Tournages à Montréal

Tourné et histoire se déroule à Montréal
… Sûrement inédit pour un Film américain…

Il y a eu The Score qui a été tourné et dont l’histoire se déroulait à Montréal si tu ne connais pas, un bon film à voir.

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DeNiro, Brando, Norton dans un film qui se passe à Montréal???

Ah ouain !??

Cool !

Merci de l’info !

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Une série fort populaire au Canada. Une version doublé en français joue aussi au Québec.
La ville de Montréal joue le rôle de Toronto dans cette série.

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Quelle ironie!

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Oui, d’après le nom des rues et le design des enseignes en bleu, j’ai cru comprendre qu’on était à Toronto. Et on m’a aussi dit que cette série, que je ne connais point, était assez populaire au Canada anglais. Bref, j’ai bien hâte de voir cette scène ou une voiture a percuté un camion en plein Toronto …enfin, plutôt à Griffintown !

À titre informatif, la série Transplant est diffusée sur CTV (au Canada anglais), NBC (aux États-Unis)… et sur Noovo (au Québec). :tv:

Et elle a pratiquement tout raflée au dernier gala des Prix Écrans canadiens (Canadian Screen Awards). :wink:

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16h49

07-05-2022

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J’ai toujours trouvé que cet angle de Saint-Laurent/Duluth…

Fait décor Brooklyn/Manhattan !

17h02

10-05-2022

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En effet, ce sont deux très beaux édifices de leur époque. Je trouve celui de droite est particulièrement réussi. Et en plus, je trouve la hauteur parfaite.

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Je me suis promené sur Prince-Arthur et Saint-Laurent vers Minuit et y’avait un tournage pour une série sitcom américain… Un Pilote on m’a dit, c’était confidentiel, mon téléphone n’avait plus de batterie. Y’avait des taxis New-Yorkais et des vieux Novabus rebrandé comme New-Yorkais aussi!

Quand on Google ça, ça nous réfère à un article de Variety qui parle d’une série adapté des Pays-Bas :

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Tournages étrangers Une année 2022 plus tranquille se profile


PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE | La devanture transformée d’un commerce à Verdun.

La haute saison des tournages étrangers à Montréal est officiellement commencée. L’arrondissement de Verdun a été déguisé en quartier new-yorkais en début de semaine à l’occasion du tournage du pilote d’une série du réseau NBC.

18 mai 2022 | Publié à 7h00 | MARC-ANDRÉ LEMIEUX | LA PRESSE

Des panneaux de signalisation maquillés, des taxis jaunes à quelques pas du IGA, des vitrines de commerces métamorphosées (Gemesi’s Beauty Salon pour remplacer Salon Gaétane), des camions qui monopolisent les espaces de stationnement… La rue Wellington arborait de nouvelles couleurs lundi puisqu’elle accueillait l’équipe d’Adam & Eva.

Écrite par Mike Daniel (The Vampire Diaries, The Village) et réalisée par Stephanie Laing (Dollface, Veep), cette comédie dramatique américaine adaptée d’un format néerlandais raconte l’histoire d’amour épique, à Manhattan, de deux inconnus que l’univers semble déterminé à réunir, précise Deadline. Ben Rappaport (For the People, Younger) et Alexandra Chando (As the World Turns, The Lying Game) s’y donnent la réplique.


PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE | Rue Wellington, l’équipe de tournage d’Adam & Eva a maquillé les panneaux de rue pour donner à Verdun des allures de New York.

Si NBC donne le feu vert au projet, ses 13 épisodes seront tournés en ville, nous informe le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ), qui souligne que Montréal a rarement accueilli le tournage de pilotes de séries américaines.

« C’est une nouveauté », indique la présidente-directrice générale de l’organisme, Christine Maestracci, en entrevue. « Ça découle du travail du BCTQ au cours des dernières années, avec ses tournées de familiarisation. On est très heureux. »

Une année plus tranquille

Adam & Eva donne le coup d’envoi d’un blitz de tournages étrangers qui devrait s’étirer jusqu’en novembre. Après une année 2021 de retombées économiques record, notamment marquée par l’accueil du tournage de la superproduction à gros budget Transformers 7 : Rise of the Beasts, l’année 2022 s’annonce plus tranquille. Christine Maestracci parle d’un retour au rythme de croissance « constant » prépandémie.

Même son de cloche chez l’Alliance québécoise des techniciens et techniciennes de l’image et du son (AQTIS), section locale 514 AIEST. « C’est un assez bon début d’année, mais on voit un ralentissement », déclare le président du regroupement, Christian Lemay.

L’an dernier, on était en mode surproduction parce que tout était condensé pour rattraper le retard accumulé [en 2020, lorsque la COVID-19 avait forcé la suspension complète des activités].

Christian Lemay, président de la section locale 514 AIEST de l’AQTIS

Président des studios MELS, Martin Carrier qualifie 2022 d’« année un peu plus normale ». Au cours des derniers mois, l’entreprise a accueilli des tournages des géants Viacom et Disney. Cet été, elle recevra l’équipe du long métrage d’horreur Scream 6 avec Courteney Cox et Hayden Panettiere, qui devrait débarquer en juin.


PHOTO BROWNIE HARRIS, FOURNIE PAR PARAMOUNT PICTURES | Courteney Cox dans Scream 5

Parmi les autres productions d’envergure attendues au Québec, signalons la comédie de situation Ghosts du réseau CBS, qui attire chaque semaine plus de 8 millions de téléspectateurs aux États-Unis, selon Nielsen.

Mentionnons également The Sticky, une série inspirée de faits réels, coproduite par Jamie Lee Curtis, Blumhouse Television et Sphère Média, qui relate le vol historique de sirop d’érable de 2012 à Saint-Louis-de-Blandford. Commandée par Amazon, cette fiction est destinée au service de vidéo sur demande Prime Video.

Du côté des coproductions, signalons deux films : La tresse, un drame italo-franco-canadien réalisé par Laetitia Colombani et inspiré du roman du même titre mettant en vedette Kim Raver (Grey’s Anatomy), et Jaguar My Love, du cinéaste français Gilles de Maistre (Le premier cri, Féroce).

Plusieurs autres titres devraient venir gonfler cette liste au cours des prochaines semaines.

Une pénurie pas spécifique au Québec

Comme l’an dernier, la pénurie de main-d’œuvre posera vraisemblablement des défis aux productions. Mais comme l’indique Christine Maestracci, du BCTQ, ce n’est pas un problème spécifique au Québec.


PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE | Des camions transportant l’équipement de tournage d’Adam & Eva, une série de NBC, ont été aperçus à Verdun.

« C’est un enjeu planétaire. Ça fait partie des choses qui sont prises en considération quand vient le temps de choisir un endroit où aller tourner. Ça fait partie des questions qu’on nous pose, au même titre que : “Est-ce que vous avez assez de pieds carrés pour telle production ?”, “Est-ce que vous avez des initiatives vertes ?”, “Est-ce que vous avez assez de diversité devant et derrière la caméra ?” »

Du côté de l’AQTIS, section locale 514 AIEST, on voit l’arrivée des productions américaines d’un bon œil, même en période de rareté de main-d’œuvre. Bien qu’en offrant des salaires plus élevés, ces dernières compliquent la tâche aux producteurs québécois qui tentent de retenir leurs employés, elles stimulent l’industrie, insiste le syndicat. « Notre organisation favorise toute création d’emplois, quelle qu’elle soit : québécoise, canadienne-anglaise ou américaine », signale Christian Lemay.

Il faut embrasser la croissance de l’industrie de l’audiovisuel. Ça crée des opportunités incroyables. Ça peut contribuer à relancer l’économie post-pandémique du Québec.

Christian Lemay

Pour Christian Lemay, l’arrivée des tournages américains au Québec n’est pas une menace pour l’industrie locale. Au contraire. Pour étayer son propos, il cite la loi du 1 %, qui oblige les entreprises à investir annuellement au moins 1 % de leur masse salariale pour former la main-d’œuvre. Ainsi, l’an dernier, les producteurs américains auraient versé 650 000 $ à l’Institut national de l’image et du son, qui assure la formation professionnelle continue.

Quant aux mesures sanitaires pandémiques, qui demeurent en place pour chaque tournage, elles n’ont pas l’air de décourager les producteurs étrangers de déposer leurs valises au Québec.

« Parce qu’on a été parmi les premiers à repartir en 2020. Les protocoles qui ont été mis en place en concertation avec l’ensemble de l’industrie ont rassuré les producteurs étrangers, soutient Christine Maestracci. Ce n’est pas un frein. »

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De derrière!!

15h45

18-05-2022

Parfait pour un décor New-Yorkais ça !!

Ça fait très décor de tournage ça!

Lol !

15h53

18-05-2022

Il y a un tournage sur la rue des soeurs-grises entre Wellington et William près de McGill av dans le vieux.

Je sais pas c’était quoi le tourbage, mais ils ont ajouté des enseigne en anglais et la quantité d’équipement était quand même majeur.

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14h43

21-05-2022

Un autre angle !!

Grosse Nouvelle!

Projet pour accueillir de grands studios hollywoodiens à Laval

Ulysse Bergeron
3 juin 2022
Économie

Le cofondateur des studios MELS Michel Trudel, qui est actuellement dans un bras de fer juridique avec Groupe TVA, le propriétaire de son ancienne entreprise, projette de concurrencer cette dernière en construisant et en exploitant à Laval un « complexe cinématographique d’envergure internationale », a appris Le Devoir .

Figure connue de la production cinématographique ici comme à Hollywood, Michel Trudel a pendant plus de 30 ans été responsable d’attirer des mégaproductions américaines à Montréal au nom des studios MELS. « Monsieur Cinéma », comme certains le surnomment, est derrière la venue de plusieurs grands projets hollywoodiens, notamment les films des franchises X-Men et Transformers.

En juin 2020, il a quitté MELS en mauvais termes avec Groupe TVA, qui en était devenu propriétaire en 2015. Depuis un an, il est dans un bras de fer juridique avec la filiale de Québecor au sujet d’indemnités de départ qui ne lui auraient été versées qu’en partie.

Or, en marge de l’affrontement juridique, l’homme d’affaires a créé en début d’année une nouvelle entreprise : Trudel cité du cinéma. Celle-ci convoite aujourd’hui deux terrains situés à Laval, à l’est du pont de l’autoroute 25, non loin de la rivière des Prairies, a constaté Le Devoir.

M. Trudel projette d’y construire une « cité du cinéma » qui pourrait accueillir de grandes productions et dont le modèle s’apparenterait considérablement à celui des studios MELS.

Il est question d’y construire trois bâtiments pour accueillir de grands studios de production, des ateliers de fabrication et d’effets spéciaux, des salles de maquillage et de costumes, ainsi que des bureaux administratifs et des salles pouvant accueillir les équipes de tournage.

Des espaces seraient aussi destinés à l’entreposage des équipements nécessaires, et un centre de formation destiné aux techniciens de l’industrie cinématographique devrait y être intégré.

Premiers balbutiements »
Des démarches ont été entreprises auprès de la Ville de Laval, propriétaire des terrains convoités. L’entreprise lui demande de changer les règlements de zonage, qui, à l’heure actuelle, ne permettent pas des activités de cette nature.

Michel Trudel a confirmé par écrit être « en discussion avec la Ville de Laval pour un projet de complexe cinématographique d’envergure internationale ». Résident de cette municipalité, il ajoute que c’est sa « façon de contribuer au développement économique de l’est de Laval », précisant que davantage d’informations seront dévoilées dans les prochaines semaines.

Le maire de Laval, Stéphane Boyer, confirme également les discussions actuelles, précisant que le projet « en est encore à ses premiers balbutiements » et qu’aucune entente n’est actuellement signée. Il dit voir d’un bon œil le développement de l’industrie cinématographique à Laval. « Cela pourrait notamment contribuer au développement de l’est de Laval, avance-t-il, en y accélérant le déploiement de transport en commun, en y créant des emplois et en soutenant les commerces locaux. »

Il ajoute : « Voir un jour des vedettes fréquenter nos restaurants et nos hôtels serait certainement un plus pour la région. »

Le retour de Michel Trudel à l’avant-scène de la production cinématographique québécoise laisse présager un affrontement potentiel avec Groupe TVA pour attirer dans la région de Montréal les productions locales et celles d’Hollywood.

Déjà, Groupe TVA et Michel Trudel sont devant les tribunaux depuis mars 2021. Les deux parties ne s’entendent pas sur les indemnités de départ qui ont été — et qui devraient — être versées à Michel Trudel. Ce dernier accuse la filiale de Québecor de ne pas respecter l’entente de départ, qui imposerait le versement de 450 000 $. Groupe TVA allègue pour sa part que M. Trudel s’est placé en conflit d’intérêts en faisant des « transactions financières personnelles » avec un fournisseur, et qu’il n’a donc pas à respecter le contrat.

Des besoins qui dépassent l’offre

« Il y a présentement un manque d’infrastructures pour accueillir le nombre grandissant de tournages dans la métropole, et les espaces supplémentaires seront les bienvenus », indique pour sa part Hélène Messier, p.-d.g. de l’Association québécoise de la production médiatique, précisant que les bénéfices réels pourront être évalués lorsque les détails du projet seront connus.

Elle souligne toutefois que si les coûts et les horaires d’occupation des nouveaux studios sont établis en fonction des budgets et des besoins des productions étrangères, « les producteurs indépendants du Québec n’auront pas les moyens de profiter des installations, eux qui doivent composer avec une fraction des budgets des équipes américaines ».

Concernant la présence d’un centre de formation rattaché au complexe, Hélène Messier dit qu’il devrait contribuer « à répondre à une demande accrue pour des professionnels de l’audiovisuel qualifiés. Comme vous le savez sans doute, notre secteur connaît lui aussi une pénurie de main-d’œuvre sans précédent ».

Christine Maestracci, p.-d.g. du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ), ne veut pas commenter de projet précis : « Mais on accueille toute initiative qui va faire en sorte que notre écosystème va avoir l’occasion de grandir, aussi bien pour le local que l’international. »

Le BCTQ soulignait l’an dernier que le nombre actuel de studios ne suffisait plus à la demande des studios de production américains. L’organisme estimait alors que la superficie des espaces de tournage dans la province devait presque doubler, soit passer de 450 000 à 800 000 pi2. La construction d’espaces de production additionnels coûterait 382 millions de dollars, selon une étude commandée par le BCTQ.

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Un message a été fusionné à un sujet existant : Cité du cinéma (Laval)

Tournage de Scream 6 à Montréal

Les acteurs semblent demeurer dans divers appartements de Griffintown

Sur une des photos, on peut reconnaître la terrasse arrière de l’Hôtel Griffntown avec le Square Gallery en arrière plan.

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Alors comme ça, e-one fou le camp et ferme Film Seville?

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