2024-11-23
Les travaux sur Maisonneuve à l’est de De Lorimier sont presque terminés.
Point de départ de le route verte en face de Vélo-Québec.
On voit la ligne de la piste cyclable, mais on dirait que le design du pavage a été raté au début.
Trottoir presque traversant.
J’aime le design côté trottoir.
Rue Ontario entre Atateken et Kimberly.
Cas très rare à Montréal où l’on fait l’infrastructure souterraine sans revoir la géométrie de la rue et sans faire une réfection en surface.
REst-ce qu’on sait pour quelle raison?
Aucune idée… j’ai été voir l’appel d’offre, certaines pages sont anciennes (genre scanné). Comme si ça été lancé en urgence… à moins qu’ils veuillent faire un aménagement complet dans le cadre d’une réfection plus large.
I’ve noticed along Ontario (which btw was named before the province!) they’ve been doing repairs but not repaving the entire surface or redoing the sidewalks completely. It makes me believe bigger work will come on the street, at least I hope
Pour limiter les impacts, surtout aux abords du centre-ville, Mme Martel soutient que son groupe est présentement en discussions avec certains acteurs, dont la Commission des services électriques de Montréal (CSEM), pour « requestionner » la longueur de certains chantiers, qui irritent particulièrement les résidants.
« On parle avec certains entrepreneurs pour regarder, en fonction de chaque chantier, comment on pourrait compresser les calendriers. C’est toujours une question d’équilibre, parce que plus on veut que nos entrepreneurs travaillent vite, plus ils ont besoin d’espace sur la rue », note la gestionnaire.
Elle promet aussi des stratégies de communication « par secteurs » pour mieux informer les citoyens des travaux en cours et à venir. Jusqu’ici, cela se fait à l’échelle de la ville.
Article de Marco Fortier dans Le Devoir
Une « autre grosse année » de chantiers routiers aura lieu au cours des 12 prochains mois dans la métropole, indique le Service des infrastructures du réseau routier de la Ville de Montréal (SIRR). Des travaux de 488 millions de dollars sont prévus pour entretenir les chaussées, les conduites souterraines et autres infrastructures municipales.
Le centre-ville sera de nouveau particulièrement touché, mais la Ville affirme prendre les grands moyens pour limiter les entraves à la circulation.
Une nouvelle directive prévoit l’utilisation de petits cônes minces — des bollards —, dans les rues où la vitesse est limitée à 30 km/h, plutôt que les traditionnels cônes assez costauds qui sont devenus l’emblème de Montréal.
Environ 10 % des chantiers ont eu recours à ces mini-cônes en 2024, 20 % ont misé sur les cônes traditionnels et 70 % ont été signalés par une combinaison des deux, a indiqué lundi Nathalie Martel, directrice du SIRR, lors d’une audience de la Commission sur les finances et l’administration de la Ville.
La proportion de bollards est appelée à augmenter, parce que les arrondissements devront à leur tour favoriser l’utilisation de ces cônes miniatures, a indiqué Émilie Thuillier, responsable des infrastructures au comité exécutif de la Ville.
Le Sud-Ouest a mis à jour l’état d’avancement des chantiers municipaux (parcs, bâtiments, chaussées, ruelles, saillies de trottoir, etc.)
Il y a aussi une carte et une liste des réfections mineures de trottoir et de création de fosses d’arbres
Chronique d’Isabelle Hachey
Après les syndromes de Stockholm, de Florence et d’autres villes du monde, il est temps que Montréal ait son propre syndrome : la conophobie. C’est du moins ce que propose un éminent psychiatre de la métropole.
Mais non, pas la phobie des cons. La phobie des cônes orange. Sans blague.
En parcourant l’article du Dr Emmanuel Stip dans un numéro spécial de la revue Santé mentale au Québec, je me suis demandé s’il s’agissait d’un poisson d’avril en novembre. Le ton de certains passages est résolument ironique. Sur le fond, pourtant, le psychiatre jure être tout ce qu’il y a de plus sérieux.
« La conophobie est un néologisme pour signifier la naissance d’un jeune syndrome en lien avec l’observation croissante d’un mal et d’une souffrance originale envahissant la métropole du Québec : l’angoisse par rapport à un objet clairement identifié qu’on appelle le Cône », lit-on dans l’article révisé par un comité de pairs.
L’ancien directeur du département de psychiatrie de l’Université de Montréal dit observer de plus en plus de cas de Montréalais « stressés, angoissés » à la vue des balises de signalisation routière omniprésentes dans les rues de la métropole. Lui-même admet avoir « pété les plombs » après avoir tourné 20 minutes autour de chez lui, au volant de sa voiture, incapable de se frayer un chemin dans une impénétrable forêt orange.
Il y avait encore des travaux d’ajustement des dalles de rue au coin Saint-Denis/Ste-Catherine aujourd’hui. Une partie du dallage a été retiré à nouveau.
Une autre rue bloquée par des travaux… Ontario par la CSEM. Je pense qu’il n’y aucune autre ville en Amérique qui est autant en chantier
Caen? C’est plutôt des travaux majeurs d’acqueducs d’après l’appel d’offre.
Mensonges!
Il reste l’éclairage à installer dans le parc des Cordonniers.