La rue murray devenu piétonne au niveaux de l’ETS est maintenant très agréable avec la végétation qui est devenu mature
Avant
La rue murray devenu piétonne au niveaux de l’ETS est maintenant très agréable avec la végétation qui est devenu mature
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Faut vraiment que je retourne me ballader dans ce quartier…
L’ÉTS a refait l’aménagement des fosses de plantation du côté Ouest avec des plantes mellifères (pour les insectes polinisateurs). Il y a des panneaux qui expliquent les différentes espèces, et aussi un qui explique le toit vert du Pavillon E.
Il reste à aménager la bordure du Pavillon D, car ça fait un peu dur avec le mélange de petites roches.
Il s’est tellement amélioré au cours des dernières années. C’est encore un WIP, mais il offre déjà une expérience de marche plus agréable que plusieurs vieux quartiers de Montréal.
Un message a été fusionné à un sujet existant : Aménagements estivaux
Réservée aux piétons depuis le 3 juin, la rue Wellington, à Verdun, pourrait-elle être interdite aux véhicules de façon permanente ? Les citoyens seront consultés sur cette possibilité, à la suite d’une proposition appuyée par une pétition de plus de 3000 noms, qui ne fait toutefois pas l’unanimité auprès des commerçants.
PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, ARCHIVES LA PRESSE
La rue Wellington
Réservée aux piétons depuis le 3 juin, la rue Wellington, à Verdun, pourrait-elle être interdite aux véhicules de façon permanente ? Les citoyens seront consultés sur cette possibilité, à la suite d’une proposition appuyée par une pétition de plus de 3000 noms, qui ne fait toutefois pas l’unanimité auprès des commerçants.
Publié à 1h24 Mis à jour à 6h00
« La piétonnisation de la rue l’été, on sait que ça améliore la vie quotidienne de tout le monde dans l’arrondissement », affirme Chris Bitsakis, un Verdunois qui a lancé au printemps 2023 la campagne et la pétition pour la piétonnisation de la rue à l’année.
« C’est une zone de rencontre sociale pour les citoyens, on y croise des voisins. Personnellement, j’y vais presque chaque jour. Et c’est une façon de combattre les changements climatiques », ajoute-t-il.
La piétonnisation estivale de la principale artère commerciale de Verdun en est à sa cinquième édition.
« Il y a une très forte adhésion des citoyens, et la demande pour qu’elle soit piétonne à l’année, c’est une déclaration d’amour d’une partie de la population qui en voudrait plus que trois mois », remarque Marie-Andrée Mauger, mairesse de l’arrondissement de Verdun. « Mais cette proposition ne fait pas l’unanimité. »
En effet, certains commerçants sont fortement opposés à cette éventualité.
« Si ça se fait, ça va tuer mon commerce et je vais être obligé de déménager », soutient Kenny Grover, propriétaire du magasin de vêtements M. H. Grover, spécialisé depuis 99 ans dans les grandes tailles pour hommes.
M. Grover, qui fait partie de la troisième génération de sa famille à tenir le magasin, souligne qu’il reçoit beaucoup de clients de l’extérieur de Verdun.
Son commerce est situé trop loin de la station de métro pour la clientèle à mobilité réduite, selon lui. « Il n’y a pas assez de stationnements quand la rue est fermée », dit-il.
« Il y a beaucoup d’inquiétude à ce sujet parmi nos membres », confirme Patrick Mainville, directeur général de la Société de développement commercial (SDC) Wellington, qui représente les commerçants du secteur.
PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE
Patrick Mainville, directeur général de la Société de développement commercial Wellington
« La piétonnisation a des avantages pour certains types de commerces, mais pour certains, c’est difficile. Des commerçants m’ont carrément dit qu’ils mettraient la clé sous la porte ou qu’ils déménageraient si la rue devient piétonne toute l’année », ajoute-t-il.
M. Mainville fait remarquer qu’interdire la rue Wellington aux voitures changerait sa composition. « On a une seule grande artère commerciale à Verdun, il faut y faire attention. Est-ce qu’on veut s’en servir comme cobaye ? », demande-t-il.
La mairesse de l’arrondissement répond que, pour le moment, il ne s’agit que d’une consultation. « Et si la piétonnisation est prolongée, ça ne se fera pas du jour au lendemain », observe-t-elle. « Je sens la population attachée à la piétonnisation, mais j’ai le souci d’obtenir l’adhésion de toutes les parties prenantes. »
L’arrondissement n’a pas le choix de tenir une consultation : en vertu du droit d’initiative citoyenne, c’est une obligation quand une pétition a recueilli un certain nombre de signatures dans une période donnée. Dans le cas de Verdun, elle a reçu 3000 signatures en 90 jours.
Les citoyens pourront donner leur avis lors des séances organisées par l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) l’automne prochain.
Marie-Andrée Mauger souligne qu’un tel projet coûterait cher à l’arrondissement. Pour l’été, la piétonnisation est financée grâce à un programme de la Ville de Montréal, ce qui ne serait pas le cas avec une prolongation.
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La grande consultation publique concernant la possible piétonnisation de la rue Wellington à l’année commencera en septembre, mais les membres de La Well piétonne s’activent déjà pour mobiliser les gens en faveur de ce changement.
L’Arrondissement de Verdun et la Ville de Montréal ont donné le mandat à l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) de tenir une consultation publique.
L’organisation citoyenne La Well piétonne invite les sympathisantes et sympathisants à une rencontre à la plage urbaine de Verdun le 27 juillet de 15h à 18h afin, entre autres, de développer des idées porteuses.
Un exposé sur la culture de l’automobilité. J’étais pas sur du bon fil. Ça s’applique pour tous les usagers vulnérables : cyclistes et piétons.
On y va souvent. Toujours un verre improvisé lors d’une marche de soir d’été
Texte de Toula Drimonis dans la Gazette
Some people downplay the importance of accessible, human-centric public spaces in urban settings. Many tend to focus on the inconveniences associated with establishing car-free zones. I know that for drivers who use their cars to navigate densely populated urban areas, the city’s focus on pedestrianization and bike paths may cause some headaches. But as much as it might upset some folks, I fervently believe that people should be prioritized in urban settings. Not cars.
Being able to walk around, socialize, read, grab a meal or a drink, say hello to your neighbour, or send your kid off to school without worrying they’ll be hit by a wayward vehicle is the very way one feels attached to their community. You simply can’t make those connections when you experience your city through the windshield of a car.
Montreal’s pedestrianized streets and waterfront bike paths are summer marvels. They create organic and vibrant moments of city living where people can simply be. My almost-daily bike rides also serve to remind me of how, regardless of language, religion, ethnicity or politics, Montrealers really are all the same. Everyone pushes their kids on swings, takes evening strolls with their loved ones, picnics in public parks, throws a ball, walks their dog, watches their toddler take their first tentative steps on grass. Everyone does the ordinary things that make us human.
Even the most car brained annoying suburban news outlet can’t resist a well designed pedestrian experience.
Je ne sais pas si les collègues de Toula Drimonis sont toutes et tous d’accord avec elle, mais Toula est plutôt de tendance progressive et habite dans un quartier central de Montréal, soit Saint-Henri. Alors, ce texte ne m’étonne pas
Bien dit!
Sur le site de Women in Urbanism
June in Montréal marks my favourite time of the year, when a dozen typically car-filled streets become safer and more enjoyable, glowing with life, street art, and people of all ages and abilities. When the City of Montreal began this street activation five years ago, it covered a 2.5-kilometre stretch. Since then, the activation has grown to more than nine kilometres across seven neighborhoods. Along this journey, car-free streets have made a myriad of positive impacts on the city from significantly increasing foot traffic to reducing retail vacancies.
Car-free streets are hardly a new concept, but have been steadily growing in popularity over the last decade with cities around the world reclaiming space from cars to support people walking and biking. During pandemic lockdowns, numerous temporary car-free streets emerged, prompting many communities to investigate the benefits of redistributing and rebalancing public space in favour of pedestrians and cyclists.
Un message a été fusionné à un sujet existant : Aménagements estivaux
Un message a été fusionné à un sujet existant : Sécurisation des rues et des intersections
à City News
Montreal launches pilot project to boost school zone safety
“Safer for everyone” says Sandrine Cabana-Degani, executive director of Piétons Québec, as the city of Montreal is expanding its student safety program. Swidda Rassy reports.
Toula Drimonis a écrit un autre texte dans le Walrus
In 2020, during the first pandemic summer, Montreal’s Projet Montréal administration, led by mayor Valérie Plante, closed a two-kilometre stretch of Mont-Royal Avenue to motorists for a few months. The idea was simple: get people out shopping and socializing while also respecting physical distancing guidelines.
The pilot project faced criticism from business owners concerned that removing cars would deter driving clients and complicate deliveries. But once merchants saw the street fill with milling crowds, they were convinced. The pandemic initiative became an annual event. By 2023, the avenue’s commercial vacancy rate plummeted from 14.5 percent in 2018 to 5.6 percent. A few years earlier, in 2021, the pedestrianization of Wellington Street in the Verdun borough had increased foot traffic and shoppers by 17 percent. A once-drab strip is now lined with restaurants, bars, and cafes. On Fridays, hundreds gather to dance salsa and bachata.
The pilot kept growing. As of this summer, eleven streets in total have been transformed into seasonal pedestrian-only destinations, creating almost ten kilometres of walkable car-free surfaces across several boroughs. The experiment has proven so popular that it has drawn praise, and not a little astonishment, from visiting urban planners.
J’aime son expression
Flâneur-friendly cities