Projet résidentiel comprenant 67 logements et qui intègre les maisons historiques de la rue Young.
Information
Ancien nom: LAB3
Emplacement: Le terrain de l’ancienne Maison Benoît Labre, située au 300-312 de la rue Young, entre les rues Ottawa et William (Lots : 1 853 449, 1 853 451 et 1 853 445)
Hauteur: 25 mètres, 9 étages
Architecte: ADHOC
Promoteur: Omnia
Site Web du projet : https://300young.ca/
Dates importantes:
2019-11-06 au 2021-06-30: Période couverte par le mandat du lobbyiste:
Le projet ferait l’objet de l’application d’une contribution monétaire visant le respect de la politique locale d’inclusion de logements sociaux et de logements abordables (Métropole mixte)
Période couverte par le mandat : du 2019-11-06 au 2021-06-30
Renseignements utiles :
Démarches auprès de titulaires de charges publiques en vue d’obtenir des dérogations par diverses résolutions du Conseil d’arrondissement Le Sud-Ouest pour l’approbation d’un projet particulier de développement visant la construction d’un édifice à vocation résidentielle sur le terrain de l’ancienne Maison Benoît Labre, située au 300 de la rue Young, entre les rues Ottawa et William; le tout en vertu du règlement RCA04 22003: Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble. Les dérogations visent à permettre l’érection d’un édifice résidentiel (en locatif) dont la hauteur serait de 25 mètres (la hauteur au zonage (Règlement 01-280) actuellement autorisé est de 16 mètres). Le projet ferait l’objet de l’application d’une contribution monétaire visant le respect de la politique locale d’inclusion de logements sociaux et de logements abordables conformément à la politique locale de l’Arrondissement. L’obtention des dérogations permettrait le dépôt par la suite d’une demande de permis de construction. En vertu du plan d’urbanisme en vigueur, il est possible d’obtenir une dérogation par une démarche de demande de projet particulier. Cette démarche n’est donc pas une démarche visant une modification au zonage.
Développement d’un projet immobilier distinctif en dialogue avec l’édifice d’origine. Situé près du centre-ville, en plein cœur du quartier Griffintown et à deux pas de l’ETS, le LAB 3 est une adresse incontournable.
Montréal, QC | Griffintown | En développement, 2021
Malheureusement, ils sont juste catégorisés comme « bâtiment d’intérêt patrimonial ». L’arrondissement va demander une garantie et si le promoteur ne respecte pas, le chèque sera encaissé. C’était le cas avec la maison Keagan, l’arrondissement a encaissé le chèque de 100 000$ quand le promoteur n’a pas respecté les termes.
Je viens de voir les rendus du projet; les maisons seront préservées!
La firme d’architecture a été remplacée en cours de route pour produire un projet de meilleure qualité architecturale et pour satisfaire aux exigences de l’arrondissement.
Je ne peux pas en dire plus; la présentation était confidentielle.
Le projet devrait passer en première lecture bientôt au conseil d’arrondissement et il suivra le processus normal de PIIA et PPCMOI.
Ce sont des logements pour étudiants sur 9 étages, pour ça qu’il a 0 stationnement intérieur.
Les vieilles maisons serviront d’espaces communs et pour le café qui sera accessible au public
La première demande de PPCMOI a été déposée en hiver 2018-2019… et une nouvelle demande en mars 2020 après le changement d’architecte. Il y a eu un révision en juin 2020 pour obtenir l’avis favorable du CCU
Puisque c’est maintenant publié dans l’ordre du jour du CA, voici le rendu qu’on m’a présenté la semaine dernière
Il paraît qu’il y avait encore plus de verdure dans un rendu intermédiaire! Un des membres du CCU, qui est un expert dans le domaine, avait soulevé le « irréalisme » du rendu au Québec. Donc, les architectes en ont enlevé un peu
Un peu de vert pour compenser les tons sombres qui prédominent un peu partout ne m’apparaît comme une idée. Un peu comme les toits verts sont relativement populaires en Norvège, on adapte cette vision à un immeuble étagés et franchement, j’aime l’originalité!
Montréal a déjà porté le surnom de ‘‘ville blanche’’ en raison de la réflexion du soleil sur les toitures en majorité recouvertes de tôle argentée. C’était au 18e siècle, début 19e.