La source est un appel d’offre pour la planification du tronçon datant de cet automne. La ville n’a que confirmé vaguement l’orientation, ni plus ni moins:
« Le tramway est un excellent exemple de ce qui pourrait être proposé tout comme le Service rapide par bus (SRB), à l’image du réaménagement prévu pour le boulevard Henri-Bourassa, a continué l’attaché de presse Simon Charron. Nous allons étudier attentivement les propositions qui nous seront soumises. »
Comme c’est dans un appel d’offre publié, on est passé le “ballon d’essai” à mon humble avis, c’est une orientation majeure de la transformation de l’axe qui est demandé dans les soumissions de sa planification.
Tant qu’à moi, ça me semble naturel pour la requalification d’un gros axe à Montréal anyway. On parle beaucoup du tramway parce que c’est le mode le plus lourd avancé, mais ça pourrait être autre chose si celui-ci n’est pas faisable.
Pour ce que ça vaut, j’ai entendu quelques projets intéressants de l’ARTM.
Mais je doute qu’on en entende parler si cela ne cadre pas avec une orientation politique du gouvernement. La gestion des projets a été toute sauf indépendante ces dernières années.
Mais je suis bien d’accord avec la planification que tu souhaites. Je pense que les villes doivent indiquer leur priorité (comme par exemple, si on veut refaire Jean-Talon, l’ARTM doit considérer le projet et en être informé), mais ensuite tout devrait s’orienter autour d’un plan clair.
Ce serait vrai seulement s’il y a un gel d’emploi, peu importe la situation financière de la STM. Ça dépend des priorités budgétaires, et je ne me souviens pas d’une annonce en ce sens.
C’est jeter le bébé avec l’eau du bain. S’il y a des améliorations informatiques à faire sur un système, ça ne va pas empêcher de planifier du TEC en site propre. C’est important de dénoncer des lacunes, mais ça ne justifie pas de paralyser le développement.
Avec cet argument, on devrait flusher la Caisse plusieurs fois pour toutes leurs ratées. Je ne pense pas que ce serait la bonne attitude.