J’ai entendu à la radio que la piétonnisation du Vieux-Montréal sera annoncée plus tard
Ajout : reportge au Téléjournal
Bien sûr, il y a des gens qui se plaignent de la perte de stationnement sur Saint-Hubert…
mais il y a juste 60 propriétaires de commerces sur 400 qui ont été voté, et le oui a gagné
Rues piétonnes : 11 artères interdites aux autos cet été
Les rues piétonnes seront de retour cet été à Montréal. Et pour la première fois, la Plaza Saint-Hubert sera de la partie! Mais déjà, les commerçants craignent l’impact que ça pourrait engendrer sur leur clientèle.
Dommage que la piétonnisation de Notre Dame ouest est toujours absent depuis ce drame avec les proprios de Joe Beef… Je n’ai pas non plus l’impression que la ville a le courage de réessayer. Grosse perte pour le Sud-Ouest!
Je me demande pourquoi on décrit Ste-Catherine entre St-Laurent et de Bleury comme une rue piétonne estivale, du 1 mai au 31 octobre? Ça fait au moins quatre ans qu’elle est piétonne à l’année.
En cherchant des informations sur la piétonisation de de la Plaza St-Hubert cet été (j’ai vraiment hâte de voir ce que ça va donner ). Je suis tombé sur cette chronique du 98.5 qui mentionne une étude en Espagne sur l’effet des piétonisations de rues commerciales. Je me disais que ce serait un bon prétexte pour poster quelque chose sur AgoraMTL, alors que je voulais la partager avec tout le monde
La rue Duluth est maintenant piétonne. J’adore ces initiatives et je crois que Duluth devrait l’être à l’année, mais je me désole des interventions faites chaque année.
C’est vraiment un ramassis de n’importe quoi, d’objets déposés à la pièce sans cohérence. Chaque année, ils ajoutent un objet. Cette année, ce sont les bacs de plantation en bois brun. L’an dernier, c’était les bancs en métal en forme de pavé, vert. Ces derniers étaient très beaux mais en 1 an ils sont maintenant tous amochés et doivent être repeints. Même chose pour les tables en béton multicolores. Et ces objets sont déposés sur les trottoirs parce que la rue doit servir à la livraison.
Dommage, la rue Duluth a une identité forte déjà avec son pavé et ses magnifiques bacs de plantation remplis de sapins. Pas besoin d’ajouter des couches de plus! Sans parlé de son piètre état avec ses centaines de patch d’asphalte, ça fait dur honnêtement. En vélo comme en auto, c’est un véritable course à obstacles circuler sur la rue.
Bref, un bel exemple d’une belle initiative, mais avec un grand manque de vision et de qualité. Je ne tiens pas à cracher sur l’effort fait, car ça doit prendre beaucoup de travail et les fonds doivent surement être limités. Je sais que certains bureaux d’architectes avaient été mandaté pour faire un projet d’ensemble. Ou est passé cette vision? Est-ce que les SDC devraient être plus accompagnés par des professionnels lorsqu’il s’agit de design urbain?
À terme, j’espère vraiment que la rue Duluth sera entièrement refaite, sans demi-mesure qui accommodent les automobilistes, un peu comme Prince-Arthur, et que ce moment de rue piétonne sans grande qualité n’est que transitoire.
Je suis bien d’accord!
Il ne semble pas y avoir de vision d’ensemble, ce qui génère une surcharge visuelle.
J’ai beaucoup aimé les bancs inspirés des pavés typiques de la rue l’été dernier. Pourquoi avoir introduit du nouveau mobilier supplémentaire? À quoi correspondent ces bacs rayés très «patio de banlieue». On perd en qualité, on perd en force.
Il faudrait peut-être en faire moins, mais le faire mieux.
Debut des aménagements sur Bernard dans Outremont. Cette année, ils ont été hyper efficace - une grande partie des éléments ont été installé en une seule journée. Manque plus que les tables et les fleurs et la rue sera dans sa configuration estivale.
Cette année, en revanche, la rue sera ouverte à la circulation dès le 21 septembre. Ça change de la première édition qui s’était terminée le 31 octobre !
Pourquoi aussi les terrasses doivent-elles encore avoir un garde-corps dans les sections piétonnisées? J’aimerais bien voir un jour des espaces moins coupés, ça donnerait à la rue une impression de place rectiligne et non juste d’une rue temporairement piétonne.
Effectivement, mais le règlement de la régie est flou. La délimitation pourrait être beaucoup plus simple.
Ce sont les règlements d’arrondissement qui mènent à des construction aussi robustes. Dans le cadre d’une piétonnisation, ce serait effectivement approprié de revoir ces règlement pour alléger. Une simple corde pourrait suffire!
C’est pas mal ce qui a été “toléré” sur Mont-Royal lors du début de la piétonisation pendant la pandémie aussi. Les règles étaient souples pour permettre rapidement des terrasses extérieures. On a vu du gazon synthétique et des cordes autours.
Oui effectivement, sauf que la période des terrasses commencent avant les piétos et se terminent après. Les terrasses robustes sont généralement celles qui remplacent une case de stationnement. Il y a un enjeu d’accessibilité universelle également. Les commerçants et les arrondissements reçoivent des mises en demeure quand une terrasse n’est pas au niveau du trottoir (quand la rue n’est pas piétonne).
Sinon, il y a des terrasses beaucoup plus légères quand elles sont directement sur le trottoir (ex. la Plaza) ou sur le domaine privé.
Je sais que c’est un détail quand même, mais j’aurais préféré un langage plus « positif » quant au changement temporaire de la vocation de la rue. Ce n’est pas une « fermeture » de la rue, mais plutôt sa fermeture aux voitures, et donc on l’ouvre davantage à la vie humaine. Je trouve quand même que c’est une distinction importante, et que le langage actuel est axé sur la culture de la voiture même en discutant de la piétonnisation.
En anglais, l’expression « open street » (rue ouverte) est utilisée pour les rues piétonnes, rue ouverte à la mobilité active et aux personnes, et non aux véhicules
Marcelle Ferron - De l’atelier à l’espace public est une exposition conçue spécialement pour le 100e anniversaire de naissance de l’artiste, et sera présentée sur l’avenue Bernard piétonne entre les avenues Outremont et Champagneur du 3 juin au 22 septembre.
[…]
L’avenue Bernard piétonne permettra au public de découvrir, au gré de leur déambulation, la place importante qu’occupe l’artiste dans l’histoire de la modernité québécoise et l’avènement d’une œuvre résolument abstraite.
Installée au cœur d’Outremont, cette présentation est composée de douze panneaux montrant l’évolution esthétique de l’artiste soit des premières peintures des années 1940 jusqu’aux œuvres d’art public des années 1960 et 1970.