Reportage au Téléjournal 18h
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In the video they also mention that in 2025, there will be a virtual OPUS card!
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Je me demande comment ils vont gérer les multi-zones avec un OPUS virtuel. Mon gut-feeling me dit qu’il faudra une carte physique complémentaire.
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C’est là qu’un tap-in tap-out serait utile.
Le tap-out assurerait de prendre le bon titre selon ton point d’entrée.
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Je confirme la fin de l’article. J’ai voulu voir si je pouvais acheter un lecteur de carte opus et la STM en a effectivement cessé la vente. Plus le choix de continuer de marcher jusqu’au métro ou un point de vente si je me rends compte en fin de journée que je ferais mieux de prendre un titre soirée illimitée au lieu de 2+ titres unitaires.
La ministre Guibault qui dit ce matin à Radio-Canada que “l’ARTM ne nous aide pas à les aider”… je partage le lien aussitôt qu’il est disponible!
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Elle n’a pas vraiment répondu à la question de Patrick Masbourian quand il lui a demandé si elle avait encore confiance au PDG de l’ARTM.
L’entrevue est ici. C’est la dans 2e partie
Entrevue avec Geneviève Guilbault : Stratégie nationale de sécurité routière Rattrapage du mercredi 23 août 2023
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Londres utilise un système tap in tap out. Si l’usager oublie de tap out, le système charge l’usager pour le trajet le plus cher possible sur la ligne de transit utilisé comme si il avait traversé toutes les zones en direction centre-ville.
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Most of the best/most efficient/busiest transit systems the world over use a TITO fare management system, even cities and regions with multiple independent networks operating under an umbrella transit authority. It just works. But we just need to once again demonstrate our exceptionalism.
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Ça serait super un tel système ici! Justement, on est en train de changer les lecteurs aux tourniquets, dommage qu’on n’ait pas pu en profiter pour mettre un tap-out. Je me demande si les tourniquets actuels pourraient facilement accueillir un deuxième lecteur à la sortie.
TITO is user-hostile, especially for tourists.
Il y a quelques mois, j’étais à Milan, et leur billet quotidien (bout de carton à bande magnétique) a cessé de fonctionner car elle était légerement pliée. Je devais trouver un employé, attirer son attention et raconter mon histoire à chaque fois que je voulais sortir du métro.
Ça ralentit aussi la sortie des bus, etc.
Un compromis pourrait être de seulement mettre du tap-out dans les stations de métro/REM des zones B, C, D (et à YUL).
Mais pas dans les autobus.
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Personnellement, je n’aime pas les tourniquet et j’aimerais vraiment qu’ils soient complètement remplacé. Pour avoir regardé beaucoup de video de transit, je n’ai pas encore vu d’autres exemples de tourniquet de ce style. C’est beaucoup moins pratique qu’un portique standard quand quelqu’un a un sac ou n’importe quoi d’autre à transporter avec lui dans le métro. On devrait s’en débarrasser.
La Presse a rapporté les paroles de la Ministre
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Si les étudiants peuvent réalisé les projets dix fois plus rapidement que l’ARTM et avec aucun budget, et que l’ARTM n’a aucun vision pour le transport a part leur projet 40 milliards, je comprends pourquoi le gouv ne les aime pas.
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Il ne faut pas oublier le “fameux rapport dévastateur”.
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M. Gendron, lui, s’est défendu mercredi au 98,5 de ne pas être proactif dans le dossier de la recharge mobile.
Bref, il est dans le déni. Dans les pays asiatiques, il est possible de payer avec son directement avec son cellulaire. L’ARTM est systématiquement en retard technologiquement sur ce qui se fait ailleurs.
C’est la base de la frustration: la tarification, la perception, la signalisation, c’est pas des concepts récents et novateurs, c’est des problèmes réglés, à maintes reprises, pas mal partout dans le monde.
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C’est pas parce que vous voyez des systèmes ailleurs fonctionnels qu’on peut facilement ou rapidement les mettre en place ici non plus. Changer le système de billets et de paiement implique de remplacer tous les lecteurs de carte et tout le back end, ce qui prend du temps et coûte des millions de dollars. En terme de coûts, il y aussi un coût associé à briser les contrats actuels avec les fournisseurs de billetterie. Les société de transport à l’étranger qui ont ce genre de système ont pris des années avant de se rendre là. S’attendre à ce que tout soit fait maintenant alors que nos sociétés de transport n’ont pas un sou de trop, ce n’est pas réaliste.
La décision a déjà été prise de permettre l’usage des cartes de paiement pour payer son passage et de dématérialiser la carte OPUS; le processus est déjà enclenché. L’ensemble des lecteurs de titre des autobus a été changé au fil des 5 dernières années dans la région et on est rendu à ceux du métro. Les projets pilotes de recharge de carte OPUS sur téléphone ont eu lieu l’an dernier avec succès et des employés de la STM ont des passes sur leur téléphone depuis longtemps déjà. La réforme des titres métropolitains sera terminée d’ici 1-2 ans, tout comme celle des méthodes de paiement. Faudrait juste arrêter de faire les impatients et les tenir à leurs échéances tout simplement.
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Ça fait presque deux décennie depuis le premier cellulaire intelligent, et presque aussi longtemps depuis les premiers systèmes de payment par cellulaire. Que ça prenne plusieurs années pour faire la transition, je suis prêt à l’accorder à l’ARTM, mais qu’on n’ai pas encore ce genre de système presque deux décennies après que c’était clair que ça serait la nouvelle norme, c’est inacceptable. À toujours vouloir donner le bénéfice du doute, on se ramasse avec le résultat actuel, c’est à dire une agence arriéré et dysfonctionnelle.
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C’est tellement exact comme commentaire, surtout au niveau du «back-end». Les gens ne voient pas l’infrastructure qui se trouve derrière ça, mais c’est énorme et plus complexe qu’on peut le penser.
Modifier l’infrastructure OPUS/billettique/tarifaire c’est plusieurs centaines de millions de dollars au minimum. Et le bénéfice, bien que réel, n’est pas si énorme que ça non plus. On ne va pas aller chercher même 1% de part modale parce que maintenant les gens peuvent payer avec leurs cellulaires/cartes de crédit. Et tout ça dans un contexte où tous les acteurs manque de financement depuis des décennies! C’est parfaitement compréhensible à savoir pourquoi ça n’a pas été fait avant quand on voit qu’on finance les opérations de nos transports en commun sur une basse de patchage depuis beaucoup trop longtemps.
Évidemment il faut le faire, mais considérant qu’en Amérique du Nord ce n’est pas vraiment quelque chose de répandu comme mode de payement, je vois pas pourquoi on se flagellerait pour ça.
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