Exo - Discussion générale

Tant qu’on a pas d’alternative viable, on ne peut pas le laisser mourir de sa belle mort.

Quoique ce projet est un éléphant blanc, le milliard qui y a été investi jusqu’à présent mérite qu’on se penche sur son amélioration plutôt que son abandon.

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En même temps, il ne semble pas s’agir d’un acronyme, donc l’usage des minuscules est correcte.

Selon ton expertise, qu’est ce que tu penses que exo peut faire dans un cas comme celui-ci où le sous-traitant n’arrive pas à fournir ce qu’il faut?

Il n’y a pas plein de solutions simples malheureusement. Structurellement, le marché de l’emploi de chauffeurs fait face à plusieurs problèmes: une main-d’œuvres âgé (et perturbé par la Covid), des salaires bas, des conditions mauvaises (split-shift, quarts de nuit) et la menace constante de l’automatisation (pas le facteur le plus important, mais pourquoi se faire former quand on ne cesse de se faire dire qu’on va se faire remplacer par un algorithme?).

exo est doublement affectée parce qu’elle subit la concurrence des autres sociétés de transport qui offrent des biens meilleurs salaires. Qui plus est, son modèle d’affaire encourage des soumissions qui assurent de bas salaires (j’ai vu des postes de chauffeurs à La Québécoise qui débutaient à 14,50$/h).

Maintenant, quoi faire? exo peut inclure des clauses de rémunération dans ses prochains appels d’offres, elle peut appliquer des pénalités financières costaudes aux transporteurs qui sautent des départs à répétition (ce qu’elle ne fait jamais, même avec des problèmes connus et de longue date), indiquer quel lignes sont prioritaires pour du délestement et elle peut aussi s’occuper d’une partie du recrutement (ce qu’elle a commencé à faire) et de la formation de main d’œuvre.

En gros, à court terme, pas grand chose, donc ça va continuer de faire mal.

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Il y a aussi une vidéo sur le site du Devoir

Le transport en commun en banlieue de Montréal en perte de vitesse

Zacharie Goudreault
28 février 2023
Transports / Urbanisme

L’organisme de transport Exo appréhende de sombrer dans une « spirale de décroissance » s’il n’obtient pas les sommes nécessaires de la part de Québec pour bonifier son offre de service, la voiture gagnant du terrain en banlieue de Montréal.

À un peu moins d’un mois du dépôt du prochain budget du gouvernement Legault, Exo, qui gère les cinq lignes de trains de banlieue de la grande région de Montréal ainsi que 226 lignes de bus, lance un cri du coeur à Québec. Si l’organisme de transport n’obtient pas rapidement une somme de 29,8 millions de dollars pour équilibrer son budget 2023, il risque de devoir réduire son offre de service, déjà revue à la baisse dans le contexte de la pandémie. Une solution de « dernier recours » que souhaite éviter à tout prix le directeur général d’Exo, Sylvain Yelle.

« C’est la dernière affaire qu’on veut, mais si jamais l’argent n’était pas là, il faudrait envisager de réduire les coûts, y compris dans l’offre de service », prévient-il en entrevue au Devoir.

Cette année, l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) a indexé de 3 % la somme accordée à Exo pour financer son offre de service. Or, l’organisme fait affaire avec plusieurs transporteurs privés dont les contrats ont été indexés de 6,8 % cette année, inflation oblige. « Et donc, l’écart fait en sorte qu’on n’est pas capables de couvrir les coûts de l’offre de service », indique M. Yelle, qui note que la croissance du prix du carburant fait aussi mal aux finances d’Exo.

En 2020, l’organisme de transport avait réduit en moyenne de 10 % son offre de service dans les couronnes nord et sud de Montréal. Celle-ci a progressivement repris depuis le début de la pandémie, sans toutefois jamais atteindre le niveau de 2019. « Nous avons limité les embauches, réduit le personnel occasionnel et mis en pause certains projets de manière à rationaliser les dépenses », détaille ainsi Exo dans un mémoire déposé dans le cadre des consultations prébudgétaires à Québec.

L’organisme estime ainsi avoir atteint « la limite des économies réalisables sans sabrer […] les services », ajoute le mémoire. Or, les usagers des services d’Exo attendent déjà en moyenne 20 minutes de plus entre chaque passage de bus par rapport aux usagers de la Société de transport de Montréal (STM).

« On parle d’un temps d’attente qui peut être de 20, 30 ou 40 minutes, parfois des fréquences toutes les heures. Donc, réduire l’offre de service quand on a déjà des fréquences comme ça, on risque de tomber dans une spirale où les gens abandonnent le transport collectif », appréhende le directeur général d’Exo.

Une inquiétude que partage le directeur général du Réseau de transport de Longueuil (RTL), Michel Veilleux, qui craint lui aussi de devoir réduire la fréquence sur certaines de ses lignes de bus moins achalandées s’il n’obtient pas un soutien financier additionnel de 8 millions de dollars de la part du gouvernement Legault. Or, « les gens, quand on coupe dans le service, ils quittent le transport en commun pour retourner à l’auto. Et ils sont très difficiles à récupérer », prévient M. Veilleux.

De nouveaux besoins

Actuellement, les bus et les trains d’Exo bénéficient de 75 % de l’achalandage d’avant la pandémie, tandis que le recours à la voiture continue de gagner du terrain en banlieue de Montréal depuis le début de la pandémie.

Pour s’attaquer à ce problème, Sylvain Yelle propose d’améliorer les dessertes locales par bus à l’intérieur des couronnes nord et sud de la métropole, qui ont connu une croissance démographique rapide au cours des dernières années.

Les données d’Exo font d’ailleurs état d’une croissance dans les dernières années des déplacements liés au travail à l’intérieur même des couronnes, tandis que ceux en direction du centre-ville de Montréal ont diminué. L’organisme de transport souhaite ainsi ramener son offre de service à un niveau équivalent à celui d’avant la pandémie, mais dans le cadre d’un réseau de lignes de bus révisé pour répondre aux changements effectués dans les habitudes de déplacements de ses usagers, à l’ère du télétravail.

« On le voit, la demande est forte à l’intérieur même des couronnes. Donc, si on veut aller retrouver l’achalandage, il faut bonifier l’offre de service, en particulier à l’intérieur même des couronnes, avec des dessertes qui ne sont pas réalisées aujourd’hui parce que ce besoin existait moins en 2019 », explique M. Yelle.

En ce sens, Exo réclame une somme de 10 millions de dollars pour l’année 2023 ainsi qu’une somme annuelle de 15 millions par année pendant cinq ans, afin d’amorcer un « rattrapage historique » qui représenterait une croissance de 5 % de son offre de service par année. L’organisation réclame également des fonds additionnels pour faciliter l’implantation de nouvelles dessertes en bus autour de la future gare du Réseau express métropolitain (REM) à Deux-Montagnes ainsi que sur la Rive-Sud dans la région de Montréal.

« On ne veut pas s’asseoir sur le fait qu’on a perdu de l’achalandage. Au contraire, on devrait mettre en place des services qui répondent aux nouveaux besoins de déplacement et aller gagner cet achalandage-là et les revenus qui vont venir avec aussi », estime Sylvain Yelle.

Une situation « préoccupante »

Il n’y a d’ailleurs pas qu’Exo et le RTL qui éprouvent des problèmes financiers. À Montréal, la STM a annoncé mardi dernier un plan de réduction de ses dépenses de 18 millions de dollars afin de faire passer le manque à gagner dans son budget de 78 à 60 millions.

La Société de transport de Laval (STL) appréhende pour sa part que la hausse du coût du carburant et l’indexation des salaires entraînent « une augmentation significative de son budget pour 2024, ce qui pourrait mettre à risque la livraison de son service », indique-t-elle par courriel*.* La STL demande ainsi à Québec d’augmenter « de façon significative » les sommes destinées à l’exploitation du transport collectif dans la province.

« La situation est préoccupante dans l’ensemble des sociétés de transport. Tous les secteurs sont touchés par le problème structurel du financement du transport collectif », constate ainsi la directrice générale de Trajectoire Québec, Sarah V. Doyon.

L’ARTM évalue pour sa part à un demi-milliard le manque à gagner des sociétés de transport de la grande région de Montréal, en 2023.

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Nouvelle reprise par Radio-Canada

Exo lance un cri d’alarme pour demeurer à flot

L’organisme réclame 29 millions de dollars au gouvernement québécois afin de boucler son budget pour 2023.


Exo laisse entendre que son offre de service pourrait diminuer si Québec ne remplit pas ses coffres rapidement. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS

Radio-Canada
Publié à 10 h 57

La baisse de l’achalandage et la popularité du télétravail continuent de compliquer la vie des opérateurs de transport en commun du Grand Montréal, qui peinent à équilibrer leurs finances.

Cette fois, c’est au tour d’exo, le réseau de transport métropolitain, de lancer un cri d’alarme non seulement pour demeurer à flot, mais également pour avoir les moyens d’adapter son offre de service à la nouvelle réalité post-pandémique.

L’organisme public réclame d’abord 29 millions de dollars à Québec pour boucler le budget de cette année, a confirmé mardi son directeur général, Sylvain Yelle, à l’émission Tout un matin, sur ICI Première.

Cette somme fait partie du manque à gagner d’un demi-milliard de dollars identifié par l’Agence régionale de transport métropolitain (ARTM) pour l’année qui vient, a-t-il précisé.


L’achalandage du train de banlieue, comme de tous les modes de transport en commun, a décru pendant la pandémie, sans jamais revenir à la normale par la suite.
PHOTO : RADIO-CANADA / CHARLES CONTANT

Afin de faire valoir son point de vue, exo a déposé un mémoire dans le cadre des consultations prébudgétaires du gouvernement Legault, a indiqué Sylvain Yelle, mardi.

Des démarches auprès de la vice-première ministre et ministre des Transports, Geneviève Guilbault, ont également été faites, a-t-il ajouté, assurant que la principale intéressée avait fait preuve de beaucoup d’écoute.

C’est qu’exo souhaite non seulement convaincre le gouvernement de renflouer ses coffres, mais aussi l’amener à lui octroyer les sommes qui seront nécessaires dans les prochaines années pour adapter ses services aux nouveaux besoins de mobilité, explique M. Yelle.

On le voit, dans les couronnes en particulier, les gens se déplacent moins vers le centre-ville de Montréal [en raison du] télétravail. Mais il y a des déplacements qui augmentent à l’intérieur même des couronnes, et les services actuels ne sont pas adaptés pour ces besoins-là, souligne-t-il.

« Ce qu’on dit, c’est qu’avec le financement [adéquat], on pourrait justement ajouter, développer et modifier les services existants pour répondre à ces besoins-là, qui ne sont pas [comblés] en ce moment, et qui ramèneraient un niveau d’achalandage plus élevé que ce qu’on vit en ce moment. »

— Une citation de Sylvain Yelle, directeur général d’exo

La réponse de Québec à cet appel à l’aide viendra avec le dépôt du budget du ministre des Finances, Eric Girard, le 21 mars.

Exo est une marque officielle déposée par le Réseau de transport métropolitain (RTM). Ce dernier gère six lignes de trains de banlieue dans le Grand Montréal, ainsi que 200 parcours d’autobus, dans les Laurentides et en Montérégie.

Exo n’est pas le seul opérateur de la région métropolitaine à prévoir un déficit pour l’année qui vient. La Société de transport de Montréal (STM) a fait savoir la semaine dernière qu’elle était elle aussi à la recherche de 18 millions de dollars afin d’équilibrer son budget pour 2023.

Est-ce que les stationnements appartiennent à exo ou l’ARTM? Les abords de la gare Terrebonne est apparemment zoné TOD, mais reste un boisé et un immense stationnement depuis des années.

La grande majorité des stationnements d’exo (dont Terrebonne) appartient à exo.

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Un nouveau réseau d’autobus exo sur la couronne sud


Des usagers de bus Exo.
Photo: Courtoisie/Exo

Naomie Gelper
2 mai 2023 à 15h57 - Mis à jour 2 mai 2023 à 17h53 3 minutes de lecture

Les usagers du transport en commun de la couronne sud peuvent maintenant bénéficier d’un nouveau réseau d’autobus exo dans les secteurs Chambly-Richelieu-Carignan et Le Richelain-Roussillon. En plus d’améliorer les déplacements locaux et intermunicipaux, ce nouveau réseau offrira des trajets directs vers le REM, et ce, dès sa mise en service.

Selon les chiffres d’exo, plus de 100 000 résidents seront connectés au REM en moins de 30 minutes grâce à ses 66 lignes de bus complètement repensées et renumérotées, ainsi que ses 25 lignes directes jusqu’au REM. En tout, ce sont 1100 arrêts qui ont été modifiés, incluant l’installation de 230 nouveaux arrêts.

Environ 20 000 résidents supplémentaires auront accès au service autant en heure de pointe qu’en dehors de l’heure de pointe à seulement 8 minutes de marche de leur domicile, assure exo dans un communiqué publié mardi après-midi.

«Exo a saisi l’opportunité de l’arrivée du REM pour adapter son service aux nouveaux besoins en mobilité de la population, notamment en termes de déplacements locaux», déclare la directrice exécutive – Engagement clients, partenaires et Innovation en mobilité d’exo, Marie Hélène Cloutier.

Elle est d’avis que cette refonte du réseau attirera une nouvelle clientèle «qui aura dorénavant de bonnes raisons de laisser l’auto à la maison pour privilégier le transport collectif».

Service local amélioré

En effet, le réseau d’autobus a été complètement repensé pour répondre aux nouveaux besoins en déplacement de la clientèle des secteurs Chambly-Richelieu-Carignan et Le Richelain-Roussillon. Ces derniers touchent les municipalités de Carignan, Chambly, Marieville, Richelieu, Saint-Mathias-sur-Richelieu, ainsi que Candiac, Delson, La Prairie, Sainte-Catherine, Saint-Constant, Saint-Mathieu et Saint-Philippe.

De plus, le nouveau réseau d’autobus offrira des heures de service élargies et une plus grande fréquence en période hors pointe et la fin de semaine. Les centres commerciaux, les centres de service de santé et les quartiers industriels seront également mieux desservis par le réseau d’autobus, souligne exo.

Correspondances au REM

Par ailleurs, les autobus qui empruntaient le pont Samuel-De Champlain transporteront désormais les clients à l’une des stations du REM à Brossard. De là, les usagers pourront se rendre au centre-ville de Montréal ou effectuer un transfert vers d’autres destinations sur la couronne sud.

Les terminus Brossard et Panama deviennent donc des lieux de correspondances avec les autobus du Réseau de transport de Longueuil (RTL) et vers d’autres secteurs d’exo, améliorant ainsi la mobilité sur la couronne sud en évitant des détours par l’île de Montréal.

Cette refonte est le résultat de quatre années de travail et de consultations auprès de la population. Une campagne d’information sera lancée 30 jours avant la mise en service du REM et des agents d’information seront présents dans les terminus pour informer les usagers et répondre à toutes leurs questions.

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J’étais au terminus de bus exo de St Eustache, en train de me résigner à marcher jusqu’à chez moi, parce que sans internet et sans aucune carte il m’était impossible de retrouver quelle est la ligne de bus qui allait dans ma direction^[1]
En plus de m’énerver de ce terminus de bus qui n’est même pas capable d’avoir le moindre service utile comme une machine à billets ou des cartes, ça m’a motivée à imprimer moi même ces cartes et à les mettre au terminus, et tant qu’à faire aux arrêts du coin.
Et c’est maintenant que je me rends compte : c’est moi ou une carte du réseau de bus exo n’existe tout simplement pas?
J’ai googler ça à gauche a droite, mais les seules ressources que je trouve c’est les calculateurs d’itinéraires de chrono et exo, mais pas de carte qui permet de voir toutes les options en même temps.
Donc avant de me lancer droit dans une mission de cartographie et résoudre le problème moi même, quelqu’un sait si ces cartes existent quelque part, ou on est vraiment dans une situation ou exo a juste jamais fait l’effort de cartographier son réseau?

[1] A moins de genre, demander à quelqu’un, mais ça demande une interaction sociale, autant dire que c’est impossible /s

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Il n’y a plus de cartes papier depuis un moment je pense. J’ai, tout juste à ma droite, un pamphlet horaires-cartes d’exo Roussillon datant d’août 2018, je n’ai pas réussi à en trouver des plus récents.

Je n’ai pas d’internet non plus, mais l’application Chrono est utilisable sans internet. Toutes les lignes et arrêts y sont affichés, ainsi que les heures de tous les passages sans internet. Il n’est toutefois pas possible de voir les messages d’avertissements ou la localisation en temps réel, sauf que ce n’est vraiment pas dérangeant.

Pour y avoir travaillé quelques années, je te confirme qu’il n’y a jamais eu d’effort en ce sens. Je cite de mémoire un certain gestionnaire: “Plus personne utilise le papier, les plans de réseaux c’est du passé” :roll_eyes:

Pour être généreux il faut dire qu’il y a quelque chose comme 9 lignes #1 (ainsi que plusieurs autres lignes qui partagent le même numéro), donc s’aurait été probablement peu utile pour ceux qui on vraiment besoin. L’échelle du réseau n’aidant pas à faire des cartes super lisibles non plus.

Finalement il y a toute la question de “secteurs” qui est encore malheureusement présente dans exo. exo n’est encore à ce jour pas un réseau unifié, mais bien plusieurs secteurs qui logent sous un même logo.

Mais en même temps, le fait de juste plus faire de cartographie de réseau est vraiment déplorable. Ce n’est pas une dépense extravagante pour un optc de le faire et c’est outil vraiment plus versatile qu’il n’y parait. Ceci dit, si quelqu’un veut s’amuser avec les gtfs et qGIS ça serait pas super difficile à réaliser.

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Ça n’empèche pas Sherbrooke de produire une carte du réseau et de chaque circuit disponible sur le site web.

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transit.land donne aussi des cartes générés de GTFS. C’est ce que j’utilise pour naviguer les routes d’EXO.
Malheureusement, il y a des systèmes qui ne publient pas de GTFS non-plus. Le société de transport de sallaberry-de-valleyfield est une bonne exemple.

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Je trouve des plans du réseau sur le site Exo. Il faut creuser un peu profondément, mais ils sont là!

Il faut aller dans le site de la région, puis cliquer sur “informations” et “plan du réseau”. Un exemple ici : Exo - Secteur Laurentides

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Il n’y a que les vieux plans du Secteur Laurentides et l’Assomption qui ont été conservés parce que ces CIT avaient encore les données de leurs plans dans leurs serveurs. On le remarque au fait que le fond de plan, la mise en page et les polices utilisées dans les deux cas sont différents. Même que sur le plan du secteur l’Assomption, on voit encore le logo du RTCR. Dans le secteur Laurentides, on ne voit pas les navettes mises en place pour pallier à la fermeture de la ligne Deux-Montagnes.

Ces plans dates d’avant la loi entraînant la fusion des divers CIT pour créer exo, donc ils datent d’avant 2017.

Merci bien ! C’est bien d’avoir ça, même si c’est une carte de bus illisible à la sauce STM, ça sera une bonne référence pour moi pour faire une carte plus schématique du réseau autour du terminus

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Probably one of his worst videos in a long while. He makes a lot of good points, but he really goes off the rails when he starts suggesting routes. Its clear that he does not have much knowledge of the geography near Lucien L’Allier.

4:30 One thing that I definitely disagree on is routing all trains to Lucien L’Allier. Exo 3 would be extremely hard to route into Lucien L’Allier. Given the density of infrastructure in the corridor, I just don’t think its realistic to attempt to build a tunnel portal anywhere between Lucien L’Allier and Vendôme. The existing metro tunnels cross the line 3 times and there are multiple ramps going under the right of way of the rail corridor. It would have to be done with a surface line which would require demolishing a lot of buildings. There’s no way the population is ever going to allow that.
4:45 Forget a TOD anywhere near the Victoria bridgehead. Those are some of the most contaminated terrains in Canada. They are absolutely full of oil. There are pumping stations in a line to intercept all of that oil, and its going to take a very long time to get most of it. That portion of the land will remain industrial for the foreseeable future.
7:00 Lucien L’Allier already has planned upgrades that include a canopy.
10:20 That sounds great, but it just isn’t possible. I’m not going to go through the long list of reasons why, but Lucien L’Allier is pretty much condemned to remain a terminal station.

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EHHMM don’t you mean “Ligne 13?” (That’s a joke, I’m not serious lol)

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