Un peu de compétition à Communauto ne ferait pas de tort
Un nouveau service d’autopartage entend s’implanter à Montréal à compter du mois de mai, a appris Le Devoir. L’entreprise Leo autopartage ferait ainsi concurrence à Communauto.
« Leo arrive à Montréal — mai 2025 », clame Leo autopartage sur sa page Facebook. « La mobilité change à Montréal. Et c’est pour très bientôt. »
La Ville de Montréal a confirmé que des discussions avaient été menées avec l’entreprise. « On est toujours favorable à ce type d’initiative qui permet aux gens d’avoir différentes options pour délaisser l’auto solo et ne pas s’acheter une voiture. Ça permet une saine compétition avec le fournisseur de service actuel », a indiqué au Devoir Marikym Gaudreault, attachée de presse au cabinet de la mairesse Valérie Plante.
Selon les informations recueillies, les services de Leo verraient le jour dans les quartiers centraux de Montréal.
D’après le registre des entreprises, l’actionnaire majoritaire de Leo autopartage est Vulog, une entreprise établie à Nice, en France.
En 2025, pour répondre à une demande toujours croissante, Communauto prévoit d’ajouter 700 nouvelles voitures au cours de l’année. À l’été, 600 d’entre elles seront offertes en station, tandis que 100 seront en mode FLEX. Cette répartition s’inversera à l’approche de l’hiver 2025-2026, avec une plus grande proportion de véhicules FLEX.
Pour la première fois, le service FLEX sera offert sur le territoire de la Ville de Longueuil, et ce, dès les prochaines semaines. Cette nouvelle implantation a été rendue possible grâce à la collaboration de la Ville de Longueuil. Le service sera disponible dans le quadrilatère délimité par les rues Saint-Charles et du Coteau-Rouge et entre Saint-Jacques et Joliette. Cette zone de déploiement sera accessible pour les véhicules FLEX provenant de Montréal, et vice versa. La Ville de Longueuil a également approuvé l’extension du service déjà en place, en mettant à disposition 17 nouveaux espaces répartis dans 10 stationnements en location aux véhicules de Communauto. Cette bonification permettra d’élargir l’offre en station à Longueuil, qui comptera désormais un total de 67 véhicules et 34 stations.
Quant à Montréal, la zone de desserte FLEX de Communauto sera élargie dans Rivière-des-Prairies, Pointe-aux-Trembles, LaSalle (Boulevard Newman), Saint-Laurent (Chameran) et Lachine.
Parmi les plus de 50 nouvelles stations « fixes » qui seront ajoutées en 2025 dans la région de Montréal, certaines seront déployées dans des secteurs jusqu’alors moins bien desservis, tels que Saint-Simon dans Ahuntsic, LaSalle et Saint-Léonard.
Montreal to get new car-sharing service. Will it challenge Communauto?
A service called Leo Carshare is preparing to set up in Montreal. And while competitors entering the same space as the well-established Communauto have struggled in the past, Leo is confident it will see success.
Un chauffeur d’Uber est reparti avant que les parents aient eu le temps de faire descendre tous les enfants… et Uber a refusé de retracé le chauffeur…
Julia was stunned and her disbelief only grew when she says Uber representatives refused to help them or Toronto police contact the driver. CBC Toronto is only using her first name to protect the identity of her daughter.
"All we wanted was for them to contact the driver — that’s it — and they refused.
This was “no time for bureaucratic red tape,” Julia said. “This was not a purse or a phone left behind. It was a five-year-old child on a winter night.”
Julia called 911, and police arrived within a few minutes. An officer called Uber to get contact information for the driver but Julia says a representative for the ride-sharing company refused to provide it — stating the police needed to fill out a form.
Uber’s guidelines for law enforcement say emergency disclosure requests must be submitted through the company’s public safety response portal or by email using its emergency disclosure form.
M. Benoît Robert, président et fondateur de Communauto, invite les représentants des médias à une importante annonce concernant la pérennisation de la mission environnementale, sociale et urbanistique de l’organisation. Une session d’information suivra l’annonce pour plus de détails. L’annonce se tiendra dans le cadre du Sommet Climat de Montréal.
Je viens de me rendre compte que c’est le même nom que le nouveau Pape
Leo, une nouvelle option d’autopartage à Montréal
Publication : 8 mai 2025
Saviez-vous qu’une voiture en autopartage remplacerait entre 8 et 10 voitures individuelles dans les grandes métropoles mondiales ?
Bonne nouvelle pour les usagers de véhicules en libre-service à Montréal : dès le 12 mai, l’offre s’élargit avec l’arrivée d’un nouveau joueur dans le paysage de la mobilité, Leo, un service d’autopartage.
Un service disponible dans de nombreux arrondissements de Montréal
Leo est une solution flexible, 100 % numérique, qui permet de repérer, réserver et déverrouiller un véhicule directement depuis une application mobile. Plus de 600 voitures sont disponibles dans différents arrondissements : Saint-Léonard, Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, Rosemont – La petite-Patrie, Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, Le Plateau Mont-Royal, Ville-Marie, Outremont, Côte-des-neiges – Notre-Dame-de-Grâce, Le Sud-Ouest, Verdun et le centre-ville de Montréal.
Modalités de stationnement pour les véhicules Leo
Chaque véhicule est équipé d’une vignette de stationnement 403, permettant de se garer dans les zones réservées à l’autopartage (espaces pour vignettes 403/405). Les usagers peuvent aussi terminer un trajet devant certains panonceaux (parcomètres) du centre-ville, dans la zone qui s’étend de la rue Sherbrooke au nord à la rue Viger au sud, et de la rue Saint-Hubert à l’est jusqu’à la rue Guy à l’ouest. Une fois stationnés, ils doivent entrer le numéro de la place sur l’application de Leo et un frais de 5.90$ + taxes leur sera facturé.
Diversifier les options pour mieux se déplacer
En complément de Communauto, l’arrivée de Leo vient bonifier l’offre de transport à Montréal, en proposant une alternative durable à la voiture personnelle et en diversifiant les options de mobilité pour les citoyen-ne-s.
Bienvenue à Leo dans le paysage de la mobilité montréalaise !
Pour ceux que c’a interesse, Léo est disponible aujourdhui pour ceux qui se sont inscrit d’avance et il ya un rabais de 10% (pour toujours) sur chaque trajet tant qu’on est membre de Transit Royale!
Ils disent de rajouter le numéro de membre Royal, mais je ne le trouve nulle part.
Je pense que c’est dans les settings d’abonnement sur le iPhone, mais comme c’est un abonnement familial partagé par ma conjointe, je n’ai pas de numéro. Je vais voir si elle l’a…
Edit: Probablement que Transit App n’ont pas encore fait la mise à jour pour générer le code spécial. D’ailleurs on ne voit pas Léo dans leur liste de choix d’auto-partage.
Lyft sera disponible bientot! Ils sont en mode recrutement de chauffeurs a Montreal. De plus, une surprise sur leur site web, sous la section Quebec, les villes de Quebec, Gatineau, Sherbrooke, Trois-rivieres ainsi que Saguenay apparaissent! https://www.lyft.com/driver/cities/montreal-qc
L’entreprise d’autopartage Communauto veut devenir une fiducie d’utilité sociale pour assurer la préservation de sa mission.
« L’idée n’est pas de maximiser les profits, mais de maximiser les [retombées] positives », nous dit Benoît Robert, fondateur et président-directeur général de Communauto, en entrevue à Zone économie.
Le communiqué de Communauto
Une piste prometteuse : la fiducie d’utilité sociale
La fiducie d’utilité sociale (FUS) est un véhicule juridique qui permet d’affecter un bien à une vocation plutôt qu’au bénéfice d’une personne ou d’une organisation et de lui sceller une vocation à perpétuité. Cette formule, qui a été utilisé avec succès dans de nombreux projet (notamment pour la protection du patrimoine), constitue l’un des scénarios les plus prometteurs.
L’intégration d’une FUS au capital de Communauto permettrait :
de préparer la relève de l’équipe dirigeante actuelle;
d’assurer que les décisions d’affaires resteront alignées à long terme sur les objectifs sociaux et environnementaux inscrits dans sa mission;
de prévenir toute dérive spéculative ou risque de détournement de mission, notamment dans un contexte d’investissements ou de changements de gouvernance;
de veiller à l’équilibre de la nécessaire conciliation qui sera toujours à faire entre le besoin d’assurer la viabilité économique et un haut niveau de productivité de l’organisation dans un contexte où la priorité devra demeurer d’optimiser les retombées collectives positives attendues de la mission de Communauto.
Cette démarche s’inscrit dans un courant de fond : celui de la recherche de modèles économiques hybrides, capables de porter une mission sociale forte tout en visant des standards élevés de performance dans le but d’assurer l’efficacité et la durabilité de leur action.