Oh so now they don’t only care about personal vehicles. Got it. Ça n’explique toujours pas pourquoi il y a un énorme surplus inutilisé alors que le gouvernement coupe dans tout partout.
Le règlement concerne aussi les véhicules d’occasion!
Le gouvernement du Québec a adopté le règlement qui interdira à compter de 2035 la vente de la plupart des véhicules légers à moteur à combustion.
Le règlement, adopté lundi, s’appliquera à tous les véhicules légers, que le gouvernement décrit comme les automobiles et les camions légers ainsi que la plupart des véhicules utilitaires sport et des camionnettes, y compris les véhicules commerciaux.
À compter du 1er janvier 2034, il sera illégal au Québec de vendre une version neuve ou d’occasion de tout modèle 2035 de véhicule assujetti au règlement, y compris les modèles hybrides et hybrides rechargeables.
Et deux ans plus tard, à compter du 31 décembre 2035, il sera illégal de vendre ou de louer des véhicules neufs à essence, couverts par le règlement, des années modèles 2034 et antérieures.
je suis d’accord avec le professeur Pierre-Olivier Pineau qui dit qu’il faut arrêter de subventionner les véhicules électriques privés et miser plutôt sur véhicules pour la collectivité (exemples : autobus, camions de livraison, camions-outils pour le déneigement, etc.)
P-ê qu’avec des meilleures subventions pour les autobus scolaires et camions, Lion ne serait pas sur le bord de la faillite
Voitures électriques : les subventions suspendues dès le 1er février
Québec suspendra ses subventions pour l’achat d’une voiture électrique dès le mois de février 2025.
Le programme a été trop populaire : plus d’un véhicule neuf vendu sur trois est électrique, au point où les coffres de la province sont vides.
Le reportage d’Elisa Serret
Suspension de Roulez-Vert et Lion électrique bientôt à l’abri de ses créanciers | Zone économie
Québec suspend son très populaire programme Roulez vert pour l’achat de véhicules électriques : est-ce la bonne décision?
Lion électrique se placera à l’abri de ses créanciers : faut-il sauver l’entreprise?
Entrevue avec Daniel Breton, PDG de Mobilité électrique Canada à Zone économie
Why Quebec is pumping the brakes on its electric vehicle rebates
On top of the province’s plans to gradually phase out a program providing financial incentives for EV purchases, the government says it will suspend the program completely for two months.
Signal positif pour le Québec
Le projet de mine de lithium Shaakichiuwaanaan de Patriot est ambitieux. Selon les premiers forages, ce serait le plus important gisement connu d’oxyde de lithium en Amérique, et le huitième en son genre dans le monde.
Dans ce contexte, l’arrivée de Volkswagen dans le portrait devrait être interprétée comme une bonne nouvelle, même si la somme investie n’est pas énorme, explique le géologue et analyste minier indépendant Éric Lemieux. En effet, « 70 millions, c’est un bon début », dit-il à La Presse. « C’est un bon signal. Il faut maintenant que le projet entre en production, mais Volkswagen est une entreprise qui a la réputation d’être sérieuse dans ses investissements. »
Il faudra apprendre à être encore plus vigilant avec le branchement des véhicules électriques, surtout ceux qui sont à l’intérieur d’un garage, même si dans ce cas-ci l’auto était à l’extérieur près du mur. Il semble que ce type de feu dégage beaucoup de chaleur et soit nettement plus difficile à éteindre qu’un autre type d’incendie.
Pour réussir à se relancer, le fabricant québécois de véhicules électriques Lion prévoit cesser de produire des camions et se consacrer uniquement à la production d’autobus scolaires. C’est ce que révèle un plan d’affaires confidentiel, que l’entreprise a préparé, avec les conseils de la Financière Banque Nationale.
Lundi, Radio-Canada rapportait les témoignages de six anciens gestionnaires et techniciens de Lion Électrique qui décrivaient des problèmes multiples de fabrication avec des camions électriques, au point où des clients avaient annulé des commandes.
Le plan d’affaires, obtenu par Radio-Canada a pour titre « Projet Spark », ce qui signifie étincelle, en anglais. Son contenu a d’abord été révélé par La Presse, mardi.
Les cinq grands chantiers du parc industriel de Bécancour
EcoPro BM : C’est le projet qui a fait le plus de vagues à Bécancour. Le chantier s’est retrouvé au point mort à deux reprises cette année avant de voir Ford se retirer du partenariat que le géant américain devait former avec EcoPro BM et SK On. EcoPro BM prévoit toujours achever le complexe de 1,2 milliard qui fabriquera des matériaux de cathodes, le pôle positif d’une batterie, mais on devra trouver de nouveaux clients.
Ultium CAM : Cette coentreprise formée par General Motors et le géant sud-coréen POSCO prévoit fabriquer des matériaux de cathodes. Annoncé en 2022, ce projet estimé à 600 millions doit démarrer en 2025. Le gouvernement Legault est prêt à avancer 152 millions. Ottawa est également prêt à allonger la même somme.
Nemaska Lithium : Détenue à 50 % par l’État québécois, l’entreprise prévoit transformer du lithium extrait de sa mine de Whabouchi, à environ 300 kilomètres de la baie James. La plus récente estimation pour la mine et l’usine de transformation située à Bécancour est d’au moins 2 milliards, mais la facture n’a pas fini de monter. Le démarrage de l’usine est prévu en 2026.
Mirae : Sans tambour ni trompette, la filiale canadienne de cette entreprise sud-coréenne a confirmé son arrivée dans le Centre-du-Québec en juin dernier. Ce projet d’environ 70 millions comprend un complexe pour broyer différents matériaux utilisés dans la fabrication des batteries. Québec lui a accordé 7,5 millions.
Air Liquide : Les travaux de l’usine à Bécancour ont débuté au printemps dernier. La multinationale française produit de l’oxygène, de l’azote et de l’argon. Sa production sera notamment destinée à Ultium CAM, Nemaska Lithium et EcoPro BM pour alimenter leurs différents procédés pour traiter différents minéraux critiques.
Filière québécoise des batteries : trois symboles au point mort
PHOTO JONATHAN NACKSTRAND, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE
L’arrivée de Northvolt au Québec avait été confirmée le 29 septembre 2023.
Si la construction va bon train à Bécancour, il n’en reste pas moins que le coup de frein a eu d’importantes répercussions sur la filière québécoise des batteries dans son ensemble. Retour sur trois dossiers médiatisés.
Northvolt
Ce qui avait été décrit comme le plus important projet industriel privé de l’histoire du Québec à l’automne 2023 s’est transformé en énorme point d’interrogation à peine un an plus tard. Est-ce que Northvolt sera capable de construire sa méga-usine de cellules de batteries en Montérégie ? Si oui, s’agira-t-il d’un chantier de 7 milliards, comme prévu ? Plusieurs questions sont toujours sans réponse dans ce dossier. Plongée dans une crise de liquidités sans précédent, Northvolt AB s’est placée à l’abri de ses créanciers en novembre dernier – un processus qui épargne sa filiale nord-américaine. N’empêche, près d’un demi-milliard de fonds publics québécois sont déjà à risque. On attend toujours une mise à jour de la jeune pousse suédoise quant à ses ambitions québécoises.
Lion Électrique
PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE
À l’abri de ses créanciers, Lion Électrique espère trouver un acheteur ou un repreneur pour sauver sa peau.
Le constructeur d’autobus scolaires et de camions électriques devait être l’un des fers de lance de l’électrification des transports au Québec. L’entreprise québécoise a été frappée de plein fouet par un virage électrique qui prend plus de temps à se matérialiser. Ses réserves financières se sont vidées, au point que la compagnie n’avait plus les fonds nécessaires pour continuer à construire des autobus d’écoliers électriques ainsi que des camions. Elle s’est tournée vers la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC) pour se protéger de ses créanciers, le temps de mettre en place un processus dans l’espoir de retrouver un repreneur. Près de 200 millions de fonds offerts par Québec, Ottawa, le Fonds de solidarité FTQ et Fondaction pourraient s’envoler en fumée dans la foulée de cette déconfiture.
Taiga
PHOTO CHRISTINNE MUSCHI, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE
Rachetée par l’investisseur britannique Stewart Wilkinson en novembre dernier, Taiga avait elle aussi vidé ses coffres, incapable de produire de manière efficace.
Le concept était prometteur, mais la transition vers la phase d’industrialisation s’est révélée fatale pour cette jeune pousse québécoise. Taiga a fait face à de multiples problèmes de production – mis en lumière par La Presse en novembre dernier – lorsqu’est venu le temps de construire ses motoneiges et motomarines électriques. Résultat : l’entreprise s’est également retrouvée à l’abri de ses créanciers puisque ses coffres s’étaient vidés. Le bras financier de l’État québécois a perdu 20 millions dans l’aventure. Taiga a néanmoins eu une deuxième chance pendant l’automne, ayant été rachetée par l’homme d’affaires britannique Stewart Wilkinson, fondateur et investisseur de Vita Power, un spécialiste de la conception et de l’intégration de groupes motopropulseurs électriques pour des bateaux de plaisance ou à usage commercial. Reste à voir si sa stratégie de relance fonctionnera.
Hier, j’ai essayé un Nova Bus LFSe+ 100% électrique (AKA ceux que la STM va recevoir via le méga-contrat) à Vancouver. J’ai pas grand chose à dire. C’est comme la version hybride, mais avec un bruit différent (bruit de trolleybus).
Do they sound the same as the LFSe on line 36?
They seem to be the quickcharge ones.
Also, I forgot how Translink’s livery is gorgeous.
It’s been a while since I rode one of the LFSe on route 36, but from memory, they don’t make the same sound. The LFSe sounds more like a hybrid bus while the LFSe+ sounds more like a trolley bus (with the sound of tiny lightning bolts).
The LFSe+ have long-range batteries, but they can also be charged via pantograph (like in the picture).
Interesting. It’s kind of unusual that they sound like trolleys…
I guess we’ll see when we get them in Montreal.
I don’t remember the buses on the 100 line (pictured in @tcardinalsirois’s photo above) making the vwoop sound like the trolley buses. They are very quiet compared to a diesel or CNG bus. I was very happy when they were introduced, because it meant we finally got air conditioning!
Qui est Vianode?
Viannode, propriété d’Elkem, s’est donné comme objectif de remplacer le graphite anodique traditionnel par un graphite qui a une plus faible empreinte écologique. Ce minéral représente la plus grande partie du poids des batteries lithium-ion.
Sur le site internet de l’entreprise, on lit que la recherche et le développement se sont amorcés en 2016 dans l’usine norvégienne d’Elkem.
Sa première usine de production à grande échelle a été inaugurée en octobre dernier à Herøya en Norvège et au cours de 2024, des négociations se sont tenues pour trouver un site en Amérique du Nord. L’implantation d’une usine y est prévue en 2027.
En Norvège, neuf véhicules vendus sur dix sont électriques. Certains concessionnaires ne vendent que des véhicules électriques
Le pays a encouragé leur achat avec une carotte (stationnement gratuit, permission d’utiliser les voies réservées pour les véhicules électriques) et un bâton (taxes additionnelles sur les véhicules fossiles)
On the streets of Norway’s capital, Oslo, battery-powered cars aren’t a novelty, they’re the norm. Take a look around and you’ll soon notice that almost every other car has an “E” for “electric” on its licence plate.
The Nordic nation of 5.5 million people has adopted EVs faster than any other country, and is on the cusp of becoming the first to phase out the sale of new fossil fuel cars.
Last year, the number of electric cars on Norway’s roads outnumbered those powered by petrol for the first time. When diesel vehicles are included, electric cars account for almost a third of all on Norwegian roads.
And 88.9% of new cars sold in the country last year were EVs, up from 82.4% in 2023, data from the Norwegian Road Federation (OFV) showed.
In some months sales of fully electric cars were as high as 98%, as new petrol or diesel car purchases almost fizzled out.
Rather than banning combustion engine vehicles, the government has steered consumer choices. In addition to penalising fuel fossil vehicles with higher taxes and registration fees, VAT and import duties were scrapped for low-emission cars.
A string of perks, like free parking, discounted road tolls and access to bus lanes, then followed.
Transports Canada a averti la Corporation des concessionnaires automobiles du Québec (CCAQ) que le gouvernement suspendait dès lundi son Programme d’incitatifs pour les véhicules zéro émission (iVZE), les fonds étant épuisés.
La ministre fédérale des Transports et du Commerce intérieur, Anita Anand, avait annoncé la semaine dernière que le gouvernement cesserait d’offrir ces subventions à compter du 31 mars, ou lorsque les fonds dévolus au programme auraient tous été utilisés.
Le gouvernement a indiqué lundi matin que les sommes en question étaient « entièrement engagé[e]s », confirmant du même coup la suspension du Programme iVZE plus de deux mois avant l’échéance prévue.
Transports Canada demande ainsi à tous les fabricants, concessionnaires et vendeurs autorisés de cesser d’offrir les incitatifs financiers aux consommateurs.