Discussion et actualités sur le service de vélopartage àVélo de la Ville de Québec
Dans les médias :
Ça ressemble à un des modèles que Bixi avait essayé dans son projet pilote il y a deux ans
Pas celui de PBSC comme les Bixi bleus,
mais celui-ci de Lyft (sans la batterie) qui était compatible avec les stations de Bixi
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41 nouvelles stations et 520 nouveaux vélos pour le service de vélopartage à Québec
Aussi, 50% des stations sont électrifiées pour recharger les vélos sur place. Donc, des stations permanentes!
Il y a de la pression pour offrir le service toute l’année. Comme la flotte est à 100% électrique, la performance des batteries pourrait être un frein. Ce sont les mêmes vélos que Bixi, des E-Fit de PBSC fabriqués par Devinci
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Québec veut déployer le service àVélo à l’année et étendre le service partout d’ici 2028
et y inclure des vélo-cargo
ÀVÉLO EN CHIFFRES
2024 : 115 stations, 1300 vélos
2025 : 160 stations, 1800 vélos
2026 : 220 stations, 2300 vélos
2027 : 280 stations, 2800 vélos
2028 : 330 stations, 3300 vélos
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Sur le même sujet au Téléjournal de Québec
3300 vélos et 330 stations àVélo déployés d’ici 2028
Cinq jours après le lancement de la quatrième saison du service àVélo, la Ville de Québec annonce son plan de déploiement pour les quatre prochaines années. Elle prévoit ajouter près de 500 vélos à assistance électrique par année d’ici 2028, pour atteindre un total de 3300, répartis dans 28 des 35 quartiers de la municipalité. La Ville entend aussi ajouter de nouveaux produits, tels que des vélos cargo à assistance électrique pour faire l’épicerie, ainsi que des vélos mécaniques, sans assistance électrique, qui pourront être utilisés tout au long de l’année.
Le communiqué du RTC :
Aussi à Québec
Les Rayonnantes initient les nouvelles arrivantes à la pratique du vélo
Depuis 3 ans, des bénévoles du programme Les Rayonnantes enseignent les bases du cyclisme à des dizaines de jeunes femmes immigrantes de Québec. L’objectif: leur fournir un vélo et toute l’autonomie qui vient avec.
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Le service de vélopartage àVélo fait son arrivée en banlieue
Trois ans après son lancement dans les rues du centre-ville de Québec, voilà que le service de vélopartage àVélo fait son arrivée en banlieue de la Capitale-Nationale. C’est Loretteville qui va compter sur trois nouvelles stations, cet été. Le service divise et intrigue encore une partie des résidents du secteur.
le monsieur qui se plaint de la perte de stationnement et de ne pas avoir été consulté… 
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Womp womp
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Ici on parle de livraison comme à Montréal
Résumé
Des livreurs nouveau genre à Québec
Par Gabrielle Pichette, Le Soleil et Gabrielle Cantin, Le Soleil
2 juillet 2024 à 15h28|
Mis à jour le2 juillet 2024 à 16h36
Les partenaires du projet de Coop Carbone et le maire de Québec, Bruno Marchand se sont réunis mardi matin pour le lancement du projet pilote de livraison en vélo-cargo. (Ville de Québec)
Les résidents du Vieux-Québec et du quartier Saint-Jean-Baptiste pourraient recevoir leur prochain colis par un livreur à deux roues plutôt que quatre, grâce à de nouveaux «vélos-cargos» qui prendront très bientôt le relais des traditionnels – et polluants - camions de livraison.
Particulièrement enthousiaste, le maire Marchand a profité de son dernier point de presse pré-conseil pour saluer le déploiement du projet-pilote et déjà laisser entrevoir une expansion. «Je suis très fier de l’arrivée de la livraison par vélo cargo», a-t-il lancé.
«On va évaluer l’évolution du projet-pilote et voir comment on peut le répandre partout en ville», a ajouté le maire visiblement emballé.
Après le fort succès à Montréal avec le projet Colibri, la Coopérative de solidarité Carbone (Coop Carbone) lance son nouveau projet pilote à Québec. Trois vélos-cargos seront mis en service dans les prochaines semaines avec l’aide de trois entreprises de livraison, soit Purolator, Nationex et MonQuartier en boîte.
«Nous sommes fiers de porter ce projet d’innovation sociale à Québec, qui vise à concilier de façon vertueuse l’intérêt environnemental et la qualité de vie des citoyens», se réjouit Jean Nolet, directeur général de Coop Carbone
Lorsqu’il est équipé de pneus d’hiver, un vélo-cargo peut être utilisé à longueur d’année. (MileBox)
Un espace de livraison urbain durable, aussi appelé mini-hub, sera aménagé au 840 avenue Honoré-Mercier, près du Vieux-Québec. Il permettra de regrouper et disperser les colis vers leurs destinations finales à l’aide des vélos-cargos. Selon l’avancement des travaux, la livraison en vélo-cargo pourrait commencer vers la fin du mois de juillet, indique la Ville de Québec.
Pour une transition écologique
Pour le maire Marchand, ce projet «s’inscrit en synergie avec [sa] vision de la mobilité durable et de l’apaisement de la circulation dans le Vieux-Québec en offrant une solution durable aux enjeux de livraison dans ce secteur».
C’est pourquoi la Ville de Québec a financé une partie du projet dans le cadre du programme d’aide financière de l’Accélérateur de la transition écologique.
Bruno Marchand ajoute que «la livraison du dernier kilomètre est l’étape qui génère le plus de pollution dans la distribution de marchandises et que le secteur des transports constitue 63,5 % des émissions de GES de la collectivité de Québec, dont 81,6 % provenant du transport routier».
Le service de vélopartage àVélo a annoncé vendredi que le seuil du demi-million de déplacements avait été atteint, ce qui augure bien pour son objectif d’atteindre 1,1 million de trajets d’ici le 31 octobre.
Le cap des 100 000 trajets a été conquis rapidement dans la saison, le 22 mai.
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Les commentaires des lecteurs… Toujours aussi éloquents. 
Salut,
Super nouvelle pour le vélopartage à Québec ! Ça va être top pour se déplacer en ville.
Tout comme Bixi à Montréal, les vélos en libre-service à Québec sont utilisés en moyenne 7 fois par jour!
Ils sont tous à assistance électrique
Chaque jour, un vélo d’àVélo transporte plus ou moins sept usagers. Un nombre qui ferait rougir bien d’autres services de vélopartage.
Les résultats sommaires de la quatrième année du service àVélo placent la Ville de Québec en tête de peloton quant au taux d’utilisation de ses montures.
Selon les données fournies par le Réseau de transport de la Capitale (RTC), chaque bicyclette à assistance électrique effectue en moyenne 6,7 trajets par jour.
Pendant le Festival d’été de Québec, où àVélo a battu des records d’utilisation, la moyenne a grimpé à 7,2 passagers quotidiens.
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Dans le cadre d’une conférence de presse organisée pour l’événement Ça roule Doc!, qui vise à sensibiliser le public et les acteurs économiques aux bénéfices du cyclisme utilitaire, le maire de Québec a annoncé les plus récentes données sur l’utilisation du service àVélo.
«À huit heures ce matin, on était à 998 000 déplacements àVélo cette année. Alors que plein de gens n’y croyaient pas, on a atteint aujourd’hui un million de déplacements», explique Bruno Marchand, plus que satisfait.
Selon lui, cela représente entre 1000 et 2000 voitures en moins sur les routes au quotidien.
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Résumé
Pas d’àVélo cet hiver à Québec
Par Émilie Pelletier, Le Soleil
12 octobre 2024 à 04h00|
Mis à jour le11 octobre 2024 à 04h00
Québec envisage de se doter d’une flotte mécanique pour assurer un service àVélo en hiver. Mais pas cette année. (Caroline Grégoire/Archives Le Soleil)
Les adeptes d’àVélo qui rêvent de pouvoir enfourcher les montures du service de vélopartage pendant l’hiver devront encore patienter au moins une année.
Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) rangera à la fin octobre toutes les bicyclettes en circulation sur le territoire de la ville de Québec. Et aucune ne sortira avant le printemps prochain.
Au tout début de la saison, en mai dernier, les équipes du RTC présentaient le plan de déploiement accéléré pour àVélo. Parmi les bonifications à venir, le transporteur envisageait un projet pilote de flotte mécanique afin d’étirer le service sur toute l’année.
À lire aussi
2000 nouveaux àVélo, en cargo, en hiver et presque partout à Québec d’ici 2028
Alimentée par un «fort engouement» et une demande répétée pour de nouveaux services, la présidente Maude Mercier Larouche disait souhaiter voir rouler les améliorations «le plus rapidement possible».
«Dans les prochaines années»
Or, les cyclistes qui demandent depuis quelques années déjà d’allonger la saison d’àVélo au-delà du 31 octobre ne le verront pas se concrétiser cette année.
«Des projets pilotes seront lancés dans les prochaines années visant le déploiement d’un réseau hivernal ainsi que l’intégration de vélos cargos à assistance électrique. Un échéancier concernant l’ajout de ces services sera partagé ultérieurement», informe la porte-parole du RTC, Raphaëlle Savard.
D’ici là, explique-t-elle, il reste encore des étapes à franchir.
Les vélos à assistance électrique ne peuvent pas sillonner les rues pendant la saison froide. (Caroline Grégoire/Archives Le Soleil)
Notamment, un processus d’appel d’offres devra être lancé pour doter la Ville de Québec de vélos mécaniques. Pour des considérations techniques, ceux à assistance électrique qu’elle détient actuellement ne peuvent assurer le service en hiver, puisque l’autonomie des batteries en prend pour son rhume lors de temps froid.
La Table de concertation vélo des conseils de quartier de Québec porte depuis un certain moment cette idée d’un service «mixte» pour permettre aux usagers d’àVélo de pédaler aussi l’hiver.
Montréal accélère
Ailleurs, d’autres villes ont déjà fait le pari d’offrir un service de vélopartage à l’année.
Montréal a notamment tenté le coup l’hiver dernier avec un projet pilote, en conservant en service des vélos Bixi à l’occasion de son 15e anniversaire. Les utilisateurs ont répondu présents, en pédalant à raison de plus de 3700 trajets par jour, selon ce que rapportait La Presse au début du mois d’octobre.
Toutefois, à la différence de Québec où toute la flotte est électrique, celle de la métropole est à 75 % mécanique.
À l’aube de la prochaine saison froide, Bixi Montréal récidivera, planchant même sur une expansion de son offre. Le nombre de stations passera d’environ 150 à presque 200, pour un total de 4500 points d’ancrage.
Sans service de vélopartage actif en hiver, la Ville de Québec affirme tout de même être en voie de «changer la culture» un coup de pédale à la fois, notamment avec ses nouveaux liens cyclables accessibles à l’année. L’administration Marchand dit compter une proportion de cyclistes hivernaux similaire à celle qu’enregistrait Montréal au tout début du déploiement de son Réseau express vélo.
Pour le reste, le service régulier d’àVélo continuera lui aussi de se développer, alors qu’on projette l’ajout de 500 vélos à assistance électrique et d’une soixantaine de stations par an, en moyenne, au cours des quatre prochaines années. D’ici 2028, la flotte atteindra 3300 bicyclettes, réparties dans 330 stations à Québec.
Année après année, le service de vélopartage àVélo connaît un succès grandissant qui dépasse les attentes du Réseau de transport de la Capitale (RTC). Pour la saison 2024, il a généré près de 1,3 million de déplacements. Si son usage est désormais bien implanté au centre-ville, le déploiement en banlieue reste à consolider.
Selon les données du RTC, plus de 35 000 clients ont fait appel au service de vélopartage l’été passé. Près de 94 % des déplacements ont été effectués par les plus de 17 000 abonnés qui utilisaient en moyenne un des vélos 2,7 fois par semaine.
L’objectif de 1,1 million de déplacements entre le 1er mai et le 31 octobre 2024 a été largement dépassé encore cette année. « Durant la dernière saison, 23 % des usagers ont opté pour àVélo plutôt que d’utiliser leur voiture, preuve que le service favorise le transfert modal, réduit la congestion et diminue les émissions de gaz à effet de serre », se réjouissait par communiqué la présidente du RTC, Maude Mercier Larouche.
Pour l’année 2025, le RTC prévoit bonifier le service avec un total de 165 stations et 1800 vélos. L’emplacement des nouvelles stations sera annoncé en temps et lieu.
En 2028, le réseau devrait atteindre 330 stations et 3300 vélos.
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