Maison Benoit Labre - 4 étages

La Maison Benoit Labre a des équipes de propreté formées d’utilisateurs de leurs services
Ces équipes sillonnent les rues commerciales de Saint-Henri, Petite-Bourgogne et Griffintown depuis ce printemps pour ramasser les déchets.
Ça fait partie d’un de leurs programmes de réinsertion.

Quand le site va ouvrir, il y aura une attention particulière pour ramasser les seringues et autres…

Dans l’article de La Presse partagé plus haut

L’organisme développe deux projets pour tenter de favoriser la cohabitation. Pendant la période scolaire, un intervenant patrouillera dans les corridors scolaires pour prévenir les accrochages.

Un deuxième projet, appelé « brigade de la propreté », permettra de nettoyer les environs avant le début des classes. Chaque jour, quatre résidants de l’organisme accompagnés d’un intervenant feront le tour des environs pour enlever les « irritants » – comme des cannettes ou des seringues, explique Mme Désilets.

« Quand tu participes de façon positive dans ta communauté, et que l’autre se laisse traîner, ça se peut que tu lui dises : “Hé, on vient de nettoyer ici !” », remarque Mme Désilets. « Les gens de la rue s’autorégulent », renchérit M. Giroux.

Aussi, l’organisme Benoit Labre existe depuis plusieurs dizaines d’années. Il était sur dans les maisons historiques de la rue Young avant et a probablement fait un bon profit en revendant les maisons et le terrain à Omnia pour leur projet de résidences étudiantes

Actuellement, l’organisme opère dans le sous-sol d’une église en face du parc Sir-George-Étienne-Cartier.

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