ARTM - Discussion générale

C’est clair que CSL bénéficierait amplement d’une station au niveau de CSL et/ou Cavendish, mais ça aurait peu d’utilité si on continue à avoir seulement quelques trains par jour sur la ligne…
Ce qui serait vraiment intéressant, c’est si on pouvait faire de la ligne circulaire du CP une vrai ligne fréquente qui sert à connecter toutes les lignes du train, du métro et du REM ensemble. Dans cet optique, on pourrait faire une station à CSL, mais aussi à Namur, Canora, Rosemont, Masson et Préfontaine. Ça ferait une ligne qui relie l’Est et l’Ouest en plus ou moins 30 minutes sans traverser le centre-ville, ce qui apporterait de la redondance et plus d’options pour les trajets de périphérie à périphérie. Mais on parle vraiment de rêve, là!

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HELIOS said:Ce qui serait vraiment intéressant, c’est si on pouvait faire de la ligne circulaire du CP une vrai ligne fréquente qui sert à connecter toutes les lignes du train, du métro et du REM ensemble. Dans cet optique, on pourrait faire une station à CSL, mais aussi à Namur, Canora, Rosemont, Masson et Préfontaine. Ça ferait une ligne qui relie l’Est et l’Ouest en plus ou moins 30 minutes sans traverser le centre-ville, ce qui apporterait de la redondance et plus d’options pour les trajets de périphérie à périphérie. Mais on parle vraiment de rêve, là!

Love this idea (someone should crayon it). Un peu comme la ligne Yamanote à Tokyo. Tokyo et quasiment tout centre-ville, mais cette ligne à deux voies (deux sens) fait un gros loop des importants quartiers centraux, croisant plusieurs lignes de métro et de trains régionaux et nationaux.

The Caltrain sales tax ballot measure in California - 0.0125%, or ⅛¢ - passed with an overwhelming supermajority tonight, pretty much guaranteeing an extra $100M a year to help pay for the modernized line’s operating costs. Would a similar tax to fund transit here in the CMM fly?

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I don’t think the CMM can legally perceive a sales tax. Even tolling bridges is close to impossible if Quebec stands against it. The best we’ve managed to do for now is the gas tax, and we’re losing (slowly) money as more and more cars are going electric.

Reportage de Jean-Sébastien Cloutier, présenté au TJ 18h à Radio-Canada hier soir, sur la difficulté de se déplacer en TEC sur la Rive-Nord et sur le fait que l’ARTM désire effectuer des changements afin d’améliorer les déplacements Est-Ouest de ce secteur. Dossier à suivre… et qui nécessitera un budget.

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Titre bus - sans contact - Prolongation du projet en 2021

NOUVELLES FOURNIES PAR Autorité régionale de transport métropolitain Déc 09, 2020, 14:43 ET

  • Titre passage unique bus dans toute la région
  • Disponible sur les applications mobiles chrono et transit
  • Plus de 60 000 titres vendus depuis septembre

MONTRÉAL, le 9 déc. 2020 /CNW Telbec/ - L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) annonce que le titre numérique bus sans contact, une initiative lancée le 1er septembre dernier dans un contexte de pandémie, va demeurer en place jusqu’au 31 juillet 2021 (avec arrêt des ventes le 30 juin 2021). Plus de 60 000 titres ont été vendus, et ce malgré la baisse des déplacements. La solution, qui évite une transaction en personne avec manipulation d’argent comptant, est appréciée des usagers.

« Alors que les habitudes de déplacement de la majorité des usagers demeurent affectées par la pandémie, la poursuite de cette initiative permet de continuer d’offrir un accès supplémentaire et simple à des titres unitaires valides sur l’ensemble des lignes de bus d’exo, du RTL, de la STL et de la STM. Cette première expérience en billettique numérique dans la région métropolitaine s’avère concluante » a déclaré Benoît Gendron, directeur général de l’ARTM.

Le Titre bus - sans contact est disponible grâce à une connexion Internet sur les applications mobiles Chrono et Transit au coût de 3,50 $. Il nécessite la création d’un compte et l’entrée d’un numéro de carte de crédit. Le titre permet de se déplacer et de correspondre sur l’ensemble des lignes de bus de la région métropolitaine pendant 120 minutes. Les déplacements en famille sont également possibles en se procurant plusieurs titres et en les activant de façon simultanée sur un seul téléphone. Le projet devait se terminer le 31 janvier 2021, il est prolongé de six mois.

« Nos utilisateurs ont acheté des dizaines de milliers de billets avec Transit depuis que l’ARTM a permis l’achat de titres de bus avec nous le 1er septembre. Les voyageurs du Grand Montréal apprécient un moyen pratique et sécuritaire d’acheter leurs titres de transport, et ils pourront continuer à en bénéficier grâce à la décision de l’ARTM de prolonger ce partenariat jusqu’au 30 juin 2021 » a déclaré Sam Vermette, président-directeur général de Transit.

SPÉCIFICATIONS DU TITRE

  • Nom du titre Titre bus - sans contact
  • Correspondance métro et train Non
  • Prix 3,50 $
  • Validité d’utilisation 1 passage bus
  • Validité après activation 120 min
  • Disponibilité à la vente du titre temporaire Jusqu’au 30 juin 2021
  • Date limite d’activation du titre temporaire acheté Jusqu’au 31 juillet 2021
  • Remboursement Non remboursable
  • Échange et transfert Non échangeable ni transférable
  • Exception de lignes de bus Non

Utilisation en 6 étapes

  1. Acheter un titre via une des applications en étant connecté et en cliquant sur l’icône Titre de transport ou Billetterie.
  2. Se connecter à son compte si ce n’est pas déjà fait ou en créer un.
  3. Utiliser une carte de crédit afin de procéder de façon sécuritaire à l’achat.
  4. Utiliser le titre en l’activant, ou bien l’utiliser plus tard en accédant à son portefeuille de titre.
  5. Si activé, le titre valide s’affichera à l’écran et permettra d’être contrôlé visuellement en présentant le titre activé sur l’écran de son téléphone au chauffeur du bus.
  6. Une fois sa période de validité terminée, le titre valide disparaîtra, mais il sera possible d’en conserver la trace dans l’historique d’utilisation.
App Store Google Play
Chrono Chrono
Transit Transit

L’Autorité régionale de transport métropolitain a été créée par le projet de loi 76, qui a modifié la gouvernance du transport collectif dans la grande région métropolitaine de Montréal. Dans une perspective de développement durable et de cohésion régionale, l’Autorité régionale de transport métropolitain planifie, organise, finance et fait la promotion du transport collectif et du transport adapté dans la région métropolitaine de Montréal, afin d’offrir une expérience de mobilité simple, intégrée, fluide et efficace. Elle élabore à cette fin un plan stratégique de développement, une politique de financement, un cadre tarifaire et des ententes de services qui encadrent le développement, l’organisation et le financement de ces services. Pour ce faire, l’Autorité travaille à mobiliser les forces vives du milieu des transports collectifs autour d’une vision unifiée.

Propriété de l’ARTM, l’application métropolitaine Chrono est développée à Montréal de concert avec les organismes publics de transport collectif de la région pour les téléphones intelligents utilisant iOS ou Android. Elle regroupe l’ensemble des services offerts par les organismes publics de transport collectif et autres partenaires de transport. Chrono, permet de suivre le déplacement des autobus et des trains en temps réel sur la carte, de planifier ses déplacements en transport collectif comme à vélo et de trouver les options les plus rapides pour optimiser son temps. Elle offre le seul planificateur de trajet permettant la diffusion de message en direct sur l’état des réseaux du transport collectif métropolitain par les opérateurs eux-mêmes. Avec Chrono, il est aussi facile de localiser une station BIXI près de vous, de confirmer la disponibilité d’un vélo et de le louer directement dans l’application . www.artm.quebec/application-mobile-chrono/

L application Transit, qui compte plus de 220 000 utilisateurs mensuels en pleine pandémie dans la région métropolitaine de Montréal, facilite les déplacements en transports collectifs dans plus de 200 villes à travers le monde. Les utilisateurs peuvent compter sur des horaires en temps réel, planifier un trajet avec GO pour un déplacement guidé étape par étape, et voir le taux d occupation des bus STM en temps réel. Plusieurs autres modes de transport sont également intégrés à l application à Montréal: BIXI, Communauto, et Uber. Les utilisateurs bénéficient ainsi de toutes les options disponibles en ville et peuvent choisir la meilleure pour se déplacer. Transit, une entreprise basée à Montréal, a travaillé avec Masabi pour offrir cette nouvelle solution billettique de l ARTM. Transit offre également l’achat de titres de transport dans plus de 20 villes au Canada et aux États-Unis, dont Las Vegas, Denver, Cincinnati, Buffalo, St. Catharines et Saint-Louis. Pour en savoir plus, visitez le www.transitapp.com .

SOURCE Autorité régionale de transport métropolitain

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Mémoire sur le plan stratégique de développement ARTM_2020.indd (longueuil.quebec)

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Intéressante chronique de Paul Journet, paru dans La Presse ce matin, sur le véritable pouvoir décisionnel de l’ARTM, qui s’érode au dépend de la CDPQ, dans la planification des transports collectifs du Grand Montréal.

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C’est rare que je dis ça des chroniqueurs qui parlent transport, mais M. Journet a 100% raison.

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Exact.

Très bon article objectif

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Dans son Plan stratégique de développement (PSD), l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) gagnerait à favoriser le développement des déplacements intramunicipaux et l’interconnectivité entre les municipalités, pensent plusieurs intervenants ayant participé à la démarche consultative sur le projet.

C’est un des constats qui ressort du rapport de la consultation sur le PSD de l’ARTM, un projet qui comporte des stratégies pour améliorer l’offre en transport collectif dans la région métropolitaine de Montréal.

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Liste (partielle) de propositions des municipalités de la Rive-Sud sur le TEC, transmise à l’ARTM pour approbation…

L’ARTM présente les recommandations en transport sur la Rive-Sud

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Source: ARTM

Publié le 12 avril 2021 à 12h04 | Katina Diep - FM103,3

Les propositions des municipalités sur le transport collectif sur la Rive-Sud doivent être approuvées par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM).

Un rapport des consultations publiques produit par l’Institut du Nouveau Monde (INM) a été dévoilé en mars, dans le cadre du Plan stratégique de développement du transport collectif (PSD).

D’après les objectifs à long terme, la majorité des déplacements devraient se faire en transport collectif d’ici 2050.

Dans ce rapport, l’implantation d’un mode structurant de transport collectif est proposé pour faciliter le lien entre le Réseau express métropolitain (REM) et la station de métro de Longueuil.

Le prolongement du lien électrique LÉEO vers Châteauguay et un service structurant dans le corridor ferroviaire entre Boucherville et Sorel-Tracy font partie des alternatives sur la Couronne Sud.

Toujours sur la Rive-Sud, il est suggéré d’ajouter un service express d’autobus entre Saint-Bruno-de-Montarville et Sainte-Julie et de déplacer la ligne 600 d’exo le long du rang des Vingt-Cinq.

Une fois approuvé, le PSD sera transmis à la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).

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Un article pertinent du Montreal Gazette, qui s’interroge sur le rôle réel de l’ARTM et les pleins pouvoirs donnés à la CDPQ depuis 2016: 'It hurts everyone': The Caisse's silent takeover of Montreal transit planning | Montreal Gazette

‘It hurts everyone’: The Caisse’s silent takeover of Montreal transit planning

Alarmed observers say the pension fund building the REM has essentially taken over from the ARTM, the regional planner created by the province just four years ago.

Longtime observers of public transit say they are alarmed by what they see as a usurping of transit planning in the region by the province’s pension fund.

Since the Caisse de dépôt et placement du Québec was first asked to examine the possibility of building a transit project in the region by the Couillard government in 2015, critics say it has become the the only body capable of planning and executing large transit projects. That’s a problem because the pension fund is more concerned with its return on investment than on the long-term health of the transit system. In the meantime, the true regional planner, the Autorité régionale de transport métropolitain, has become a rudderless ship, they say. Commuters will suffer in the end with a badly planned and poorly integrated transit system.

The CDPQ is in the process of building a nearly $7-billion driverless light-rail network, which will begin in phases starting next year to connect the airport, the West Island, the South Shore, the North Shore and the downtown core. It is also planning the REM de l’Est, a $10-billion light-rail network that would run from downtown to Rivière-des-Prairies and Montréal-Nord, a project that could begin construction next year.

However, the Mascouche train line — the newest commuter line on the island that opened in 2014 at a cost of $700 million — was already compromised by the first REM when it took over the Mount Royal Tunnel last year, and cut off the commuter train’s direct route downtown. Now, it may be rendered obsolete if the REM de l’Est is built as planned, said Sylvain Yelle, the general manager of Exo, which runs the commuter train lines. Yelle said two of the proposed network’s branches would serve areas that currently use the Mascouche line and expressed surprise Exo was left out of the planning of the REM de l’Est.

“Maybe we should have (figured out how to integrate the Mascouche line) before presenting REM de l’Est,” he said.

In a recent open letter, Yelle urged the province not to simply invest in shiny new REM projects, but also to work on improving existing services, like the commuter train network.

Florence Junca-Adenot, an urban-planning associate professor at the Université du Québec à Montréal, said she is concerned by the amount of freedom the province has given to the Caisse to build and propose projects. That has allowed the CDPQ to plan the REM de l’Est without consultation with other transit bodies. The result has been a bad plan, she said: the proposed route that would run parallel to a portion of the métro’s Green Line and the bus rapid transit line currently under construction on Pie-IX Blvd. And she believes it would effectively kill the Mascouche commuter line.

“What is the use of having projects competing with each other? It hurts everyone,” she said. “It diminishes resources.”

Former Westmount Mayor Peter Trent agrees. He served as a member of the board of the Société de transport de Montréal, but resigned last spring because of his opposition to how the STM has been left out of transit planning, as he explained in an open letter.

“I have a real problem with what’s going on right now, with no co-ordination,” Trent said. “It’s inconceivable in any metropolis around the world that you have two essentially competing systems of mass transit.”

Trent added that he’s also concerned that the ARTM has not been able to get any transit projects built since it was created.

“Liberals stuck us with the ARTM and I don’t believe it’s working,” Trent said. “If you look at the board of the ARTM, there is no one who knows anything about public transit.”

Junca-Adenot argues if the ARTM had been permitted to have its say, perhaps more priority would have been given to the 5.5-kilometre extension of the métro’s Blue Line to Anjou, which has been delayed since the 1980s and still has no official start date for construction.

“Public projects like the Blue Line have a sequence of steps they have to follow, while CDPQ Infra has been allowed by the government to bypass (some of the) steps,” Junca-Adenot said. “It’s a double standard; the Blue Line could be built just as quickly if it were allowed to skip steps too.”

Both Trent and Junca-Adenot agree that transit should be planned over a long-term period, and the best mode should be chosen for the right reasons. They worry that because it’s a pension fund, the CDPQ is more concerned with a return on investment, rather than optimal service.

“A transit network is a like a body with organs in good health,” Junca-Adenot said. “We have to plan according to the needs, and it has to be fluid and integrated.”

She said a glaring example of dysfunctional planning is the failure by the province to extend the western branch of the métro’s Orange Line by one stop so that it can be linked to the Bois-Franc station of the REM currently under construction.

“Any idiot can understand that this is needed,” she said.

Speaking for CDPQ Infra — the infrastructure arm of the CDPQ — Jean-Vincent Lacroix said he has heard such criticism before, but it is unfair to blame the Caisse.

“We have to remember that CDPQ Infra works on the basis of requests by the government,” Lacroix said. “We’re not a planner. We’re there to respond to the needs identified to us by the government. Our role is to propose solutions for transport that we judge could be profitable (for us).”

He added that CDPQ always works with the ARTM to outline a project beforehand, then presents it to the public for input. The goal is for the projects to integrate with the existing transit networks, not kill them.

“In the end, it’s the government that decides whether or not to go ahead with the projects,” he said, adding that each solution proposed by the REM is evolutionary, which means it is subject to change dramatically during the consultation process.

Lacroix said while the government has allowed the CDPQ to acquire lands more quickly than previous projects, in doing so, it changed the law for all future transit projects.

Matti Siemiatycki, an associate professor of geography and planning and the head of the University of Toronto’s School of Cities, said it’s important for planning to be done correctly the first time, and that means giving the public a role.

“Planning a transit project is a new role for a pension fund,” he said. “Whoever is taking the lead, when this scale of public money is involved, it’s critically important that communities are engaged and the process is transparent and accountable.”

Lacroix agreed, and said that’s why the REM goes through a rigorous public consultation process. However, he said it’s also important to take note of the CDPQ’s track record: it has been able to propose and build the largest transit network in the province’s history over a short period. If inaugurated on the current target date, it will have been less than 10 years from proposal to realization to build the first phase of the REM, while other transit projects have languished on the drawing boards for decades.

“When we proposed the REM, we had been waiting for more than 30 years for a transit solution for the South Shore,” Lacroix said. “The same goes for the airport. For the east part of Montreal, there has been a historic demand to serve this area.”

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L’ARTM fait ses recommandations aux partis politiques fédéraux relativement au financement du transport collectif dans la grande région de Montréal

Communiqués | 30 août 2021

En vue des élections fédérales prévues le 20 septembre prochain, l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) a acheminé une lettre aux différents chefs des partis fédéraux afin de leur faire part de ses recommandations relativement au financement du transport collectif dans la grande région de Montréal. Ces recommandations ont fait l’objet d’une résolution formelle adoptée par le conseil d’administration de l’ARTM.

L’impact des effets ponctuels et durables de la pandémie de COVID-19 sur le financement du transport collectif ne pouvant être entièrement assumé par les municipalités et les usagers, l’ARTM interpelle les partis fédéraux en soulignant l’importance et la contribution essentielle du transport collectif sur les plans économique et environnemental.

L’ARTM demande ainsi aux chefs des partis fédéraux de s’engager concrètement :

  1. À maintenir le soutien financier à court terme au transport collectif offert par le gouvernement du Canada, considérant l’impact de la pandémie de COVID-19, et ce notamment pour les exercices financiers 2023 et 2024;
  2. À accélérer, bonifier et pérenniser l’aide du gouvernement du Canada au transport collectif, en tenant compte des dispositifs en place entre les gouvernements du Canada et du Québec;
  3. À instaurer une calibration des programmes d’aide pour tenir compte non seulement des besoins en infrastructures, qu’il s’agisse de nouvelles infrastructures ou de maintien, mais également au chapitre des dépenses d’exploitation du transport en commun.

« Des solutions de transport collectif fiables, rapides et abordables constituent un service essentiel pour des millions de Canadiens. De plus, les investissements en transport collectif sont la clé de voûte d’aménagements urbains qui permettent de limiter le nombre, la distance et la durée des déplacements, et à ce titre ils engendrent des bénéfices majeurs en matière de réduction de la congestion routière et des émissions de gaz à effet de serre qui causent le réchauffement climatique. » – Pierre Shedleur, président du conseil d’administration de l’ARTM.

L’ARTM tient à remercier le gouvernement du Canada d’avoir contribué de manière substantielle à combler le manque à gagner subi par les sociétés de transport collectif dans la foulée de la pandémie de COVID-19.

https://www.artm.quebec/recommandations-partis-politiques-federaux-financement-transport-collectif-grande-region-de-montreal/

Je sais pas si d’autres d’entre vous ont reçu ce courriel/sondage, mais l’ARTM est en train de prévoir la lecture (voir ce qui est sur la carte)de la carte OPUS et l’achat de titres à partir d’un téléphone intelligent.

Ça me semble très bien pour l’instant, mais l’idéal serait une carte OPUS virtuelle, directement sur nos cellulaires.

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https://www.artm.quebec/citoyens-invites-a-tester-lachat-et-lajout-de-titres-sur-carte-opus-via-un-telephone-intelligent/

Les citoyens invités à tester l’achat et l’ajout de titres de transport sur la carte OPUS via un téléphone intelligent

14 septembre 2021

Une première expérimentation citoyenne afin de développer une solution applicative pour la grande région de Montréal.

De concert, l’ARTM, exo, le RTL, la STL et la STM invitent les citoyennes et les citoyens de la région métropolitaine de Montréal à participer à la toute première expérimentation en mobilité intégrée de Montréal en commun : l’achat et l’ajout de titres de transport sur la carte OPUS à partir d’un téléphone intelligent.

Au cours de l’expérimentation, qui se déroulera du 14 septembre au 31 décembre 2021, les citoyens seront invités à essayer et commenter une fonctionnalité en développement pour recharger la carte OPUS à partir d’un téléphone intelligent. À terme, cette fonctionnalité innovante et conviviale permettra à l’usager du transport collectif de consulter le contenu de sa carte OPUS, d’acheter des titres de transport et de les ajouter à cette même carte en quelques instants à partir de son téléphone intelligent. Cette fonctionnalité s’ajoutera alors aux autres possibilités d’achat et de recharge de titres afin de faciliter la vie des usagers du transport collectif de la région métropolitaine de Montréal.

« La collaboration avec le citoyen est au cœur de l’approche des partenaires de la mobilité de la région métropolitaine de Montréal. L’objectif est d’arriver à une solution qui, non seulement, répondra aux besoins des usagers du transport collectif, mais aussi à leur évolution. », a affirmé Benoît Gendron, directeur général de l’ARTM.

Pour soumettre sa candidature afin de participer à cette expérimentation, il suffit de s’inscrire en ligne en cliquant ICI. En plus d’éviter de se déplacer dans un point de vente ou de faire la file à un distributeur automatique de titres, les citoyens qui s’inscrivent et qui complèteront l’expérimentation pourront courir la chance de remporter l’un des cinq prix de 100$. Le nombre de participants est limité.

Titres disponibles à l’achat pour l’expérimentation

  • Soirée illimitée
  • Week-end illimité
  • RTL 6 passages (ordinaire)
  • STL 8 passages (réduit)
  • STM 1 passage (ordinaire)
  • STM 10 passages (ordinaire), STM 10 passages (réduit)
  • STM Mensuel (réduit)
  • TRAM 3 – 6 passages (ordinaire)
  • TRAM 3 – Mensuel (réduit)

Cette expérimentation citoyenne est déployée grâce à une escouade de développement formée d’employés issus des organismes partenaires de la région. L’escouade métropolitaine s’appuie notamment sur une technologie développée par la société Spirtech, un leader mondial en transformation digitale de la mobilité.

Les expérimentations en mobilité intégrée sont réalisées dans le cadre de l’initiative Montréal en commun par une communauté de partenaires porteurs de projets innovants qui préconise une approche d’expérimentation afin de répondre aux besoins des citoyennes et les citoyens de la grande région de Montréal.

Le volet des expérimentations en mobilités intégrées est mené conjointement par la Ville de Montréal, avec l’ARTM ainsi qu’exo, le RTL, la STL et la STM. Ces expérimentations sont entre autres prévues et basées sur les besoins de l’ARTM.

-30-

Information aux médias

Simon Charbonneau, Conseiller – Affaires publiques et relations médias à l’ARTM

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Fonctionnement de l’application:

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FINALEMENT!!! J’ai les larmes aux yeux.

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Merci du partage! Je me suis inscrit.

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L’idéal serait la carte Opus sur Apple Pay, surtout avec la technologies Express Transit, comme offrent Suica et Pasmo au Japon.

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