Gastronomie MontrĂ©al 😋

Nouveau bar Ă  vin June dans PSC



Café Cosé


Nouveau local du café Clarke au 1207 rue shearer


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C’est une belle offre de nouveaux commerces et je leur souhaite bonne chance. Mais le problĂšme dans PSC se trouve dans la relativement faible densitĂ©, alors ca devient difficile de faire vivre tous les commerces que l’on y trouve. Si on pouvait occuper tous les terrains vacants dans l’est du quartier alors ca pourrait changer la donne.

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Il y a quand mĂȘme quelques petits projets densification dans le secteur

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Sans compter tout les projets résidentiels sur Saint-Patrick

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C’est le temps de manger des ramens.

Personnellement, j’aime bien les ramens au https://nakamichi.ca/

Le bouillon est juste ce qu’il faut en gras et goĂ»t. Et ils vendent leurs ramens congelĂ©s sous vide, qu’on peut ensuite rĂ©chauffer soit-mĂȘme en gardant le bon goĂ»t comme au resto, ça fonctionne Ă©tonnamment bien.

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Plus sur le café Cosé

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Retour de MTLĂ TABLE

MTLĂ TABLE 2023: 135 tables, autant de menus Ă  prix fixes

Sophie Ginoux
Collaboration spéciale
7 octobre 2023


Photo: Pamika Wine Room
Le nouveau Pamika Wine Room marie cuisine thaĂŻe et bons vins.

Ce texte fait partie du cahier spécial Plaisirs

À vos agendas ! La grande fĂȘte de la gastronomie de l’automne Ă  MontrĂ©al est de retour du 3 au 19 novembre. La pĂ©riode de rĂ©servation vient d’ouvrir — et les places s’envolent vite ! Qu’y a-t-il de bon au menu de MTLĂ TABLE cette annĂ©e ?

Depuis 2012, une dĂ©licieuse euphorie s’empare de la mĂ©tropole montrĂ©alaise, alors qu’une foule bigarrĂ©e de gourmands et de gourmets — plus de 92 000 en 2022 — prend d’assaut des restaurants pendant l’évĂ©nement MTLĂ TABLE. Plusieurs en ont mĂȘme fait un rendez-vous annuel, une sorte de pĂšlerinage qui leur permet de dĂ©couvrir, Ă  deux, en famille ou entre amis, de nouvelles adresses, des quartiers qu’ils connaissent moins, des cultures culinaires qu’ils n’oseraient pas expĂ©rimenter, ou encore des tables qu’ils n’auraient pas les moyens de s’offrir en temps normal.

La premiĂšre force de MTLĂ TABLE repose sans aucun doute sur la simplicitĂ© de son concept, basĂ© sur des menus de trois ou quatre services Ă  prix fixe ; cette annĂ©e, ils s’échelonneront de 38 Ă  83 $. En ces temps de contraintes budgĂ©taires, le fait de savoir Ă  l’avance combien nous coĂ»tera une sortie au restaurant est apprĂ©ciable.

MTLĂ TABLE se distingue aussi par sa grande diversitĂ©. Du bar qui sert de la nourriture au restaurant de quartier, en passant par l’hĂŽtel et la grande table ; de la steakerie nord-amĂ©ricaine typique aux cuisines du monde entier, en passant par les influences vĂ©gĂ©tariennes et vĂ©ganes, le caractĂšre pluriel de MontrĂ©al se reflĂšte parfaitement dans l’offre de l’évĂ©nement.

Suggestions gourmandes

Cette annĂ©e, la durĂ©e de l’évĂ©nement a Ă©tĂ© allongĂ©e, s’échelonnant sur six soirs, et il propose un choix de 135 restaurants diffĂ©rents, soit 21 de plus que l’an dernier. Pour les petits budgets, les options de menu Ă  38 $ comprennent des restaurants italiens tout Ă  fait recommandables comme le BEVO, Il Bazzali (chant lyrique du chef en prime) et Aqua E Farina, les adresses mexicaines La Toxica et La Catrina, ainsi que Bonheur d’occasion, un nouveau venu dans Saint-Henri qui fait dĂ©jĂ  partie du top 30 des meilleurs nouveaux restaurants d’Air Canada enRoute.

En grimpant Ă  des menus Ă  53 et 68 $, les propositions se multiplient et empruntent toutes les avenues. Nous y croisons notamment le gĂ©nĂ©reux Caribou gourmand, les rĂ©confortants Enfants terribles, les brasseries Ă  la française Chez LĂ©vĂȘque et le Boulevardier, le grouillant Waverly (avec une toute nouvelle dĂ©co), les branchĂ©s Richmond et Kamuy, les travaillĂ©s h3 et Bivouac (Ă  un trĂšs bon rapport qualitĂ©-prix pour l’occasion), ainsi que les vĂ©ganes LOV et Bistro Tendresse. Attention, le dĂ©licieux Palomar auquel nous avons consacrĂ© un article, ainsi que d’autres adresses rĂ©centes Ă  tester comme le Pamika Wine bar (pour les amateurs de cuisine thaĂŻe et de bons vins associĂ©s) Stanley, l’Umami et le Kitchen Galery (avec de nouveaux propriĂ©taires) font aussi partie de ces catĂ©gories mĂ©dianes.

Enfin, pour se gĂąter avec un menu Ă  83 $, il est possible de se rendre Ă  des restaurants plus haut de gamme, Ă  l’image du Renoir, du Lawrence et du Garde CĂŽte. Si vous ne l’avez jamais testĂ©, il y a aussi le Ratafia dans cette gamme de prix, aussi crĂ©atif dans le salĂ© que le sucrĂ©.

Les intĂ©ressĂ©s doivent rĂ©server sans attendre, car les places s’envolent vite !

Ce contenu a Ă©tĂ© produit par l’équipe des publications spĂ©ciales du Devoir, relevant du marketing. La rĂ©daction du Devoir n’y a pas pris part.

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Sur le site de l’ancienne Maison Publique

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Le fameux Piment Rouge a rouvert au RDC du projet Le 495 (rue Beaumont) dans Parc-Ex !

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Sur le resto June

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Un article sur le restaurant/bar qui a pris la place du Agrikol:

On y lit aussi que les mĂȘmes propriĂ©taires ont aussi achetĂ© l’édifice adjacent (ex Ti-Agrikol) pour y installer un autre projet l’an prochain.

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Les restaurants montrĂ©alais doivent s’adapter Ă  l’inflation

Des cuisiniers préparent des assiettes.
La survie des restaurants indĂ©pendants, qui sont devenus la marque de commerce de la scĂšne culinaire montrĂ©alaise, est menacĂ©e par l’inflation.
PHOTO : ISTOCK / WIRESTOCK

La Presse canadienne
Publié hier à 20 h 34 HAEMis à jour hier à 21 h 03 HAE

Tandis que les restaurateurs montrĂ©alais sont soumis Ă  la hausse de leurs coĂ»ts d’exploitation et aux dĂ©lais imminents pour rembourser les prĂȘts qui leur ont Ă©tĂ© accordĂ©s pendant la pandĂ©mie, la cheffe bien connue Dyan Solomon avoue ĂȘtre inquiĂšte pour l’avenir de la cĂ©lĂšbre scĂšne gastronomique de la mĂ©tropole.

Selon Mme Solomon, qui est propriĂ©taire de trois restaurants, les loyers abordables de MontrĂ©al ont longtemps permis aux chefs d’ouvrir leurs propres restaurants. Et grĂące Ă  une Ă©conomie vigoureuse, les gens avaient l’habitude de sortir manger au restaurant.

Toutefois, Ă  mesure que les loyers augmentent, au mĂȘme moment que le coĂ»t des aliments et de la main-d’Ɠuvre, elle craint que les restaurants indĂ©pendants, qui sont devenus la marque de commerce de la scĂšne culinaire montrĂ©alaise, ne puissent survivre bien longtemps.

C’est vraiment triste, mais ça ressemble un peu Ă  ce qui va se passer, a-t-elle mentionnĂ© en faisant rĂ©fĂ©rence Ă  un monde oĂč il y aurait bien peu d’options entre la restauration rapide et les restaurants gastronomiques les plus dispendieux.

Mme Solomon, qui a ouvert son premier restaurant, Olive et Gourmando, dans le Vieux-MontrĂ©al, il y a 25 ans, n’a jamais rien vu de comparable aux augmentations de prix qui sĂ©vissent actuellement, qui ont fait grimper le coĂ»t de littĂ©ralement tout de 20 Ă  30 %.

Les restaurateurs sont en difficultĂ©, les entreprises sont en difficultĂ©, mais on sait aussi que nos clients sont en difficultĂ©. Donc, c’est vraiment difficile d’y trouver son compte.

Une citation de Dyan Solomon, cheffe propriétaire de restaurants à Montréal

La cheffe qui possĂšde Ă©galement le Foxy, Ă  l’ouest du centre-ville, et le Un Po Di Piu, dans le Vieux-MontrĂ©al, s’est bĂąti une rĂ©putation en travaillant avec des fournisseurs locaux.

Elle s’engage Ă  maintenir la qualitĂ© de son produit, mais prĂ©vient que d’autres restaurateurs pourraient ĂȘtre tentĂ©s d’utiliser des ingrĂ©dients de moindre qualitĂ© pour maintenir leurs prix stables.

Portrait de Dyan Solomon.
La cheffe Dyan Solomon dirige les restaurants Foxy et Un Po Di Piu, en plus du café Olive et Gourmando, à Montréal.
PHOTO : RADIO-CANADA / ALEXIS BOULIANNE

InquiĂ©tude sur le remboursement des prĂȘts

Dominique Tremblay, qui est porte-parole de l’Association Restauration QuĂ©bec, a soulevĂ© que plusieurs de ses membres se sont retrouvĂ©s sans les fonds nĂ©cessaires pour rembourser les prĂȘts du gouvernement fĂ©dĂ©ral qui ont Ă©tĂ© octroyĂ©s pendant la pandĂ©mie de COVID-19.

Les gens sortent moins et veulent dĂ©penser moins lorsqu’ils le font, a-t-elle indiquĂ©. Et le temps pluvieux de l’étĂ© n’a fait qu’exacerber le problĂšme.

Ces prĂȘts doivent ĂȘtre remboursĂ©s avant le 18 janvier, une date limite rĂ©cemment reportĂ©e, alors qu’elle avait d’abord Ă©tĂ© fixĂ©e au 31 dĂ©cembre.

Le compte d’urgence pour les entreprises canadiennes (CUEC) pouvait atteindre 60 000 $. Les entreprises ont jusqu’au 18 janvier pour rembourser 40 000 $ à Ottawa. Si elles y arrivent, les 20 000 $ restants seront convertis en subvention. Sinon, elles devront rembourser 60 000 $ en trois ans.

Nous avons perdu 4000 restaurants depuis le dĂ©but de la pandĂ©mie, et il y en aura peut-ĂȘtre d’autres qui vont fermer.

Une citation de Dominique Tremblay, porte-parole de l’Association Restauration QuĂ©bec

Mme Tremblay ajoute que son organisation souhaite que le dĂ©lai soit prolongĂ© jusqu’à la fin de 2024.

Un homme vĂȘtu d'un tablier tend un terminal de paiement.
Depuis la pandémie, les consommateurs dépensent moins dans les restaurants.
PHOTO : GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO / MAX-KEGFIRE

S’adapter au contexte Ă©conomique

Malgré les vents économiques défavorables, de nouveaux restaurants ouvrent toujours à Montréal. Andrew Whibley et Pablo Rojas, qui ont récemment ouvert le Bar Dominion, au centre-ville, affirment que leur nouvel établissement a été façonné par le climat économique.

Les deux copropriétaires tentent de séduire un large marché, avec des prix plus bas et des promotions pour garder leur établissement plein.

C’est uniquement possible parce que nous avons la chance d’ĂȘtre au centre-ville, oĂč nous savons que nous pourrons atteindre le volume dont nous avons besoin pour joindre les deux bouts. Mais si vous deviez faire ça Ă  plus petite Ă©chelle, je ne suis pas sĂ»r que ce serait possible.

Une citation de Pablo Rojas, copropriétaire du Bar Dominion

M. Rojas, qui est Ă©galement copropriĂ©taire de Provisions, un « steak house », ainsi que d’une boucherie voisine du mĂȘme nom qui sert des sandwichs, a expliquĂ© que s’adapter Ă  des coĂ»ts plus Ă©levĂ©s pourrait signifier d’utiliser des coupes de viande moins chĂšres, de servir des portions plus petites et de trouver des moyens d’économiser de l’argent sur les emballages Ă  emporter.

Il a aussi affirmĂ© qu’il aimerait voir le gouvernement fĂ©dĂ©ral annuler les prĂȘts, et qu’il les considĂšre comme un coĂ»t ponctuel nĂ©cessaire pour maintenir les entreprises Ă  flot et protĂ©ger les emplois.

En fin de compte, c’est le personnel qui sera perdant. Ce sont des gens qui attendaient une augmentation, qui mĂ©ritent une augmentation, qui ne l’obtiendront pas parce qu’il n’y a plus d’argent.

Une citation de Pablo Rojas

La qualité toujours au rendez-vous

Le journaliste culinaire montrĂ©alais J.P. Karwacki a pour sa part remarquĂ© une hausse des prix sur les menus, et des restaurants qui s’adaptent en rĂ©duisant leurs heures d’ouverture. Mais il n’a pas constatĂ© de baisse de la qualitĂ© des plats.

Les repas multiservices à prix fixe ainsi que les aliments réconfortants pourraient devenir plus courants sur les menus montréalais, a-t-il indiqué, tout comme les menus plus courts, parce que les restaurateurs cherchent à maintenir un contrÎle plus strict de leurs stocks.

Il estime toutefois que manger au restaurant est trop profondément ancré dans la culture montréalaise pour que les gens abandonnent complÚtement ces endroits.

On aime aller au restaurant, on aime aller dans les bars, on aime se rassembler. Et je serais trĂšs surpris si c’était une chose que nous Ă©tions prĂȘts Ă  sacrifier. La question est de savoir comment cela va changer.

Une citation de J.P. Karwacki, journaliste culinaire montréalais

Mme Solomon s’adapte, se tourne vers des menus plus petits qui nĂ©cessiteront moins de personnel de cuisine et s’inspire des influences asiatiques pour rĂ©duire l’utilisation d’ingrĂ©dients de plus en plus chers qui Ă©taient des incontournables de son menu, comme le fromage.

MĂȘme si les salles Ă  manger semblent revenues Ă  la normale aprĂšs les jours sombres de la pandĂ©mie, peu de restaurateurs ont rĂ©ussi Ă  se remettre financiĂšrement des fermetures, a-t-elle dit.

Je pense que l’hypothĂšse est que tout va bien maintenant, et ce n’est vraiment pas vrai. Il faudra trĂšs longtemps pour se remettre de ce genre de dĂ©sastre financier pour les restaurants, a-t-elle conclu.

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Un menu plus petit, ce n’est pas un mal. Ce sont des plats plus maĂźtrisĂ©s. Peut-ĂȘtre une occasion de faire une rotation saisonniĂšre des plats, et ancrer ce qu’on mange avec les produits du moment. De plus en plus, les longs menus sont pour moi un doute sur la maĂźtrise et la qualitĂ©, et non un avantage.

À l’opposĂ©, les portions plus petites finissent par gĂącher l’expĂ©rience du restaurant. C’est bien beau se cacher derriĂšre les tapas pour justifier de tous petits plats, on voit apparaĂźtre des restaurants qui encouragent Ă  partager des assiettes avec trois champignons dedans
 Un plat doit quand mĂȘme avoir un peu de prĂ©sence pour pouvoir en profiter.

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Sabayon sur la rue centre



https://sabayon.ca/

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Le restaurant s’installe dans le local d’un resto thaĂŻ endommagĂ© par un feu sur Saint-Denis, tout juste Ă  cĂŽtĂ© d’un autre restaurant par le mĂȘme propriĂ©taire (Barranco).

C’est le troisiĂšme restaurant de Fidel Vasquez dans le Plateau, tous ouverts assez rĂ©cemment. Ses affaires semblent bien fonctionner, les deux premiers restos sont toujours pleins quand je passe devant. J’ai essayĂ© Nikkei, c’était un bon menu et de bons cocktails. J’avais trouvĂ© le prix un peu Ă©levĂ© pour le niveau cependant, par rapport Ă  d’autres options du quartier. On verra bien pour le troisiĂšme!

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J’ai travaillĂ© quelques semaines au Barranco et je ne sais pas si c’est mieux depuis, mais Ă  l’époque la qualitĂ© des produits Ă©tait horrible et c’était pratiquement une usine Ă  ceviche avec du poisson congelĂ© alors que le menu disait poisson du jour
 ils ne font presque rien sur place, tout est produit dans une cuisine centrale de production, mĂȘme chose pour le Nikkei.

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Merci de l’info, toujours bon de savoir ce qui se passe derriùre les portes des cuisines! Ou de la cuisine centrale


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Il me semble qu’il y a beaucoup de restaurants mexicains et/ou latinos sur la rue Saint-Denis. Ils ne vont pas tous survivre, c’est certains. D’ailleurs il y en 2 ou 3 qui sont toujours vides, je n’ai aucune idĂ©e comment ils peuvent rester ouvert aussi longtemps.

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