PVI - Les vols sans escales de Montréal vers Honolulu se feront avec des Boeing 787 Dreamliner (2 jours/semaine - Mercredi & Dimanche)
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Je n’ai pas eu la chance de travailler sur le B787, mais d’après un de mes amis PNC c’est le meilleur appareil d’AC pour le service à bord, autant pour le personnel navigant que pour le confort des passagers. Cette liaison évitera les désagréables correspondances à YYZ et YVR en gagnant du temps sur la durée totale du voyage. Ainsi le public voyageur montréalais sera mieux servi et cette destination pourrait devenir un intéressant compromis aux classiques vols du sud.
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Personnellement je n’ai jamais vraiment détesté les correspondances dans les aéroports Canadiens. YVR est un aéroport particulièrement bien conçu je trouve.
Pour ce qui est du 787, c’est définitivement un avion très spacieux, même pour les passagers. Air Canada les a très bien aménagé. J’ai beaucoup d’amis qui sont PNC chez AC et j’ai entendu les mêmes commentaires que vous!
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Parmi les avantages réels du 787 et de l’A350, il y a la pressurisation plus élevée (1800 m au lieu de 2500 m) et l’humidité supplémentaire. Après des dizaines de vols Transpac sur les 777, 747, A330 et A380, j’ai enfin pu faire la traversée sur les nouveaux appareils. À chaque fois maintenant, je suis nettement moins épuisé.
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Un excellent point qui s’applique aussi bien sûr au personnel navigant. Le 787 a aussi été conçu pour offrir des lignes internationales directes mieux adaptées pour un marché comme celui de YUL. C’est-à-dire offrir la possibilité pour davantage de vols directs avec un avion moins gros, mais tout aussi rentable en bout de ligne. Ce qui permet de multiplier les liaisons long courrier et internationales, ce que Montréal a toujours voulu, en se libérant des transferts via Toronto, tout en permettant un plus grand nombres de correspondances à YUL.
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« Peut-être pour une autre génération »
Contraint au régime minceur depuis le début de la pandémie de COVID-19 qui a grugé ses finances, l’exploitant de l’aéroport international Montréal-Trudeau repousse trois projets d’envergure, dont celui du lien avec la gare intermodale de VIA Rail située à Dorval.
Publié le 17 juin 2021 à 8h00 | JULIEN ARSENAULT | LA PRESSE
Même si des signes encourageants pointent à l’horizon, il faudra patienter jusqu’en 2026, voire 2028, avant de renouer avec un « retour à la normale » du trafic de passagers, a estimé le PDG d’Aéroports de Montréal (ADM), Philippe Rainville, mercredi, lors d’un évènement organisé par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.
Ainsi, le projet de réfection du débarcadère « côté ville » retourne à la planche à dessin et sera « beaucoup plus modeste », a-t-il dit. La construction d’une nouvelle aérogare est reportée d’au moins cinq ans et le projet de lien entre la station du Réseau express métropolitain (REM) et la gare ferroviaire de Dorval, 700 mètres plus loin, sera « peut-être pour une autre génération ».
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D’autres changements
Qualifié de « pont Champlain » par M. Rainville puisqu’il approche la fin de sa durée de vie utile, le débarcadère subira une cure de rajeunissement, mais la zone ne sera pas entièrement recouverte, contrairement au plan initial. « Nous allons inviter les passagers à se présenter avec un parapluie », a-t-il illustré.
En 2018, ADM avait annoncé un investissement de 2,5 milliards pour construire une nouvelle aérogare. Les travaux prévoyaient aussi la reconstruction du stationnement étagé et d’autres améliorations.
Afin de financer ses activités malgré la crise, ADM a récolté, en avril dernier, 400 millions par l’entremise d’une émission d’obligations. L’année 2020 s’est soldée par un déficit de 234 millions pour ADM, alors que le trafic de passagers à Montréal-Trudeau s’est contracté de 73 %, à 5,43 millions de passagers.
PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE | L’aéroport Montréal-Trudeau
En dépit d’une reprise qui s’annonce longue, M. Rainville a expliqué que les réservations suggèrent qu’en août, le trafic de passagers devrait atteindre au moins 36 % des niveaux observés en 2019 – le double de ce qui était anticipé.
Il a dit s’attendre à un automne « particulièrement chaud », puisque l’engouement pour les voyages semble être au rendez-vous. Le PDG d’ADM espère connaître le plan de réouverture des frontières du gouvernement Trudeau, puisqu’il faudra entre 30 et 60 jours pour recruter du personnel, dont les antécédents doivent faire l’objet de vérifications.
« Pour l’ensemble des services, tout ressemblera à la normale, a expliqué M. Rainville. Mais dans les restaurants, il faudra peut-être être patients pendant les deux ou trois premiers mois. Je ne vous dis pas d’apporter votre hamburger, mais soyez patients. »
Le PDG a assuré que tout « serait prêt à Noël ».
Triste que ce “nuage” ne verra pas le jour, et que le stationnement sera définitivement moins attrayant et grandiose que prévu…
Je ne suis pas une experte, lais je ne comprends pas pourquoi ADM n’attends pas de se refaire du cash avant de s’occuper du débarcadère? Ils peuvent se concentrer sur le REM pour un moment et en 5-6 ans refaire a neuf le débarcadère.
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C’est ce que je pense aussi; pourquoi ne pas attendre, au lieu de diluer? Si l’achalandage ne sera pas aussi grand qu’à l’époque pré-pandémie avant les 5-6 prochaines années, who cares si le débarcadère n’est pas updaté?
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L’état du débarcadère ne permet pas d’attendre. Quand la direction d’ADM dit à la Radio que c’est “le 2e pont Champlain”, c’est parce qu’elle fait référence à son état de dégradation avancé. En plus de ça, l’arrivée du REM force déjà la démolition des stationnements les plus proches du terminal, ce qui ne peut pas être repoussé. C’est très clairement le meilleur moment pour faire de la construction en plus, compte tenu de l’achalandage réduit. J’imagine aussi qu’une certaine partie du financement ou des réserves déjà obtenu impose des conditions de réalisation (mais ça j’avance ça de nulle part, c’est mon intuition).
J’imagine qu’il serait possible de conserver le projet actuel en grande partie et de le réaliser en phase? Le grand toit de verre peut attendre sans qu’on abandonne l’idée pour toujours, il me semble.
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Depuis le mois d’avril 2021, ADM a fait nettement mieux qu’à partir du mois d’avril 2020.
Mais il reste du chemin à faire avant de rejoindre l’achalandage prépandémie.
ADM annonce ses résultats financiers au 30 septembre 2021
NOUVELLES FOURNIES PAR | Aéroports de Montréal | Nov 02, 2021, 10:25 ET
MONTRÉAL, le 2 nov. 2021 /CNW Telbec/ - ADM Aéroports de Montréal a annoncé aujourd’hui ses résultats d’exploitation consolidés pour les neufs mois se terminant le 30 septembre 2021. Ces résultats sont accompagnés de données sur le trafic de passagers de YUL, l’aéroport international Montréal-Trudeau.
Faits saillants
Le nombre de passagers à YUL s’est établi à 1,9 million de passagers durant le troisième trimestre de 2021, ce qui représente une augmentation de 216,6 % comparativement à la même période en 2020 et une baisse de 68,0 % par rapport à 2019. Pour les neuf mois terminés le 30 septembre 2021, le trafic de passagers s’est établi à 2,8 millions de passagers, en baisse de 41,5 % par rapport à la période correspondante de 2020 et de 81,9 % par rapport à la période correspondante de 2019.
Le BAIIA (l’excédent des produits par rapport aux charges avant impôts, charges financières, amortissement, dépréciation et quote-part des résultats d’une coentreprise) s’est établi à
31,3 millions $ pour le trimestre clos le 30 septembre 2021, soit une amélioration de 42,5 millions $ ou 379,5 % comparativement au BAIIA négatif de 11,2 millions $ pour la période correspondante de 2020. Pour la période de neuf mois terminés le 30 septembre 2021, le BAIIA est de 19,8 millions $, en diminution de 16,5 millions $ ou 45,4 % par rapport à 2020.
Les investissements en capital d’ADM, réduits à l’essentiel, ont atteint 13,9 millions $ au cours du troisième trimestre de 2021 et 44,2 millions $ pour les neuf mois de 2021 (42,6 millions $ et
202,9 millions $ respectivement en 2020). Les investissements à YUL et à YMX ont été financés par la dette à long terme.
Trafic de passagers
Le nombre de passagers à YUL s’est établi à 1,9 millions passagers durant le troisième trimestre de 2021, ce qui représente une augmentation de 216,6 % comparativement à la même période en 2020. On constate une augmentation sur les trois secteurs Domestique, Transfrontalier et International de 170,2 %, 681,2 % et 215,5 %, respectivement.
Pour les neuf premiers mois de 2021, le trafic à YUL a totalisé 2,8 millions passagers, une diminution de 41,5 % par rapport à 2020. Le trafic international a connu une baisse de 55,1 %, le transfrontalier (États-Unis) a observé une décroissance de 59,2 %, tandis que le domestique a décru de 14,9 % par rapport à l’année 2020.
Comparé à 2019, le troisième trimestre enregistre une baisse de 68,0 %, et pour les premiers neuf mois de l’année une baisse de 81,9 % a été observée.
Trafic de passagers total
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Pivot Airlines va offrir des vols entre Kitchener-Waterloo et Montréal dès février. Les vols coûteront environ 180$
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YUL Aéroport International Montréal-Trudeau
Une première! 
Deux avions A350 se sont posés à YUL hier matin, après avoir accompli le tout premier voyage transatlantique de vol en formation dans le cadre d’un projet mené par Airbus intitulé « fello’fly ». Les deux appareils ont fait le voyage de Toulouse à Montréal en volant à trois kilomètres l’un de l’autre, de manière à réduire la consommation de carburant du deuxième appareil. Plus de six tonnes d’émissions de CO2 ont été économisées au cours du voyage, ce qui confirme un potentiel d’économie de carburant de plus de 5 % sur les vols long-courriers.
Les deux avions vont quitter YUL pour retourner à Toulouse aujourd’hui, aux alentours de midi. 
Pour en lire plus : https://bit.ly/2YwiQae
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) snaps today…
6 tonnes pour 5% d’économie?? 
Donc, un voyage Toulouse-Montréal génère habituellement 120 tonnes de CO2???
Coup donc, il rentre combien de tonnes de fuel dans un avion?
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Si je ne me trompe pas, dans un 777, c’est quelque chose comme 110 000L
Travailles-tu sur le tablier? Tu as pris de belles photos… de près!!!