Concernant les coûts de démantèlement des aménagements cyclables, le Devoir a obtenu une analyse du SUM et du SIRR qui a été faite quand Doug Ford a passé sa loi sur leur démantèlement. Il avait lancé l’idée en automne 2024 (donc bien avant le lancement des élections municipales au Québec et avant que SMF se lance en politique municipale)
100 000 $/km pour des bandes cyclables avec bollars
Ensemble Montréal a réagi avec vigueur à la démarche d’estimation des coûts de démantèlement faite par la Ville. L’aspirante mairesse Soraya Martinez Ferrada a répété qu’elle n’envisage aucunement de démanteler des pistes cyclables.
Sa candidate Mary Deros, conseillère de longue date dans le quartier Parc-Extension, s’est engagée à « rétablir le stationnement sur Querbes et Ball des deux côtés de la rue ». Des pistes cyclables ont été aménagées dans ces deux voies par l’administration Plante. Il est possible de ramener les cases de stationnement sans démanteler les pistes, fait valoir Ensemble Montréal.
« Malgré la machine de désinformation de Projet Montréal, notre engagement demeure de faire un état des lieux du réseau cyclable afin d’assurer la sécurité de tous. Bien franchement, la campagne de peur que mène Projet Montréal les déshonore », a indiqué Félix Lacerte-Gauthier, porte-parole d’Ensemble Montréal.
Je répète, l’analyse a été faite par la fonction publique bien avant que SMF se lance en politique municipale et annonce son audit sur les pistes cyclables.
C’est pour l’essentiel une boucle qui dessert les écoles et les parcs, comme dans de nombreuses autres banlieues, avec un public essentiellement scolaire, boucle qui n’est connectée à rien. T’es comme prisonnier de Saint-Léonard, condamné à y tourner en rond.
D’ailleurs, les seuls bouts qui existent encore sont ceux dans les parcs. Ailleurs, reste les pancartes vertes installées en 1982 sans marquage au sol à peu près partout.
Le plan d’urbanisme et la sécurité au coeur du débat à Côte-St-Luc
Increasing housing options would bring in 20 to 30 per cent more in tax revenues that would allow the city to repair roads and sidewalks and fund recreational activities, says incumbent mayor Mitchell Brownstein, running for a third term. It would also help revitalize the municipality’s aging malls.
“We want more housing,” he said. “People want to live in Côte-St-Luc. We want condominiums and apartment buildings and townhouses.”
It’s the lack of a finished plan for the city, and what he sees as a lax attitude toward its well-being, that mayoral candidate David Tordjman said spurred him to run for a second time. Tordjman said Brownstein’s refusal to adopt the plan until after the municipal elections was politically motivated. “There’s a lot of missed opportunities,” Tordjman said. “The tremendous potential revenue that would offset our debt load, ease our increasing taxes and offer opportunities for our residents. Yet the city has sat on this master plan for six years after spending half a million dollars on it. For political reasons, it has decided not to move forward.” If Côte-St-Luc doesn’t adopt it in time, “it can actually be imposed by the City of Montreal,” he said. “And that’s where we lose complete control.”
Brownstein has been vocal about the need for Montreal police to step up security patrols in Jewish neighbourhoods and has been calling for body cams on police officers and outlawing the use of masks for protesters at events including pro-Palestinian rallies. He has been disappointed in the response of Mayor Valérie Plante’s administration, he said.
Tordjman also said security was a top issue of his campaign. “Côte-St-Luc deserves a plan that works,” he said. “One that builds a safer city.”
Il y a un consensus à Côte-st-Luc sur le fait que ce serait de la faute à Plante si je projet n’a pas lieu.
Valérie Plante a déposé un avis d’intention au gouvernement en 2022 et la ville de CSL était d’accord avec le plan à l’époque mais les élus de CSL blâment maintenant Plante pour le manque de progrès.
Une vision claire : redonner vie au centre-ville, renforcer l’attractivité économique de Montréal et bâtir des partenariats solides avec le milieu des affaires pour répondre collectivement aux défis de sécurité, de propreté et d’itinérance.
Or, encadrer ainsi les locations à court terme, comme le proposent ces trois partis, « ce n’est pas si simple à mettre en œuvre », car « beaucoup de gens »
louent leur appartement à court terme « illégalement », souligne Avi Friedman. Sans déployer d’importantes ressources, note-t-il, ce type de locations « est très difficile à contrôler ».
Dans une entrevue récente, en parlant de la période du 10 juin au 10 septembre où l’hébergement touristique en résidence principale est autorisé à Montréal, Luc Rabouin a dit :
« Tout le reste de l’année, la seule preuve qu’on a à faire, c’est qu’il y a une annonce. Dès qu’il y a une annonce, c’est illégal. ».
Eh bien, on dirait que son escouade contre l’hébergement touristique illégal ne consulte pas ce site : À bas Airbnb, qui, de façon très conservatrice, répertorie environ 600 annonces illégales (affichées après le 10 septembre), placées sur une carte. Les données ont été récoltées le 9 octobre dernier.
The former longtime head of the Chamber of Commerce of Metropolitan Montreal, Michel Leblanc, is endorsing mayoral hopeful Soraya Martinez Ferrada.
Leblanc, who led the chamber for 16 years, said he thinks Montreal’s business community needs “a change of attitude” at city hall and that the Ensemble Montréal candidate would be open to collaborating with business in a way Mayor Valérie Plante hasn’t been.
L’article revient sur EM et PM sur la question du centre-ville.
Martinez Ferrada said her plan for economic development is to focus on basic services, promising to address issues of housing, homelessness, security and cleanliness, particularly in downtown Montreal, if she’s elected. She said she would also create a forum to meet with business leaders within 100 days of taking office and set “clear objectives” on what economic sectors should be developed and what jobs are needed in the city.
“Those objectives have to be public. People have to see what we’re doing and what we’re aiming for and then evaluate us on those issues,” she told reporters.
During a debate on the economy this month, Rabouin argued that the economic challenges facing Montreal are the same as those facing other cities at a time of economic uncertainty.
He has also pointed to the fact that tourism numbers have returned to the record-setting levels reported before the COVID-19 pandemic as a sign that Montreal remains attractive, and accused Martinez Ferrada of presenting an overly pessimistic vision of the city and its downtown.
L’experte qui dit que les finances municipales intéressent surtout les propriétaires parce que les taxes sont “plus abstraites” pour les locataires.
À douze jours du scrutin municipal et cinq jours avant le vote par anticipation, les principaux partis montréalais n’ont toujours pas dévoilé leurs cadres financiers. Une situation qui n’a rien d’exceptionnel.
La cheffe d’Ensemble Montréal, Soraya Martinez Ferrada, a assuré mercredi matin en conférence de presse que son parti allait rendre sa plateforme chiffrée publique, et ce, « très rapidement ». Le parti avait réuni les médias pour dévoiler sa « vision économique pour le centre-ville », sans toutefois dévoiler de cadre financier. La candidate a néanmoins réitéré certaines promesses, comme celle de « geler les nouvelles dépenses et d’abolir 1000 postes au niveau de la fonction publique ».
Projet Montréal tarde lui aussi à dévoiler son cadre financier, mais compte le faire « cette semaine », a confirmé le parti par courriel. Lors de la campagne électorale de 2021, il avait rendu public le 21 octobre l’estimation des revenus et les dépenses supplémentaires qu’il comptait engranger s’il était porté au pouvoir, soit 17 jours avant le scrutin.
Engagements des partis en terme de gestion des inondations
How Montreal’s municipal parties plan to tackle frequent flooding in the city
For some Montrealers, heavy rainfall can lead to flooded streets and homes. We break down what Projet Montréal, Ensemble Montréal and Transition Montréal are proposing to solve the problem.