Aéroport Montréal-Trudeau - Discussion générale

Jet A1 produces CO₂ at around triple the liquid fuel’s mass. Aircraft are fuelled by mass (weight) — a constant. One litre of jet fuel has a mass of just under 790 grams (depending on temperature), and produces 2488 grams of CO₂.

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Damn!

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Are you sure that you produce more carbon dioxide than what’s coming in?

Last time I looked at chemistry, the rule was: nothing is created, nothing is lost, everything gets transformed. Unless I’m confusing that with something else :sweat_smile:

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Dans l’équation de la combustion du kérosène (C10H22), il y a l’air dans les réactifs. Rien ne se perd, rien ne se crée, la masse du CO2 vient principalement de l’oxygène. Pour chaque mole de kérosène (131,4g), 10 moles de CO2 sont produites (440,1g)

En fait, je ne sais pas trop si l’équation que j’ai prise est la même que celle de SameGuy, mais au final ça reste pareil : la masse «de plus» du dioxyde de carbone provient de l’oxygène dans les réactifs.

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What @Fleurdelys said. :wink:

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Stoichiometry.

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J’adore notre forum, tellement de gens avec des connaissances et background intéressant.

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Just a note: the 717’s Rolls-BMW engines definitely don’t run stoich! :smoking:

C’est quoi le nouveau batiment devant lequel les avions sont garés ?

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C’est le stationnement P4

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I stand corrected.

Also, I didn’t realize kerosene is 10 atoms of carbon. I thought it was 6.

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Jet fuel is generally between eight and 15 carbon atoms depending on the base petroleum, but is almost always around 10 at airports supplied in eastern Canada and Europe (North Sea oil).

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200 avions décolleront au sud de l’aéroport Montréal-Trudeau chaque jour cet été


Les travaux de la piste nord s’étaleront jusqu’en 2023. | Photo: Josie Desmarais

Journal métro | 10 mars 2022 à 12h47 | Alexandre Sauro

Des travaux pour le réaménagement de la section centrale de la piste au nord de l’aéroport Montréal-Trudeau occasionneront sa fermeture du 14 mars à la fin juin et du 11 octobre au 7 novembre 2022. Durant ces travaux, les départs auront lieu sur la piste au sud de l’aéroport international.

En effet, durant les travaux, tout le trafic aéronautique devrait utiliser la piste 06D/24G.

Le réaménagement de la piste au nord est nécessaire afin d’assurer la sécurité des opérations.

«C’est une priorité de conserver les pistes en parfait état et elles ont une certaine durée de vie. Les travaux qu’on s’apprête à faire devraient être bons pour une vingtaine d’années», explique le directeur principal des opérations, sûreté et sécurité pour Aéroports de Montréal (ADM), Karl Brochu.

M. Brochu n’exclut pas que certains travaux d’entretien puissent s’avérer nécessaires dans le futur afin de prolonger la vie de la piste. Les travaux à faire en 2022 se concentrent principalement sur le centre de la piste. Les deux extrémités ont été complétées avant la pandémie. Le projet devrait se terminer en 2023.

Afin d’assurer la fluidité des opérations durant les périodes de pointe, des trajectoires alternatives au décollage seront utilisées principalement par les petits jets et avions à hélices.

On prévoit une moyenne d’environ 200 départs au sud par jour durant la durée des travaux, soit environ le deux tiers de ce qu’on avait en 2019.

Etienne Tremblay, contrôleur du trafic aérien pour NAV CANADA

Utilisation de la piste sud

Afin d’éviter l’étalement des périodes de pointe, ADM prévoit maximiser l’utilisation de la piste au sud, notamment pour les départs en direction de Dorval.

«Sans la piste au nord, les périodes de pointe vont mettre beaucoup de pression sur l’aéroport», rapporte le contrôleur du trafic aérien pour NAV CANADA, Etienne Tremblay.


Vue en hauteur de l’aéroport de Montréal-Trudeau illustrant le trajet de la piste au sud qui sera plus sollicitée durant les travaux. | Photo : Aéroport de Montréal

En temps normal, l’aéroport Montréal-Trudeau possède seulement ces deux pistes principales, soit celles au nord et au sud. L’assignation des pistes se fait principalement selon la direction des vents puisque les avions doivent décoller et atterrir face au vent.

C’est pourquoi la piste au sud qui mène les avions jusqu’au-dessus du lac Saint-Louis est plus souvent sollicitée pour les départs, car les vents dans cette région circulent principalement en provenance du sud-ouest.

La piste au sud permet également des décollages dans l’autre direction, soit vers l’arrondissement de Saint-Laurent, à une fréquence d’environ 30%, selon M. Brochu.

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image YUL Aéroport International Montréal-Trudeau

En signe de solidarité au peuple ukrainien, le “O” de notre façade Montréal arborera le tournesol, emblème national utilisé comme symbole de paix tout au long de l’histoire de l’Ukraine. 🇺🇦

La crise humanitaire qui touche la population ukrainienne exige que nous nous unissions tous. Grâce à la générosité de nos employés, ADM Aéroports de Montréal remettra 20 000$ en don à la Croix-Rouge canadienne.

Les équipes de YUL sont prêtes à travailler main dans la main avec les gouvernements pour accueillir les réfugiés ukrainiens. 💙💛

Sur le compte Twitter de YUL:

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ADM ANNONCE SES RÉSULTATS FINANCIERS AU 31 DÉCEMBRE 2021

NOUVELLES FOURNIES PAR Aéroports de Montréal | Mars 22, 2022, 10:00 ET

MONTRÉAL, le 22 mars 2022 /CNW Telbec/ - ADM Aéroports de Montréal a annoncé aujourd’hui ses résultats d’exploitation consolidés pour l’exercice clos le 31 décembre 2021. Ces résultats sont accompagnés de données sur le trafic de passagers de YUL, l’aéroport international Montréal-Trudeau.

Faits saillants

Le nombre de passagers à YUL s’est établi à 5,2 millions, en baisse de 4,3 % par rapport à l’année 2020 et de 74,4 % par rapport à 2019. La reprise graduelle au cours du deuxième semestre s’est conclue par un niveau de passagers équivalent à 50% du niveau 2019 pour le quatrième trimestre.

Malgré un nombre de passagers inférieur à celui de l’année 2020, le BAIIA (l’excédent des produits par rapport aux charges avant impôts, charges financières, amortissement, dépréciation et quote-part des résultats d’une coentreprise) a augmenté de 56,0 %, passant de 40,8 millions $ en 2020 à 63,6 millions $ en 2021.

Les investissements en capital ont été réduits de façon significative à 51,8 millions $ en 2021, comparativement à 247,7 millions $ en 2020. Le programme aéroportuaire, étant limité aux projets essentiels, a atteint 32,8 millions $ en 2021 (216,5 millions $ en 2020) alors que le montant investi dans la station du REM (net de subvention) a été de 19,0 millions $ en 2021 (31,2 millions $ en 2020). Les investissements à YUL et à YMX en 2021 ont été financés par les activités d’exploitation ainsi que par les fonds disponibles en début d’année.

Citation

« Les derniers mois de 2021 nous ont permis de renouer avec un plus grand nombre de passagers et de reprendre un certain niveau d’activités à YUL. Évidemment, les mesures mises en place à la mi-décembre par le gouvernement du Canada pour contrôler la nouvelle vague associée au variant Omicron de la COVID-19 ont mené à un fléchissement des intentions de voyage en toute fin d’année. Heureusement, la situation évolue rapidement. Les assouplissements entrés en vigueur il y a quelques semaines ont permis à notre aéroport international de se replacer sur la voie de la relance. Puis l’annonce de la semaine dernière mettant fin aux tests de dépistage pour les voyageurs doublement vaccinés qui veulent entrer au pays dès le 1er avril nous permet enfin de dire que le pire est derrière nous. Après deux ans, les passagers, nos employés et ceux de la communauté aéroportuaire attendaient ce moment avec impatience », a indiqué Philippe Rainville, président-directeur général d’ADM Aéroports de Montréal.

Résultats financiers

Les produits consolidés se sont élevés à 277,7 millions $ en 2021, en diminution de 4,5 millions $ ou 1,6 % par rapport à 2020. Les résultats du dernier semestre 2021 nous indiquent qu’une reprise graduelle du trafic de passagers s’est amorcée. Cependant, les répercussions des restrictions de voyage imposées dans de nombreux pays depuis mars 2020 en raison de la pandémie ainsi que la stratégie mise en place au Canada pour la gérer font en sorte que les produits cumulatifs au 31 décembre 2021 sont inférieurs à ceux de la période correspondante de 2020.

Les charges d’exploitation pour l’année en revue ont atteint 150,9 millions $, une baisse de 7,7 millions $ ou de 4,9 % par rapport à la période correspondante de 2020. ADM a continué de miser sur des mesures significatives de réduction des frais d’exploitation, notamment ceux liés à la réduction des activités aéroportuaires et à la fermeture temporaire de certaines zones de l’aérogare en rouvrant graduellement ces espaces en fonction du trafic de passagers. Par ailleurs, ADM s’est prévalue du programme de Subvention salariale d’urgence du Canada et du Programme de relance du tourisme et de l’accueil. Un montant de 15,7 millions $ a été comptabilisé en réduction des salaires pour l’année 2021 comparativement à 15,6 millions $ en 2020.

De plus, aucune dépense liée à la pandémie n’a été encourue en 2021 comparativement à 39,9 millions $ en 2020. Celles-ci incluaient les allègements accordés à certains locataires pour lesquels la pandémie a eu un impact significatif, les coûts supplémentaires pour mettre fin à des contrats avec certains fournisseurs et pour fermer certains chantiers de construction ainsi que les frais de mise en place relatifs à la réduction des effectifs.

Les transferts aux gouvernements (paiements versés en remplacement d’impôts aux municipalités (« PERI ») et le loyer à Transports Canada) ont atteint 63,2 millions $ en 2021 comparativement à 42,9 millions $ en 2020. La hausse est principalement due à l’exonération de loyer à Transports Canada accordée pour la période de mars à décembre 2020. Notons toutefois que le versement du loyer de 2021 au montant de 24,8 millions $ est différé et sera payable en versements égaux sur une période de dix ans à partir de 2024. De plus, il est à noter qu’un versement de 25,5 millions $ des PERI dû en 2021 a également été reporté à 2022.

L’amortissement et la dépréciation des immobilisations corporelles et des actifs au titre des droits d’utilisation ont baissé à 162,6 millions $ au cours de 2021, soit une diminution de 9,2 millions $ ou 5,4 % par rapport à 2020. Cette baisse résulte principalement de l’amortissement accéléré pris en 2020 pour certains projets dont la portée a été modifiée.

Les charges financières nettes totalisent 132,8 millions $ en 2021, en hausse de 29,4 millions $ par rapport à 2020. L’augmentation de ces dernières s’explique d’une part, par l’augmentation des frais d’intérêts de 14,1 millions $ liée aux séries d’obligations émises respectivement en avril 2020 et 2021 et d’autre part, par la réduction de 12,6 millions $ des intérêts capitalisés aux travaux en cours.

Au 31 décembre 2021, l’insuffisance des produits par rapport aux charges s’est chiffrée à 230,8 millions $, soit une amélioration de 3,2 millions $ ou 1,4 % par rapport à l’insuffisance de 234,0 millions $ pour la même période en 2020.

Situation financière

La dette nette d’ADM au 31 décembre 2021 était de 2,5 milliards $ comparativement à 2,3 milliards $ au 31 décembre 2020.

En mars 2021, ADM a obtenu le consentement des détenteurs d’obligations d’amender l’acte de fiducie-cadre permettant ainsi à ADM de se libérer temporairement de ses obligations de respecter ou de satisfaire aux exigences de certaines clauses restrictives de l’acte de fiducie-cadre pour les années 2021 et 2022. Cette exemption a été demandée en raison de l’incertitude qui persiste sur la durée de la baisse importante du trafic de passagers et des mouvements aériens résultant de la pandémie de COVID-19.

Mesures hors PCGR

ADM présente parfois des mesures financières n’ayant pas de sens prescrit par les Normes internationales d’information financière (« IFRS »), appelées des mesures hors PCGR. Il est donc peu probable que l’on puisse les comparer avec des mesures du même type présentées par d’autres sociétés.

BAIIA
Le BAIIA est défini par ADM comme étant l’excédent des produits par rapport aux charges avant impôts, charges financières, amortissement, dépréciation et quote-part des résultats d’une coentreprise. Ce dernier est utilisé par la direction comme indicateur pour évaluer la performance opérationnelle. Le BAIIA a pour objet d’apporter de l’information supplémentaire et ne devrait pas remplacer d’autres mesures du rendement préparées en vertu des IFRS.

Dette nette
La dette nette correspond à la différence entre le solde brut à payer des obligations à long terme, y compris les contrats de location, et le montant disponible dans la trésorerie et les équivalents de trésorerie ainsi que dans le fonds de réserve affecté au service de la dette.

Principales mesures financières

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Les variations en % dans le tableau ci-haut sont calculées avec les résultats en milliers.

Trafic de passagers

Pour l’exercice de 2021, le trafic à YUL a totalisé 5,2 millions passagers, une diminution de 4,3 % par rapport à 2020. Le trafic international a connu une baisse de 20,3 %, le transfrontalier (États-Unis) a observé une décroissance de 17,8 %, tandis que le domestique a enregistré une hausse de 21,6 % par rapport à l’année 2020.

Comparé à 2019, l’année 2021 a observé une baisse de 74,4 %.

Trafic de passagers total

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Note : Le trafic de passagers total inclut les passagers payants et non payants et les sommes sont calculées selon les chiffres détaillés en milliers.
Source : Aéroports de Montréal

À propos d’Aéroports de Montréal
ADM Aéroports de Montréal est l’autorité aéroportuaire du Grand Montréal responsable de la gestion, de l’exploitation et du développement de YUL Aéroport international Montréal-Trudeau, certifié 4 étoiles selon le « World Airport Star Rating » de Skytrax, et de YMX Aérocité internationale de Mirabel.

SOURCE Aéroports de Montréal

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Zone économie | Hausse de 400 % à l’Aéroport de Montréal

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Aéroports de Montréal reprend son envol avec le retour des voyageurs

Photo David Boily, archives LA PRESSE

En annonçant ses résultats du premier trimestre de 2022, jeudi, ADM a fait état d’un bond de 414 % du nombre de passagers par rapport au premier trimestre de 2021, soit un total de 2,2 millions de passagers pour les trois premiers mois de l’année.

(Montréal) Tous les indicateurs d’Aéroports de Montréal (ADM) ont pris leur envol après deux années de misère.

Publié hier à 13h47

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Pierre Saint-Arnaud La Presse Canadienne

En annonçant ses résultats du premier trimestre de 2022, jeudi, ADM a fait état d’un bond de 414 % du nombre de passagers par rapport au premier trimestre de 2021, soit un total de 2,2 millions de passagers pour les trois premiers mois de l’année.

Pour le seul mois de mars, l’augmentation atteint 823 % comparativement à mars 2021, soit un peu plus d’un million de passagers, ce qui représente près de 60 % du nombre de passagers en mars 2019, l’année de référence pré-pandémique.

« Aujourd’hui, les signes de reprise sont réunis. La situation sanitaire, bien que volatile, semble demeurer sous contrôle. Les gens ont envie de voyager », a proclamé la présidente du conseil d’ADM, Danielle Laberge.

La revanche des voyageurs

Cette soudaine affluence, alimentée par la levée de nombreuses mesures sanitaires, s’inscrit dans le mouvement mondial de « revenge travelling » ou voyage de revanche. C’est le président-directeur général d’ADM, Philippe Rainville, qui a évoqué cette expression qui fait référence à la ruée de voyageurs frustrés de n’avoir pu s’envoler durant la pandémie.

« Les gens ont envie de faire un pied de nez à la pandémie en s’offrant une escapade. Nous sommes très contents d’accueillir les voyageurs et de leur procurer cette forme de défoulement », a dit M. Rainville avec le sourire, précisant que la période de Pâques en particulier avait été très forte.

M. Rainville dit s’attendre à un retour au niveau de 2019 à compter de 2024, mais n’écarte pas que ce retour puisse survenir dès 2023 si le phénomène se poursuit et qu’il s’accompagne d’une reprise des voyages d’affaires. Bien que l’aéroport de Dorval soit principalement un aéroport de tourisme, les voyages d’affaires représentent tout de même de 25 % à 30 % de l’achalandage et la reprise de ce côté demeure incertaine, selon M. Rainville.

REM : report de l’échéancier

La situation financière « très précaire » d’ADM a ainsi mené au report et à la révision de nombreux projets d’investissements et la station aéroportuaire du REM ne pourra pas être mise en service à la fin de 2024 comme il était initialement prévu. Un nouvel échéancier doit être présenté à l’automne.

Pas question, toutefois, de reculer, a affirmé Philippe Rainville : « La station REM Montréal-Trudeau, nous y tenions. Nous y tenions absolument. Un lien rapide et hors trafic avec l’aéroport international, c’est essentiel pour une métropole moderne. »

M. Rainville a cependant précisé qu’il avait dû rappeler à plusieurs reprises aux pouvoirs publics qu’il lui était impossible de construire la station de 600 millions sans aide financière. Les pouvoirs publics ont entendu cet appel et contribueront 500 millions sous forme de subventions (100 M$ du fédéral) et de prêts subordonnés (100 millions d’Investissement Québec et 300 millions de la Banque d’infrastructure du Canada).

De plus, le projet a dû être entièrement revu pour pouvoir respecter le budget tout en tenant compte de la forte poussée inflationniste. « Nous avons travaillé avec des architectes locaux et des ingénieurs de renom pour optimiser le design de la station au maximum afin de minimiser les risques du chantier et de contenir les coûts tout en léguant une architecture de qualité », a-t-il affirmé.

Mirabel sauvée par la pandémie

Fait à noter, les volumes de fret qui ont transité par l’autre composante d’ADM, l’aéroport de Mirabel, ont dépassé en 2021 ceux de 2019, après une légère baisse en 2020, une augmentation qui est directement attribuable au coronavirus.

« La pandémie aura été pour YMX (Mirabel) un moment pour consolider son rôle de plaque tournante du transport de marchandises, a avancé le PDG. YMX a notamment été le lieu de réception de nombreuses livraisons de vaccins et d’équipement médical. »

Cette reprise n’efface évidemment pas les résultats désastreux de 2020 et de 2021. M. Rainville a rappelé que l’aéroport international de Montréal avait été désigné comme l’un des quatre aéroports canadiens devant demeurer en opération pour les vols internationaux. Avec une baisse de près de 75 % du nombre de voyageurs en 2021 par rapport à 2019 et une obligation de maintenir l’ensemble des services, ADM s’est retrouvé avec « presque deux fois plus de dépenses que de revenus », a-t-il fait valoir.

« Même quand on arrête tout ce qu’on peut arrêter, on a encore tout près d’un demi-milliard de dépenses. On a même donné les 140 plantes qui étaient dans nos bureaux pour diminuer les coûts d’entretien ménager. Elles sont allées embellir une maison de soins palliatifs à Kirkland », a raconté Philippe Rainville.

Bénéfice en hausse de 423 %

Quant aux résultats financiers du premier trimestre de 2022, le bénéfice avant impôts, charges financières, amortissement, dépréciation et quote-part des résultats d’une coentreprise (BAIIA) s’est chiffré à 35 millions, soit une hausse de 45,8 millions ou 423 % par rapport à la perte de 10,8 millions pour la même période l’an dernier.

Les produits consolidés se sont élevés à 102,8 millions pour les trois premiers mois de 2022, en hausse de 63,7 millions ou 163,0 % par rapport à l’an dernier, une augmentation directement attribuable à la reprise du trafic de passagers. Les charges d’exploitation, elles, ont atteint 47 millions, une augmentation de 10,2 millions ou de 27,7 % par rapport au même trimestre de 2021 qui est principalement attribuable à la hausse des frais de service aux passagers, aussi engendrée par le retour des voyageurs.

Ginette Maillé, cheffe de la direction financière d’ADM, a par ailleurs expliqué qu’Ottawa n’avait pas reconduit, en 2021, le congé de loyer de 21 millions accordé de mars à décembre 2020, « ce qui fait qu’en cette deuxième année de crise, nous devrons remettre un montant de 25 millions à Transport Canada en paiement de loyer. Comme mesure d’allègement, le gouvernement a plutôt proposé qu’il lui soit payé en 10 versements égaux en 10 ans. »

La dette nette d’ADM au 31 mars 2022 était de 2,43 milliards, comparativement à 2,45 milliards au 31 décembre 2021.

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Air Canada has loading YUL-LIM resuming October 30th, 2022
1 weekly Oct. 30 - Nov. 27
2 weekly Dec. 4 - Mar. 22

AC86/87 Days 37 B789

Last time this route operated was before the pandemic and was originally scheduled to end with Bogota starting. Aircraft was a Rouge 767 3 weekly.

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@SameGuy As-tu vu ça ? :flushed:

Une simulation d’envergure à l’Aéroport Pierre-Elliott-Trudeau

TVA Nouvelles | Publié le 27 mai 2022 à 13:54

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Une simulation d’accident de grande envergure a eu lieu vendredi sur l’une des pistes de l’Aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal.

Cet exercice, qui visait à reproduire un accident d’aéronef, avait pour objectif de valider et d’améliorer les procédures d’urgence ainsi que de tester les outils de communication de l’aéroport.

Plusieurs organismes ont pris part à cet exercice, dont le SPVM, la SQ, le Service de sécurité incendie de Montréal et Urgences-santé. 300 comédiens ont également participé à cette activité.

https://www.tvanouvelles.ca/2022/05/27/une-simulation-denvergure-a-laeroport-pierre-elliott-trudeau

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