Est-ce que je suis le seul à trouver cela futil des débats sur le positionnement de notre ville à l’international ?
Perso j’en ai rien à battre… Je suis convaincu qu’en ayant une ville propre, sécuritaire, avec un bon système de TEC et une taxation raisonnable c’est comme cela qu’on va rayonner. Pas besoin de grand dicours vide de sens ou bien comme dit Luc Rabouin d’être un “leader mondial de la transition écologique”.
Le CORIM a pour mission de favoriser une plus grande connaissance des enjeux internationaux et susciter par ses événements et ses partenariats une collaboration plus étroite entre les divers milieux intéressés aux affaires internationales :
En offrant une tribune prestigieuse aux personnalités étrangères de passage à Montréal, de même qu’aux Canadiens désirant faire bénéficier la communauté montréalaise de leurs connaissances et de leur expérience dans le domaine des affaires internationales;
En organisant des déjeuners-causeries, des séminaires, des colloques et des tables rondes à caractère international;
En facilitant les échanges et les rencontres entre les représentants des milieux montréalais impliqués dans les affaires internationales;
En créant un milieu de concertation entre les principaux intervenants publics et privés intéressés par les affaires internationales;
En faisant profiter la communauté montréalaise des contacts internationaux établis par les membres du CORIM;
En permettant à des visiteurs étrangers d’entrer en contact avec des représentants de la communauté montréalaise;
En favorisant la réalisation d’études portant sur des grands thèmes d’ordre international;
En encourageant le développement d’un réseau entre Montréal et d’autres métropoles du monde;
En diffusant les plus récentes publications des partenaires du CORIM;
En faisant la promotion de Montréal comme carrefour international et en collaborant avec d’autres organismes au rayonnement international de Montréal.
C’est suite à ces positions de MTL côté environnement que plusieurs entreprises de la finance verte se sont installées à Montréal. C’est majeur en fait.
Je comprends ce que tu veux dire, mais ce ne sont pas des débats qui s’adressent à tout le monde. J’ai l’impression que pour les chefs, c’est l’occasion de se casser la gueule avant les débats plus cossus.
J’avoue que quand on essaie de suivre et qu’on n’est pas mordus de politique ou des domaines dans lesquels les organismes œuvrent, ça peut nous faire décrocher. Pour moi, je trouve que celui de l’institut du nouveau monde abordait des questions super intéressantes, mais je sais que 98% du monde l’ont regardé et l’ont trouvé bien futile. C’est plus des débats d’académiques mettons.
« La moitié de la salle ici à mon numéro de téléphone. Je veux m’assurer que quand vous appelez la mairesse, je sois là. Cette ville a manqué d’écoute, d’ambition par rapport au milieu des affaires », considère-t-elle.
Ça donne le goût d’y aller “Style Québec Solidaire” et faire une assemblée de cuisine avec mes voisins. Je ne sais pas si Luc et Soraya accepteraient mon invitation par contre!
Le ton a monté jeudi entre les deux principaux candidats à la mairie de Montréal, lors du deuxième débat de la campagne. Soraya Martinez Ferrada s’inquiète de voir la réputation de la métropole « menacée » par l’état de ses routes et l’insécurité, mais Luc Rabouin l’accuse d’exagérer les défis de la Ville.
« Je veux freiner le déclin. La grande menace sur Montréal est réputationnelle, […] donc qu’on devienne un gros trou de beigne, qu’il se passe rien sur l’île et que tout se passe autour », a lancé Mme Martinez Ferrada, d’Ensemble Montréal, dès le début du débat du Conseil des relations internationales de Montréal (CORIM).
Piqué au vif, Luc Rabouin, de Projet Montréal, lui a répondu « qu’il n’y a pas de catastrophe à Montréal ». « C’est vrai qu’il y a des défis de sécurité, d’itinérance et de propreté au centre-ville. Mais il y a quand même bien des choses qui vont bien », a-t-il rétorqué, évoquant les festivals et la scène culturelle vibrante.
Bref, la différence de vision entre les deux chefs était plus visible que jamais, à l’aube du déclenchement officiel de la campagne électoral, prévu ce vendredi.
“Le déclin”, “il ne se passe rien sur l’île”… j’imagine qu’elle accusera tout le monde sauf elle d’alimenter la polarisation et d’avoir des discours extrêmes.
Meanwhile, le travail de l’administration de Valérie Plante des 8 dernières années est reconnu dans un livre qui va sortir le 1er octobre… Un livre écrit par un couple de Vancouverois qui habitent aux Pays-Bas
Avez-vous entendu parlé des 4 ans d’administration de Denis Coderre à l’international? (à part le fiasco de la Formule E?)