Aviation

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On pourrait dire que, techniquement c’est l’aéroport de St-Hubert qui bénéficiera du REM (avec une navette) avant celui de Dorval :stuck_out_tongue_winking_eye:

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Si jamais CDPQi inclut une station à St-Hubert pour son REM-C, avec les délais de YUL il est possible que les 2 stations aéroportuaires ouvrent sensiblement en même temps…

on pourrait même rêver de départs additionnels synchronisés avec les arrivés et départs sur la station exo de St-Hubert.

Il faudra juste que Porter puisse survivre avec leur modèle choisi… ce qui n’est pas évident. Au moins je crois que cela ouvrira les portes à Flair, Jetlines, Swoop, Lynx, etc. (enfin celle ou celles qui survivront), quoique sans l’option de faire des vols internationaux c’est moins attrayant. À voir!

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Autre images

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Parallèlement à la construction du nouveau terminal à l’Aéroport Montréal – Saint-Hubert, un nouvel hôtel de la chaîne IHG sera également construit sous la bannière Holiday Inn Express.

Présentation du terminal

Design moderne, avec lumière naturelle et matériaux de haute qualité
21 000 m² (225 000 pi²)
9 portes d’embarquements
Fauteuils de style lounge pour tous les passagers
Comptoir de vente d’aliments et de boissons, et magasins
Installation carboneutre avec systèmes de bâtiments entièrement électriques
Installations de traitement des passagers et des bagages et de contrôle de sécurité à la fine pointe de la technologie

Le terminal est conçu par les architectes Scott Associates Architects.

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Un peu surpris qu’ils ne considèrent pas un moyen, par au dessus ou en dessous, de permettre aux gens de traverser 3-4 voies de circulation sans interrompre le flot du traffic…

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Excellente nouvelle cette construction d’un Holiday Inn Express à St-Hubert, c’est une nette amélioration par rapport au Grand Motel St-Hubert situé sur le boulevard Wilfrid Laurier et ses luxueuses chambres d’hôtel à 64 $.

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Et le motel R-100… (Plus de 50 ans?)

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Expansion de l’aéroport de Saint-Hubert Un terminal pour accueillir quatre millions de passagers

PHOTO FOURNIE PAR PORTER AIRLINES

Le terminal envisagé par Porter Airlines devrait être inauguré vers la fin de 2024.

Porter Airlines et l’aéroport de Saint-Hubert espèrent que le terminal qui sera construit par la compagnie aérienne permettra éventuellement d’accueillir plus de 4 millions de passagers. L’aérogare qui doit être inaugurée vers la fin de 2024 pourrait bien accueillir d’autres compagnies aériennes.

Publié à 10h30 Mis à jour à 16h32

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Julien Arsenault
Julien Arsenault La Presse

« Il y a des discussions et on espère de faire des annonces au cours des prochains mois », a expliqué le directeur général de l’aéroport de Saint-Hubert, Yanic Roy, lundi, en conférence de presse.

Les détails révélés par La Presse vendredi dernier ont été confirmés dans le cadre de l’évènement qui réunissait également notamment le président et chef de la direction de Porter, Michael Deluce, la ministre des Transports Geneviève Guilbault ainsi que la mairesse de Longueuil Catherine Fournier.

PHOTO CATHERINE LEFEBVRE, COLLABORATION SPÉCIALE

Le directeur général de l’aéroport de Saint-Hubert, Yanic Roy.

Ainsi, un hôtel de 130 chambres de la chaîne Holiday Inn sera également aménagé à un jet de pierre du terminal. Dans son ensemble, le projet, qui tient compte des améliorations qui devront être apportées aux infrastructures aéroportuaires, est estimé à 200 millions. Il s’agit d’un investissement privé qui ne bénéficie d’aucune contribution des différents ordres de gouvernement.

Pour l’aéroport de Saint-Hubert, l’engagement de Porter constitue la première étape visant à créer un « pôle aérospatial » capable de desservir des voyageurs et dans lequel on retrouvera des entreprises, écoles de pilotages ainsi que des centres de formation et de recherche.

Le terminal pourra accueillir les Embraer E195-E2 de Porter. Cet avion, l’un des plus silencieux sur le marché, est au cœur de la stratégie d’expansion de Porter. Connue pour ses avions à hélices qui se posent à l’aéroport Billy-Bishop, au centre-ville de Toronto, l’entreprise ontarienne estime que son projet peut s’avérer viable en raison de sa proximité géographique avec la métropole.

« Généralement, les aéroports secondaires sont situés beaucoup plus loin, a affirmé M. Deluce, au cours d’une séance de breffage technique. Les voyageurs vont pouvoir sauver du temps sans devoir trop s’éloigner pour prendre un vol. »

Alliance locale

Porter a profité de l’annonce pour annoncer un partenariat avec Pascan Aviation. Les deux entreprises mettront leurs réseaux respectifs en complémentarité dans le cadre d’un partage de codes. Par exemple, Porter pourrait transporter des voyageurs de l’Ouest canadien vers Saint-Hubert, où ils monteraient à bord d’un avion de Pascan pour se rendre dans une région comme les Îles-de-la-Madeleine. Le voyageur n’aurait qu’un seul billet et ses bagages seraient enregistrés jusqu’à l’arrivée.

« C’est une étape significative pour Pascan, a lancé son copropriétaire Yani Gagnon. Nous voulons développer de nouvelles destinations pour améliorer le service régional. »

PHOTO CATHERINE LEFEBVRE, COLLABORATION SPÉCIALE

Yani Gagnon, copropriétaire de Pascan Aviation

Il y aura également des contraintes pour la compagnie aérienne sur la Rive-Sud. La compagnie aérienne devra se contenter, du moins pour l’instant, d’offrir des vols intérieurs. En vertu de son bail avec Transports Canada, Aéroports de Montréal (ADM) – l’exploitant de Montréal-Trudeau et de Mirabel – bénéficie toujours d’une clause d’exclusivité pour les vols internationaux.

Par exemple, un avion qui décolle de Saint-Hubert ne peut donc pas transporter des passagers vers les États-Unis ou les destinations soleil. De plus, Porter devra respecter l’interdiction d’effectuer des vols entre 23 heures et 6 heures du matin. Cette mesure doit entrer en vigueur en avril 2024.

Contre l’expansion

L’expansion annoncée de l’aéroport de Saint-Hubert ne fait pas que des heureux. Pancartes à la main, une dizaine de manifestants se sont rassemblés devant l’endroit où se tenait l’évènement. Ils estiment que l’arrivée de Porter viendra accroître le trafic aérien.

« Nous demandons un moratoire afin de pouvoir évaluer tout projet qui puisse se développer afin de voir ses impacts sonores, sanitaires et climatiques », affirme Jacques Benoît, de l’organisme Urgence climatique Montérégie, qui fait partie de la Coalition Halte-Air Saint-Hubert.

Les manifestants estiment que des avions moins bruyants et polluants ne sont pas une solution aux enjeux climatiques actuels.

À lire : Porter construira un terminal à Saint-Hubert

En savoir plus

  • 100
    Nombre d’appareils Embraer E195-E2 qui pourraient être livrés à Porter, si on inclut les options (50) de la commande.

porter airlines

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Parallèlement:

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Une raison de plus pour le TGV!!!

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Porter devrait peut être commencer par réussir son expansion à YYZ avant de se mettre à construire un terminal à YHU…

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Transat A. T. Un « retour à la rentabilité » qui pointe à l’horizon

PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE

La société mère d’Air Transat a dépassé les attentes des analystes au premier trimestre terminé le 31 janvier, une période où le nombre de sièges offerts vers l’Europe et les destinations soleil était « comparable » à 2019 – avant l’arrivée de la COVID-19.

La demande soutenue pour les voyages permet à Transat A. T. d’évoquer un « retour à la rentabilité » alors que le voyagiste se rapproche de plus du volume d’activité d’avant la pandémie.

Publié à 7h42 Mis à jour à 8h37

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Julien Arsenault
Julien Arsenault La Presse

La société mère d’Air Transat a dépassé les attentes des analystes au premier trimestre terminé le 31 janvier, une période où le nombre de sièges offerts vers l’Europe et les destinations soleil était « comparable » à 2019 – avant l’arrivée de la COVID-19.

« L’élan de la fin de 2022 se poursuit et nos scénarios financiers se confirment, a indiqué la présidente et cheffe de la direction de Transat A. T., Annick Guérard, dans un communiqué, jeudi. Transat est sur une trajectoire ascendante et s’oriente vers un retour à la rentabilité. »

Au cours des mois de novembre, décembre et janvier, l’entreprise a vu sa perte nette s’établir à 56,6 millions, ou 1,49 $ par action, comparativement à 95,3 millions, ou 2,35 $ par action, à la même période l’an dernier. Ses revenus ont plus que triplé pour s’établir à 667,5 millions.

Signe que les choses se replacent, Transat A. T. a vu son bénéfice d’exploitation ajusté s’établir à 3,3 millions. C’est la première fois depuis le début de la crise sanitaire que cet indicateur est « positif », souligne Kevin Chiang, de Marchés mondiaux CIBC.

« L’entreprise estime que les tendances observées pendant l’hiver semblent se poursuivre en vue de la saison estivale », ajoute l’analyste, dans une note envoyée à ses clients.

Abstraction faite des éléments non récurrents, la perte ajustée de Transat A. T. s’est chiffrée à 61,5 millions, ou 1,62 $ par action, comparativement à 114 millions, ou 2,53 $ par action, au premier trimestre l’an dernier.

Les analystes sondés par la firme Refinitv anticipaient un chiffre d’affaires de 662,5 millions ainsi qu’une perte ajustée par action de 2,02 $.

Depuis le début du deuxième trimestre, le voyagiste note que ses avions sont légèrement moins remplis par rapport à ce qui était observé avant la crise sanitaire. Cela est toutefois contrebalancé par une augmentation supérieure à 25 % des revenus par passager-mille.

La hausse des prix du carburant, qui a été de 46 % au premier trimestre, freine le redressement des résultats de l’entreprise. Cependant, la vigueur de la demande, qui pousse les prix à la hausse, permet de contrebalancer ce vent de face, souligne Transat A. T.

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Un nouveau transporteur à ultra bas prix s’amène à Montréal-Trudeau

AGENCE QMI

Mercredi, 8 mars 2023 21:13MISE À JOUR Mercredi, 8 mars 2023 21:13

Le transporteur à bas prix albertain Lynx Air a annoncé, mercredi, qu’il desservira Montréal avec deux liaisons à partir de juin.

Les liaisons, qui seront lancées à partir du 5 juin, permettront de se rendre à Calgary ou à St. John depuis l’aéroport Montréal-Trudeau.

«Nous sommes ravis d’ajouter la ville dynamique de Montréal au réseau de Lynx Air à l’approche de l’été. Bien que Montréal soit une destination très populaire, elle est actuellement mal desservie par les transporteurs à bas prix et Lynx souhaite y remédier», a expliqué la PDG de Lynx Air, Merren McArtur.

Un voyageur souhaitant faire un aller-retour à Calgary ou à Montréal avec Lynx Air, sans bagages, peut s’attendre à débourser environ 115 $, taxes comprises, au prix régulier. La facture monte cependant rapidement en ajoutant des valises ou même un bagage en cabine.

En comparaison, un vol similaire entre Montréal et Calgary en juin peut coûter entre 450 $ et 500 $, avec des frais supplémentaires pour enregistrer des bagages, constate-t-on en simulant une réservation de vol sur le site du transporteur.

WestJet, de son côté, offre un aller-retour Montréal-Calgary à environ 300 $, sans bagages enregistrés.

Anciennement connu sous le nom d’Enerjet, Lynx Air ambitionne de développer des vols à ultra-bas-prix au Canada et vers quelques destinations américaines. Le transporteur opère une petite flotte de Boeing-737.

https://www.journaldemontreal.com/2023/03/08/un-nouveau-transporteur-a-ultra-bas-prix-samene-a-montreal-trudeau-1

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C’est drôle que Lynx Air puisse faire le pari sur Montréal, mais WestJet avec Swoop veut rien savoir du marché québécois parce que apparemment c’est un marché difficile lol :unamused:

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To each their own.

Certains adorent les aubergines, d’autres ne comprennent pas pourquoi des aubergines existent.

WestJet est plus vieux et pas mal plus gros que Lynx Air. D’un point de vue capitaliste, personne ne laisse de l’argent sur la table pour rien. S’ils décident d’éviter le marché québécois, ils ont sûrement leur raisons, comme beaucoup d’autres compagnies.

On a pas besoin d’être d’accord avec ces raisons, on devrait cependant en reconnaitre l’existence.

hahaha j’adore ton phrasé.

Je pense qu’on peut être d’accord que des décisions capitalistes purement pécuniaires peuvent être biaisés par des idéologies subjectives.

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