Immobilier commercial - Actualités

Le bâtiment était déjà à vendre avant la pandémie comme en témoigne ce article de journal publié le 5 janvier 2020.

https://www.journaldemontreal.com/2020/01/05/que-deviendra-le-thursdays

Portrait de l’homme d’affaire:

https://plus.lapresse.ca/screens/de46caca-a29b-4129-876b-8290a56d1161__7C___0.html

Les taxes sont élevées étant donné que le terrain a une valeur élevée, mais le zonage empêche de construire en hauteur !

L’importance du commercial.

Je n’ai aucune nouvelle commerciale à partager mais je tenais simplement à faire part de mes impressions suite à mes balades à pied et en voitures dans certains endroits de la ville. De plus en plus je prends conscience de l’importance de l’offre commerciale, surtout de l’offre des petits commerces indépendants qui, selon moi, joue un rôle primordial dans le succès d’un quartier ou même d’une ville.

La copine qui est ici depuis 10 ans adore marcher ou déambuler en voiture dans les rues de Montréal, mais pas n’importe lesquelles. Elle préfère, et de loin, les rues commerciales. Elle habite au Centre-ville et connait bien Sherbrooke, Ste-Catherine et le quartier de Guy-Concordia. L’ensemble du Plateau et du Mile End est, bien sûr, très apprécié de sa part, de même que le Vieux-Montréal qu’elle aime faire visiter à sa famille ou ses amis d’outre-mer lorsqu’il sont en ville.

En fin de semaine je lui ai fait découvrir la rue Ontario (portion Ste-Marie à pied et ensuite Hochelaga en voiture). Elle a vraiment aimé. Cela lui faisait penser aux quartiers populaires de Londres qui sont souvent très diversifiés, avec une architecture modeste abritant une population bigarrée et où l’on trouve une belle énergie de taille humaine. Et le plus important de tout est (et j’insiste), une foule de petits commerces indépendants et originales partout. J’ai moi-même été agréablement surpris par ce côté négligé et un peu bohème du quartier qui tire admirablement son épingle du jeu.

Étant moi aussi très urbain et très attiré par la faune urbaine et l’offre commercial, combinant l’intérêt à la fois de Paris et de New York, je réalise de plus en plus l’importance des rues commerciales, encore plus en période pandémique. Ces rues sont non seulement utiles pour les besoins essentiels mais elles offrent aussi ce côté divertissant que seule une grande ville peu apportée. Et j’appuie sur le mot divertissant car c’est probablement le divertissement numéro un d’une grande ville, soit la simple promenade devant une multitude de commerces tout en croisant des tonnes de personnes qui font, ni plus ni moins, la même chose que nous, soit du lèche-vitrine.

Je vais donc à contre-courant en demandant une politique qui favorise les commerces, préférablement ceux de petites tailles si possibles, afin de promouvoir l’identité montréalaise (et pourquoi pas québécoise) mais surtout d’assumer le coté urbain de la ville au lieu de vouloir essayer de mimer la banlieue ou de prétendre offrir la campagne en ville.

Il est donc impératif de développer les rues commerciales pour rendre la ville plus agréable. Je parle ici des rues Papineau, Ste-Catherine est, De Maisonneuve et autres rues pouvant absorber du commercial. Bien sûr, cela ne va pas sans une augmentation de la densité de la population et de la baisse de la taxe commerciale.

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Je suis parfaitement d’accord avec vous!
Les commerces sont essentiels à la qualité et l’esprit de la ville.
Ils génèrent une activité et une animation très préciseuse.

D’ailleurs, c’est ce que plusieurs défenseurs de la densité à tout prix n’ont pas compris. La densité de vaut rien sans intensité. Et l’intensité vient principalement avec les commerces. On voit plusieurs nouveaux quartiers à Repentigny, Blainville et autres banlieues dortoirs, très très denses, mais éparpillés dans des stationnements, sans commerces, sans hiérarchie des espaces publics… c’est voué à l’échec.

Je me questionne sur votre phrase:

Qu’est-ce que vous voulez dire par «à contre-courant»? C’est précisément ce qui est visé dans les quartiers centraux. Mais le municipal seul ne pourra pas y arriver.

Pour ce qui est de l’ajout de rues commerciales, il faut faire attention. C’est un équilibre difficile à atteindre, qu’il ne faut surtout pas forcer. Saint-Denis entre Roy et Mont-Royal est un bon exemple de rue qui n’était pas à vocation commerciale. On l’a forcé, l’effet de mode en a fait un succès pendant quelques temps, mais on tente de la faire revivre depuis… ceci dit, elle fonctionne étrangement très bien depuis peu, surtout avec l’implantation du REV, mais faudra voir combien de temps ça dure.

Même avec une certaine densité, même avec une baisse des taxes, il y a une limite aux besoins des gens. La rue Sainte-Catherine entre Guy et Papineau est la plus longue rue commerciale continue au monde. C’est déjà beaucoup pour une ville de taille moyenne. Sans compter le ratio restaurant/habitant qui est parmi les plus élevés au monde.

La rue Papineau permettait jusqu’à récemment le commercial au rez-de-chaussée, mais avec le manque d’intérêt et la crise du logement actuel, la tendance est plutôt à réduire le nombre de commerces sur cette rue, qui serait de toute manière difficile à rendre agréable.

Bref, avant de penser développer des rues commerciales dans des secteurs qui en ont déjà plusieurs, il faudrait consolider les rues commerciales en difficultés dans des secteurs qui n’en ont pas. Vous parlez d’Ontario, c’est un bon exemple de rue qui a fait un grand progrès au cours des dernières années. Il y a aussi Wellington, Masson, Fleury. Monk commence à avoir de nombreux commerces intéressants. Les prochaines devraient être Charleroi à Montréal-Nord, Hochelaga dans Tétreaultville, Jean-Talon dans Anjou, Notre-Dame dans Lachine, Centre à Pointe-St-Charles, et potentiellement Sainte-Catherine E comme vous proposez… Bref, des rues qui ont déjà une vocation commerciale, qui sont des coeurs de quartier, mais qui ont besoin d’un peu d’aide. Et cette aide, le municipal seul ne peut pas l’offrir.

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J’aime bien la phrase : ‘‘La densité ne vaut rien sans intensité. Et l’intensité vient principalement avec les commerces’’. Je crois que je vais vous l’emprunter de temps en temps car elle définie bien ce qu’apporte une rue commerciale vivante avec une belle énergie.

Je suis tout à fait d’accord qu’il soit impératif de consolider les rues commerciales actuelles avant d’en créer d’autres. Beaucoup de rues ont besoin d’un coup de pouce non seulement pour passer au travers de la pandémie mais aussi pour compétitionner avec le commerce en ligne, les centre commerciaux et les changements d’habitudes.

La nomenclature des rues mentionnés me fait réaliser qu’il y a un potentiel énorme de rues commerciales à développer et/ou à améliorer afin de rendre l’expérience plus agréable pour les touristes urbain que nous sommes ou même pour le citoyen qui recherche une qualité de vie de quartier. J’aime bien qu’on me rappelle que Notre-Dame à Lachine, Hochelaga, Charleroi, Monk, Centre et Jean-Talon dans Anjou/Saint-Léonard sont des rues à vocation commerciale et qu’elles ont un potentiel plus qu’intéressant.

Lorsque je dis que je vais à contre-courant, c’est que depuis quelques années, les administrations successives ont mis beaucoup d’argent et d’énergie sur le développement des pistes cyclables, le verdissement et la plantation d’arbres et les travaux d’infrastructures, entre autre, alors que je crois qu’il est désormais temps de prioriser les rues commerciales et les petits commerçants, c’est à leur tour de bénéficier d’un peu d’attention soutenue.

Ce sont des sujets qui font beaucoup parler, entre autres parce qu’ils génèrent (étrangement) des clics et des opinions de Gatineau à Gaspé, mais ça ne veut pas dire que le reste est mis de côté. Au contraire.

En 2020 c’est tenue une très grosse commission sur la « Problématique des locaux vacants sur les artères commerciales à Montréal ». S’en est suivi de nombreuses recommandations très concrètes, dont plusieurs ont déjà été mises en oeuvre.

http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=6877,143367936&_dad=portal&_schema=PORTAL

Pas plus tard qu’hier, Projet Montréal a voté une déclaration demandant au gouvernement du Québec d’agir sur certains points pour aider les petits commerces, des points sur lesquels le municipal n’a pas de pouvoir. Évidemment, l’ensemble de l’équipe de Denis Coderre a voté contre, puisque l’économie locale et les commerces de proximités ne les intéressent pas tellement, mais la déclaration a quand même passé grâce aux élus indépendants qui se sont rangés derrière Projet Montréal.

Aussi, encore en 2021, les taxes pour les petits immeubles non résidentiels ont été réduites pour diminuer le fardeau des petits commerces. « Grâce aux actions menées depuis 3 ans par la Ville, deux tiers des propriétaires d’immeubles non résidentiels vont bénéficier d’un allégement de 16 % de leurs charges fiscales totales. »

Bref, il reste encore beaucoup de travail à faire, mais on semble être dans la bonne direction. Reste à voir le résultat des prochaines élections, il se pourrait qu’on fasse un bon en arrière dans la santé de nos artères commerciales.

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Centres commerciaux Partie de Monopoly entre géants de l’immobilier


YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL | Le centre Fairview Pointe-Claire

La Caisse de dépôt et Cadillac Fairview s’échangent le centre Fairview Pointe-Claire et les Galeries d’Anjou, a appris La Presse

Publié le 29 avril 2021 à 6h00 | ANDRÉ DUBUC | LA PRESSE

Deux grands propriétaires fonciers vont s’échanger deux des plus importants centres commerciaux de la région montréalaise, a appris La Presse. La transaction faciliterait l’expropriation nécessaire à la construction du nouveau terminal de la ligne bleue aux Galeries d’Anjou.

Ivanhoé Cambridge, bras immobilier de la Caisse de dépôt et placement du Québec, va devenir le seul propriétaire des Galeries d’Anjou, tandis que Cadillac Fairview, division de la caisse de retraite des enseignants de l’Ontario (Teachers’), récupérera la totalité du centre Fairview Pointe-Claire et les terrains voisins, dans l’Ouest-de-l’Île.

Actuellement, les Galeries d’Anjou et Fairview Pointe-Claire sont détenus conjointement par Ivanhoé Cambridge et Cadillac Fairview, à 50 % chacun. C’est Cadillac Fairview qui gère les deux propriétés.

Selon nos informations, les parties se sont entendues sur la conclusion de la transaction. Elles n’attendaient plus que l’aval du Bureau de la concurrence ; ce serait maintenant chose faite.


PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL |
Les Galeries d’Anjou

L’échange s’accompagne d’une somme d’argent pour Ivanhoé Cambridge, selon nos informations.

Ivanhoé Cambridge, nous a-t-on dit, n’a pas de commentaire à formuler à ce stade parce que la transaction n’est pas finalisée.

« Nous pouvons confirmer que nous travaillons sur une entente avec Ivanhoé Cambridge concernant deux actifs à Montréal, mais pour le moment, nous ne sommes pas en mesure de fournir plus de détails », a fait savoir par courriel Wendie Godbout, vice-présidente de North Strategic et de MSL Canada, au nom de Cadillac Fairview.

Discorde entre les partenaires

« Les discussions étaient tendues entre les deux partenaires aux Galeries d’Anjou, dit Luis Miranda, maire de l’arrondissement d’Anjou. Chez Ivanhoé, ils n’étaient pas d’accord avec la façon dont les Galeries d’Anjou menaient le dossier dans le projet de la ligne bleue. C’était l’impression que j’en avais. » L’élu voit d’un bon œil le fait que la Caisse de dépôt devienne l’interlocuteur unique dans le dossier.

La mauvaise relation entre Cadillac Fairview et la Société de transport de Montréal (STM) agaçait Ivanhoé Cambridge et a été l’un des déclencheurs de la transaction, a-t-on effectivement pu apprendre.

Ivanhoé Cambridge croit être en mesure de négocier avec la STM une entente qui limitera le besoin d’expulser des locataires tout en étant bénéfique aux deux parties.

Destination de magasinage dans l’est de Montréal, les Galeries d’Anjou doivent accueillir le terminus de la ligne bleue du métro. La STM a le dessein d’exproprier jusqu’au quart (70 000 mètres carrés) de la propriété pour y construire la station et un stationnement incitatif de 1200 cases. En réaction, Cadillac Fairview s’est adressé aux tribunaux. De plus, le promoteur a présenté l’été dernier l’ébauche d’un projet de densification de sa propriété de 2,5 milliards de dollars.

Face à la flambée des coûts – la facture du prolongement du métro atteint maintenant 6 milliards, selon des rapports –, la Ville de Montréal a mis sur pied un comité pour étudier l’abandon de coûteuses infrastructures comme le stationnement incitatif.

Futur « centre-ville de l’Ouest-de-l’Île »

À Pointe-Claire, Cadillac Fairview est en discussion avec les autorités municipales pour faire accepter sa vision d’un « centre-ville de l’Ouest-de-l’Île ». En plus du centre Fairview Pointe-Claire, la société possède avec Ivanhoé Cambridge des participations dans le terrain voisin de plus de 200 000 mètres carrés qui a longtemps appartenu au cégep John-Abbott. Le projet inclut la construction d’une résidence pour personnes âgées, de tours d’habitation et d’un hôtel, pour combler un manque dans le secteur. Il est aussi question d’espaces publics, de bureaux, de parcs.

La Ville de Pointe-Claire n’a pas donné suite à notre demande d’informations.

Selon Danielle Pilette, professeure de l’Université du Québec à Montréal qui suit les dossiers métropolitains, la Caisse joue la carte de la prudence. « Dans l’Ouest-de-l’Île, ce ne sont pas des fervents de la Caisse de dépôt. Déjà, le REM n’est pas beau, bien que les gens soient contents d’être desservis par le REM. Il gâche leur paysage. Selon moi, la Caisse ne tient pas à soulever plus d’opposition avec le lotissement controversé d’un ancien boisé. »

Jean-Philippe Meloche, professeur agrégé à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal, estime de son côté que la Caisse fait plaisir à toutes les parties avec cette transaction.

« La Caisse se sent en conflit d’intérêts avec les développements immobiliers d’Ivanhoé à proximité des gares de son REM, dit l’universitaire. Se retirer complètement du projet “centre-ville Pointe-Claire”, ça fait partie de sa vision éthique. En même temps, ça lui donne l’occasion de demander à Cadillac Fairview de sortir d’Anjou où elle importune le ministère des Transports. »

« J’ai l’impression que la Caisse rend service à tout le monde », indique M. Meloche.

Dans les derniers mois, Ivanhoé Cambridge a clairement annoncé son intention de réduire son exposition aux centres commerciaux du Canada. La semaine dernière, le Groupe Mach a confié qu’il discutait de l’achat de deux de ses propriétés : Laurier Québec et Place Ste-Foy.

Les Saputo vont finalement acquérir le 1000, De La Gauchetière: Immobilier commercial | Les Saputo vont finalement acquérir le 1000, De La Gauchetière | La Presse

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Le CN restera à Montréal même s’il achète KCS

PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

Le siège social du CN, à Montréal.

Un nom qui demeurera le même et un siège social qui continuera d’avoir pignon sur rue au centre-ville de Montréal : c’est ce qu’assure le président-directeur général de la Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada (CN) si l’acquisition de l’Américaine Kansas City Southern (KCS) se concrétise.

Publié le 26 mai 2021 à 12h12 Mis à jour à 13h32

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Julien Arsenault Julien Arsenault
La Presse

Jean-Jacques Ruest a été interrogé sur ces facettes de la transaction alors qu’il participait à une conférence destinée aux investisseurs, mercredi, avec le président et chef de la direction du transporteur ferroviaire américain Patrick Ottensmeyer.

Il s’agissait de la première sortie conjointe des deux dirigeants depuis vendredi dernier, lorsque KCS a officiellement retenu la proposition du CN qui lui confère une valeur de 33,7 milliards US au profit de l’offre de 25,2 milliards US préalablement annoncée avec le Canadien Pacifique (CP) – l’autre grand chemin de fer au Canada.

« Le nom de la compagnie sera (la Compagnie des chemins de fer nationaux) et Montréal sera le siège social global de l’entreprise, a dit M. Ruest, lorsqu’interrogé. Comme nous l’avons mentionné, Kansas City accueillera le siège social de nos activités américaines. »

Dans l’espoir d’apaiser les craintes des autorités réglementaires américaines, le CN s’est également engagé à se départir d’un tronçon d’environ 113 kilomètres exploité par KCS entre La Nouvelle-Orléans et Baton Rouge. Il s’agit d’un endroit où les réseaux des deux transporteurs se chevauchent.

Cette promesse fait partie de la requête déposée conjointement par le CN et KCS auprès du Surface Transportation Board (STB), le responsable des fusions de chemin de fer aux États-Unis, afin d’obtenir la permission afin de mettre sur pied une fiducie avec droit de vote qui serait utilisée pour conclure l’accord.

La fiducie détiendrait les actions de KCS pendant l’examen de la transaction. Cela permettrait aux actionnaires du chemin de fer américain de recevoir un paiement de contrepartie complet sans avoir à attendre l’approbation du STB, qui pourrait s’échelonner jusqu’à la fin de 2022.

La transaction permettrait au CN d’être le premier transporteur ferroviaire nord-américain à exploiter un réseau reliant le Canada, les États-Unis et le Mexique.

« Nous croyons que notre engagement […] devrait amener le STB à approuver notre fiducie avec droit de vote », a souligné le président du transporteur ferroviaire montréalais.

MM. Ruest et Ottensmeyer n’ont pas voulu s’avancer sur leurs plans si le STB refusait leur demande entourant la fiducie avec droit de vote. Le CP s’est déjà montré convaincu que les autorités réglementaires américaines vont s’opposer à la prise de contrôle de KCS par le CN. Si ce scénario se concrétise, l’entreprise de Calgary souhaiterait négocier de nouveau avec KCS.

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Rénovation édicules d’entrées des Promenades Cathédrale en vue.

Registre des lobbyistes

Nom
BentallGreenOak

Adresse
1 York Street, suite 1100
Toronto (Ontario) M5J 0B6

Précisions
Le mandat consiste à approuver la rénovation des édicules d’entrées du centre commercial Promenades Cathédrale situé sur le lot PC-03194. Les édicules fait partie de la propriété située au 600 de Maisonneuve et 625 Sainte-Catherine, qui est composé de la tour de bureau KPMG, le centre commercial Promenades Cathédrale et la Cathédrale Christ Church. Selon le règlement d’urbanisme 01-282, les édicules sont situés dans la zone 0292, et le centre commercial est assujetti au PPCMOI CA14 240510 (2014). Les usages autorisés sont culturels (E.5) et mixtes commercial-habitation (M.9). Notre mandat consiste à une demande de Projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) afin de remplacer les édicules existants et de les reconstruire avec une hauteur supérieure, mais toujours moindre que le règlement 01-282 requise (5.2 m vs 14 m minimum). Nous travaillons avec l’arrondissement également pour le concept d’affichage intégré aux édicules et des modifications aux normes d’affichage afin de prendre en considération la situation hors normes d’un centre commercial sans présence sur une rue. Les modifications demandées seront déterminées en collaboration avec l’arrondissement.

Période couverte : 2021-05-14 au 2021-12-31

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Bonjour ! Je n’ai jamais créé de nouvelle page sur ce site et comme je n’ai vraiment que peu d’informations alors je place ça ici.
Démolition complétée au coin sud-est des rues Sherbrooke et Marlowe dans Notre-Dame-de-Grâce.
Y a-t-il un projet en vue ? Merci !
image par Sylvain Poirier-Ménard.

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Je crois que le Bloc Café va prendre le local voisin au sud, en y passant hier, j’ai vue plein de structures en angles pour des futurs murs d’escalades. Un local de moins de vacant sur St-Laurent

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Super, le boulevard Saint-Laurent entre Sherbrooke et René-Lévesque a besoin de ce dynamisme.

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Oui, c’est effectivement une bonne nouvelle mais j’aimerais bien que le Café-Bloc rende sa façade un peu plus attrayante car pour l’Instant c’est un peu stérile voir fade. Sur Saint-Laurent, surtout dans le QDS, il ne faut pas avoir peur de s’afficher et d’en mettre plein la vue, quitte à être un peu kitsch !

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Ouverture prochaine d’un nouveau Starbucks dans le Village (je ne sais pas si c’est un déménagement) mais si ça peut apporter un autre type de traffic en avant de la Place Dupuis, ça va être apprécié

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Les nouvelles statistiques du marché du bureau de CBRE pour Montréal:

Des espaces continuent de se libérer au centre-ville et dans les banlieues, mais à un rythme de moins en moins rapide. La situation des derniers mois est intéressante, au moment où de plus en plus de compagnies prennent des décisions sur les modalités de retour au travail.

EDIT: lien vers l’étude trimestrielle:
https://www.cbre.ca/en/research-and-reports/Canada-Office-and-Industrial-Quarter-Stats-Q2-2021

Coup de sonde KPMG:
https://home.kpmg/ca/fr/home/insights/2021/03/ceo-outlook-pulse-survey.html

On apprend que 48% des employeurs au pays vont continuer une flexibilité de télétravail 2-3 jours semaine, mais le pourcentage de compagnies pensant diminuer leur espace physique a fondu drastiquement par rapport à l’an passé: seulement 24% par rapport à 60% en 2020.

J’imagine que plusieurs compagnies ont continué à embaucher, le télétravail mitige le besoin de nouveaux espaces sans chercher à les réduire, et on peut espérer une fin de la tendance à augmenter la densité d’employés dans les bureaux.

Intéressant aussi de voir que les changements climatiques sont la principale crainte de frein à la croissance. On prend peut-être enfin la lutte à la crise climatique comme autre chose qu’une dépense, mais comme un risque concret à notre style de vie.

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Le centre-ville de Montréal reste sous respirateur

Le taux d’inoccupation des bureaux est passé de 11,5 % à 14,2 % en un an, selon une nouvelle étude.


La situation reste fragile au centre-ville de Montréal, alors qu’une bonne proportion des travailleurs continuent à fonctionner en télétravail.
PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS

Radio-Canada
14 h 56 | Mis à jour à 15 h 08

Le taux d’inoccupation des bureaux au centre-ville de Montréal a continué d’augmenter cet été, selon une nouvelle étude sur l’état du centre-ville présentée aujourd’hui. Si les entreprises sont loin de déserter le quartier des affaires, elles préparent des formules hybrides, où l’espace nécessaire aux employés sera moins important.

L’état du centre-ville dévoile une situation complexe et dynamique où s’entremêlent espoirs et inquiétudes, résume d’entrée de jeu le rapport conjoint de l’Institut du développement urbain du Québec et de Montréal centre-ville.

Le document dévoilé aujourd’hui pointe du doigt la quatrième vague associée au variant Delta qui est venue prolonger l’incertitude.

Le rétablissement d’un niveau d’activité générale semblable à celui d’avant la pandémie demeure hors de vue.

— Une citation de : Extrait du rapport sur l’état du centre-ville de Montréal

Au troisième trimestre de 2021, le taux d’inoccupation des immeubles à bureaux a été de 14,2 % (contre 11,5 % à la même période en 2020). C’est dans la catégorie des immeubles de classe B, qui représentent 35 % de l’offre, que la hausse est la plus importante (+5,1 points de pourcentage).

Pour les immeubles de classe A, qui totalisent 60 % de l’offre, le taux d’inoccupation (10,9 %) est égal à celui du troisième trimestre de 2018.

Des bureaux plus petits de 46 %

Afin d’en apprendre plus, des entrevues ont été réalisées avec des courtiers immobiliers et 47 ententes ont été analysées. Parmi ces ententes, 15 % concernaient une relocalisation en dehors du centre-ville, tandis que 38 % provenaient d’entreprises décidant au contraire de s’y installer.


Plusieurs entreprises choisissent de relocaliser leurs activités dans un immeuble de qualité supérieure.
PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-CLAUDE TALIANA

Pour la majorité (46 %), on parle d’une relocalisation, mais toujours à l’intérieur du quartier des affaires. Le rapport mentionne que dans 54 % de ces relocalisations, le projet a consisté à s’installer dans un édifice de qualité supérieure.

On peut présumer que beaucoup d’organisations ont fait le choix suivant : moins de pieds carrés [-46 % en moyenne], mais plus de confort et de services.

— Une citation de : Extrait du rapport sur l’état du centre-ville de Montréal

Signe que les entreprises demeurent prudentes, la majorité des renouvellements de baux se font pour des périodes courtes de deux à cinq ans, alors que les entreprises ont généralement pour coutume de signer des baux à long terme pour assurer une prévisibilité de leurs frais fixes.

Les travailleurs ne commencent d’ailleurs que très graduellement à réinvestir le quartier des affaires – et les galeries marchandes qu’ils contribuent à faire vivre.

Le nombre de travailleurs n’effectuant aucun télétravail est passé de 20 % à 23 %, selon un sondage web réalisé début septembre auprès de 1000 personnes.

Ceux se déclarant totalement en télétravail sont passés de 52 % au début de 2021 à 47 % actuellement. Et ces derniers ne sont pas pressés de troquer leurs pantoufles pour un veston cravate. En effet, 21 % des répondants ont mentionné qu’ils aimeraient continuer à travailler de la maison au moins la moitié de la semaine et 50 % la plupart du temps.

Pour les convaincre, l’horaire hybride sera vraisemblablement au menu (dans 63 % des entreprises répondantes), et la preuve vaccinale serait demandée dans 37 % de celles-ci. Le sondage a toutefois eu lieu avant les déclarations de Québec et Ottawa sur la vaccination obligatoire de certaines catégories de leurs employés.

Dans le rouge malgré l’embellie

Sur le front commercial, ce nouveau délai vers un retour à la normale fait mal. Notamment dans les galeries marchandes, où 34 % des commerces sont actuellement fermés, soit presque le double par rapport à la même période en 2020.


Les galeries marchandes souffrent de la pandémie en raison du manque de clients.
PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS

Sur la rue Sainte-Catherine, 20 % des commerces sont inopérants contre 13 % avant la pandémie. En revanche, le retour de la population étudiante [114 267 inscriptions] et des touristes [45 % de taux d’occupation des hôtels] a été une injection de vitalité, note le rapport.

La principale bonne nouvelle est venue du côté résidentiel, où les mises en chantier ont augmenté de 60 % en un an dans l’arrondissement Ville-Marie, que ce soit du côté des copropriétés (+65 %) ou des logements locatifs (+53 %).

Quand on regarde la répartition des mises en chantier dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, on voit alors que c’est le centre-ville qui a enregistré la plus forte progression des mises en chantier (+ 2 points), souligne l’étude.

Un enjeu en vue des élections

Afin de consolider le centre-ville qui connaissait une certaine vitalité avant la pandémie, Projet Montréal propose sept chantiers, dont l’agrandissement du Palais des congrès, le stationnement gratuit pour le magasinage des Fêtes, plus de verdissement et la transformation de bureaux en logements.

Ensemble Montréal, le parti de Denis Coderre, promet que 50 000 logements seront construits en quatre ans s’il revient au pouvoir, le 7 novembre. L’ancien maire de Montréal veut notamment développer deux quartiers autour de la Cité-du-Havre et de l’ancienne gare d’autocars, rue Berri, développer une stratégie d’embellissement des façades au centre-ville et revoir la stratégie de tarification du stationnement.

Dans son programme, le parti Mouvement Montréal de Balarama Holness indique vouloir « créer un centre des affaires qui répondrait aux besoins des petites et moyennes entreprises ». Cela passerait notamment par la « réduction du délai requis pour examiner les demandes de développement et la rationalisation du processus de demande de permis pour opérer un commerce ou une terrasse ».

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MACH achète une partie importante du portefeuille de Cominar

https://www.groupemach.com/actualites/1090-transaction-immobiliere-historique-.html