Tellement minime comme proposition.
Il faut le remboursement automatique. Même les américains ont compris cela.
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Well as long as whatever they end up with is better than what Rouge has now it should help with how people perceive them. Everyone I know who has flown Rouge has very little or nothing good to say about them.
Les accidents d’avions sont très rares compte tenu de la quantité de vols quotidiens qui ont lieu dans le monde. Cependant j’ai remarqué avec les années une occurrence qui se répète singulièrement. Les incidents aériens semblent venir par vagues sur une courte période sans qu’il n’y ait pour autant aucune relation entre eux. C’est encore la cas ici avec ces trois événements: le premier au Kazakhstan, l’autre à Halifax et le dernier en date en Corée du Sud, chacun de cause différente et sans aucun rapport entre eux.
À remarquer que ce n’est qu’une observation personnelle qui n’est pas exhaustive et qui n’a bien sûr rien de scientifique. Mais qui interpelle tout de même, car l’historique de chaque événement est unique en soi et totalement indépendant, tout en se produisant sur un cours laps de temps.
Loi des séries un pnc de Swiss malheureusement dcd…
et du côté de KLM
Swiss Airlines annonce le décès d’un membre d’équipage suite à l’atterrissage d’urgence à #Graz du vol LX1885 le 23 décembre 2024 entre Bucarest et Zurich
This in one of the best analysis of the Jeju 737 crash I’ve come across. The host is an aerospace engineer.
La compagnie aérienne mexicaine Aeroméxico obtient le meilleur bilan mondial en matière d’arrivées à l’heure en 2024, selon un classement annuel publié jeudi. Delta Air Lines se voit octroyer le meilleur score parmi les transporteurs nord-américains malgré une panne informatique qui a provoqué des milliers d’annulations de vols en juillet.
Le fournisseur de données aéronautiques Cirium indique dans un rapport que près de 87% des vols d’Aeroméxico sont arrivés dans les 15 minutes suivant leur arrivée prévue, une mesure de la ponctualité largement utilisée parmi les compagnies aériennes.
Saudia, le transporteur phare de l’Arabie saoudite, s’est classé deuxième au niveau mondial, avec un taux de ponctualité d’un peu plus de 86%, selon Cirium.
Cirium évalue les compagnies aériennes en fonction de leur ponctualité depuis 16 ans. Selon le chef de la direction Jeremy Bowen, 2024 a été une année difficile pour les compagnies aériennes en raison des conditions météorologiques extrêmes et de la panne technologique estivale. Les compagnies aériennes gagnantes méritaient donc d’être félicitées pour avoir amené la plupart des passagers à destination à temps, ajoute-t-il.
Air Canada et WestJet ont terminé respectivement neuvième et dixième parmi les transporteurs américains et canadiens, avec des taux de ponctualité inférieurs à 72%. Plusieurs compagnies aériennes canadiennes, comme Air Transat, Sunwing Airlines ou Flair Airlines, ne figurent pas dans le rapport, qui évalue uniquement les compagnies aériennes répondant à certains critères de capacité et de volume.
Les unes après les autres, les compagnies aériennes annoncent l’imposition de frais pour des services qui étaient autrefois inclus dans leur tarif de base. Les voyageurs doivent ainsi faire un choix parmi une longue liste d’options tarifaires, chacune avec des avantages - et une expérience de vol - distincts.
« Ça divise les classes de gens », juge Isabelle Dostaler, vice-rectrice aux études et à la recherche de l’Université de l’Ontario français (UOF), experte de l’industrie aérienne.
Ceux qui ont le luxe de voyager en classe affaires, ça devient une expérience complètement différente de ceux qui vont voyager en achetant le billet le moins cher possible.
— Une citation d’Isabelle Dostaler, vice-rectrice aux études et à la recherche de l’Université de l’Ontario français
Si ces initiatives suscitent la grogne de certains de leurs clients, pourquoi les transporteurs continuent-ils de scinder leur offre de services et de les vendre à la pièce? Pistes d’explication.
Rien d’étonnant dans tout ça. Les entreprises aériennes appliquent les mêmes règles capitalistes en affaires que les autres types d’entreprises et commerces. Ce qui présume la recherche du profit et l’enrichissement des actionnaires.
C’est la loi du marché basé sur la concurrence, donc rien de nouveau sous le soleil. À remarquer cependant que ces frais ne figurent généralement pas pour les vols internationaux, concurrence oblige car ici les parts de marché sont plus sensibles et risquées si les entreprises étrangères ne suivent pas le même mouvement.
Collision entre un avion transportant 64 personnes et un hélicoptère militaire : Au-dessus de Washington | Collision entre un avion transportant 64 personnes et un hélicoptère militaire | La Presse
Malheureusement un accident évitable si l’armée (l’hélicoptère) s’était soumise au trafic aérien. Surtout qu’en volant au-dessus des villes importantes, le nombre d’appareils à basse altitude peut être considérable. Cela me rappelle mes atterrissages dans le cockpit en tant que passager, à quel point l’écran radar demandait une attention de tous les instants avec l’intensité des avions qui semblent voler dans tous les sens, avec ceux qui approchent et les autres qui s’envolent.
Vraiment horrible, et pourtant ils parlaient toujours des dangers de collision
J’ai écouté les extraits de la fréquence de contrôle aérien et l’hélicoptère indiquait qu’elle avait l’avion en vue juste avant l’accident.
Quelle tristesse
À l’occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand fait le point sur l’enquête concernant la collision entre un hélicoptère militaire et un avion de ligne qui a fait 67 morts, mercredi soir, à Washington.
Publié à 5 h 55
Écouter l’épisode
29 min
Selon le New York Times, il n’y avait qu’un seul contrôleur dans la tour de l’aéroport Reagan au moment de la tragédie, ce qui est contraire à la procédure habituelle.
Paul Arcand commente également la réaction du président Donald Trump qui, après avoir offert ses condoléances aux familles des victimes, a décidé de faire de la petite politique avec le drame.
Trump, dans les heures qui ont suivi la collision, avait déjà tout compris […] Il a dit que tout ça découlait des politiques de diversité et de discrimination positive de ses prédécesseurs Joe Biden et Barack Obama […] C’est la manière de faire de Trump : prendre un évènement, mentir, truquer la réalité et, surtout, s’en servir et de l’adapter à des fins politiques pour que ça colle à son discours.
Paul Arcand
… Une empreinte qui s’étend à Mirabel
Depuis qu’Airbus est aux commandes, le nombre d’employés qui travaillent pour le programme A220 est passé de 2200 à 3500.
La présence du numéro un mondial de l’aviation stimule l’ensemble du secteur aéronautique québécois.
L’entreprise Avianor, par exemple, a inauguré en novembre dernier un centre consacré à la maintenance des appareils A220, situé à un kilomètre des installations d’Airbus à Mirabel. Il s’agit d’un investissement de 70 millions de dollars.
Sur les quatre plus grands opérateurs d’Airbus A220 en Amérique du Nord, ça nous a permis d’en attirer trois, dont Air Canada, indique le vice-président et chef de l’exploitation d’Avianor, Hugo Brouillard.
Avec ces trois clients, le centre est déjà assuré de fonctionner à plein régime pour les deux prochaines années. Quelque 300 techniciens de l’entreprise sont affectés à l’entretien de l’appareil d’Airbus.
L’avionneur français n’exclut pas de nouveaux investissements au Québec. Le programme a beaucoup de potentiel. Certains clients nous disent qu’un avion un petit peu étendu, stretch comme on l’appellerait, […] aurait de la valeur, indique Benoît Schultz.
ITA to leave Skyteam (of course) as has joined Lufthansa group. (I wonder for YUL)
It’s also going to join Star Alliance in 2026. It bodes well for YUL in the sense that they can now get feed from Air Canada network. It’s also going to be part of the transatlantic joint venture.
PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE
Le Canada a obtenu une note de 65,1 % pour l’application des normes et pratiques recommandées en matière de sécurité dans un audit de l’Organisation de l’aviation civile internationale, en 2023.
Les récentes tragédies de Washington et de Philadelphie ravivent les préoccupations concernant la sécurité du transport aérien. L’avion demeure le moyen de transport le plus sûr. Mais dans un rapport publié l’an dernier, pilotes et contrôleurs aériens canadiens s’inquiètent pour l’avenir. Des dizaines d’incidents sont rapportés chaque jour à Transport Canada. La Presse a analysé ceux des cinq dernières années.
Publié à 5 h 00
[
](La Presse | Jean-Hugues Roy)
Le Canada a obtenu une note de 65,1 % pour l’application des normes et pratiques recommandées en matière de sécurité dans un audit de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), en 2023. À l’audit précédent, en 2005, le pays avait obtenu 95 %. De 35 évènements signalés par jour à Transport Canada en 2020, on est passé à plus de 61 en 2024. Évidemment, cela est attribuable à la croissance du trafic depuis la pandémie. Mais l’augmentation n’est pas qu’absolue ; elle est aussi relative. Le nombre d’évènements par mouvement d’aéronef (décollages et atterrissages) a crû de 11 % entre 2020 et 2024.
Un évènement sur quatre s’avère un problème de communication. D’innombrables rapports consistent à déplorer que les stations radio de certains aérodromes « n’[aient] pas offert les services selon les heures publiées ». Cela se produit surtout dans de petits aéroports nordiques. Les incursions sur piste sont des évènements qui empêchent un avion d’atterrir. Il s’agit souvent d’un autre avion sur la piste, mais aussi de véhicules d’entretien, voire de piétons. La majorité de ces évènements ne sont pas graves. Une remise des gaz et un tour de piste (« go around ») permettent à l’appareil de tenter un nouvel atterrissage.
Les aéroports les plus achalandés au pays sont ceux de Toronto et de Vancouver, mais c’est au Québec que le plus grand nombre d’évènements sont rapportés. Les territoires (du Nord-Ouest, Nunavut et Yukon) viennent ensuite. Des 20 aéroports où le plus grand nombre d’évènements sont signalés au Canada, 5 sont situés au Nunavik, 4 sont dans les territoires.
Le nombre de rapports d’évènements mentionnant les drones augmente régulièrement d’année en année. Dans 63 cas, les rapports ont été classés dans une catégorie incluant « quasi-collision en vol ». Le 17 octobre 2024, par exemple, le pilote d’un vol de WestJet atterrissant à Vancouver a signalé « la présence d’un petit drone à environ six pieds de l’aile droite ». Quant aux pointeurs au laser, ils semblent une chose du passé. Après 17 signalements en 2023, on n’en comptait plus que 7 en 2024.
Une catégorie d’évènement fait sourciller. On compte 176 rapports pour des ballons-sondes, des météores, des fusées… ou des ovnis ! La majorité consiste à raconter que des ballons sont passés trop près d’un appareil : « Trois ballons d’anniversaire ont été signalés […] à proximité d’aéronefs à l’arrivée » de l’aéroport de London, en Ontario. Mais en mai 2024, les pilotes de trois avions, deux de Porter et un d’Air Canada, ont rapporté « un objet lumineux […] qui semblait s’être divisé en morceaux multicolores haut dans l’atmosphère » à la verticale de North Bay, en Ontario. On ne compte que quelques dizaines de récits du type au cours des cinq dernières années.