Gastronomie MontrĂ©al 😋

Critique du Dobe & Andy dans le Quartier chinois

Mon pĂšre allait toujours lĂ  pour les viandes BBQ et discutait longuement avec M. Ku.

Et je prenais souvent des boĂźtes repas pour 5 ou 6$ (plus cher maintenant) quand je travaillais au Complexe Desjardins

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2024, l’annĂ©e des restaurants apportez votre vin ?

PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

Le restaurant Le Marlow

Les restaurants apportez votre vin deviennent-ils l’option privilĂ©giĂ©e par les consommateurs en temps de crise ? Fort populaires dans les annĂ©es 1980, oĂč ils se sont multipliĂ©s en raison de la rĂ©cession, ils pourraient bien faire le plein de nouveaux clients cette annĂ©e.

Publié à 1h20 Mis à jour à 5h00

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Nathaëlle Morissette
Nathaëlle Morissette La Presse

Commander un verre de vin ou une bouteille pour accompagner son repas augmente considĂ©rablement la facture des consommateurs, dont plusieurs ne digĂšrent plus les additions de plus en plus salĂ©es. Dans ce contexte, ils pourraient donc ĂȘtre plus nombreux cette annĂ©e Ă  changer de table en frĂ©quentant davantage des Ă©tablissements apportez votre vin, croient les restaurateurs interrogĂ©s.

« On est dans un crĂ©neau oĂč quand les gens ont un peu moins d’argent, ils viennent nous voir », affirme NoĂ© Lainesse, chef propriĂ©taire du restaurant O’Thym Ă  MontrĂ©al.

« Actuellement, c’est probablement l’une des avenues Ă  explorer pour les restaurateurs », croit pour sa part Christian Latour, professeur de gestion du CollĂšge MĂ©rici, Ă  QuĂ©bec.

Alors que beaucoup d’exploitants vivent des moments difficiles, notamment en raison d’une diminution de la clientĂšle, de la hausse du prix des denrĂ©es et des loyers, ou encore parce qu’ils doivent, d’ici le 18 janvier, rembourser le prĂȘt consenti par le gouvernement fĂ©dĂ©ral pendant la pandĂ©mie, M. Lainesse constate pour sa part que son Ă©tablissement ne vit pas « une Ă©norme baisse ».

AprĂšs avoir consultĂ© la carte de certains restaurants, La Presse a pu constater – comme le font la plupart des consommateurs qui mangent au restaurant – qu’un verre de Joel Gott, un sauvignon blanc californien, par exemple, se vendait 13,50 $ alors qu’il en coĂ»te 21,95 $ pour une bouteille Ă  la SAQ. Au restaurant, cette mĂȘme bouteille est affichĂ©e Ă  52 $. Une bouteille de Kim Crawford, un chardonnay de la Nouvelle-ZĂ©lande, peut coĂ»ter 53 $ au restaurant alors qu’elle est vendue Ă  20,95 $ sur les rayons de la SAQ.

« C’est sĂ»r qu’en ce moment, avec le contexte Ă©conomique et l’augmentation des prix, payer 25 $ pour un verre de vin, ça fait mal aux gens », mentionne Benjamin De ChĂąteauneuf, propriĂ©taire du restaurant Le Marlow Ă  Longueuil.

PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

Benjamin De Chateauneuf, propriétaire du restaurant Le Marlow

Oui, les consommateurs vont clairement se tourner vers les apportez son vin ou ils vont acheter une bouteille au mĂȘme prix qu’un verre de vin vendu ailleurs. En plus, ils peuvent choisir le produit qu’ils aiment, au lieu de miser sur un vin qu’ils n’ont jamais goĂ»tĂ©, qui ne fera pas leur affaire, mais qu’ils vont prendre quand mĂȘme.

Benjamin De Chùteauneuf, propriétaire du restaurant Le Marlow à Longueuil

M. De ChĂąteauneuf mise d’ailleurs sur cet atout pour attirer des clients dans sa salle Ă  manger oĂč il offre une cuisine notamment composĂ©e de pavĂ©s de saumon, de joues de bƓuf braisĂ© ou encore de carpaccios de pĂ©toncles. « Notre resto apportez votre vin est une option intĂ©ressante pour les clients du Marlow, car ils peuvent apporter leur propre bouteille de vin ou leur biĂšre et Ă©viter de payer des prix exorbitants en alcool », peut-on lire sur la page d’accueil de son site web.

« Si on va au restaurant, c’est pour bien manger, avant de bien boire », ajoute-t-il en entrevue.

À Saint-Jean-sur-Richelieu, oĂč il est propriĂ©taire d’un restaurant Au Vieux Duluth depuis 33 ans, Pedro Marques affirme qu’il a connu en 2023 son meilleur mois de dĂ©cembre « Ă  vie ». Il a notĂ© une augmentation de ses ventes se situant entre 10 % et 15 % par rapport Ă  la mĂȘme pĂ©riode en 2022, un mois qu’il avait alors jugĂ© « trĂšs bon ».

« Les gens savent compter, dit-il. Je pense que les restaurants apportez votre vin sont ceux qui vont souffrir le moins cette annĂ©e. On va se retrouver avec une clientĂšle qui allait peut-ĂȘtre auparavant dans des restaurants un peu plus coĂ»teux. »

Est-ce rentable ?

Sachant que la vente de cocktails, de biĂšres en fĂ»t et de vin permet aux restaurateurs d’avoir une meilleure marge de profit, le concept apportez votre vin est-il viable ? Oui, rĂ©pondent les principaux intĂ©ressĂ©s. « C’est sĂ»r qu’il faut faire du volume, souligne toutefois le chef propriĂ©taire de chez O’Thym. Si tu ne remplis pas ta salle, ça devient trĂšs difficile. On vend juste de la nourriture, donc notre marge est juste sur la nourriture. »

En contrepartie, il n’a pas besoin de tenir de l’alcool, ce qui lui Ă©vite de penser Ă  la rĂ©frigĂ©ration. Il gagne Ă©galement de l’espace. Et il a besoin de moins d’employĂ©s, affirme-t-il.

Et ceux qui croient que les assiettes des restaurants apportez votre vin sont systĂ©matiquement plus chĂšres, il s’agit d’un mythe, selon Benjamin De ChĂąteauneuf. « Je m’en tire avec beaucoup plus de profits nets parce que je transforme tout de A Ă  Z. Je vais me commander un demi-cochon et je vais le dĂ©pecer. Ma matiĂšre premiĂšre est beaucoup moins chĂšre. »

Une industrie stable

Pour le moment toutefois, le QuĂ©bec n’assiste pas Ă  une hausse phĂ©nomĂ©nale du nombre d’établissements oĂč les clients s’attablent avec une bouteille qu’ils ont prĂ©alablement achetĂ©e. « La croissance est somme toute minimale », soutient Martin VĂ©zina, vice-prĂ©sident, affaires publiques et gouvernementales, de l’Association Restauration QuĂ©bec (ARQ).

Il est toutefois difficile de trouver des chiffres prĂ©cis. En 2013-2014, la RĂ©gie des alcools, des courses et des jeux (RACJ) a accordĂ© 1698 permis Ă  ce type d’établissement contre 9587 pour les restaurants vendant de l’alcool. Le nombre de permis dĂ©livrĂ©s pour des apportez votre vin est passĂ© Ă  1744 en 2016-2017. Par la suite, la façon de comptabiliser a changĂ©, et un titulaire de restaurant qui a plusieurs salles Ă  manger peut dĂ©sormais payer un seul permis pour l’ensemble de son Ă©tablissement, au lieu de le faire pour chaque salle comme c’était le cas avant. De plus, en raison de « modifications » apportĂ©es Ă  son systĂšme informatique, la RACJ n’était pas en mesure – dans un dĂ©lai de 48 heures – de fournir les donnĂ©es entre 2019 et 2023. Impossible aussi d’avoir des chiffres pour les annĂ©es 1980 et 1990.

Le besoin est lĂ 

MalgrĂ© tout, Christian Latour, du CollĂšge MĂ©rici, croit que le besoin est lĂ  et que l’ouverture de ce genre d’établissement est « une avenue Ă  explorer ».

« Les gens veulent encore aller au restaurant. C’est juste qu’il y a des limites Ă©conomiques qui font que la frĂ©quence a diminuĂ©.

« Si un restaurant rĂ©ussit Ă  me prĂ©parer une cuisine que je ne peux pas me faire Ă  la maison et Ă  m’offrir la possibilitĂ© d’apporter mon vin, c’est sĂ»r que je deviens client. »

Difficile de savoir si l’on assistera Ă  une augmentation du nombre de restaurants apportez votre vin au cours de la prochaine annĂ©e. M. VĂ©zina ne serait toutefois pas Ă©tonnĂ© de voir certains Ă©tablissements qui tiennent de l’alcool faire des offres oĂč ils vendent Ă  l’occasion leur vin au prix de la SAQ


Caroline Dumas et Danny St-Pierre Ă  l’émission radio Midi info pour parler du remboursement du prĂȘt fĂ©dĂ©ral et de l’industrie de la restauration en gĂ©nĂ©ral

On apprend que MontrĂ©al n’est plus la ville avec le plus de restaurants par 10 000 habitants; Vancouver et Toronto l’ont devancĂ©e

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Nouveau resto appeler le Mini Punjab au style indien dans Pointe Saint Charles

Au 2527 rue Centre

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Dans l’ancien emplacement du Grumman 78

Ouverture | Estelle : nouvelle destination dans Saint-Henri


PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE
L’entrĂ©e de Salmone alla milanese, avec une mayonnaise au chili, jalapeño marinĂ©, avocat et concombre marinĂ©

L’ancien local du Grumman ’78, dans Saint-Henri, revit grĂące au nouveau restaurant Estelle. Les propriĂ©taires ont voulu en faire une destination, un peu mystĂ©rieuse, qui accueille les amoureux de la nourriture italienne.

Publié hier à 15h00
Florence Dancause
LA PRESSE

« C’est un peu comme un local abandonnĂ© et quand tu entres, tu dĂ©couvres quelque chose », explique le copropriĂ©taire Francis Rodrigue (Jellyfish, Pubjelly, Giullieta, Madame Thai). En effet, le bĂątiment, logĂ© au milieu d’un stationnement et qui a Ă©tĂ© Ă©lĂ©gamment rĂ©novĂ©, attise la curiositĂ©. DĂšs qu’on franchit la porte, on s’étonne d’y dĂ©couvrir une grande salle lumineuse.


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Les linguine aux palourdes, au topinambour et au citron


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Le cocktail Milano Cobbler


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La carte de vin a été montée par la sommeliÚre Emma Laflamme.

Le menu d’inspiration italienne a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en Ă©quipe avec le chef David Tarantini. « Au cƓur, c’est italien, et on y met d’autres choses le fun », prĂ©cise le chef, qui a travaillĂ© auparavant au restaurant Beatrice. Muni d’un gril au charbon de bois, le restaurant propose des grillades, mais aussi plusieurs plats de pĂątes et des antipasti. Les assiettes, comme les linguine aux palourdes, au topinambour et au citron et le saumon alla milanese, chassent Ă  coup sĂ»r la grisaille de l’hiver.

La carte des vins d’importation privĂ©e, montĂ©e par Emma Laflamme, met de l’avant l’Italie, la France et la Californie, avec des choix assez classiques et quelques vins nature. Le mixologue Pierre-Olivier Masaad, derriĂšre la carte des cocktails, s’est assurĂ© de mettre quelques touches d’Italie (vermouth, limoncello, amaro) dans ses crĂ©ations.


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La salle lumineuse du restaurant Estelle


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L’Estelle a fait subir une cure de rajeunissement à l’ancien local du Grumman ’78.


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Le chef David Tarantini

À l’instar de concepts dĂ©jĂ  vus Ă  Brooklyn ou Ă  Los Angeles, les propriĂ©taires ont voulu faire une adresse urbaine, un peu cachĂ©e, avec un service de voiturier. L’établissement, qui compte une centaine de places assises, doublera sa capacitĂ© avec les terrasses estivales. Le restaurant se prĂȘte donc bien aux Ă©vĂšnements d’affaires, ou mĂȘme Ă  des mariages, indiquent les proprios. Et il y aura un petit ajout pour fĂ©vrier : l’Estelle offrira le brunch.

630, rue de Courcelle, Montréal

Consultez le site web d’Estelle

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Vu dans l’infolettre du Mile-End:

Le restaurant Oncle Lee qui vient d’ouvrir sur Laurier dans le Plateau est mentionnĂ© dans le World’s 50 Best:

8 of the hottest global restaurant openings for 2024 (theworlds50best.com)

La Presse a aussi couvert l’ouverture du restaurant ici:

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Montréal en lumiÚre: la gastronomie célébrée depuis 25 ans

Sophie Ginoux
Collaboration spéciale
27 janvier 2024


Photo: Frédérique Ménard-Aubin, Montréal en lumiÚre
Le volet gastronomique de Montréal en lumiÚre se tient du 22 février au 10 mars.

Ce texte fait partie du cahier spécial Plaisirs

Dans moins d’un mois, le seul grand festival d’hiver mettant la gastronomie Ă  l’honneur en AmĂ©rique du Nord cĂ©lĂ©brera ses noces d’argent avec la mĂ©tropole montrĂ©alaise. En l’espace de 25 ans, l’aile gourmande de MontrĂ©al en lumiĂšre a Ă©tĂ© Ă  l’origine de milliers d’activitĂ©s et de la venue de plus de 700 invitĂ©s internationaux, faisant de cette ville une capitale de la bonne chĂšre, et de la scĂšne culinaire quĂ©bĂ©coise une des plus effervescentes au monde. Alors profitons de cette Ă©dition anniversaire pour revenir sur la savoureuse histoire et l’allĂ©chante programmation de cet Ă©vĂ©nement unique en son genre. À table !

Lorsque le p.-d.g. de Spectra, Alain Simard, a lancĂ© l’idĂ©e d’un Ă©vĂ©nement rassembleur qui ferait sortir les MontrĂ©alais de leur cocon en plein coeur de l’hiver, beaucoup ont trouvĂ© cette idĂ©e saugrenue. « Je ne pensais jamais que les gens allaient avoir envie de faire la java en fĂ©vrier ! Et je me suis bien trompĂ© ! » avoue l’ex-chroniqueur Jean-Philippe Tastet.

Effectivement, le festival MontrĂ©al en lumiĂšre a eu du succĂšs dĂšs sa premiĂšre tenue en l’an 2000. Et de ses trois volets proposĂ©s, c’est celui de la gastronomie qui a volĂ© la vedette. « DĂšs que la programmation sortait, 80 % des tables Ă©taient complĂštes en quelques jours. C’était fou ! » se rappelle le chef Marc De Canck, copropriĂ©taire du Restaurant La Chronique, une des bonnes tables qui ont participĂ© aux 25 Ă©ditions de l’évĂ©nement.


Photo: Jean-François Leblanc
Le mythique chef français Paul Bocuse a participé à la premiÚre édition du festival.

Le chef et ancien professeur de l’ITHQ Jean-Paul Grappe, conseiller culinaire de l’évĂ©nement pendant plus d’une dĂ©cennie, se souvient aussi parfaitement de cette petite rĂ©volution. « Les premiers chefs invitĂ©s ici pensaient que nous mangions comme des AmĂ©ricains et n’avions aucun produit distinctif, raconte-t-il. Mais ils se sont vite rendu compte que nous Ă©tions des bons vivants, et que le QuĂ©bec Ă©tait une terre de gastronomie. »

Ces chefs mĂ©dusĂ©s, dont certains iconiques comme Paul Bocuse, Alain Passard, Charlie Trotter et Anne-Sophie Pic, ont affluĂ© de tous les continents pour prĂ©senter leur savoir-faire et façonner des moments magiques en duo avec des chefs d’ici. Au fil des ans, ils ont dĂ©couvert une tonne de talents et de produits. Le foie gras et les truffes importĂ©s des dĂ©buts du festival ont peu Ă  peu cĂ©dĂ© leur place aux gibiers, poissons, crustacĂ©s, fromages fins, champignons sauvages et Ă©pices quĂ©bĂ©cois sur les menus. MĂȘme chose pour les vins et alcools locaux, de plus en plus en valeur dans les restaurants et les activitĂ©s du festival.


Photo: Jean-François Leblanc
Un atelier de cuisine avec Jean-Paul Grappe durant l’édition de 2002.

Au fil des ans, MontrĂ©al en lumiĂšre a Ă©galement Ă©tĂ© le reflet de son temps. Les nappes formelles, les toques des cuisiniers et les gants blancs des serveurs ont disparu au profit d’ambiances plus conviviales. Diverses influences l’ont aussi traversĂ©, de la cuisine française Ă  l’asiatique, en passant par la molĂ©culaire, la bistronomique, la scandinave, la borĂ©ale et l’ethnique. « Mais au-delĂ  des modes, chaque chef a sa propre signature, et je pense que globalement, nous n’avons plus rien Ă  envier aux tables Ă©toilĂ©es d’ailleurs », indique Marc De Canck.

Un avis partagĂ© par Julie Martel, Ă  la barre de la programmation du festival depuis prĂšs de sept ans. « Les grands chefs quĂ©bĂ©cois d’aujourd’hui sont souvent ceux qui travaillaient avant pour des bonnes tables de MontrĂ©al en lumiĂšre et qui rĂȘvaient de participer un jour Ă  cet Ă©vĂ©nement. Ils sont talentueux, crĂ©atifs, fiers de nos produits et porteurs de valeurs responsables. Ils sont sur une magnifique lancĂ©e
 et le meilleur est Ă  venir ! »


Photo: Jean-François Leblanc
Le chef chilien Guillermo Rodriguez dans la cuisine du Renoir en 2008

FĂȘter en grand

Pour son 25e anniversaire, MontrĂ©al en lumiĂšre n’a pas fait les choses Ă  moitiĂ©. Du 22 fĂ©vrier au 10 mars, les gourmands auront le choix entre des dizaines d’activitĂ©s, quels que soient leurs goĂ»ts et leur budget.

Soulignons tout d’abord, dans la formule duos de chefs, qu’une constellation de 25 Ă©toiles brilleront dans une cinquantaine de Bonnes Tables de la mĂ©tropole, avec la participation de grands chefs invitĂ©s comme Emmanuel Pilon (reçu au Mastard) et Glenn Viel (Ă  Maison Boulud). Plusieurs d’entre eux sont aussi les apĂŽtres d’une cuisine responsable et disposent d’une Ă©toile verte Michelin.

Du cĂŽtĂ© du Quartier gourmand, un volet commencĂ© en 2019, une vingtaine d’activitĂ©s gratuites se dĂ©clineront entre le 1er et le 9 mars en compagnie de chefs, producteurs, artisans et acteurs du milieu gastronomique. DĂ©gustations, dĂ©monstrations, confĂ©rences et 5 Ă  7 seront au programme.

Enfin, il ne faut surtout pas manquer les Ă©vĂ©nements spĂ©ciaux du 25e de MontrĂ©al en lumiĂšre. SoirĂ©es de 25 services mises en scĂšne par Nicolas Fonseca, offre de 25 brunchs le lendemain de la Nuit blanche, souper Ă  quatre mains pour les 90 ans d’Air France Ă  l’ITHQ
 Tout est en place pour rendre le festival mĂ©morable. « Je crois que cette programmation reprĂ©sente bien tout ce que MontrĂ©al a Ă  offrir d’un point de vue gourmand, confirme Julie Martel.Tout ça, c’est de la magie. Mais c’est surtout notre patrimoine culinaire, culturel et identitaire qui s’exprime Ă  son meilleur. » Un rendez-vous incontournable !

Ce contenu a Ă©tĂ© produit par l’équipe des publications spĂ©ciales du Devoir, relevant du marketing. La rĂ©daction du Devoir n’y a pas pris part.

L’ÉDITION ANNIVERSAIRE EN QUELQUES TEMPS FORTS

‱ 25 ans x 25 services (27, 28 et 29 fĂ©vrier Ă  la Maison Alcan) : un parcours sensoriel et gustatif orchestrĂ© par l’artiste pluridisciplinaire Nicolas Fonseca et trois chefs talentueux, ClĂ©ment Boivin, Jae-Anthony Dougan et StĂ©phanie Labelle. « Du vrai thĂ©Ăątre gastronomique ! » promet Julie Martel.

‱ Monarque (23 et 24 fĂ©vrier) : JĂ©rĂ©mie Bastien, Ă  la tĂȘte du restaurant de l’annĂ©e des Lauriers de la gastronomie quĂ©bĂ©coise, recevra Julien Royer (trois Ă©toiles Michelin), premier chef de Singapour Ă  se dĂ©placer au festival.

‱ O’Thym (1er et 2 mars) : Ed Tejada & Ryan Walker, respectivement chef des cuisines et des fermentations du Silo Ă  Londres, le premier restaurant sans dĂ©chets du Royaume-Uni et dĂ©corĂ© d’une Ă©toile verte Michelin, offriront avec leur hĂŽte NoĂ© Lainesse un repas dĂ©gustation Ă  l’aveugle.

‱ Rose Ross (22, 23 et 24 fĂ©vrier) : la cheffe Myriam Pelletier et son mentor Jean-Paul Grappe revisiteront ensemble cinq plats emblĂ©matiques de cet illustre cuisinier. On peut s’attendre Ă  du turbot au champagne, du gibier sauce grand veneur, ou encore Ă  des soufflĂ©s dessert.

‱ JournĂ©e autochtone (3 mars Ă  la Maison des festivals) : le Quartier gourmand consacrera une journĂ©e entiĂšre Ă  la culture culinaire des PremiĂšres Nations, avec entre autres les chefs Maxime Lizotte et Sylvestre Hervieux-Pinette, ainsi que des artistes autochtones.

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SacrilĂšge!
Des bagels sans trou 
 pour une campagne de marketing de Philadelphia (j’ai toujours pas trouvĂ© de fromage Ă  la crĂšme pour remplacer celui de LibertĂ© :sob:
 le Riviera est pas pire, mais trop crĂ©meux
 il y a Bagels Le Trou qui a dĂ©cidĂ© de faire son propre fromage Ă  la crĂšme, mais c’est dispo Ă  la succursale sur Masson seulement)

St-Viateur is selling no-hole bagels because nothing is sacred anymore

Is this a sign of the apocalypse?

David Rudin ‱ Montreal Gazette
Published Jan 30, 2024 ‱ Last updated 2 hours ago ‱ 1 minute read


Is this the future? PHOTO BY DAVE SIDAWAY /Montreal Gazette

The hole is an essential part of the bagel. Without it, a bagel is just a doughy frisbee. But what if bagels didn’t have holes, a new campaign from cream cheese maker Philadelphia bravely and/or cravenly asks?

They’ve roped in five bagel shops across North America — including St-Viateur in Montreal — to offer “a limited-edition, no-hole bagel.”

St-Viateur’s creation, which looks more like a dough spiral than a a bagel with the hole omitted, will be offered through Feb. 12. It can also be ordered online, lest people in other cities feel left out of this social experiment.

Were the people really craving a hole-less bagel?

In a press release, Philadelphia provided statements from a Kraft-Heinz brand manager and the operator of a bagel shop in Dallas suggesting people want more surface area for their cream cheese. Its marketing team also dug up some semi-serious social media posts questioning the hole.

All of these people are working very hard to invent 
 bread?

One wonders where this leaves Sesame, St-Viateur’s mascot, a somewhat anthropomorphic bagel where the hole is implicitly the mouth.

Cartoon of a bagel with arms and legs. It has eyes just over the hole, which serves as the character's mouth.

The St-Viateur Bagel mascot

Have they been told to shut it?

Liberté would never have forsaken us like this.

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Reportage à Global sur le bagel sans trou


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“It’s like a cinnamon roll and a bagel had a baby,” said Ghazal Behdad, who was visiting from the United States.

Hérésie, tout simplement.
Oui, je vais aller en acheter cette fin de semaine.

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Si tu veux plus de fromage Ă  la crĂšme sur ton bagel, mets en plus Ă©pais autour du trou

Montreal bagel shop introduces hole-less bagels

“Die-hard bagel city,” says Robert Morena of St-Viateur Bagel, as the Montreal bagel shop is part of a provocative new marketing campaign that forces people to ask a brand-new question: Is a bagel still a bagel without the hole? Swidda Rassy reports.

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they look good miam

Ça a Ă©tĂ© illustrĂ© par la crĂ©atrice de Ponto :wink:

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La nuit aprĂšs avoir lu cette nouvelle sur les bagels sans trou, j’ai fait un rĂȘve que je goĂ»tais un nouveau bagel Saint-Viateur, qui Ă©tait carrĂ©ment devenu un morceau de gĂąteau. Tout le monde trouvait ça bon, mais moi j’étais fĂąchĂ© que ce n’était pas un bagel.

Faut croire que les bagels et leur authenticité sont plus importants que je le croyais dans mon inconscient.

Je comprends Ponto.

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Fairmount aussi :sob:

Ça ressemble à un pain kaiser


Maintenant disponible pour un temps limitée
Now available for a limited time.

Sur leur page FB

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Cult MTL a publié un petit guide resto

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Il y a une succursale de Siboire qui va ouvrir Ă  la place du 3734 Notre-Dame Ouest.
Ils ont fusionnĂ© avec le local d’à cĂŽtĂ© oĂč il y a eu l’éphĂ©mĂšre Dany Pizza de Dany St-Pierre durant la Covid.

J’espùre que ça va redynamiser le quartier.

On a eu beaucoup de fermetures dans les derniers mois sur ce secteur (certains ne sont pas de grandes pertes mais quand mĂȘme) : M2, Karibu, Conceria, vrac et bocaux, Nouveau SystĂšme, Green Gazoline Burger, Pose SantĂ© (Ă  venir), la boutique de vapotage, Jerk Spot, Funktion nutrition et j’en oublie.

Il y a aussi Tacos Tin Tan qui remplace le Jerk Spot, et un autre resto de poulet Ă  la place de GGB.

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Karibu a fermĂ© en raison de la trĂšs grande hausse de loyer. C’est un immeuble Ă  Sergakis
Karibu va continuer Ă  vendre des beanbags et hammacs en ligne.

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Autant des chaĂźnes locales que des multinationales

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