On le voyait un peu sur d’autre photo, mais remarquez ce camion. Le toit de ce centre de transports semble aussi solide et étanche qu’une voûte de station de métro sur laquelle repose la chaussée
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Hâte de prendre ça en photo Durant la nuit quand y’a pas d’auto du côté dangereux du Viaduc!
Merci Vince!!
les poutres de bois ont un aspect arrondi donc cet immeuble sera réellement arrondi et non une succession de sections droites avec des angles
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Le bois d’ingénierie se prête merveilleusement bien à la créativité, il est élégant et chaleureux d’aspect, tout aussi ignifuge que bien d’autres matériaux comparables et est un débouché naturel et écologique de nos forêts. D’ailleurs le gouvernement québécois devrait faire un plus gros effort pour encourager davantage son usage, puisque c’est un produit fini qui rapporterait drôlement plus que le bois d’oeuvre exporté.
Comme il est tout aussi durable et est généralement préfabriqué sur mesure, il est tout aussi solide que l’acier mais beaucoup plus léger, tout en permettant des économies de temps substantielles sur un chantier de construction. Finalement sa plasticité se prête bien aux fantaisies architecturales et peut donner de vrais bijoux au design remarquable.
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Photo d’en face. On voit l’espèce de massif de béton qui va suivre l’escalier en angle au milieu de la place publique (je crois):
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Ça prend joliment forme, ce centre de transport gagnera sûrement des prix une fois terminé, notamment pour sa spectaculaire intégration à son environnement immédiat. 
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Chantier de la STM | Des alarmes de recul qui « gâchent la vie » des résidants
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Des citoyens se plaignent des alarmes de recul des véhicules qui retentissent trop tôt et trop fort sur le chantier de la STM situé rue de Bellechasse, à Montréal.
Depuis plus de trois ans, Zoe Brashaw doit vivre avec le bruit des alarmes de recul de véhicules lourds qui retentissent toute la journée, parfois même avant 7 h le matin.
Publié à 0h00
Isabelle Ducas
LA PRESSE
Cette résidante de La Petite-Patrie habite à quelques mètres du chantier de construction du futur centre de transport Bellechasse de la Société de transport de Montréal (STM), près du boulevard Saint-Laurent.
« Même avec des écouteurs ou des bouchons dans les oreilles, il n’y a pas moyen de bloquer le niveau de décibels occasionné par ces alarmes, dénonce Mme Brashaw. Ça dure 12 heures par jour, cinq ou six jours par semaine. Je capote, c’est impossible de se concentrer sur quoi que ce soit. Ça gâche la vie de gens ! »
Malgré les fenêtres fermées, on entend distinctement le « bip-bip-bip » des alarmes tonales de recul quand on se trouve à l’intérieur de son appartement.
Lors de rencontres organisées par la STM avec les citoyens du secteur, plusieurs résidants se sont plaints de cette situation, qui empoisonne leur quotidien.
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Hugues Montfroy réside près du chantier du futur garage de la STM.
« Ça n’a pas de bon sens pour un chantier qui est voisin d’un quartier si densément peuplé », s’insurge Hugues Montfroy, ancien résidant du coin qui a déménagé, en partie à cause des désagréments causés par le site de construction.
M. Montfroy continue cependant ses démarches auprès de la STM et d’autres instances pour obtenir des changements. Il a même contacté des avocats parce qu’il souhaite entreprendre une action collective, avec une vingtaine d’autres citoyens.
Bruit de criquet
Ce qui choque ces citoyens, c’est qu’il existe maintenant une solution de rechange aux alarmes tonales de recul : les alarmes à large bande, moins dérangeantes, qui émettent un son ressemblant à celui d’un criquet, un bruit de type « pschitt pschitt ».
De nombreux véhicules municipaux sont maintenant équipés d’alarmes à large bande à Montréal.
Pourquoi la STM n’a-t-elle pas exigé de telles alarmes pour les camions et la machinerie lourde sur son chantier ?
« Nous avons plus de 70 sous-traitants, en plus des fournisseurs des sous-traitants. Dans ce contexte, il est impossible d’imposer des conditions concernant les alarmes de recul sur tous les camions », répond la porte-parole de l’organisme, Amélie Régis, dans une réponse envoyée par courriel.
« De nombreuses options ont été évaluées pour limiter les alarmes de recul. Cependant, la plupart de ces options étaient peu viables et risquaient d’avoir d’autres impacts. »
Nous rappelons régulièrement à l’entrepreneur de faire tout ce qui est possible afin de limiter les impacts de bruit. Évidemment, nous ne pouvons pas négliger la sécurité sur le chantier, d’où l’importance des alarmes.
— Amélie Régis, porte-parole de la STM, dans un courriel
Quant aux bruits qui résonnent avant 7 h le matin, Mme Régis affirme que la STM « avise systématiquement l’entrepreneur pour lui rappeler les règles en vigueur et le respect du voisinage, lorsqu’une telle situation est rapportée ».
Mais la société de transport estime que « les camions du chantier peuvent arriver près du chantier avant 7 h », est-il indiqué sur son site web.
Cependant, selon la porte-parole, des bruits qui se sont fait entendre la semaine dernière avant 7 h dans le secteur ne provenaient pas du chantier de la STM.
Le gros du travail visible est toujours à avancer l’immense dalle de béton qui recouvre le projet:
Pas d’avancement sur la structure en bois:
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Voir la taille des gens ici montre vraiment la taille du parc ! Au début, en voyant les rendus, je pensais que ce serait beaucoup plus petit.
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Je sais que je suis « un peu » en retard, mais si l’alerte de recul est aussi audible malgré les fenêtres fermées, est-ce que ça n’implique pas aussi qu’elles n’isolent à peut près pas en hiver?
Pour le rester, j’habite en face du futur quartier des lumières, donc je comprends la frustration d’entendre les camions arriver des 6h30 du matin en préparation du début de la journée.
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The most stunning work of architecture in this city since '76/'87, and almost nobody will see it (or even notice it).
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Des retards en vue…?! 
Des travaux correctifs urgents au centre de transport Bellechasse
Portail Constructo | 12 septembre 2022
Crédit : STM
Des conditions géotechniques problématiques non anticipées nécessitent des travaux de reconstruction et consolidation du roc pour permettre la construction du centre de transport Bellechasse.
Le 1er juin 2022, les travaux de reconstruction et de consolidation du roc en cours d’exécution ont été suspendus par la Société de transport de Montréal (STM), et ce, afin de se conformer au cadre normatif et de procéder à plusieurs appels d’offres pour les différentes disciplines concernées.
Le 16 juin 2022, de fortes pluies ont révélé des problèmes d’intégrité du système de soutènement, qui n’étaient pas connus lors de la suspension des travaux.
La STM a donc mis en place un plan d’intervention pour assurer la sécurité des infrastructures et a obtenu deux rapports de firmes externes pour évaluer l’état de la situation. Les rapports ont corroboré que des travaux correctifs urgents devaient être effectués avant le prochain cycle de gel et dégel et subséquemment en fonction de la condition du système de soutènement.
Le président du conseil d’administration de la STM a donc donné l’autorisation d’octroyer un contrat de gré à gré d’un montant maximal de 16 M$ pour effectuer les travaux, jusqu’à ce qu’un nouvel entrepreneur soit sélectionné à la suite du processus d’appel d’offres lancé le 22 aout dernier.
Source : STM
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