ARTM - Discussion générale

With the ARTM standardizing all the bus pictograph logos of bus networks, they all will be displayed with the colour of their network.

This means the STM’s current use of many colours representing different buses, will be phased out, which has already begun.

The current STM bus logo is this:
STM bus logo

The new STM night bus logo is this:
STM bus logo night

When we had 10-Min-Max, the logo used for it was this:
STM bus logo 10-Min-Max

Previously, their 700 buses featured a purple bus logo with the STM arrow on the corner. Now that just covers the seasonal buses (767 and 769 bus):
STM bus logo Seasonal
Old logo:
Screenshot 2023-01-30 at 11.20.47 AM

The 747 Airport bus now also features a new logo:

The previously used express logo and colour is no longer used:
Screenshot 2023-01-30 at 11.20.42 AM


The STL bus will be displayed in dark blue like this:
STL bus logo

Their night bus service then should be displayed like this:
STL bus logo night

Their map currently dates from 2018, so it doesn’t follow these standards yet.


All these logos are from the ARTM, and STM maps. It’s interesting to see the standardization of all the colours, as the new bus signs have made express buses blue, and the newer maps follow this (the logos, not the lines on the map).

This is the bus terminal colour. I think the reason they chose this colour is because it’s the ARTM’s colour, and they manage the bus terminals. It essentially is the umbrella for all the buses:
ARTM bus logo
ARTM logo, similar colours:
artm-squarelogo-1500412733762
Ticket booth with the same colour:

7 « J'aime »

With the exo bus redesign, on their website they mention “Boarding and disembarking outside the territory we serve as well as transfers with the REM, STM and RTL are permitted.” If this applies to all the buses like STL and RTL, it would be possible to take these buses within the island of Montreal. I wonder if the buses will support Zone A fare, or if they’ll require Zone AB/Bus fare instead.

3 « J'aime »

Do you have the link? I’d like to read more about this!

It’s under Frequently Asked Questions, number 7

1 « J'aime »

:face_with_open_eyes_and_hand_over_mouth:

2 « J'aime »

Based ARTM (pour la seule fois qu’ils prennent la parole)

2 « J'aime »

In Vancouver any bus is considered as 1 zone fare, even if they cross zone boundaries.

L’ARTM veut optimiser les services (et les dépenses) en transport en commun


Exo
Dans une approche de « mutualisation », l’ARTM, qui est responsable du financement et de la planification du transport en commun dans la grande région de Montréal, propose aussi aux sociétés de sélectionner des corridors routiers que plusieurs pourraient emprunter afin d’optimiser l’usage de ceux-ci.

Zacharie Goudreault
1 mars 2023
Transports / Urbanisme

L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) a rencontré mercredi les dirigeants des quatre sociétés de transport de la grande région de Montréal afin de leur présenter une feuille de route qui leur servira à la recherche de moyens de réaliser des économies d’échelle tout en bonifiant le service offert aux usagers. Un plan d’action suivra en septembre.

Le Devoir a obtenu copie de la feuille de route présentée mercredi après-midi par l’ARTM aux dirigeants de la Société de transport de Montréal (STM), de la Société de transport de Laval, du Réseau de transport de Longueuil (RTL) et de l’organisme de transport Exo.

Le document de quatre pages propose aux sociétés de transport d’augmenter leur performance en mettant fin au principe de « cabotage », qui empêche, par exemple, un autobus du RTL qui se rend à Montréal de prendre des clients dans la métropole sur le chemin du retour. Des bus circulent ainsi régulièrement sans aucun usager à bord, ce qui entraîne des pertes financières pour les organismes.

Dans une approche de « mutualisation », l’ARTM, qui est responsable du financement et de la planification du transport en commun dans la grande région de Montréal, propose aussi aux sociétés de sélectionner des corridors routiers que plusieurs pourraient emprunter afin d’optimiser leur usage. Une autre façon de faire des économies serait de faciliter le partage des infrastructures reliées à l’électrification des bus, ce qui pourrait potentiellement limiter le nombre de garages à construire dans la région.

« Les équipements de recharge, est-ce qu’il y a moyen de les situer sur le territoire pour permettre des recharges sans que le véhicule ait besoin de retourner sur son territoire ? » se demande ainsi le directeur général de l’ARTM, Benoît Gendron.

En entrevue au Devoir mercredi, M. Gendron a d’ailleurs assuré que l’organisation n’entendait pas demander aux sociétés de transport en commun de la région de réduire leur nombre de cadres ou de gestionnaires, comme l’évoquait mercredi un article de La Presse. « On n’a pas l’intention de jouer dans les structures des sociétés de transport. »

Un nouveau contexte

Le dévoilement de cette feuille de route de l’ARTM survient dans un contexte où les revenus tarifaires des sociétés de transport de la région métropolitaine ont grandement écopé de la pandémie. L’an dernier, ceux-ci se sont élevés à 653,6 millions de dollars, soit moins de 70 % des 939,9 millions encaissés par les quatre sociétés de transport de la région en 2019.

En parallèle, les habitudes de déplacement des résidents de la grande région de Montréal ont changé de façon importante. À l’ère du télétravail, les déplacements vers le centre-ville ont moins la cote, tandis que les déplacements locaux gagnent en popularité.

« Dans ce contexte, construire sur le modèle en place sans se questionner n’est non seulement pas responsable, mais contreproductif. Le transport en commun doit s’adapter à de nouveaux comportements de mobilité, à de nouvelles tendances », souligne la feuille de route de l’ARTM. En ce sens, l’organisation propose quelques pistes de « relance » du transport en commun qui seraient financées en partie par les économies réalisées grâce à l’amélioration de la performance du réseau.

Parmi les mesures proposées par l’ARTM, on compte la création éventuelle de lignes de bus à haute fréquence sur différents axes routiers « métropolitains » situés dans différents secteurs clés de la région. Les usagers de ce « réseau structurant » pourraient alors se rendre à leur arrêt de bus avec l’assurance de ne pas avoir à attendre plus d’un certain nombre de minutes avant de monter dans un véhicule. En coulisses, à l’ARTM, on compare ce projet au défunt réseau « 10 minutes max » de la STM, qui a justement pris fin pour des raisons financières en début d’année. Un tel projet s’étendrait toutefois à l’échelle de la région métropolitaine, et non pas seulement sur l’île de Montréal.

Économiser « des sommes importantes »

Cette feuille de route n’est toutefois qu’un premier jalon d’une démarche qu’entame l’ARTM avec les quatre sociétés de transport en commun de la région de Montréal. Des discussions se poursuivront ainsi au cours des prochains mois pour en arriver à un plan d’action qui devrait faire consensus entre toutes les parties prenantes. Le plan sera achevé en septembre et devrait inclure des mesures à mettre en place sur un horizon de cinq ans, selon nos informations.

« L’ARTM estime qu’au terme de cette démarche, elle pourra dégager des sommes importantes et récurrentes sur une période de cinq ans », qui pourront alors être réinvesties dans une offre de service bonifiée pour les usagers, avance d’ailleurs le document présenté mercredi.

M. Gendron n’a toutefois pas voulu s’avancer mercredi sur une approximation des montants que pourraient économiser les sociétés de transport en adoptant les principes de cette feuille de route. « Au moment où on se parle, on n’en a aucune idée. »

Chose certaine, l’ARTM continue de demander une somme de 500 millions de dollars au gouvernement Legault afin de pouvoir aider les sociétés de transport de la région à boucler leur budget pour l’année en cours.

2 « J'aime »

Benoît Gendron à Radio-Canada ce matin: Rattrapage du jeudi 2 mars 2023

2 « J'aime »

Necessity is the mother of all inventions.

On s’entend, il n’y avait rien qui empêchait le cabotage à part la sémantique et la politique.

J’attends de voir la taille du gouffre financier pour qu’ils songent enfin à de la captation foncière…

2 « J'aime »

Transport collectif | Pour économiser, l’ARTM veut livrer le service « comme une seule business »


PHOTO ARCHIVES LA PRESSE
Parmi les avenues proposées : la création « d’axes métropolitains à haute fréquence », qui permettraient par exemple à des bus de Laval ou de Longueuil d’embarquer des passagers sur le territoire de Montréal.

Mise en commun de ressources, service plus flexible, investissements plus ciblés : l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) veut pousser les quatre opérateurs du Grand Montréal à penser comme « une seule business », afin de sauver des coûts. L’organisation leur demande d’économiser autant que possible, en espérant ne pas devoir hausser les tarifs pour rembourser son manque à gagner de 500 millions.

Publié à 13h00 Mis à jour à 13h07
Henri Ouellette-Vézina
La Presse

« Si on était une seule business, plutôt que quatre, comment on fonctionnerait ? C’est un peu, ça la question qu’on se pose en ce moment », affirme le directeur général de l’ARTM, Benoit Gendron, dans une longue entrevue accordée jeudi.

C’est lui qui a présenté mercredi son « plan d’action » pour « optimiser » les dépenses de la Société de transport de Montréal (STM), de la Société de transport de Laval (STL), du Réseau de transport de Longueuil (RTL) et d’exo, tel que l’a révélé La Presse plus tôt, mercredi. Outre la réduction du nombre de cadres et d’employés administratifs, comme l’a déjà fait la STM, l’Autorité planche sur ce qu’elle appelle la « mutualisation des services ».

« Ultimement, ça veut dire qu’il faut décloisonner nos territoires. On ne veut pas couper, mais on veut quantifier comment avoir un service plus performant, au même coût », affirme en ce sens M. Gendron.

Parmi les avenues proposées : la création « d’axes métropolitains à haute fréquence », qui permettraient par exemple à des bus de Laval ou de Longueuil d’embarquer des passagers sur le territoire de Montréal. « Ça serait d’avoir un réseau du Grand Montréal, fiable et fréquent, qu’on peut utiliser sans regarder l’horaire. Et les segments qu’on met en commun, ça veut potentiellement dire des économies qu’on réinjecte dans le service », poursuit le DG.

On peut aussi faire des ajustements un peu partout. Un bus qu’on enlève quelque part parce qu’il n’y a personne, on peut le mettre sur une ligne plus fréquente, qui dessert plus de gens. C’est ça, faire mieux avec le même argent.

— Benoit Gendron, de l’ARTM

Ce dernier veut aussi « mutualiser » l’entretien et la recharge des bus électriques. De plus en plus nombreux sur le territoire, ceux-ci ont en moyenne une autonomie de 300 kilomètres. « Si on prend le modèle d’entreprise unique, ça veut dire de mettre des postes de recharge à des endroits stratégiques sur tout le territoire, pour recharger sans avoir à revenir au garage à vide », illustre Benoit Gendron.

Il lance aussi une « réflexion » à plus long terme sur l’utilisation des bus fonctionnant à l’essence. « Sur une vie utile de 16 ans, est-ce qu’il y a moyen qu’au bout de 10 ans par exemple, on concentre nos bus diesel dans un seul endroit à déterminer à Montréal ? C’est une question qu’on lance. »

500 millions à combler, sinon…

Le DG de l’ARTM ne s’en cache pas : il y aura des choix difficiles à faire si le transport collectif « n’a pas l’argent qui est souhaité » au prochain budget du gouvernement Legault, prévu le 21 mars prochain. « On a bien entendu la ministre Guilbault sur le fait qu’elle ne veut pas de nouvelle taxe », lâche M. Gendron, qui espère ne pas avoir à « hausser les tarifs des contributeurs de la région métropolitaine, soit les usagers et les municipalités ».

« C’est le dernier levier qu’on veut utiliser. Ça serait contre-productif d’augmenter les tarifs. À plusieurs endroits dans le monde, comme à Paris, ça a été fait pour éponger le manque à gagner. Nous, on n’est pas rendus là pour l’instant », insiste-t-il.

Reste que tout dépendra de la suite. « Si je n’ai pas mon 500 millions, toutes les demandes excédant au cadre financier, il va falloir les éclater et ensuite prendre des décisions éclairées », poursuit le gestionnaire, qui dit avoir déjà demandé aux opérateurs de lui « faire un plan » au cas où il faudrait prendre ces décisions.

« On a compris le message du gouvernement, comme quoi il faut optimiser nos services. On va faire le bout qui nous appartient », conclut enfin Benoit Gendron, qui s’attend à recevoir le retour du balancier dans quelques semaines.

1 « J'aime »

Enfin!

Un pas de plus vers le paiement mobile dans l’autobus


Photo: Valérian Mazataud Le Devoir
L’ARTM est à la recherche d’une solution de recharge par téléphone intelligent pour la carte Opus.

Alain McKenna
7 mars 2023
Transports / Urbanisme

L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) veut permettre aussi tôt qu’en 2024 l’achat de titres d’autobus ou de métro à partir d’un téléphone mobile. L’organisme responsable du transport en commun dans la grande région de Montréal a lancé mardi un appel d’offres en ce sens, un geste qui vise à rendre ces services plus aisément accessibles.

Concrètement, l’ARTM est à la recherche d’un fournisseur pour une solution de recharge de la carte Opus par téléphone intelligent. Le système pourrait être intégré à l’application mobile des sociétés qui utilisent cette carte. On parle donc ici de plusieurs réseaux de transport en commun, dont ceux de Laval et de la Rive-Sud, ainsi que du Réseau express métropolitain (REM).

Les réseaux des villes de Québec et de Joliette, qui utilisent eux aussi la carte Opus, pourront utiliser ce système de paiement quand il entrera officiellement en service, soit quelque part au début de 2024, si tout se passe comme le souhaite l’ARTM.

Les usagers qui prennent déjà l’autobus ou le métro pourront effectuer la recharge de leur carte plus rapidement et plus simplement, à partir de leur téléphone. Ce n’est donc pas la fin du système Opus ni l’arrivée du paiement sans contact dans les autobus et les stations de métro, précise Simon Boiteau, conseiller aux affaires publiques et aux communications à l’ARTM.

« Le système actuel repose sur des cartes de transport plutôt que sur des comptes d’utilisateur. Il faudra procéder à plusieurs évolutions de ce système pour arriver à un genre de solution comme le paiement sans contact. Entre-temps, nous offrons aux usagers de tous les réseaux du grand Montréal un nouveau canal de paiement pour leur carte Opus », dit-il.

Selon l’appel d’offres fait par l’ARTM, la nouvelle solution de paiement sera intégrée à Chrono, l’application déjà utilisée par les sociétés de transport de la métropole et des services comme Bixi.

L’application Chrono est donc appelée à évoluer pour devenir le point de contact central pour différents modes de transport. L’ARTM souhaiterait qu’elle serve de portefeuille unique pour les usagers des autobus, du métro, des vélos partagés Bixi et des autos partagées Communauto. Une offre de taxis est aussi envisagée, tout comme l’intégration des éventuelles trottinettes électriques en libre-service, qui, selon ce qu’affirmait au printemps 2022 l’administration de la mairesse Valérie Plante, devraient effectuer un retour à Montréal l’été prochain.

Faire évoluer l’offre de transport

Cette nouvelle survient au moment où les différentes sociétés de transport en commun de la province sont aux prises avec de graves problèmes financiers et logistiques. Deux années de pandémie ont grandement réduit l’achalandage de leurs réseaux, qui peinent à s’en remettre. Les habitudes des usagers ont aussi évolué : les déplacements ne se font plus systématiquement de la périphérie vers le centre des grandes agglomérations.

L’activation très attendue du REM sur l’axe du pont Samuel-De Champlain va d’ailleurs grandement changer la nature de la circulation entre la Rive-Sud et les quartiers centraux de Montréal. Il faut donc s’attendre à un chamboulement de l’offre de transport en commun ces prochains mois.

Simplifier l’accès au réseau en introduisant des nouveautés comme le paiement par mobile pourrait réduire l’effet négatif de ces changements sur l’expérience quotidienne des passagers, estime-t-on. « Cela s’inscrit dans une démarche plus large de modernisation de la relation entre l’usager et les fournisseurs de service », conclut Simon Boiteau.

6 « J'aime »

This is extremely minor but I hope with mobile payments and the new fare machines they redesign the OPUS card (maybe more ARTM branding like the L’Occasionnelle card) because the current one looks very outdated, especially in comparison to the other fare cards used in the world and even North America

2 « J'aime »

Communiqué de l’ARTM

Lancement de l’appel d’offre pour la recharge de carte OPUS avec mobile

7 mars 2023

L’ARTM lance un appel d’offres en vue d’acquérir une solution qui simplifiera l’accès aux services de transport collectif en permettant aux usagers d’acheter des titres de transport sur leur carte OPUS avec leur téléphone intelligent.

Les habitudes de déplacement des citoyens évoluent constamment et pour répondre efficacement à leurs besoins, leur procurer plus d’autonomie et de flexibilité, l’ARTM diversifie les canaux de vente en permettant l’achat de titres de transport à partir d’un téléphone intelligent, n’importe où, n’importe quand, sans se déplacer dans un point de vente.

Simplifier l’accès au transport collectif dans la région de Montréal et ailleurs

L’achat de titres de transport sur une carte OPUS à partir d’un téléphone intelligent facilitera l’expérience des usagers des services de transport collectif de la région métropolitaine de Montréal (exo, REM, RTL, STL et STM) ainsi que ceux des villes de Québec, Lévis et Joliette, lesquelles utilisent également le système OPUS.

Le calendrier de livraison de la solution sera précisé à la suite de la sélection du fournisseur. De façon préliminaire, la période visée pour la mise en marché de la solution est au cours du premier semestre 2024.

S’appuyant sur le leadership de l’ARTM en matière d’innovation en mobilité, la mise en marché de la solution d’achat de titres s’inscrit dans le cadre du programme numérique de mobilité de l’ARTM qui vise à moderniser les services pour accroître l’usage des modes de transport durables, réduire la congestion routière et l’empreinte environnementale de nos déplacements.

8 « J'aime »

Juste pouvoir mettre nos cartes sur nos téléphones intelligents serait un énorme pas en avant!!

4 « J'aime »

Pour l’instant on sait pas comment l’implémentation va fonctionner…je sais pas s’ils sont prêts à renouveler la carte au complet, ce qui serait nécessaire pour faire une carte virtuelle (de ce que je comprends). Ça se peut qu’ils décident de faire recharge par téléphone mais une carte physique est toujours nécessaire…comme demi-mesure. Dans ce cas ce n’est pas la fin du monde car ils peuvent aussi permettre le paiement par carte de crédit directement sans contact sur les lecteurs

Disons que c’est vraiment le temps qu’ils passent au paiement par téléphone / la carte électronique. Ça existe dans d’autres systèmes depuis déjà au moins 10 ans. Personnellement, je suis rendu que souvent, je n’ai même plus mon portefeuille avec moi quand je me déplace. Je suis assez rapidement en train de perdre cette habitude et je ne suis probablement pas le seul. À ce rythme, la non-adoption du paiement électronique pourrait devenir un obstacle à l’adoption des transport en communs pour certains usagers.

Le gouvernement de Québec fait face à un problème similaire pour plusieurs autres des services qu’il rend. C’est urgent que le Québec se modernise.

2 « J'aime »

Au Japon depuis 2006… Sur des flip phones :upside_down_face:

La technologie n’a jamais été le facteur limitant malheureusement…

1 « J'aime »

Hopefully with Express Transit/Express Travel.:crossed_fingers:t3:

The first time I used it with Suica it was like, “FINALLY! The modern world works.”