Wouldn’t they just have a split operation at YUL then (between the LCC terminal and the main terminal). Could be their YYZ E2 flights leave the main terminal for business trips and other more leisure oriented flights leave the LCC terminal for non business oriented trips. Plus this might attract low cost US airlines without the hassle of getting permission for international flights at YHU.
That terminal would have it’s own street access, which would be a good selling point for Porter as it avoids the crowd and car trafic at the main terminal. The shuttles would be for connecting passengers if any.
True, at the moment but YHU is being designed to be a mini hub for them so for sure they’ll be offering transfers to Canadians for routes that will be more leisure oriented.
Le principale problème avec un mini aérogare à YUL serait d’abord l’usage des pistes qu’ADM voudrait prioritaires pour les plus gros porteurs et les coûts plus élevées pour l’atterrissage et le décollage. Ainsi augmenter le nombre des mouvements d’avions ne m’apparait pas vraiment profitable pour l’aéroport et risquerait en plus de ralentir le trafic en général.
Effectivement pas évident non plus de faire venir les douanes américaines à YHU, l’aéroport de Québec attend ce service depuis des décennies, ce qui le rendrait plus concurrentiel, mais il semble que la capitale nationale devra encore attendre.
What leisure flights does Porter have in YUL within Canada? Currently they serve Halifax and Toronto (both airports)… This is Quebec, the only leisure domestic flights are summer seasonals to Vancouver and Calgary (to a much lesser extent).
Porter’s adventure in Saint-Hubert has one goal, and one goal only: Make money selling a building to someone else. They’ve even said so in the Globe and Mail last week.
I would consider flights to the Maritimes as more leisure as well as Alberta and BC. Don’t forget Porter has mentioned they want to make YHU a hub for intra-Canada connections so I’m expecting flights to those destinations at YHU and presumably well timed connections between them. And who knows they may come up with something innovative like a route to Mont Tremblant where through YHU people from around Canada can connect to there. It could help boost the low season in winter.
Now again not everyone flying to those regions will be vacationers or family visiting friends or relatives but in the summer at least I’d expect the majority on a Porter flight to be. Porter can still maintain its business orientation to YYZ and YTZ. A hub has to cater to all types of travelers if they’re spending the money on one.
Continental used to fly from Newark to “Mont-Tremblant” Airport, but they soon had difficulty filling 37-seat ERJ-135s as travellers realized the airport is still an hour south on a snowy 117 to the actual Mont-Tremblant. I don’t think CBSA schedules anybody up there anymore.
big meh here. Porter is building YOW, which is a good strategy considering the population and the fact that no one is really present there in a significant way. It’s also an english Canada market, for which there is domestic demand (plus it’s the federal capital so it attracts that segment too).
The Montreal market is very different. It cannot be a hub for domestic travel alone. That’s why Westjet barely flies here. Air Canada has good domestic coverage from YUL but that’s only because of the huge international connections here and because we are now acting as a relief airport for Toronto.
I am telling you. The only reason why Porter is doing this is for real estate. They’re going to build that terminal, lease gate space for other domestic airlines (think Pascan, etc.), have the area around develop a bit (the hotel, restaurants, etc.) and when their crazy expansion takes them on a cash shortfall they will sell this terminal building for a few hundred millions and carry on. It’s not a bad idea, but let’s not kid ourselves into thinking that Porter’s moves are network motivated, because they aren’t
D’emblée, deux débarcadères alternatifs seront disponibles dès le 1er mai prochain, à l’est et à l’ouest de l’aérogare. Ils demeureront en place jusqu’au 1er octobre et leur présence pourrait être renouvelée au besoin l’année suivante.
Débarcadères alternatifs, gratuité du stationnement en pointe, accès facilité à la douane : Aéroports de Montréal (ADM) met le paquet pour s’attaquer à la congestion et à l’attente à Montréal-Trudeau. Objectif : retirer jusqu’à 700 véhicules par heure lors des périodes les plus achalandées. Voici ce qui s’en vient, en cinq points.
D’emblée, deux débarcadères alternatifs seront disponibles dès le 1er mai prochain, à l’est et à l’ouest de l’aérogare. Ils demeureront en place jusqu’au 1er octobre et leur présence pourrait être renouvelée au besoin l’année suivante. À l’ouest, le débarcadère alternatif sera installé au rez-de-chaussée du nouveau stationnement étagé P4, qui doit ouvrir ses portes au début 2024 et qui permettra de dégager 2800 places. Des services de navettes seront en place à partir des deux débarcadères alternatifs, avec des passages toutes les cinq minutes, ce qui permettra de rejoindre le terminal principal de l’aéroport rapidement. « Si tout le monde collabore, on va vraiment diminuer le flot. Et tout le monde va être gagnant. Notre objectif, à terme, c’est d’arriver à réduire de 700 véhicules durant l’heure de pointe », explique le président et directeur général d’ADM, Yves Beauchamp, en entrevue avec La Presse.
Du stationnement gratuit
Pour éviter que trop de gens « tournent en rond » en attendant l’arrivée d’un passager – un phénomène fréquent à l’aéroport Trudeau –, ADM offrira aussi dès le 1er mai une période de gratuité d’environ 40 minutes dans tous ses stationnements pendant les heures de pointe, soit entre 15 h et 19 h. « Ça va permettre à quelqu’un de se stationner et d’attendre, sans avoir à faire des allers-retours qui ajoutent au trafic », dit M. Beauchamp à ce sujet. À plus long terme, une « révision de la grille tarifaire » du stationnement est aussi en cours ; l’objectif serait d’offrir des rabais sur les réservations de quatre heures et moins dans les stationnements à proximité et des tarifs plus avantageux pour les stationnements plus éloignés.
D’ici quelques semaines, l’organisation aéroportuaire mettra aussi en place des corridors qui permettront d’accélérer le passage à la douane des voyageurs ayant dûment rempli leur formulaire sur l’application ArriveCan. « Il y aura toute une campagne de communication d’ici les Fêtes, mais on se rend compte que les gens associent encore beaucoup cette application à la COVID-19, alors qu’elle permet pourtant toujours d’accélérer le processus », dit M. Beauchamp. Ainsi, les voyageurs qui remplissent leur formulaire pourront passer avant les autres. « Ça s’apparente grosso modo au programme Nexus qui est déjà en place, mais là, ça s’adressera à tout le monde qui veut bien collaborer », note le PDG, qui rappelle qu’une centaine de nouveaux douaniers ayant terminé leur formation seront aussi bientôt déployés au Canada, dont à Montréal.
Vers de nouvelles liaisons en autobus ?
Après avoir augmenté la fréquence de la ligne 747 en pointe, en plus d’avoir permis l’achat en ligne et installé plus de terminaux de vente de concert avec la Société de transport de Montréal (STM), Aéroports de Montréal envisage maintenant de nouvelles liaisons directes avec le site aéroportuaire. « On est à regarder du côté de Laval par exemple ou avec d’autres villes en périphérie où il pourrait y avoir la possibilité d’avoir des lignes d’autobus plus directes », indique M. Beauchamp. Il soutient qu’à l’arrivée de la station Des Sources du Réseau express métropolitain (REM), d’ici la fin 2024, « on pourra aussi développer un lien direct avec l’aéroport ». La station du REM à l’aéroport n’arrivera toutefois pas avant 2027, comme prévu.
Tripler la capacité d’ici 2028
Sur le long terme, ADM poursuit l’objectif de « tripler la capacité » de son débarcadère principal d’ici 2028. « Quand la station du REM va arriver au niveau du sol, on va pouvoir entamer la construction de deux nouveaux stationnements étagés, après quoi on pourra démolir le stationnement étagé actuel, qui deviendra de nouvelles voies d’embarcadère et de débarcadère », explique Yves Beauchamp. Un plan global détaillant l’ensemble des travaux doit être présenté ce printemps avec diverses mesures d’atténuation, mais déjà, l’organisation dit vouloir « accélérer le séquencement de ces travaux » afin de permettre l’accroissement de la capacité le plus rapidement possible. Pour l’heure, le débarcadère principal ne compte que deux voies à l’entrée pour accéder aux arrivées ou aux départs des vols.
Ce qu’ils ont dit
Nous saluons les mesures prises proactivement par ADM pour résoudre les défis de circulation. […] Les améliorations proposées sont cruciales pour répondre à la croissance continue du trafic aérien. En tant que principale porte d’entrée du Québec sur le monde, l’aéroport mérite une attention particulière.
Cabinet de la ministre des Transports, Geneviève Guilbault
Nous félicitons cet ajustement qui devrait permettre plus de ponctualité et de fluidité dans le secteur. L’aéroport va traverser une croissance marquée qui nécessite des ajustements en attendant que le REM puisse pleinement le desservir.
Cabinet de la mairesse de Montréal, Valérie Plante