TramCité (Tramway de Québec)

Quand une entité à la recherche de rendement ne veut pas toucher à une activité avec une perche de 10-pieds, ce n’est surtout pas un signal que le gouvernement y gagnera au change…

Pas nécessairement. Des fois ça veux tout simplement dire que les bénéfices vont être autre que monétaires ou sous une forme qui n’est pas facilement placés dans un portfolio d’actif.

Par contre c’est vrai que gérer des employés peut être très dispendieux effectivement.

2 « J'aime »

Il ne faut pas oublier que la caisse est actionnaire d’Alstom. Donc ce qui sort de la poche droite va rentrer dans la poche gauche éventuellement.

1 « J'aime »

Bye Bye Mr. Legault et sa ministre des transport,

Tramway : « Ils nous prennent pour des cons », tonne Jackie Smith

L’élue de Limoilou est convaincue que la CAQ se garde une porte ouverte pour annuler le projet.

2 « J'aime »

Me semble que Alstom teste des tramways sans conducteur… Mais pas mal certain que ce n’est pas demain la veille qu’on verra des tramways entièrement automatisé en circulation/service commercial.

Mais logiquement, il serait plus “facile” d’automatiser un tramway qu’une auto.

Ajout : la ville de Strasbourg a testé un tramway entièrement automatisé sur son réseau l’année dernière : Strasbourg - La CTS teste le tramway autonome, sans conducteur

3 « J'aime »

Un tramway ne peut pas encore être automatique parce qu’il interagit avec des mouvements externes (autos/piétons). C’est pour éviter ça que le REM a remplacé tous les passages à niveau par des viaducs le long du parcours. Si un jour on a des autos sans conducteurs on aura aussi des trams.

Ma Tesla peut rouler tout seul, c’est un peu ça que ça prendrait. Bref, la conduite autonome.

1 « J'aime »

Il y a quoi, la moitié de la population du Québec dans la grande région de Montréal? Il manque quoi à l’ARTM pour avoir ce statut celons toi?

2 « J'aime »

Un gouvernement qui n’a pas la majorité de son électorat en région.

6 « J'aime »

Et pourtant, une grande partie de cet électorat est dans les couronnes, territoires desservis par l’ARTM

6 « J'aime »

Peut-être qu’il faudrait reformuler la chose comme étant:

Un gouvernement qui peut tomber sur les enjeux du TEC

Même dans la région de Montréal, bien des gens sont peu enclins à soutenir la cause du TEC dans leur préoccupations quotidiennes. C’est un problème de perception sur le rôle du TEC dans le fonctionnement de la région et peut-être aussi de service… Et on tombe dans une spirale où il est difficile d’améliorer le service sans ce support…

7 « J'aime »
1 « J'aime »

“Keep your hands off my SUVs!”

Y a t-il des plans pour connecter l’aéroport YQB au futur tramway/réseau?

Selon le plan CITÉ oui

3 « J'aime »

Pas pour maintenant. L’aéroport est desservi par l’autobus https://www.aeroportdequebec.com/fr/acces-a-l-aeroport/transport-en-commun à différents points de la ville. Disons que le tramway doit d’abord relier les principaux quartiers denses de la ville avec ses extrémités est et ouest. D’autres lignes pourront s’ajouter ultérieurement comme on peut le voir sur le plan plus haut publié par @alexlesuper vers les pôles indiqués qui sont à mon avis bien plus prioritaires. Car il s’agit de remplacer éventuellement l’automobile comme moyen de transport dominant à l’intérieur du périmètre urbain de la vieille capitale.

1 « J'aime »

L’entreprise française Alstom ne cache pas vivre dans l’attente depuis près de deux semaines quant au projet de tramway de Québec. Le projet sera-t-il soumis à un autre appel d’offres? Les groupes syndicaux se posent les mêmes questions.

« Notre contrat est toujours valide et nous sommes dans l’attente que le gouvernement complète ses vérifications. Évidemment, l’absence de réponse claire crée un sentiment d’incertitude chez nos employés au Québec, qui s’interrogent sur la suite », souligne par écrit une porte-parole du constructeur ferroviaire.

Andrée‑Lyne Hallé assure toutefois que le contrat de conception et construction du matériel roulant demeure valide, dans l’attente que le gouvernement complète ses vérifications.

1 « J'aime »
Résumé

Des syndicats inquiets de voir la CAQ «torpiller» le tramway

Par Émilie Pelletier, Le Soleil

21 octobre 2024 à 08h39|

Mis à jour le21 octobre 2024 à 18h37

17

En cas de reprise du processus d’appel d’offres, le tramway accusera de nouveaux retards, craignent des syndicats, dans un communiqué. (Ville de Québec)

Le spectre d’une relance du processus d’appel d’offres pour le tramway de Québec fait craindre le pire aux syndicats de travailleurs, inquiets que la «lenteur» du gouver nement Legault à mettre sur les rails le projet ne vienne qu’à le «torpiller» pour de bon.


«Ce projet doit être mis en branle dans les plus brefs délais. Il doit être conçu, fabriqué, géré et entretenu au Québec, par de la main-d’œuvre québécoise et qualifiée», plaide la Confédération des syndicats nationaux (CSN) dans un communiqué, lundi.

Depuis que le premier ministre a laissé entendre au début du mois que le contrat conclu en avril 2023 entre la Ville de Québec et la multinationale Alstom pour la construction du matériel roulant pourrait ne plus être valide dans le projet de tramway proposé par la branche de la Caisse de dépôt et placement (CDPQ Infra), la CSN craint «un autre retard en perspective». > Dans une offensive conjointe, plusieurs organisations syndicales mettent en garde contre de nouveaux délais dans le dossier du tramway, désormais piloté par CDPQ Infra.

Comme ministre des Transports, Geneviève Guilbault doit se presser de rendre le projet «irréversible dès que possible», selon la présidente de la CSN, Caroline Senneville.

«Le tramway de Québec est une occasion en or de faire diminuer nos émissions de GES et de maintenir et créer des emplois de qualité au Québec. Repousser encore le projet équivaut à le compromettre voire carrément à le torpiller. La ministre du Transport doit appuyer sur l’accélérateur avec CDPQ Infra pour qu’on lance enfin un appel d’offres clair en exigeant le maximum de contenu canadien et québécois», réclame-t-elle.

Construire ici, la «meilleure option»

Le Syndicat des employés de Bombardier (Alstom) La Pocatière, dont les membres se sont vus confier la responsabilité d’assembler les rames du tramway, est affilié à la CSN. L’usine du Bas-Saint-Laurent devait initialement se mettre à la tâche en 2025, avant que le projet ne soit mis en veilleuse en novembre 2023 par le gouvernement du Québec.

Or, «nous sommes dans une complète incertitude sur le tramway», déplore son président, Marco Lévesque.

L’usine d’Alstom à La Pocatière est en attente d’une confirmation que le contrat en vigueur pour les voitures du tramway pourra être honoré. (Collaboration spéciale, Johanne Fournier)

Une reprise du processus d’appel d’offres pourrait toutefois compromettre le contrat déjà signé pour les voitures du tramway, au profit d’une entreprise hors de la province, voire hors du pays. Une nuisance pour l’industrie nationale, redoute la Fédération de l’industrie manufacturière–CSN.

«On est très inquiets.»

— La Fédération de l’industrie manufacturière–CSN

«La meilleure façon de concrétiser le projet le plus rapidement possible serait de continuer avec le premier appel d’offres et de fabriquer au Québec plutôt que de rouvrir à l’international», défend l’organisation.

Son président, Kevin Gagnon, y voit la «meilleure option d’un point de vue économique pour garder l’argent investi» ici et éviter un cas comme celui du contrat du pont de l’île d’Orléans, qui a échappé aux constructeurs québécois. Le représentant syndical fait valoir que la main-d’oeuvre locale est la plus qualifiée pour manoeuvrer dans les contraintes climatiques d’ici et fournir des produits de «qualité», afin d’éviter des «problèmes» comme ceux des voitures du REM à Montréal ou du traversier à Matane.

Plaidoyer pour une gestion par le RTC

Si la ministre des Transports a déjà mentionné que CDPQ Infra n’exploitera pas le tramway de Québec, les syndicats n’ont à ce jour «aucun engagement ferme» que le Réseau de transport de la Capitale (RTC) sera bel et bien choisi pour en être aux commandes.

«Avec leur connaissance exceptionnelle du réseau de transport dans la région et des différentes composantes qui le forment, les employés du RTC sont sans aucun doute les mieux placés pour entretenir et gérer le futur tramway», estime Simon Mathieu Malenfant, vice-président de la Fédération des employées et employés de services publics–CSN.

«Le RTC a à sa disposition une main-d’œuvre qualifiée qui possède une très grande expertise, un avantage important que viendrait miner un recours à la sous-traitance», ajoute Barbara Poirier, présidente du Conseil central de Québec–Chaudière-Appalaches–CSN.

3 « J'aime »

Au Téléjournal de Québec

Contrat du tramway : Alstom relève un sentiment d’incertitude chez ses employés

L’entreprise française Alstom ne cache pas vivre dans l’attente depuis près de deux semaines quant au projet de tramway de Québec. Le projet sera-t-il soumis à un autre appel d’offres? Les groupes syndicaux se posent les mêmes questions.

2 « J'aime »