Parlant d’électrification des transports, la STM compte elle toujours attendre un retour à la normale de l,achalandage pré-pandémie avant de finalement mettre ses nouveaux bus électriques longue autonomie en service?
un projet pilote de navettes autonomes et électriques sur la Plaza Saint-Hubert.
Cet après-midi j’ai justement vu passer un camion transportant une paire de petites navettes toute rouges, possiblement celles prévues sur la Plaza. Pas de photo car je conduisant et je me suis abstenu de faire un Coderre.
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Pour en savoir davantage sur les navettes autonomes, un outil supplémentaire de mobilité urbaine.
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Dans Le Devoir
Des navettes autonomes pour la Plaza Saint-Hubert
Photo: Jeanne Corriveau Le Devoir Deux navettes sans chauffeur circuleront sur les rues Saint-Hubert et Saint-André, entre les rues Jean-Talon Est et Beaubien Est, à compter du mois d’octobre.
Jeanne Corriveau
7 septembre 2021
Société
Montréal mettra à l’essai des véhicules autonomes électriques dans le secteur de la Plaza Saint-Hubert cet automne dans le cadre d’un projet-pilote. Ce projet permettra de tester ce mode de transport dans un environnement résidentiel et urbain.
L’administration de Valérie Plante dévoilera les détails du projet mercredi en compagnie de l’opérateur Keolis.
Selon les informations obtenues par Le Devoir, deux navettes sans chauffeur circuleront sur les rues Saint-Hubert et Saint-André, entre les rues Jean-Talon Est et Beaubien Est, sur un circuit de deux kilomètres, à compter du mois d’octobre. Une période de tests, sans passagers, débutera le 14 septembre.
La première phase du projet-pilote se terminera en décembre et une deuxième phase est prévue pour les mois de mai et de juillet 2022 avec un trajet allongé.
Selon la Ville, ces navettes contribueront à la relance économique du secteur de la Plaza Saint-Hubert en attirant les visiteurs. Elles faciliteront les déplacements des citoyens et diminueront la congestion routière et les émissions de gaz à effets de serre, ajoute-t-on. Les navettes seront gratuites et universellement accessibles. Montréal a obtenu une subvention du gouvernement du Québec pour réaliser ce projet.
Les navettes seront synchronisées avec les autobus de la ligne 30 de la Société de transport de Montréal (STM) afin de ne pas ralentir le service de transport collectif.
D’autres projets de navettes autonomes ont été déployés au cours des dernières années dans la région de Montréal. Des navettes de Transdev avaient été mises à l’essai au Parc olympique à partir de 2017 afin de transporter les visiteurs entre les différents points d’intérêt de ce site touristique. Un projet de navettes autonomes de Keolis avait aussi vu le jour en milieu urbain à Candiac en 2018.
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C’est en plein le genre de chose qui permettrait de rendre le vieux-montréal complètement fermé aux voitures.
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Oui et non, ce genre de navette est pratique pour du déplacement du lieu A à B. Par exemple du métro Champ-de-Mars au Vieux-Port. Sauf que dans le Vieux, c’est un secteur luxueux, donc je ne crois pas que les gens vont changer leur Audi, Porsche, Tesla, etc pour ce genre de transport. Une navette est-ouest sur de la Commune pourrait être intéressantes, mais reste que dans le Vieux, on verra pas les voitures disparaître de sitôt.
Je me demande pourquoi ils ont choisi la Plaza pour ce projet pilote. On s’entend que c’est une ligne droite déjà bien accessible par les 3 stations de métro qu’elle croise. Ce projet aurais certainement fait des heureux sur la montagne pour relier les parkings au belvédère Kondiaronk.
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Bien entendu, je parlais plus des hôtels dans le Vieux-Montréal que des résidents avec leurs Audis et leur Mercedes.
C’est sûr que pour amener les touristes sur St-Paul & de la Commune ça serait un plus, mais est-ce qu’on est prêt à faire le parie que le touriste 5 étoiles va prendre la navette, s’il n’est pas seul dedans ? Si c’est à ‘‘utilisateurs uniques’’ avec destinations programmables, ça pourrait être viable, mais si le touriste se mêle avec monsieur madame tout le monde sur un parcours fixe (par exemple une boucle) est-ce qu’on va vraiment avoir l’affluence voulu?
Je pensais plus à une navette automatisée pour les amener à leurs hôtels. Généralement, les touristes marchent dans le vieux-montréal après, c’est plus pour leur éviter de trainer leurs valises.
Sur la page FB du Labo d’innovation urbaine de la Ville, il y a une photo d’un des arrêts de la navette
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La Plaza est étirée comme rue commercial de quartier, donc les distances peuvent être importantes entre 2 commerces. De plus le trajet me semble hyper simple à programmer donc idéal comme projet pilote.
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The Plaza is always jammed with cars and trucks, often double-parked. This will be a good test!
Je crois que les navettes autonomes ont un bel avenir devant elles pour des parcours pré-établis. Elles peuvent effectivement relier efficacement les stationnements à différentes destinations, en limitant considérablement les déplacements automobiles. La formule est super séduisante, peu envahissante, flexible, économique et écologique. Un complément parfait pour la mobilité sur de courtes distances. 
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Vraiment, pensons juste à des événements avec des sites plus loin (genre relier le métro Jean-Drapeau au Casino/Plage/La Ronde) ou les parkings de l’aéroport à l’aérogare, etc.
C’est une belle avancée je trouve.
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En effet! Ou pour combler le fameux kilomètre manquant du REM entre l’aéroport et la gare de Dorval. Si on a de petites navettes qui passent fréquemment vs un bus à grande capacité qui passe toutes les demi-heures, ça rend le lien beaucoup plus attrayant.
Après, reste à voir si elles sont adéquates, ces navettes. Je sais qu’à certains endroits ils ont fait des essais qui s’étaient révélés non concluants.
I have a dream… dans 10 (20?) ans, les plupart des gros bus seraient remplacés par de petites navettes autonomes.
Avantages:
- Coûts d’opération réduit car nul besoin de chauffeur
- La capacité du système moins affectée par la pénurie de main d’oeuvre.
- Possibilité de remplacer les gros bus par davantage de petits véhicules, ces derniers n’ayant pas le coût fixe d’opération du chauffeur.
- On échange une diminution de la capacité par véhicule par une fréquence de passage augmentée. Win-win pour les usagers.
- Ajustement en temps réel selon la demande. Si une navette est à capacité le système peut en dispatcher davantage sur le circuit en question.
- Fragmentation du réseau en centaines de nouvelles routes qui actuellement n’ont pas la demande pour un circuit de ‘gros’ bus. Je pense ici entre autre aux quartiers péri-urbain où la trame des rues et la densité nuisent aux circuits de bus classiques (e.g. rabattement du west Island vers le REM).
- De nombreux véhicules plus petits et légers sont plus simples et moins chers à entretenir. Pas besoin de gros centre de transports équipés d’outils et systèmes complexes.
- Moins de gros bus lourds qui endommagent les rues.
- La navette peut se mouvoir aisément en ville. Pas de problèmes à contourner un chantier/incident, à tourner une rue à 90 degrés, etc.
- La navette autonome peut aller se recharger elle-même dans l;a journée, entre les pics de demande des heures de pointe. elle pourrait même utiliser les bornes sur rue!
Désavantage:
- Tout le dossier de certification et commercialisation de la conduite automatique doit cheminer et se conclure.
- Réticence syndicale lors de la transition.
Moi j’ai eu un rêve aussi, un cauchemar dirait sûrement les autres.
Une fois tous les véhicules électrifiés, dans 20-30 ans, (une utopie peut- être, mais aucun vehicule à carburant circulent) l’argument de la pollution n’a plus raison d’être, il va y avoir un boom d’achat de vehicule personnel électrique et un fort achalandage dans toutes les rue et routes, le TEC dans plusieurs régions et quartiers va être délaissé au profit d’une voiture électrique bien plus pratique, confortable et écolo car on est on on demeurera une société de consommation… 
Vous parlez comme si l’argument de la pollution est le seul argument contre l’auto-solo.
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Ça reste généralement un bon choix, mais voilà les limites d’avoir défini le développement durable comme l’addition de choix personnels plutôt que l’application de changements collectifs majeurs. Même si l’impact des VE sur la pollution atmosphérique est drastiquement moindre à l’utilisation, l’enjeux de la pollution (atmosphérique et autre) demeure. Je suis d’accord que culturellement, des comportement vont demeurer qui ne nous permettrons pas, malgré toutes ces avancées technologiques, a soutenir notre environnement.
Il faut bien s’attendre que je n’encourage pas ce «rêve» mais je le crois malheureusement possible.
L’argument de la pollution est la plus importante et celle qui culpabilise le plus les automobiliste.
Il y bien sûr plusieurs autres arguments contre la voiture solo… mais dans certains quartiers ou certaines régions elles pèse moins lourd. Enlevez le premier argument et à bien des endroits les autres arguments on peu de poids.
- Écologie/environnement (pollution CO2)
- Écologie/environnement (espace dédié à la voiture solo)
- Économie d’argent (carburant, réparation, stationnement)
- Économie de temps (stationnement circulation)
- Nuissance sonore
- Sécurité routière
Mais évidement la voiture électrique n’est pas un remède à l’environnement, bien au contraire. Nous allons peut-être même en vivre des conséquences direct avec les mines de graphite!
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