Chantiers de construction et travaux de voirie - Discussion générale

Longueuil poursuit le réaménagement du chemin de Chambly

Portail Constructo | 1 mai 2023

Longueuil poursuit le réaménagement du chemin de Chambly. Crédit : Graph Synergie

La Ville de Longueuil amorce les deux dernières phases de travaux majeurs de réfection du chemin de Chambly débutés en 2011.

Les travaux des deux dernières phases, d’une valeur de 18,8 M$, consistent en la réfection complète d’un tronçon du chemin de Chambly à proximité de la route 116, incluant le remplacement de la chaussée, des trottoirs, des feux de circulation et de l’éclairage, de même que l’implantation d’une voie réservée pour les autobus et l’ajout d’une piste cyclable bidirectionnelle. La Ville en profitera pour remplacer des équipements de gestion des eaux situés sous le chemin de Chambly et réaménager les intersections du chemin de la Savane et du boulevard Vauquelin.

Par ailleurs, la piste cyclable sur le chemin de Chambly sera complétée pour joindre le réseau cyclable déjà aménagé sur le chemin de Chambly et le boulevard Jacques-Cartier. Un nouveau lien sur le chemin de la Savane viendra quant à lui joindre la piste cyclable aménagée l’an dernier sur la rue Legault.

Finalement, l’accès à la gare Longueuil—Saint-Hubert sera amélioré pour les utilisateurs du transport en commun avec l’aménagement d’une nouvelle voie réservée pour les autobus, implantée sur le chemin de Chambly, entre le boulevard Vauquelin et la rue Patrick.

Échéancier

De juin à novembre 2023, les travaux se dérouleront d’abord à proximité du viaduc de la route 116 jusqu’au chemin de la Savane, incluant l’intersection névralgique du chemin de la Savane.

Puis, en 2024, d’avril à septembre, le dernier tronçon du chemin de Chambly sera réaménagé, du chemin de la Savane jusqu’au boulevard Vauquelin.

Source : Ville de Longueuil

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Révision des normes en matière de signalisation sur les chantiers à Montréal

Portail Constructo | 24 avril 2023

Révision des normes en matière de signalisation sur les chantiers à Montréal

Dès le mois de juin, différentes mesures de ces normes seront revues afin de limiter les répercussions des chantiers sur le réseau municipal montréalais.

Parmi les modifications apportées, notons que :

  • Les cônes orange actuels seront remplacés par d’autres modèles plus compacts et mieux adaptés aux milieux restreints et urbains;
  • Les panneaux annonçant un trottoir fermé seront plus petits;
  • Une troisième planche horizontale sera ajoutée aux barrières utilisées pour bloquer les trottoirs afin d’en améliorer la détection par les personnes non voyantes.

D’ici la fin de l’année, d’autres ajustements seront faits, dont la révision des dessins normalisés indiquant la signalisation temporaire à installer dans un chantier pour les adapter au milieu urbain. Ainsi, des catégories de vitesses inférieures à 60 kilomètres par heure seront ajoutées pour que la signalisation utilisée convienne mieux à l’emplacement des chantiers.

Dans le même sens, le recours aux glissières métalliques au lieu de cônes orange pour séparer les zones de chantiers des passages pour piétons sera évalué. De plus, il pourrait être envisagé de créer un pictogramme pour remplacer le texte indiquant un trottoir barré afin d’améliorer la compréhension des panneaux par les usagers.

Des chantiers plus attrayants

En collaboration avec la Ville de Montréal et les partenaires, le Gouvernement du Québec s’engage à revoir l’habillage des chantiers dans le centre-ville et les zones touristiques. Cette mesure permettra de rendre les lieux visuellement plus agréables pendant la période des travaux. Une cellule d’innovation sera créée dans le comité Mobilité Montréal, pour recenser les meilleures pratiques et mettre en application d’autres moyens qui permettront d’atténuer les répercussions des chantiers sur la circulation.

Source: Cabinet de la vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable

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Est-ce que ces changements de normes sont pour tous les chantiers sur le territoire de la ville?
Ou juste les chantiers publics?

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“Débutés en 2011…”

Oh my god :man_facepalming:t3::man_facepalming:t3::man_facepalming:t3:

La Ville de Montréal simplifie l’accès à son programme d’aide financière pour soutenir les commerçants affectés par des travaux majeurs

NOUVELLES FOURNIES PAR
Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif
May 15, 2023, 08:00 ET

MONTRÉAL, le 15 mai 2023 /CNW/ - Pour simplifier l’accès au soutien financier destiné aux commerces situés dans un secteur affecté par un chantier, le comité exécutif de la Ville de Montréal recommande au conseil municipal d’approuver le nouveau Programme de subvention forfaitaire destiné à fournir une subvention de 5 000 $ aux commerces situés dans un secteur affecté par un chantier municipal ou réalisé par la Société de transport de Montréal (STM). Ce geste sans précédent est posé dans le but de venir en aide à un nombre plus important de commerces et de pallier les limites de l’ancien programme.

Avec ces modifications, les commerces auront maintenant l’option d’appliquer aux deux programmes :

  1. Programme de subvention forfaitaire aux établissements situés dans un secteur affecté par des travaux majeurs;
  2. Aide financière pour les établissements situés dans un secteur affecté par des travaux majeurs.

Le nouveau programme de subvention forfaitaire s’ajoute au programme d’aide financière déjà offert et dont l’aide peut s’élever jusqu’à 40 000 $ par exercice financier admissible. La subvention de 5 000 $ qui s’ajoute à l’aide existante sera disponible dès le début d’un chantier et ne sera pas conditionnelle à des pertes de bénéfices.

Les entreprises admissibles doivent être locataires ou propriétaires de leur immeuble et être situées dans un secteur où des travaux entraînent des entraves à la circulation automobile pour une durée minimale de 6 mois.

Pour le programme d’aide financière actuel, des mesures d’allègement réglementaire importantes sont prévues pour favoriser l’accès des fonds aux commerces, en réduisant les documents demandés aux commerces et en ramenant à 6 mois la durée minimale de tous les chantiers inclus dans le programme.

La Ville cible le début de l’été 2023 pour l’entrée en vigueur de ce programme. Les propriétaires de commerces qui souhaitent être informés lorsque le programme sera en vigueur peuvent remplir ce formulaire.

Citations

« Les commerces font partie intégrante de la vitalité de nos quartiers. Notre administration a à cœur de soutenir ses commerçants pendant les travaux et c’est pourquoi il était fondamental pour notre équipe de trouver un moyen de mieux le faire. Pour continuer de les encourager et leur donner un coup de pouce pendant la période de travaux, la Ville de Montréal est fière d’annoncer la mise sur pied d’un tout nouveau programme de subvention forfaitaire de 5 000 $ ainsi que la modification du programme d’aide financière actuel. L’objectif est de simplifier la vie des commerçants, d’offrir une meilleure expérience-utilisateur aux commerces et de leur permettre d’adapter leurs pratiques d’affaires dès le début d’un chantier », a déclaré Luc Rabouin, responsable du développement économique et commercial, du savoir, de l’innovation et du design au sein du comité exécutif de la Ville de Montréal.

« Nous soulignons l’écoute et le leadership de la Ville de Montréal auprès des PME dans l’amélioration de son soutien aux commerces affectés par les travaux majeurs. Avec le nouveau programme forfaitaire, les PME affectées auront accès à une aide financière directe sans paperasse. De plus, il faut reconnaître l’amélioration du programme d’aide, qui subit un allègement administratif et un élargissement de son accès. Voilà des actions concrètes qui feront une grande différence pour les commerçants souvent désemparés et désavantagés devant les impacts des travaux routiers. Sur ce dossier, la Ville de Montréal représente un modèle pour les grandes villes canadiennes et nous espérons que plusieurs suivront cet exemple », a affirmé François Vincent, vice-président pour le Québec à la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI).

« Le Conseil québécois du commerce de détail se réjouit de l’effort déployé par la Ville pour soutenir ses détaillants. L’accessibilité à un allègement financier supplémentaire et la facilitation du programme d’aide actuel sont autant de mesures qui auront un impact positif réel sur les commerces touchés par divers chantiers », a souligné Damien Silès, directeur du CQCD.

« Les sociétés de développement commercial sont satisfaites des mesures annoncées par la Ville de Montréal et destinées à faciliter l’accès aux aides financières pour les commerces affectés par des travaux majeurs. Avec une nouvelle aide forfaitaire et un processus réglementaire simplifié, ces mesures vont atténuer l’impact des travaux sur les activités commerciales et soutenir la vitalité économique des territoires », a affirmé Sébastien Ridoin, directeur général par intérim de l’Association des SDC de Montréal.


Dans les médias

https://www.journaldemontreal.com/2023/05/15/une-aide-de-5000--pour-tout-commercant-affecte-par-des-travaux-majeurs-a-montreal

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880 millions seront investis dans le colmatage des rues dans les 10 prochaines années.
Il y aurait moins de nids-de-poule maintenant que les années pré-pandémiques.

La ville possède 12 Python 5000, ces véhicules spécialisés pour boucher les nids-de-poule. Cet été, ces équipements se concentreront sur les opérations de plus grande surface.


La différence dans le colmatage par ces véhicules par rapport à la vieille technique “à la main” est assez importante d’ailleurs. les nids-de-poule que j’ai vu réparés par un “Python 5000” cet hiver tiennent encore à ce jour, des mois plus tard. Les autres… on est chanceux si ça tient quelques jours.

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Un autre article sur le sujet:

De moins en moins de nids-de-poule à Montréal

PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE

La Ville estime que 30 % de ses rues sont « dans un mauvais état », selon son porte-parole.

Les automobilistes ne s’en rendent peut-être pas compte, mais Montréal trouve de moins en moins de nids-de-poule sur son réseau routier. Le plus récent bilan de ses opérations de colmatage témoigne des efforts de la métropole pour améliorer l’état de ses chaussées, mais demeure cependant tributaire des conditions météo hivernales de plus en plus extrêmes.

Publié à 13h53 Mis à jour à 15h20

Éric-Pierre Champagne La Presse
(La Presse | Éric-Pierre Champagne)

Depuis le début de l’année 2023, la Ville de Montréal a réparé plus de 111 000 nids-de-poule sur son territoire, un bilan supérieur à l’année précédente, avec 96 800 nids-de-poule réparés, mais tout de même nettement en dessous de la moyenne annuelle des années 2017, 2018 et 2019 avec 176 461 trous bouchés par année.

Selon Philippe Sabourin, porte-parole de la Ville de Montréal, la hausse de 2023 par rapport à 2022 est attribuable « à un hiver particulièrement difficile ». « On a eu 30 cm de plus [de neige] que d’habitude et plus de fluctuations de température et ça, ça occasionne généralement plus de nids-de-poule », précise-t-il.

Malgré cette hausse, les chiffres indiquent clairement une tendance à la baisse, « une amélioration rendue possible grâce aux investissements dans les travaux de voirie », soutient Philippe Sabourin. Montréal a d’ailleurs adopté un plan de 880,6 millions sur 10 ans (2023-2032) dans des « programmes de planage-revêtement visant à prolonger la durée de vie utile des chaussées et éviter la prolifération des nids-de-poule ».

La Ville estime que 30 % de ses rues sont « dans un mauvais état », selon son porte-parole.

Moins de nids-de-poule signifient aussi moins de plaintes, constate la Ville. Depuis le début de l’année, Montréal a reçu 3600 plaintes pour des trous dans la chaussée alors qu’il y en a eu 5400 l’année précédente. En 2019, la Ville avait reçu 8000 plaintes à ce sujet.

PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE

Depuis environ 5 ans, la Ville dispose de véhicules Python 5000 qui permettent d’effectuer plus rapidement les réparations de nids-de-poule. Montréal possède quatre camions Python 5000 et recourt aux services d’un sous-traitant disposant de huit autres véhicules semblables.

Un seul conducteur au volant d’un tel véhicule peut réparer jusqu’à 300 nids-de-poule par jour. Depuis le début de l’année, six opérations de réparation ont eu lieu avec les 12 véhicules à la disposition de la Ville.

Chaque trou est aussi géolocalisé au cours de l’opération, permettant aux autorités de faire un meilleur suivi des voies qui ont été réparées. « Ça prend juste un opérateur, c’est plus sécuritaire, c’est plus rapide », signale Philippe Sabourin.

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Au Téléjournal

Montréal affirme avoir colmaté plus de 111 000 nids-de-poule cette année


La majorité des nids-de-poule sont causés par le cycle de gel et de dégel qui fait craquer l’asphalte, permettant à l’eau de s’infiltrer sous la chaussée.
PHOTO : ISTOCK / MARCBRUXELLE

Radio-Canada
Publié à 11 h 48

Les six opérations de colmatage mécanisé de nids-de-poule menées cette année dans les rues et les artères de Montréal ont permis de géolocaliser et de combler plus de 111 000 trous dans la chaussée, a fait savoir vendredi la Ville de Montréal.

Ces milliers de réparations faites à l’aide de machines conçues pour boucher les trous dans la chaussée s’ajoutent, selon la Ville, à tous ceux qui ont été colmatés manuellement par les employés de la voirie.

Ces opérations de colmatage ont été menées en vertu d’un investissement de 2,5 millions de dollars, précise un communiqué.

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La stratégie de colmatage des autorités municipales a permis de boucher environ 14 000 trous de plus cette année, comparativement aux 96 800 réparés l’an dernier, toujours selon les données de la Ville.


Une machine spécialisée dans le colmatage des nids-de-poule au travail sur la rue Viger, à Montréal. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / SIMON-MARC CHARRON

Le nombre de réparations de nids-de-poule des deux dernières années est stable et représente une diminution significative par rapport à la moyenne des années 2017, 2018 et 2019, qui atteignait 176 461 nids-de-poule, rappelle-t-on.

« On a moins de nids-de-poule parce qu’on travaille fort sur nos chantiers l’été. En saison estivale on fait des grandes surfaces. On vient paver la chaussée et s’assurer qu’il n’y a pas de fissures, qu’il n’y a pas de craques. […] Avec nos travaux cet été on va sceller nos chaussées, on n’aura pas d’infiltrations d’eau et on va tranquillement diminuer le nombre de nids-de-poule. »

— Une citation de Philippe Sabourin, porte-parole Ville de Montréal

La Ville consacre 880,6 millions de dollars à l’entretien et à la prolongation de la durée de vie des chaussées dans son PDI (2023-2032).

Les citoyens sont invités à signaler la présence de nids-de-poule en composant le 311 ou via l’application Montréal – Services aux citoyens, qui permet notamment de géolocaliser les trous.

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Un article de Bill Brownstrein dans la Gazette sur la créatrice de Ponto

Brownstein: Orange cones have been a boon for Montreal comic illustrator

Tania Mignacca has turned her creation of a cuddly cartoon cone character called Ponto into a new career.

Author of the article:
Bill Brownstein • Montreal Gazette
Published May 24, 2023 • Last updated 1 hour ago • 4 minute read


Illustrator Tania Mignacca, creator of orange cone character Ponto, has turned the ubiquitous Montreal hindrance into a profitable business. PHOTO BY DAVE SIDAWAY /Montreal Gazette

There’s gold in them thar orange cones, at least for one Montrealer.

Small wonder that comic illustrator Tania Mignacca has a soft spot for the ubiquitous construction cones that most Montrealers never tire of cursing.

A decade back, Mignacca, then working as a graphic designer for a large retail chain, was looking for a whimsical outlet and fixated on the orange cone. And so came to animated life a misunderstood and, dare we say, cuddly cartoon character called Ponto, essentially an orange cone with two innocent eyes and a fetching red nose.

Ponto has not only provided Mignacca an outlet but a change of career — and one that is becoming increasingly more lucrative.

Mignacca is set to complete her second volume of Ponto comic strips — like the first, available in French and English — and she puts out a weekly Ponto web page, also including the drawings of her artist friends. And then there’s the Ponto merch: More than 100 items, from postcards to keychains to decals to earrings to drawings to bags to plushies, selling from $3 to $40.

All of the above take full advantage of the not-so-comical traffic chaos induced by the orange cones, yet somehow manage to show a little love for the seemingly genial Ponto. No minor feat in itself. In fact, the subtitle to the first Ponto volume is: “Because We All Love Montreal!”

The city in turn seems to be falling for Ponto, whose plushie likeness will be front and centre at the Comic Arts Festival on St-Denis St., May 26 to 28; Montreal’s ComicCon, July 14 to 16 at the Palais des congrès; and Otakuthon, Montreal’s largest anime convention, Aug. 11 to 13, also at the Palais des congrès.

Ponto was even fêted last Saturday at Verdun’s Thésaurus Thérrarium’s High Tea — although some may argue that a stronger libation would have been more appropriate for serving at this occasion.

Mignacca takes it all in stride while working in her tiny studio in a Mile End office building on Casgrain Ave. — which coincidentally appears to be one of the few street blocks in the city without any orange cones.

“Not this week anyway,” Mignacca muses. “But there were some last week.

“I totally understand the frustration Montrealers feel about the orange cones, but they really don’t bother me the same way, because I don’t drive. I’m a walker.”

Mignacca took the name Ponto out of the blue … er … orange.

“It doesn’t mean anything, really. I just liked the sound of it. But what’s funny is that now people are calling orange cones, Pontos,” she says. “I started doing this at the time city construction scandals were all over the news. I thought Ponto would have a short life, but then with the explosion of orange cones around the city, Ponto took on a new and long life, and business just keeps growing, because I don’t think the city is ever going to be completely fixed up.”

With no sign of an imminent demise of road work, there is not likely to be any end in sight for the orange cones, in spite of the penalties supposed to be imposed on those construction crews who allow them to linger too long on our streets and sidewalks.

Mignacca notes that when Quebec Transport Minister Geneviève Guilbault announced in April that her department would seek to reduce not just the number of cones on city streets but also their size, Ponto’s legion of fans were upset.

“I did an April Fools’ joke on my web page, showing a skinnier Ponto. People really believed it and were sending me messages: ‘No, no. Ponto! We don’t want you to change.’

“Of course, I want the city to do better with construction. But I always hear people complaining about the traffic cones, which seems to prevent many from seeing the more beautiful aspects of the city. After all, we do have bigger problems in the city than the cones. So I decided to turn the cone into a unique city symbol with a different perspective most might have, like a cute Montreal mascot, inspired by similar Japanese mascots. I see Ponto as a child who sees the city with wonder. That’s why I try to incorporate in my drawings with Ponto some city landmarks, like that other great orange creation, the Orange Julep.

“Let’s look on the bright side here: the orange cone is something else that makes us so distinct.”

True dat.

It probably shouldn’t come as a surprise that Ponto has a strong following on Facebook and Twitter. Even Mayor Valérie Plante is apparently a big fan — as she acknowledged to Mignacca when they met — and follows Ponto on social media.

But despite a request from one cynic, Mignacca plans to refrain from titling yet another comic volume Ponto Meets Planto.

For more information about Ponto and related merchandise, go to pontomontreal.com.

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La chaîne YouTube NotJustBikes a atteint 1 M d’abonnés et a publié cette vidéo parlant d’aménagement cycliste, de SRB, de trafic induit, d’étalement urbain, d’association de propriétaires, prix de l’essence… etc.

:rofl:

Il faut activer les sous-titres :wink:

I GOT A NEW TRUCK!! (AND A MILLION SUBSCRIBERS!)

This YouTube channel just hit 1 MILLION SUBSCRIBERS! To celebrate, I bought myself a new truck and moved to the suburbs.

SUBURBIA RULES, BRO!

Et il est devenu Just Cars sur Twiter

L’agence de mobilité durable lance les travaux du Pôle de mobilité dans Rosemont-Petite-Patrie

DÉBUT DES TRAVAUX DE CONTRUCTION DE NOTRE PREMIER PÔLE DE MOBILITÉ

Publication : 31 mai 2023

Montréal, le 31 mai 2023 — Dès l’automne 2023, un premier pôle de mobilité de l’Agence de mobilité durable verra le jour dans l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie. Les travaux ont débuté cette semaine dans trois stationnements mitoyens situés dans le quadrilatère entre la 9e avenue, la rue Masson, la 6e avenue et la rue Dandurand.

Ce pôle de mobilité durable sera un espace convivial, écoresponsable et sécuritaire et contribuera à la vie quotidienne du quartier et de sa population. Il proposera plusieurs services de mobilité dont des stationnements automobiles et pour vélos, du vélopartage, de l’autopartage, des bornes de recharge électrique et des placottoirs.

Afin de diminuer l’impact des travaux pour notre clientèle, un stationnement sur trois restera ouvert pour les détenteurs de permis.

« Ce nouveau pôle s’inscrit dans notre plan stratégique organisationnel et s’accorde avec notre vision de la ville accessible à tous. Il facilitera les pratiques multimodales des citoyens en proposant plusieurs modes alternatifs à l’auto-solo pour un meilleur partage de l’espace public », souligne Laurent Chevrot, directeur général de l’Agence de mobilité durable.

« Notre administration est plus déterminée que jamais à faire de Montréal une ville plus résiliente, conviviale et sécuritaire. La mise sur pied de pôles de mobilité dans les stationnements hors rue est une façon concrète d’adapter notre territoire aux changements climatiques tout en faisant plus de place aux options de mobilité durables. Une fois ce projet terminé, les citoyennes et citoyens retrouveront un espace collectif verdi et apaisé qui contribuera à réduire les îlots de chaleur et à la gestion des eaux pluviales », a déclaré Sophie Mauzerolle, responsable de la mobilité et des transports au comité exécutif de la Ville de Montréal.

« L’arrivée du pôle de mobilité Masson est un gain significatif pour notre milieu de vie. Situé en plein cœur institutionnel, économique et historique du Vieux-Rosemont, cet aménagement innovant permettra à la population de profiter d’une infrastructure de mobilité renouvelée, résolument en phase avec nos efforts de transition écologique. La reconfiguration des terrains permettra également aux riverains d’accéder sécuritairement aux ruelles vertes, en plus d’améliorer l’expérience pour les visiteurs de l’artère commerciale », a exprimé Dominique Ollivier, présidente du comité exécutif et conseillère de ville du Vieux-Rosemont.

Pour plus de détails sur ce pôle de mobilité, veuillez consulter la page Pôle de mobilité sur le site Internet de l’Agence.

Situé entre la 9e Avenue, 6e Avenue, rue Masson et rue Dandurand, cet espace va offrir plusieurs services de mobilité en un seul lieu : des stationnements automobiles et vélos, du vélopartage, de l’autopartage, des bornes de recharge électrique et des placottoirs. Ce pôle de mobilité a pour vocation d’être sécuritaire, écologique et convivial, contribuant à la vie quotidienne du quartier et de sa population.

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Faudrait quand même pas trop pousser dans les superlatifs, un pôle de mobilité… c’est 3 stationnements existants regrouper en 1, avec des bornes de recharges, un rack à vélo et des bancs… pas de quoi dire que c’est une avancée dans le développement durable et écologique…
Oui c’est verdis, mais c’est pas plus différent qu’un coin de rue qui a déjà le 3/4 de tous ces services

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