ça prendrait une approche comme le REM avec des redevances pour le prolongement et le tram ou SRB qu’on mettrait dessus. Le problème c’est que les partis vont toujours être pour les études mais au Québec le seul mode de financement qu’on accepte c’est rajouter ça aux dettes.
J’aurais apprécié une approche innovante des candidats, pas juste parler d’étudier.
C’est une question d’ampleur du projet. Un projet routier de cet envergure peut pas juste se faire via l’OCPM. Je ne veux pas induire en erreur, mais il me semble qu’il y avait un avis juridique à cet effet, et la demande d’assujetissement au BAPE avait même été fournie.
Après, j’ignore si ce qui a tué le projet, c’est le manque de suivi de la Ville de Montréal ou bien le manque d’appétit au gouvernement pour un BAPE sur le sujet.
Claude Pinard, le futur bras droit de Soraya Martinez Ferrada, faisait parti des membres du GALOPH qui ont réfléchi au plus récent développement du quartier Namur-Hippodrome. Je trouve ça rassurant et prometteur dans le contexte d’un démarrage prochain du projet.
Un truc que je trouve étonnant c’est que sur l’avis il n’y a pas les informations sur quelles pièces d’identité sont valables pour voter. Considérant qu’il y a beaucoup moins de pièces d’identité valides qu’aux élections fédérales, il me semble que ça aurait été une information pertinente à mentionner.
Pour info, les seules pièces valides sont un permis de conduire du Québec, une carte d’assurance maladie, un passeport canadien, un certificat de statut d’Indien et la carte d’identité des Forces Canadiennes.
Pourtant le REM, les autoroutes 25 et 30, le futur troisième lien (peut être?), ce sont tous des projets qui ont été financés via des PPP/de la captation foncière/des péages.
Le problème est plus complexe que ça. Et GabMtl l’a bien dit:
Dans cet aspect, on a deux options. Revoir la fiscalité des municipalités pour qu’elles puissent elle-mêmes gérer leurs infrastructures, ou être à l’écoute et être un bon partenaire.
Si on avait fait le REM avec l’argent public seulement on aurait aussi construit moins d’école. Il va y avoir des milliers de futurs résidents à l’hippodrome qui pourraient financer Cavendish.
C’est l’impression que ça donne effectivement. Ceci dit, les gens dans la salle sont des gens qui suivent la politique de près. La majorité des gens suivent ça de très loin. Hâte de voir si les Léonardois vont suivre tout ça. Les gens de St-Léonard que je connais me disent que Mme de La Rochellière est une travaillante acharnée.
J’habite dans une résidence étudiante sur le Plateau et n’ai pas encore reçu l’avis. Mais avant la date limite d’inscription, j’ai reçu un papier à ma porte qui me disait qu’il fallait que je contacte Élections Montréal.
Par ailleurs, un des critères sur le site web d’Élections Montréal est vraiment mal formulé. C’est clair qu’il y a du monde qui ne vont pas voter à cause de ça.
Être domiciliée sur le territoire de la ville de Montréal et habiter au Québec depuis au moins six mois
On pourrait facilement croire qu’il faut habiter à Montréal depuis au moins 6 mois et au Québec depuis au moins 6 mois, mais la réalité, c’est qu’il faut habiter à Montréal le jour de l’élection et au Québec depuis au moins 6 mois.
La formulation sur le site web de Vaudreuil-Dorion est vraiment meilleure.
être domiciliée sur le territoire de la municipalité et, depuis au moins six mois, au Québec, soit depuis le 2 mai 2025 au plus tard;
J’ai entendu ça durant une discussion avec mon patron qui a plein de connaissances dans St-Léo. Et je viens de terminer le débat et à la fin, M.Perri à reçu 0 applaudissement pour son 3 minutes final… alors que les 2 autres candidates, oui… Les gens sont très fâchés, on le sent. J’ai bien hâte de voir le 2 novembre…
Dominic Perri parle (autour de la 41ème minute) d’un audit de 2 ans sur les pistes cyclables à Saint-Léonard pour s’assurer que les ambulances peuvent se rendre et les livraisons peuvent se faire Une réaction, Soraya ?
Luc Rabouin l’avoue lui-même : il n’est « pas une rockstar » comme sa prédécesseure, Valérie Plante. Moins flamboyant, le candidat à la mairie s’estime toutefois assez bon gestionnaire pour s’attaquer aux crises qui frappent la métropole. Son rêve : faire de Montréal la ville la plus abordable en Amérique du Nord.
Luc Rabouin fait face à un ennemi redoutable. Un ennemi invisible qui n’est même pas dans la course à la mairie de Montréal. Après huit ans de Projet Montréal au pouvoir, il se bat contre le désir de changement des électeurs.
Il faut dire que la ville en arrache avec les chantiers qui bloquent les artères sans coordination, avec la multiplication des campements d’itinérants qui nuit à la cohésion sociale, avec l’ascension du prix du logement qui repousse les jeunes familles hors de l’île, avec les relations avec Québec qui préfère donner de l’amour aux régions qu’à la métropole…
Bref, le bilan n’est pas rose.
Et à 12 jours des élections, Luc Rabouin peine à démontrer aux électeurs en quoi son programme se distingue de celui de Valérie Plante, dont il est le bras droit.
Luc Rabouin n’a pas le style coloré de Valérie Plante ni son halo de « rockstar ».
Son aura est plutôt… beige pâle. Bien des Montréalais ignorent toujours qui il est, à 12 jours de l’élection municipale.
Les deux personnages sont aux antipodes, mais ils ont ceci en commun : Projet Montréal. Elle, comme ex-cheffe du parti et mairesse sortante, lui, comme nouveau chef et aspirant à la mairie. Une belle grande famille progressiste.
Et c’est là une arme à double tranchant pour le candidat. Environ 60 % des Montréalais souhaitent un changement d’équipe à la tête de la métropole, selon des sondages récents.