Le problème est de trouver quelqu’un qui va vouloir payer. Juste à Montréal, en enterrant systématiquement les câbles dans les nouveaux aménagements, on parle de dépenses supplémentaires probablement autour de 400-500 millions de dollars (en imaginant que ça coûte la même chose à la ville que le budget d’immobilisation de la CSEM pour leur 7km annuels). Et faudrait investir ces montants pendant 100 ans pour faire toutes les rues.
La ville ne peut définitivement pas le faire, les partenaires de la CSEM ne voudront jamais, il reste Québec et Ottawa… Réalistement l’enterrement des fils devraient s’accélérer dans une optique de résilience climatique. Hydro-Québec dit que c’est aux villes et gouvernement de décider l’enfouissement et que ce n’est pas sa job, ce qui est absurde: c’est la résilience du réseau qui est en jeu. Mais au final ça resterait toujours des enfouissements ciblés vu les coûts astronomiques.
Je ne pense pas qu’un aménagement est raté parce qu’il garde des poteaux cependant, ceux-ci sont dans l’ADN du paysage de Montréal depuis toujours et ça ne gâche pas la ville sur toutes les rues où ils existent. Si on doit vivre avec ces poteaux cependant, on pourrait mieux penser leur placement (le classique du poteau au milieu de la pente du trottoir…), l’intégration urbaine, minimiser les nuisances et assurer l’entretien.
Mais oui, on devrait enfouir beaucoup plus, comme on devrait s’assurer de mieux résister aux canicules futurs, aux pluies diluviennes, etc… Le but est de mitiger des dommages plus importants que le coût de la prévention.
It seems like the extension of the sidewalk is privately owned section, not reducing the size of the road (except an extension made at the intersection)
I hope the city could correct these sorts of issues, even if the street is “newer.”
A similar problem of a puddle when it rains, at the crosswalk across rue de Verdun and rue Gordon (the cones are removed but the puddle is still there):
They added sand after I reported it here first, but since then it hasn’t been fixed (and this is very recent).
Also, regarding this intersection, when you look at LaSalle, Wellington, Bannantyne, and Champlain, the crosswalk is located on the south-west side of the street. However, on rue de Verdun, it’s on the north-east side. Since it’s a stop sign, it should have crosswalks on both sides.
Pas trop sûr de comprendre la logique, on laisse une énorme parcelle en asphalte d’un côté mais on va installer les pavé jusqu’au poteau de l’autre côté… vivement que les poteaux soient tous retirés
Le pourtour des poteaux sont supposés être en asphalte en attendant que la CSEM vienne les enlever. Je ne sais pas pourquoi ce poteau précis a du pavé autour
Rue William. Les trottoirs surdimentionnés seront pavés temporairement avec du bitume comme un peu partout dans Griffintown. J’espère que les fils électriques seront enfouis à terme.
If would nice if these temporary developments in Griffintown could include artwork on the ground, or eve marking where future trees will be with different colours making the street more interesting than asphalt
Quand la CCMM ne parle que de congestion routière, sans parler de la nécessité d’entrenir/remplacer les infrastructures souterraines ou que la majorité des chantiers ne relèvent pas de la Ville de Montréal
Il y a peut-être deux fois moins de cônes orange dans les rues de Montréal qu’il y a deux ans, mais le nombre de kilomètres entravés par les chantiers au centre-ville a augmenté de 25 % et la fluidité de la circulation s’est détériorée en 2024, constate la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) dans une analyse publiée mardi.
Malgré ces efforts, la CCMM juge que ces mesures ne sont pas suffisantes. Elle formule une série de recommandations, dont l’imposition d’un moratoire sur l’occupation des voies de circulation tant que « plan de fluidité » n’est pas établi et le déploiement de plateformes de communication des entraves pour les différents partenaires. Elle suggère aussi d’obliger les gestionnaires de chantiers d’identifier leurs cônes orange afin que les autorités puissent donner des amendes aux responsables de cônes abandonnés.