al 😋

Ça dĂ©pend comment l’inspecteur de l’OQLF va appliquer la nouvelle Loi

Selon l’exemple du gouvenrment, juste mettre un petit mo en français ne suffit pas
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Ça respecte la nouvelle loi. Le gĂ©nĂ©rique francophone est prĂ©dominant.

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Les lois qu’on fait au QuĂ©bec :sweat_smile::innocent: il faut prĂ©server les affiches pour un avenir lointain, ça va ĂȘtre intĂ©ressant Ă  dĂ©couvrir!

Une recommandation pour un excellent resto coréen dans le secteur Guy-Concordia ? Ou au centre-ville en general ?

Des connaissances corĂ©ennes m’ont recommandĂ© Atti pour une cuisine traditionnelle
C’est au 505 boul. De Maisonneuve en diagonale au La Baie

Sinon, j’aime bien aller Chez Bong dans le Quartier Chinois

https://www.chezbong.ca/

Il y a aussi Pony BBQ dans les Faubourgs Sainte-Catherine pour un BBQ coréen

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Chez Bong est effectivement une valeur sure.
Sinon il y a Omma (https://ommarestaurant.com/) dans le quartier des spectacles qui est en peu plus centre-ville.

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j’aime COQCOR !

1237 rue Guy, au sud de St Catherine

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Ouverture Fleurimont : une petite oasis sur Rosemont


PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE | Le cafĂ© servi provient du microtorrĂ©facteur Binocle, fondĂ© par Iouri Philippe PaillĂ©, l’un des copropriĂ©taires du Fleurimont.


PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE | La devanture du Fleurimont enjolive le boulevard Rosemont.


PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE | L’une des copropriĂ©taires, Marie-Pier Cousineau


PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE | Du mobilier sur mesure a permis d’amĂ©nager plusieurs places Ă  l’intĂ©rieur malgrĂ© l’espace restreint.


PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE | Il fallait aussi un coin pour le vin qu’on peut boire au verre sur place ou acheter en bouteille à emporter.


PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE | Le sandwich G. O. A. T. se compose de fromage de chĂšvre de l’Atelier, de prosciutto bio de Charlevoix, de miel infusĂ© aux herbes de Provence, de roquette et de pain ciabatta de la boulangerie Guillaume.


PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE | Il y a Ă©galement quelques tables pour casser la croĂ»te dehors. Les propriĂ©taires du Fleurimont espĂšrent aussi qu’un problĂšme de permis pourra se rĂ©soudre et leur permettre d’amĂ©nager leur coquette terrasse intĂ©rieure.

Le boulevard Rosemont n’est pas l’artĂšre la plus charmante de MontrĂ©al, mais l’ouverture du Fleurimont CafĂ© & Vin vient y ajouter de la couleur et surtout un endroit pour faire le plein de cafĂ© et mĂȘme de vin.

18 juillet 2024 | PubliĂ© Ă  17h00 | ÉMILIE CÔTÉ | La Presse

On peut aussi manger sur place un sandwich, un biscuit de Cookine, ou se laisser tenter par le gùteau aux carottes ou une biÚre en fût de la microbrasserie Le Ketch.

Le cafĂ© provient du microtorrĂ©facteur Bicocle fondĂ© par le copropriĂ©taire Iouri Philippe PaillĂ©. Ce dernier s’est associĂ© avec ceux qui avaient le cafĂ© RosĂ© avant, dans le mĂȘme local du Fleurimont, soit Mathieu Maher, Marie-Pier Cousineau et Xavier Bellefeuille. Tous ont embrassĂ© le nouveau concept de cafĂ©, caviste et microbuvette rĂ©unis dans un seul et mĂȘme (petit) endroit, oĂč on tient aussi des Ă©vĂšnements comme des dĂ©gustations et des ventes de vĂȘtements.

« Un lieu qui donne envie de s’y s’arrĂȘter, tout simplement », rĂ©sume Iouri, qui rappelle que Fleurimont est le nom que portait le segment ouest du boulevard Rosemont jusqu’en 1961.

907, boulevard Rosemont, Montréal

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Petit rappel que le grand poutinefest sera à la plaza Pointe-Claire du 16 aux 18 août

Il y avait bcp de gens hier Ă  l’inauguration, mais la file n’était pas trop longue. Les billets achetĂ©s Ă  l’avance ont aidĂ©. L’an dernier, il fallait acheter les billets Ă  l’entrĂ©e.

Les plats sont entre 5 et 15$

Street market in Montreal celebrates Vietnamese culture

“It’s a great event,” says Charles Nguyen from Chợ ĐĂȘm MTL, a Vietnamese street market in Griffintown that celebrates the culture through food, merchants, and more. It runs until July 21. Adriana Gentile reports.

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Je vous suggĂšre fortement le restaurant du Jardin Botanique, accessible Ă  tous. Tous les plats sont 100% vĂ©gĂ©tariens et c’est vraiment dĂ©licieux.

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ExcĂ©dĂ©s par les clients qui n’honorent pas leurs rĂ©servations dans leurs restaurants, les hĂŽteliers ont dĂ©signĂ© une lobbyiste pour faire pression sur le gouvernement, afin qu’il autorise les frais d’annulation dans les restos.

Résumé

NO-SHOW | La pression monte pour des frais d’annulation au resto

Par Marc Allard, Ă©quipe d’enquĂȘte

23 juillet 2024 Ă  04h00|

Mis Ă  jour le23 juillet 2024 Ă  06h15

Véronyque Tremblay est présidente-directrice générale de l'Association HÎtellerie du Québec et de l'Association québécoise des spas. On la voit ici dans une salle de restaurant à l'hÎtel Le Bonne Entente, à Québec.|800x533.3333333333334

VĂ©ronyque Tremblay est prĂ©sidente-directrice gĂ©nĂ©rale de l’Association HĂŽtellerie du QuĂ©bec et de l’Association quĂ©bĂ©coise des spas. On la voit ici dans une salle de restaurant Ă  l’hĂŽtel Le Bonne Entente, Ă  QuĂ©bec. (Jocelyn Riendeau/Le Soleil)

ExcĂ©dĂ©s par les clients qui n’honorent pas leurs rĂ©servations dans leurs restaurants, les hĂŽteliers ont dĂ©signĂ© une lobbyiste pour faire pression sur le gouvernement, afin qu’il autorise les frais d’annulation dans les restos.


L’Association hĂŽtellerie du QuĂ©bec (AHQ) s’est inscrite au registre quĂ©bĂ©cois des lobbyistes, la semaine derniĂšre, pour convaincre les autoritĂ©s de modifier la Loi sur la protection du consommateur afin d’«autoriser la retenue d’un dĂ©pĂŽt lors d’une rĂ©servation au restaurant». L’Association quĂ©bĂ©coise des spas a fait la mĂȘme dĂ©marche.

La lobbyiste associée à ce mandat, Véronyque Tremblay, est présidente-directrice générale des deux associations.



Les hîteliers, qui sont nombreux à offrir des services de restauration, subissent d’importantes pertes à cause des no-show, souligne Mme Tremblay.

«On constate depuis quelques annĂ©es dĂ©jĂ , et peut-ĂȘtre encore plus aprĂšs la pandĂ©mie, que certains clients n’honorent pas leurs rĂ©servations ou annulent leurs rĂ©servations Ă  la derniĂšre minute, dit Mme Tremblay. Ça a un coĂ»t, ça, pour les hĂŽteliers qui ont un restaurant.»


Les restaurateurs dĂ©noncent cette problĂ©matique sur la place publique depuis plusieurs annĂ©es. Mais l’AHQ accentue la pression en s’inscrivant Ă  son tour comme lobbyiste.

Martin VĂ©zina est vice-prĂ©sident aux affaires publiques et gouvernementales de l’Association Restauration QuĂ©bec.

Martin VĂ©zina est vice-prĂ©sident aux affaires publiques et gouvernementales de l’Association Restauration QuĂ©bec.

Elle emboĂźte le pas Ă  l’Association Restauration QuĂ©bec, qui maintient un mandat de lobbyisme actif depuis 2017 pour «permettre aux restaurateurs d’exiger une pĂ©nalitĂ© modique lorsqu’un client ne se prĂ©sente pas au moment de sa rĂ©servation et qu’il n’informe pas Ă  l’avance son intention d’annuler».

Martin VĂ©zina, vice-prĂ©sident aux affaires publiques et gouvernementales de l’Association Restauration QuĂ©bec, salue l’initiative de l’AHQ. Mais il souligne que son association a dĂ©jĂ  bien entamĂ© les reprĂ©sentations auprĂšs du gouvernement. «Nous, on a des discussions trĂšs sĂ©rieuses avec l’Office de protection du consommateur (OPC), dit-il. On est en voie d’avoir des solutions qui vont survenir bientĂŽt.»

Au moment d’écrire ces lignes, les Coops de l’information n’avaient pas Ă©tĂ© en mesure de recueillir les commentaires de l’OPC Ă  ce sujet.

Interdit

Actuellement, l’article 13 de la Loi sur la protection du consommateur interdit aux entreprises d’imposer des frais, des pĂ©nalitĂ©s ou des dommages lorsque les clients ne respectent pas leurs rĂ©servations.

Véronyque Tremblay agira comme lobbyiste afin de convaincre les autorités de modifier la Loi sur la protection du consommateur.

Véronyque Tremblay agira comme lobbyiste afin de convaincre les autorités de modifier la Loi sur la protection du consommateur. (Jocelyn Riendeau/Le Soleil)

L’Association hĂŽtellerie du QuĂ©bec croit que cet article de la loi devrait ĂȘtre modifiĂ© pour permettre aux restaurants d’exiger des frais d’annulation variables lorsque la rĂ©servation n’est pas honorĂ©e. Le regroupement ne prĂ©voit pas demander un pourcentage fixe pour le dĂ©pĂŽt, prĂ©fĂ©rant laisser les commerçants dĂ©terminer les modalitĂ©s.

«Je pense que l’idĂ©al, c’est de laisser un droit de gĂ©rance du restaurateur ou encore du propriĂ©taire de spa de dĂ©cider comment il veut bien faire sa politique, dit VĂ©ronyque Tremblay. Ce qui est important, c’est que le client, en bout de ligne, il soit au courant, il accepte, et c’est transparent.»

Association Restauration QuĂ©bec, pour sa part, plaide pour des frais d’annulation «modestes».



«On a dĂ©jĂ  proposĂ© une pĂ©nalitĂ© de 20 $. On verra aprĂšs oĂč ça va en venir dans la rĂ©glementation. Mais oui, on demande qu’il y ait vraiment une pĂ©nalitĂ© qui puisse ĂȘtre mise sur la carte de crĂ©dit du client», dit Martin VĂ©zina.

Entre 18 et 20 % de no-show

Selon la plateforme de rĂ©servation Libro, 18 Ă  20 % des rĂ©servations se traduisent par un no-show dans les restaurants. Si un resto fonctionnant Ă  pleine capacitĂ© gĂ©nĂšre habituellement 2000 $ de recettes par jour, il pourrait perdre jusqu’à 400 $ par soir, soit 150 000 $ par an, si un client sur cinq ne se prĂ©sente pas, illustre Libro.

Dans les restaurants de L’hĂŽtel Le Bonne Entente, Ă  QuĂ©bec, l’impact des no-show entraĂźne des pertes de revenus non seulement pour l’hĂŽtel, mais aussi pour le personnel, souligne la directrice du marketing, Karine Rancourt.

«Si un employĂ© s’attend Ă  avoir deux groupes de 10 personnes et qu’il y en a juste un qui se prĂ©sente, pour lui, c’est son gagne-pain, il fait moins de sous.»

— Karine Rancourt

C’est sans compter la nourriture achetĂ©e en trop par le restaurant, puis la perte de clients potentiels qui auraient Ă©tĂ© heureux de prendre la table de ceux qui ne se sont pas prĂ©sentĂ©s, ajoute Mme Rancourt.

Entre 18 à 20 % des réservations se traduisent par un no show dans les restaurants. (Andy Medvediuk)

Risque d’abus, selon Option consommateurs

Option consommateurs s’oppose à la proposition de modifier la loi pour autoriser les frais d’annulation au restaurant ou au spa, estimant qu’elle fragiliserait les clients.

Me Alexandre Plourde, avocat et analyste auprĂšs de l’organisme de dĂ©fense des droits des consommateurs, dit comprendre les consĂ©quences des no-show sur les restaurants et invite les clients qui ne se prĂ©sentent pas sans avertir Ă  faire preuve de «civilité».

Mais, selon Me Plourde, il existe des motifs légitimes de ne pas honorer une réservation, comme avoir un accident ou tomber malade, et il serait dommage de pénaliser les consommateurs dans de telles circonstances.

Or, l’autorisation des frais d’annulation «permettrait Ă  des commerçants de simplement dire: “vous ne vous ĂȘtes pas prĂ©sentĂ©s, on va vous charger une pĂ©nalitĂ©, et tant pis pour vous”», dit Alexandre Plourde.



«On donnerait un pouvoir important, une grande discrĂ©tion dans les mains du commerçant, dans ces circonstances-lĂ . Ça pourrait se traduire par toutes sortes d’abus de certains commerçants.»

— Alexandre Plourde

L’exemple de nombreux QuĂ©bĂ©cois qui n’ont pas pu partir en voyage durant la pandĂ©mie, mais ont eu du mal Ă  se faire rembourser leurs nuits d’hĂŽtel, montre le genre de problĂšme qui pourrait survenir avec une modification Ă  la loi, soutient Me Plourde.

D’autres avenues

Du point de vue de l’avocat d’Option consommateurs, il existe plusieurs autres avenues qui peuvent ĂȘtre envisagĂ©es pour inciter les clients Ă  respecter leurs engagements, sans pour autant affaiblir la protection des consommateurs en modifiant la loi.

Me Plourde croit par exemple que les dĂ©pĂŽts remboursables lors de la rĂ©servation peuvent ĂȘtre une façon de dĂ©courager les consommateurs de rĂ©server dans plusieurs restaurants Ă  la fois.

L’avocat plaide aussi pour davantage de sensibilisation auprùs des consommateurs sur l’importance de respecter leurs engagements auprùs des commerçants.

Question d’équitĂ©?

La FĂ©dĂ©ration canadienne de l’entreprise indĂ©pendante (FCEI), qui appuie la proposition de l’Association hĂŽtellerie du QuĂ©bec, a dĂ©posĂ© un mĂ©moire l’an dernier pour suggĂ©rer une mise Ă  jour de la loi sur la protection du consommateur pour «mieux l’adapter» aux rĂ©alitĂ©s des PME d’aujourd’hui.

La fĂ©dĂ©ration y soulignait notamment que les frais d’annulation existent dĂ©jĂ  dans l’industrie touristique depuis des annĂ©es. C’est le cas, par exemple, des nuitĂ©es Ă  l’hĂŽtel ou des sĂ©jours dans les prĂȘt-Ă -camper d’un organisme gouvernemental comme la SĂ©paq.

«Il est temps de corriger le dĂ©sĂ©quilibre pour les autres entreprises touchĂ©es par cet enjeu, fait valoir la fĂ©dĂ©ration dans son mĂ©moire. La FCEI invite le gouvernement du QuĂ©bec Ă  prendre des mesures afin d’assurer l’équitĂ© des exploitants de secteurs touchĂ©s par ces enjeux et confrontĂ©s Ă  une rĂ©glementation ambiguĂ«, en leur fournissant les mĂȘmes outils pour faire face Ă  la problĂ©matique du no-show.»

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