Verrues urbaines

Macdonald a une politique de maintenir un minimum de 40 m avec la « population » pour éviter de gérer des plaintes d’odeur, bruits etc.

La compagnie a accepté de « louer » ses terrains à la ville de Montréal en arrière pour le parc et plus récemment, en avant pour une place publique. Tant qu’ils seront propriétaires (ou ne modifieront pas leur politique de distance…), les terrains ne seront pas développés. Le mieux qu’on puisse espérer est la « location » de d’autres stationnement pour y faire des parcs éponges, par exemple.

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Bon les terrains autour du QG de la SQ tu voudrais les développer comment ? Facile à dire mais n’oublions pas qu’on parle d’un poste de police avec une prison un centre de recherches et Judiciaire etc de plus la morgue de Montreal si trouve. Ce sont des terrains en zone sécurisés avec des va et vient surveiller. Des édifices gouvernementaux oui ça pourrait être possible mais imaginer du résidentielle cest comme construire juste à côté des murs de bordeaux

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Juste pour être certain de bien comprendre ton point. Quelle différence fais-tu avec le résidentiel Est-Ouest sur les rues Parthenais et Fullum qui pourtant sont à la même distance qu’un développement potentiel de ces terrains?

Une autre idée serait un grand parc avec des infra municipal du style piscine ou terrain de tennis.

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Les terrains de la SQ sont clôturés et sécurisés! De plus une rue sépare le résidentiel dont tu parles. L’enjeu de sécurité sera la plus grande barrière au développement. Un mélange de stationnement publique serait impensable dans un développement … genre voiture piégé bombe attentat etc

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Pas juste clôturées, barbelées même.
Ceci dit, du verdissement est définitivement possible, surtout aux abords des trottoirs.
Par exemple, les limites du stationnement seraient à 5-10m des trottoirs, ce qui permettrait de planter des arbres.
Bonus: le fait que les voitures de patrouille seraient plus loin des rebords et protégées par des arbres compliquerait la tâche d’un hypothétique lanceur de cocktail molotov (à moins d’avoir un sacré bras et un visou sans pareil).

On pourrait prolonger la rue Magnan et la SQ pourrait se départir de sont énorme stationnement de surface et faire en sorte que cet énorme carré soir densifié. Pour ce qui est du stationnement nécessaire de la SQ, on pourrait faire une bloc de stationnement étagé avec toiture verte sur le terrain de stationnement au sud du terrain.

C’est sûr que c’est pas des investissements que la SQ à dans ces plans, mais ça serait l’optimal pour le coin

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Un vestige d’un ancien temps. Ce genre d’usine n’a plus sa place au coeur de la ville.

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C’est un excellent débat !

J’ajouterais par contre que la clôture et les barbelées date d’une autre époque. En réalité, les stationnements sont ouvert 24/24 par les entrées et n’importe qui peut les traverser librement.

Photo prise ce soir à 22h15:

J’habite la rue Fullum en face de la SQ depuis des années. Je vous confirme que aujourd’hui cet îlot est loin d’être la « zone sécurisée » qu’il a déjà été.

Il y a effectivement des cellules temporaires et une morgue dans le bâtiment mais c’est marginal. Les opérations sont largement administratives et le site est fréquenté par des fonctionnaires. Respectueusement, on est loin des prisonniers de la prison de Bordeaux tel que imagé dans cette discussion.

En effet, la ville de Montréal avait prévu un parc/jardin sur cet îlot dans le PPU Sainte-Marie en 2011 en page 48.

IMG_0809

Voici le PPU pour les intéressés: http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/plan_urbanisme_fr/media/documents/PPU_Quartier_Sainte-Marie.pdf

À mon avis, si on n’y voit pas de changement, c’est simplement par manque de motivation du gouvernement.

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En effet, à voir la guérite en permanence ouverte, ces clôtures barbelées sont inutiles.
Par contre, la SQI, propriétaire du bâtiment, doit avoir un réel besoin venant du gouvernement pour construire un nouveau bâtiment sur le lot du stationnement.
Avec les tours à bureaux qui se vident, ça doit être plus compliqué à justifier.

Donc j’entrevois deux options:

  1. Céder une portion du stationnement Parthenais nord à un entrepreneur privé pour qu’il construise des condos sur l’extrémité nord.

  2. Verdir une portion du stationnement et installer des canopés afin d’éviter une future taxe sur des stationnements ouverts.

L’option 2 est plus réalisable et moins chère à court terme à mon avis. Le temps que l’option 1 se concrétise (SI)…

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Selon moi, personne ne pleurerait la démolition de cet immeuble à l’intersection Pie-IX et Jean-Talon Est

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Sur Duluth pres de Parc Lafontaine

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Sans tout démolir, si la structure est bonne, une nouvelle façade pourrait être plus économique.

Croisement Bleury et Sherbrooke

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Sérieusement se coin là ne s’améliore pas. La ville devrait légiférer sur 2 choses ici, taxer les ‘‘mesures temporaires’’ après un certain et forcer les réparations, le blue skin membrane sur le coin c’est là depuis avant la covid… de plus la ville devrait légiférer sur le contenu des décalques commerciaux, car ici c’est littéralement un panneau réclame et pas juste du marketing ou un ‘‘lifestyle graphic’’

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C’est légiféré, depuis trois ans environ.
Mais c’est un règlement difficile à appliquer avec les ressources actuelles.

Peut-être qu’un signalement au 311 peut aider.

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Sur la rue Bleury côté est un peu au sud de Sherbrooke; pâté de maison abandonné depuis un bon moment et en très mauvaise condition. Je crois qu’il y avait un projet résidentiel pour cet endroit mais les NIMBYs de la rue Jeanne-Mance à l’arrière ont tenté de faire dérailler le projet et je ne sais pas si ce projet a été abandonné ou est toujours à l’étude. C’est vraiment une horreur à deux pas du quartier des spectacles.

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Ils ont effectivement contribué à l’abandon du projet, mais la principale raison était la proposition architecturalement médiocre qui ne passait pas à la ville.

Le même projet, s’il avait été bon, serait aujourd’hui construit, malgré l’opposition des voisins.

Il faut toujours garder en tête que les NIMBY ont du pouvoir uniquement quand ça fait l’affaire des professionnels qui les instrumentalisent comme bouclier et bouc émissaire.

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Plus on attend et pire ça devient



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Il y a très peu de rues commerciales en bon état entre Sherbrooke et Ontario. Jeanne-Mance, Bleury, Saint-Urbain, Saint-Laurent, Berri, Saint-Hubert, Papineau sont toutes dans un état déplorable.

Seules Saint-Denis, Atateken et de Lorimier sont présentables.

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Des bâtiments iconiques de Montréal ont vu leur maçonnerie se couvrir de grilles de protection contre les chutes de débris, dans les derniers mois, alors que la belle saison et ses touristes arrivent à grands pas.

Résumé

Maçonnerie dangereuse Montréal sous grillages

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

« Les sécurisations installées visent à protéger le domaine public et seront retirées quand elles n’auront plus d’utilité », a indiqué le centre de services scolaire de Montréal (CSSDM), propriétaire du CPE Alexis-le-Trotteur, rue Clark.

Des bâtiments iconiques de Montréal ont vu leur maçonnerie se couvrir de grilles de protection contre les chutes de débris, dans les derniers mois, alors que la belle saison et ses touristes arrivent à grands pas.

Publié à 1h09 Mis à jour à 8h00

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Philippe Teisceira-Lessard
Philippe Teisceira-Lessard Équipe d’enquête, La Presse

Ces interventions ne font pas l’objet d’un recensement, mais le nombre de bâtiments totalement ou partiellement emballés pour éviter une catastrophe pourrait d’ailleurs être en augmentation, selon des spécialistes du domaine. Cette solution est utilisée en dernier recours.

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Les murs extérieurs de la Place des Arts, d’une tour du Complexe Desjardins et de l’église St. Michael the Archangel (Saint-Michel-Archange), un symbole du Mile End, font tous actuellement l’objet de mesures de sécurité. Ils sont loin d’être les seuls.

« Le paysage [est] ponctué de ces bâtiments emballés de filets sombres constellés de rondelles d’ancrage galvanisées », a déploré Dinu Bumbaru, fondateur d’Héritage Montréal, dans un échange avec La Presse.

Pour M. Bumbaru, cet état de fait illustre « le triste état de notre parc immobilier public, hospitalier et scolaire notamment » et que « la culture de l’entretien a pris le bord devant l’appétit de design neuf au goût du jour ».

La Place des Arts a expliqué que c’est une inspection qui l’a forcée à prendre des mesures. « Certains parements de béton montrant des signes de dégradation, la Place des Arts a mis en place, à titre préventif, un système de filets sur l’édifice de la salle Wilfrid-Pelletier », a indiqué Marie-Claude Lépine par courriel. « Une étude sur les parements de la salle Wilfrid-Pelletier est en cours et lorsqu’elle sera complétée, les résultats seront communiqués au ministère de la Culture et des Communications. »

L’église St. Michael the Archangel n’a pas immédiatement rappelé La Presse. Le Complexe Desjardins nous a dirigé vers Doubletree Hilton, l’hôtel qui se trouve dans la tour qui fait l’objet de mesures de protection.

« Beaucoup plus souvent qu’avant »

Selon deux acteurs de l’industrie, la présence apparemment croissante de ces mesures de protection en ville pourrait être liée aux inspections plus fréquentes des façades imposées par Québec depuis 2013. Cette décision avait été prise dans la foulée de la mort d’une femme de 33 ans, tuée rue Peel par la chute d’un morceau de façade en 2009.

« S’il y a un professionnel qui fait une inspection et qui dit qu’il y a un risque pour le public, les propriétaires doivent agir dès maintenant », a expliqué Nicolas Croteau, de la firme spécialisée en maçonnerie Atwill-Morin.

Certains clients vont dire : je ne ferai pas tout mon projet tout de suite, mais ils ont quand même l’obligation d’assurer la protection du public.

Nicolas Croteau, de la firme Atwill-Morin

L’entreprise procède parfois elle-même à ce genre de travaux de sécurisation.

Une fois les problèmes détectés, le contexte économique pousse peut-être certains propriétaires à faire « le strict minimum » pour sécuriser leur façade plutôt que de rapidement se lancer dans une réfection, a-t-il ajouté.

Même son de cloche chez Marc-André Pilon, de Barry Cordages. L’entreprise vend des filets de sécurité. « Les travaux tardent plus qu’avant », a-t-il analysé, en entrevue téléphonique. « Comme c’est très dur d’avoir un entrepreneur pour faire les travaux, j’ai l’impression que des réparations temporaires de stabilisation vont se faire beaucoup plus souvent qu’avant. »

La Régie du bâtiment du Québec (RBQ) a indiqué qu’elle recevait environ 35 déclarations de situation dangereuse par année depuis le resserrement de 2013, dans la foulée d’inspections de façades. « Quand il y a un signalement, automatiquement, ça déclenche une intervention de la RBQ avec le propriétaire pour le suivi de la situation », a expliqué le porte-parole Sylvain Théberge.

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