Aviation

Les passagers de la classe Signature d’Air Canada s’envolant vers le Japon pourront goûter à la cuisine kaiseki du chef étoilé Masaki Hashimoto, établi à Toronto.

Publié à 11 h 30

Sylvain Sarrazin La Presse

](La Presse | Sylvain Sarrazin)

Cet art gastronomique nippon consiste en des repas subdivisés en plusieurs petits plats raffinés. On y trouvera par exemple des racines de lotus sautées, un tofu au sésame rehaussé d’une sauce au wasabi, un bœuf sukiyaki avec tofu mijoté, oignons verts, chou nappa et gingembre rouge, servis avec du riz calrose et une soupe miso.

Dès ce printemps, les repas seront servis dans de la vaisselle et un plateau traditionnels mettant à l’honneur des œuvres d’art japonaises, et pourront être agrémentés d’un accord de saké de première qualité sélectionné par le fils du chef Hashimoto, sommelier de saké.

Ces repas figureront à la carte de tous les vols entre le Canada et le Japon, dont la liaison quotidienne Montréal-Narita.

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getting extra planes for a good price and a foothold in the east for sun destination flying… That’s my best guess.

Nah. They’ve abandoned eastern Canada. Nothing is confirmed yet, but our JV will be dissolved within the next 12 months or so, quite specifically because they have abandoned Canada’s two eastern hubs.

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“Large aircraft” means that Sunwing will have access to WS’s under-utilized Dreamliners during the period up until the merger completes on 29 May this year. WG’s 738s and 7M8s will gradually be painted to WS livery, and the acquired aircraft will begin flying under WestJet’s AOC on 30 May. Because Sunwing Vacations and selloffvacations.com will continue as separate entities belonging to Sunwing Travel Group, they will keep selling Sunwing-branded flights for their all-inclusive packages, even though the wholesale ticketing will use the 838 airline code, and the flights will be conducted on WS aircraft.

Un avion américain contraint de faire demi-tour, car le pilote avait oublié son passeport

PHOTO TED S. WARREN, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS

« Samedi, le vol United 198 de Los Angeles à Shanghai a atterri à l’aéroport international de San Francisco, car le pilote n’avait pas son passeport à bord », a fait savoir la compagnie américaine United Airlines à l’AFP.

(Washington) Un avion qui avait décollé de Los Angeles pour se rendre à Shanghai a été contraint de faire demi-tour quand le pilote a réalisé qu’il avait oublié son passeport.

Publié hier à 9 h 50

Agence France-Presse

« Samedi, le vol United 198 de Los Angeles à Shanghai a atterri à l’aéroport international de San Francisco, car le pilote n’avait pas son passeport à bord », a fait savoir la compagnie américaine United Airlines à l’AFP.

L’avion avait décollé depuis près de deux heures quand il a fait demi-tour pour se poser à San Francisco, en Californie, alors que les 257 passagers comptaient se poser après plus de 13 heures de vol de l’autre côté du globe.

Sur les réseaux sociaux, de nombreux voyageurs se sont indignés.

« Le vol UA198 dérouté à SFO (aéroport international de San Francisco) parce que le pilote a oublié son passeport ? Maintenant bloqué plus de six heures. Complètement inacceptable. @united, quelle compensation offrez-vous pour cette gestion catastrophique ? », s’est ainsi plaint sur X Paramjot Singh Kalra.

En réponse, la compagnie a dit avoir « fait en sorte qu’un nouvel équipage » emmène les passagers à destination, soulignant leur avoir offert une compensation.

Ce n’est pas la première fois qu’un vol est perturbé après que le pilote oublie son passeport.

En 2019, un vol en partance du Vietnam avait été retardé de 11 heures, car le pilote avait perdu son précieux document d’identité. Il ne pouvait donc pas entrer dans l’aéroport.

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Dans mes 31 ans de carrière en tant que membre d’équipage de cabine (pareil pour les pilotes) j’étais tenu d’avoir un passeport valide avec moi en tout temps lors de mes déplacements pour AC, même au pays. Parce que selon les besoins opérationnels nous pouvions être détournés de nos vols attitrés pour couvrir un vol international à la dernière minute.

Ainsi mon passeport ne quittait jamais ma valise d’équipage et cette dernière était toujours prête pour un voyage possible d’urgence n’importe où dans notre réseau à travers le monde. En arrivant à la maison je changeais immédiatement les vêtements pour des propres, uniformes et vêtements civils, suivi d’une rapide mise à jour du reste de mon équipement, afin d’avoir tout l’essentiel pour un prochain départ sans avoir à vérifier quoi que ce soit à la dernière minute.

En appliquant cette discipline rigoureusement, j’évitais beaucoup de stress inutile et n’ai jamais rien oublié car ma valise n’a jamais été défaite durant ces trois décennies.

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I have a quick question. How would those reroutings work for countries require an entrance, if you’re not scheduled to fly normally there?

I don’t have any specific example in mind.

Flight ops planning group (dispatch in tandem with other teams) get the required clearances from the destination countries, whether “most-favoured” and visa-free, or tightly controlled (think: China). Generally, the crew goes through immigration and customs with the required paperwork in hand – that’s why you’ll always see the entire crew from a foreign country assemble after the flight and proceed to immigration in one group.

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When I was cabin crew, some places we didn’t even go through immigration at arrival, our paperwork was submitted in advance and we were taken directly from the plane to the hotel without going in the terminal.

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Oui c’était souvent la procédure car on passait rarement par l’aérogare, d’ailleurs la carte de Transport Canada devait être à la vue dès l’instant où on sortait de l’avion. À part pour certains pays, on ne vérifiait que rarement notre passeport, bien que c’était le document officiel de nationalité reconnu partout dans le monde et indispensable au retour au Canada.

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:slightly_smiling_face: ICAO uses a standardized “general declaration” form, which can be adapted depending on local or regional circumstances. It may be submitted electronically in some jurisdictions, but is usually filled out manually and carried by the pilot in command or the crew chief on board. When it is required to be shown to immigration on arrival, that’s exactly what happens. It gets filed with the arrival station’s paperwork and kept for a minimum of 30 days, in some places 90 days.

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Vols vers É-U réduit par 70% à 75%. Moi, j’y ai pour visiter la famille dans 2 semaines. On devrait avoir plein d’espace ça me semble.

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Une conséquence directe de l’hostilité de Trump vis à vis du Canada. Or on peut présumer sans trop se trumper /s que le même phénomène se produira pour le tourisme en automobile.

Maintenant le tourisme international réagira négativement à son tour, d’abord face aux nouvelles interdictions pour certains pays et le possible déni d’entrée pour les autres visiteurs nés dans un pays qui ne trouve plus grâce aux yeux de l’immigration américaine.

Ça risque de faire très mal à l’industrie du tourisme en général, mais aussi tout autant au tourisme d’affaires qui restreindra ses voyages pour éviter une forme invasive d’enquêtes personnelles.

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Interesting news bites. Capacity hasn’t actually been cut all that much yet (something like 3%, across Canada).

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De ce que j’ai compris, le nombre de voyageurs américains à destination du Canada a augmenté (il me semble avoir lu de 23%, mais je ne retrouve pas la source). Ça compense un peu pour la diminution du côté des canadiens.

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Oui, et chaque aéroport peut s’attendre à des chiffres différents. YUL pourrait connaître une légère baisse du nombre de billets d’origine d’ici, mais une forte hausse du nombre de billets d’origine des É-U, tandis que Calgary pourrait connaître une baisse significative dans les deux sens.

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Air Canada Les réservations vers les États-Unis reculent de 10 %

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE

Lors de son assemblée annuelle des actionnaires, lundi, la compagnie a indiqué que la diminution des réservations de vols Canada – États-Unis pour les six prochains mois était « comparable » à une baisse d’environ 10 % pour l’ensemble du secteur.

Air Canada affirme que les réservations sur les lignes transfrontalières sont en forte baisse dans l’ensemble du secteur, en raison de la nouvelle aversion des Canadiens pour les destinations américaines.

Publié à 15 h 39

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La Presse Canadienne

Lors de son assemblée annuelle des actionnaires, lundi, la compagnie a indiqué que la diminution des réservations de vols Canada – États-Unis pour les six prochains mois était « comparable » à une baisse d’environ 10 % pour l’ensemble du secteur.

La plupart des transporteurs canadiens ont réduit leur capacité vers les États-Unis tout en renforçant leurs offres intérieures ou transatlantiques, les clients renonçant aux voyages vers un pays dont le président a déclenché une guerre commerciale continentale et menacé le Canada d’annexion.

La faiblesse du huard a également découragé les excursions aux États-Unis, le taux de conversion ayant été particulièrement défavorable aux Canadiens au cours des quatre derniers mois.

Eric Tanner, vice-président commercial de Flair Airlines, affirme que les vols transfrontaliers ne représenteront que 12 % du réseau du transporteur à bas prix cet hiver, contre 20 % le mois dernier.

Le vice-président commercial de Flair Airlines, Eric Tanner, affirme que les voyages transfrontaliers ne représenteront que 12 % du réseau de la compagnie aérienne à bas prix au cours de l’hiver 2025-26, contre 20 % au cours des derniers mois.

« Dans l’ensemble, nous avons constaté une plus grande incertitude de la part des clients et des consommateurs. Il est évident que la question des droits de douane américains retient beaucoup l’attention, et nous en avons certainement ressenti l’impact et avons pris des mesures au niveau du réseau pour nous adapter en conséquence », précise M. Tanner lors d’une entrevue téléphonique.

Porter Airlines fait exception, augmentant son volume de vols au sud de la frontière de 25 % sur un an cet été, dans le cadre d’une expansion rapide, bien que son réseau américain soit plus restreint que prévu.

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I doubt we’ll see WS Dreamliners in YUL this year, maybe next year.

Meanwhile, and example of the above (before WG’s AOC expires May 29):

Westjet 73M C-GFJO departing as a ferry flight WG9689 to YYZ after operating WG689 from Varadero last night.

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C’est la première fois qu’une situation du genre survient avec l’ancienne C Series de Bombardier, une famille d’avions dont l’entrée en service remonte à moins d’une décennie. Elle témoigne également de la fragilité des chaînes d’approvisionnement dans l’industrie aéronautique.

Visiblement à court de solutions, Delta Air Lines, l’un des géants de l’industrie aérienne aux États-Unis, s’est tournée vers le locateur Azorra pour mettre la main sur un A220-300 – la plus grande version de cette famille d’appareils détenue à 25 % par l’État québécois.

Peu de détails ont été offerts sur les pièces recherchées par Delta, mais signe de l’urgence de la situation, l’aéronef loué au transporteur américain était « déjà en cours de démantèlement » au moment où l’entente avec Azorra a été divulguée, la semaine dernière.

« C’est vraiment une mesure extraordinaire, souligne l’analyste américain Richard Aboulafia, directeur général de la firme AeroDynamics. C’est déjà arrivé dans le passé, mais de mémoire, jamais avec une gamme d’avions aussi récente. Cela illustre à quel point il y a des turbulences dans la chaîne de l’A220. »

Sur une note plus positive, Airbus a connu, en mars, l’un de ses meilleurs mois au chapitre des livraisons de l’A220 à partir de Mirabel et de Mobile en remettant 10 appareils à des clients. Le géant européen affirme qu’il lui faut construire 14 avions par mois pour faire sortir le programme du rouge.

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