STM - Discussion générale

Est-ce qui y a déjà eu des discussions à la STM sur la possibilité de ressusciter le projet de la ligne 6? exo ne sait clairement pas quoi faire avec la ligne Mascouche.

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Ça a toujours été un projet du MTQ, pas de la STM ou de ses ancêtres. Pourtant selon moi ce serait une excellente idée. Ça répondrait en partie aux besoins de Montréal-Nord et de Pointe-aux-Trembles pour avoir accès au centre de l’île

Transports en commun La STM vise 85 % de l’achalandage « pré-pandémie » d’ici l’automne


PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE | Le niveau d’achalandage actuel est d’environ 59 % par rapport à ce qui était observé avant la crise sanitaire dans le réseau de la STM, en moyenne.

Le retour à la normale approche dans le métro et les autobus de la métropole. La Société de transport de Montréal (STM) estime en effet qu’elle atteindra jusqu’à 85 % de son achalandage « pré-pandémie » d’ici cet automne.

21 mars 2022 | Publié à 12h31 | HENRI OUELLETTE-VÉZINA | LA PRESSE

C’est du moins ce qu’a révélé l’opérateur en début de journée lundi, en lançant du même coup une campagne de communication axée sur la « reconnexion » des usagers avec le transport collectif, de différentes manières.

Si la vague Omicron a retardé le retour des usagers en transport collectif, le niveau d’achalandage actuel est d’environ 59 % par rapport à ce qui était observé avant la crise sanitaire dans le réseau de la STM, en moyenne. Dans le métro, ce chiffre est de 56 %, pendant que dans les bus, il atteint 61 %. C’est le transport adapté qui est toutefois le plus avancé, à 66 % du niveau « pré-pandémie ».

Pour l’heure, la société de transport estime que « l’achalandage devrait atteindre 75 % à 85 % du niveau pré-pandémie à l’automne ».

Selon le président du conseil d’administration de l’organisation, Éric Alan Caldwell, « le retour progressif à la vie normale, avec la levée des mesures sanitaires, jumelé à la hausse du coût de la vie et des prix, constituent le moment opportun pour relancer le transport collectif et rappeler son importance pour faciliter les déplacements à Montréal ».

Avec le slogan « On se reconnecte », la STM invitera durant huit semaines les Montréalais à « reprendre leurs habitudes » et à utiliser le métro ou les bus pour rendre visite à des amis, aller au restaurant ou au travail. Divers affichages sont prévus dans le métro et les bus.

Appelée à réagir lundi, la mairesse Valérie Plante s’est réjouie du retour anticipé en masse des usagers de transport collectif. « Qu’on soit rendus à 60 %, c’est une très bonne nouvelle. L’été va être une période plus tranquille, les gens seront en vacances, mais ces chiffres sont vraiment positifs. J’invite tous les Montréalais à prendre le métro. Ça demeure sécuritaire, et ça reste quand même la meilleure façon de se déplacer à Montréal », a-t-elle dit.

Le port du masque demeure pour le moment obligatoire tout au long des déplacements en transport collectif. Il devrait le rester au moins jusqu’en mai, selon ce qu’a laissé entendre le ministre de la Santé, Christian Dubé, dans les dernières semaines.

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C’est vraiment une bonne nouvelle. J’espère que les bus reviendront bientôt à leur fréquence pré-COVID. Je prends souvent la 14 Atateken entre le Village et Mont-Royal la fin de semaine. Dernièrement, la ligne était passé d’un passage aux 30 min (pas idéal, mais gérable) à un passage à l’heure, ce qui la rendait franchement inutilisable. Ça me prenait moins de temps de marcher la distance que d’attendre le bus.

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L’achalandage à la STM a encore diminué de 2020 à 2021


La STM affirme que malgré les fluctuations de l’achalandage liées à la COVID-19, en 2021, elle a pu offrir à ses clients un service de qualité.
PHOTO : ISTOCK / MARC BRUXELLE

Adama Diouf
à 14 h 45

La Société de transport de Montréal (STM) a enregistré en 2021 une baisse d’achalandage de 3,6 % sur son réseau par rapport à 2020, a indiqué un rapport d’activité de la société publié jeudi matin.

Ce sont 165,5 millions de déplacements qui ont été effectués au cours de l’année 2021 sur le réseau régulier de la Société de transport de MontréalSTM, alors qu’en 2020, le nombre de clients ayant utilisé ses services s’élevait à 171,7 millions.

Cette baisse est due à la crise sanitaire liée à la COVID-19. En 2021 comme en 2020, la pandémie et les mesures sanitaires étendues sur toute l’année ont considérablement modifié les besoins et les habitudes de la clientèle, a expliqué la STM.

Toutefois un regain d’achalandage a été constaté avant que ne déferle sur Québec la vague Omicron. Un pic à 60 %, le plus haut niveau jamais mesuré depuis le début de la crise en 2020, a été observé au début du mois de décembre 2021, souligne le transporteur montréalais.

Par contre, cette baisse d’achalandage n’a nullement affecté la qualité de service offert aux usagers, selon le président du conseil d’administration de la STM, Éric Alan Caldwell.

« Malgré cela [la pandémie], elle [la STM] a su faire preuve d’agilité en s’adaptant aux conditions toujours changeantes du contexte pandémique et a offert à sa clientèle un service fiable et sécuritaire. »

— Une citation de Éric Alan Caldwell

Des projets réalisés

Avec un budget de 1,5 milliard de dollars et des investissements de 1,2 milliard, la Société de transport de MontréalSTM a enregistré un surplus budgétaire de 38,2 millions $ en 2021, selon ses dirigeants.

De surcroît, la société a fait savoir que malgré la baisse de l’achalandage, elle a poursuivi ses projets, comme en témoignent les nombreuses réalisations sur l’ensemble de son réseau.

Côté bus, la STM souligne que le nombre de véhicules qui ont été immobilisés pour entretien a poursuivi sa tendance à la baisse et s’établit à 16,2 %, la moitié de ce qu’il était en 2019. En ce qui concerne les infrastructures, trois centres de transport ont été agrandis.

Quant au service du métro, la STM affirme avoir acquis un 71e et dernier train AZUR. Elle annonce que le nouveau garage de la station de Côte-Vertu sera bientôt mis en service.

La société indique que son transport adapté a été renforcé et développé, tout en respectant sa politique de zéro refus des demandes des clients.

En dépit de la pandémie, le transport adapté a assuré plus de 2 millions de déplacements en 2021, mentionne le rapport.

Tout cela fait réjouir ses dirigeants.

« En 2021, la STM a su démontrer son savoir-faire et son adaptabilité autant dans la réalisation de nombreux grands projets que dans la livraison de service, et ce, avec l’objectif de toujours mieux répondre aux besoins en mobilité de la clientèle. »

— Une citation de Extrait du rapport d’activité 2021 de la STM
L’achalandage à la STM a encore diminué de 2020 à 2021 | Radio-Canada

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Je piggy back sur une observation que j’avais faite sur le fil du Art de vivre.

À terme, une fois que la rue Bleury ne sera plus l’entenoir qu’elle est depuis au moins 5 ans, j’aimerais qu’on fasse descendre la 80 jusqu’à Notre-Dame pour connecter le centre-ville avec le Vieux-Montréal. Donc, au lieu de rejoindre Saint-Laurent. La 480, elle, peut continuer sur René-Lévesque vers Guy-Concordia.

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Séance du conseil d’administration du 1er juin 2022

1 juin 2022

STM - Mouvement collectif

Lentement, mais sûrement. Le petit train fait son chemin. :wink: :+1:

STM: retour lentement mais sûrement à l’achalandage pré-pandémique


Photo: Photcal.com

Journal Métro | MOBILITÉ | 20 juin 2022 à 5h00 | Quentin Dufranne

Le transport en commun retrouve peu à peu sa popularité d’avant la pandémie. En mars et en avril, la Société de transport de Montréal (STM) a enregistré un achalandage totalisant plus de 60% des niveaux pré-pandémiques. Ce qui n’a pas été vu depuis le premier confinement.

Durement affectée par la pandémie, la STM espère pouvoir retrouver 75% à 85% de son achalandage de 2019 d’ici l’automne. Les derniers chiffres, obtenus par Métro, montrent qu’elle est sur la bonne voie. Pour le mois d’avril 2022, l’achalandage du métro montréalais s’élevait à 58% des niveaux historiques. Il était de 65% pour les déplacements en bus. L’achalandage total sur le réseau de la STM se situait quant à lui à 60% des niveaux pré-pandémiques.

Les chiffres étaient encore meilleurs en mars. Le métro a atteint 59% et le bus 68%, pour un total de 62% sur l’ensemble du réseau. Les chiffres pour mai et juin n’ont pas encore été officialisés.

C’est une excellente nouvelle de voir les clients revenir vers le transport collectif, alors que c’est une solution éprouvée et essentielle dans la lutte aux changements climatiques.

Philippe Déry, conseiller corporatif à la STM

À pareille date l’an dernier, les entrants n’avaient jamais dépassé 35% des niveaux pré-pandémiques selon les chiffres fournis par la STM. À noter que le Québec était alors sous le joug du premier couvre-feu. Ce qui n’était pas le cas ce printemps, même si la province traversait le plus fort de la sixième vague. À l’automne 2021, lors du dernier coup de sonde de Métro, l’achalandage avait atteint 55%.

Même si de nombreux voyageurs boudent encore les transports en commun, la STM semble confiante d’atteindre les objectifs qu’elles s’étaient donnés pour l’automne 2022.

La STM a enregistré son plus faible taux d’achalandage en avril 2020. Il était de 14% sur l’ensemble du réseau. Le réseau de bus était légèrement moins impacté avec 20% d’achalandage. Le métro enregistrait quant à lui 9% d’achalandage pré-pandémique.

Vers un retour à 100%?

Le retour des voyageurs a été favorisé notamment par la levée de nombreuses restrictions sanitaires. Mais la pandémie a redessiné les déplacements de nombreux travailleurs. Entre télétravail et le développement des services en visioconférences, pourra-t-on revoir la «classe sardine» s’entasser à nouveau dans les transports en commun?

L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) prévoit un retour à la normale de l’achalandage. Mais sur un horizon de plusieurs années.

«Selon l’ARTM, une baisse durable de 15% de l’achalandage, par rapport aux niveaux de 2019, est à prévoir pour quelques années. Notamment en raison de la nouvelle réalité du marché du travail, comme le télétravail», explique Philippe Déry.

Récemment, la Ville de Montréal a annoncé la gratuité du métro les fins de semaine pour sept stations du centre-ville. La STM dit accueillir «très favorablement» cette mesure.

«L’achalandage estimé pour cet été aux sept stations ciblées du centre-ville est d’environ 136 000 entrants par fin de semaine. Notre expérience lors d’autres journées de gratuité tend à démontrer que cette mesure a un certain effet favorable sur l’achalandage», explique la STM

En mars dernier, la STM a lancé une campagne afin de se «reconnecter» avec la clientèle et augmenter ainsi l’achalandage dans son réseau.

Même si l’achalandage n’est qu’a 60% je serais près a parier que les revenue sont raisonnablement plus élevé en %.
beaucoup plus de monde paye le plein prix de billet individuel plutôt que des passes mensuel.

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Nouvelle DG à la STM

Marie-Claude Léonard nommée DG | La STM veut faire la preuve qu’elle est un « bon investissement »


PHOTO FOURNIE PAR LA STM
Le président du conseil d’administration de la STM Éric Alan Caldwell et la nouvelle directrice générale Marie-Claude Léonard

Pour regagner l’ensemble de son achalandage au sortir de la pandémie de COVID-19, la Société de transport de Montréal (STM) compte « se réinventer », mais surtout faire la démonstration aux différents gouvernements qu’elle est un « bon investissement ».

Publié à 12h26
HENRI OUELLETTE-VÉZINA
LA PRESSE

« On est très conscients que si on coupe le service, on les regagnera pas, ces usagers. Il faut ravoir nos parts d’achalandage, et donc restructurer le financement. Pour nous, ça passe par de solides relations avec nos partenaires, donc Québec, Montréal, Ottawa, et les autres », explique le président du conseil d’administration de l’organisme, Éric Alan Caldwell, en entrevue avec La Presse.

Il affirme que la société de transport aura beaucoup à faire dans les prochains mois pour « convaincre ses partenaires » et « démontrer l’efficacité de l’investissement qu’on va assurer ». « Au-delà des services, on a tout un travail de persuasion à faire, d’identification de solutions, et de réflexion sur les mécanismes du transport collectif. Dire qu’il nous manque de l’argent, c’est facile, mais le trouver et le structurer, c’est plus difficile », fait valoir le président de la STM.

Le tout survient alors que le conseil d’administration de la STM a entériné vendredi la nomination de Marie-Claude Léonard à titre de directrice générale. L’ex-directrice de l’exploitation du réseau du métro et des bus occupait l’intérim depuis le départ de son prédécesseur, Luc Tremblay, en avril. Mme Léonard, qui est à l’emploi de la STM depuis 30 ans, dont 20 comme gestionnaire, a gravi plusieurs échelons au fil de sa carrière, ayant notamment commencé comme commis à la caisse, pendant ses études.

Dans une déclaration, la principale intéressée a dit vendredi vouloir « mettre en valeur le plein potentiel des employés de la société qui contribueront à moderniser l’organisation et la rendre encore plus performante pour répondre aux attentes de nos clients et des générations futures, comme leader de la mobilité durable ».

« Les défis post-pandémiques sont grands pour la STM, mais je suis convaincue que vous saurez les relever avec brio. Notre administration est enthousiaste de collaborer avec vous pour favoriser le transport collectif », a réagi vendredi la mairesse de Montréal, Valérie Plante.

Des solutions à trouver

Avec les nouvelles réalités qu’imposent le travail hybride, le financement du transport collectif demeure selon lui « un énorme défi pour lesquelles les solutions ne sont pas encore toutes trouvées ». « On ne peut pas dire que tout est clair, que tout est encore débloqué, mais je sens certainement une mobilisation pour passer à une autre étape », indique M. Caldwell.

En ce moment, environ 62 % de l’achalandage pré-pandémique global est de retour dans le transport collectif de Montréal. Quelque 59 % des usagers du métro sont revenus, et dans les autobus, on atteint 65 %. Au fil du temps, depuis le début de la pandémie, plusieurs prévisions d’achalandage se sont révélées inexactes, au vu des nouvelles vagues de contamination.

« Force est de constater que toutes ces prévisions, il faut les mettre au recyclage, dit Éric Alan Caldwell. Pour moi, la clé, c’est surtout l’agilité, donc de collecter des données pour comprendre réellement les besoins des gens. Il faut miser là-dessus. À trop vouloir faire des prévisions, on passe à côté de la cible. »

Quant à la nouvelle DG, M. Caldwell affirme que plusieurs « candidatures de très haut niveau » ont été reçues, mais que le profil de Mme Léonard s’est tout de même distingué. « Ça a été une course de front, avec tout un processus derrière. Mais c’est elle qui s’est distinguée. Son expérience sera très pertinente pour nous. Elle a géré la cellule de crise de la STM pendant la pandémie. Et elle n’a jamais privilégié le statu quo. On est d’accord sur un point : on ne peut plus continuer comme ça à la STM », évoque-t-il.

En quittant son poste, Luc Tremblay – qui était à l’emploi de la société depuis 28 ans – avait déploré qu’il manque deux éléments fondamentaux pour débloquer le plein potentiel de la STM : « une refonte du financement des transports collectifs et une gouvernance métropolitaine efficace ».

« La structure de financement, qui date des années 90, est totalement déconnectée des nouveaux besoins pour notre secteur », avait-il renchéri, dans une attaque à peine voilée contre l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). Il avait clairement dénoncé que sa gouvernance est « dysfonctionnelle à plusieurs égards et tarde à livrer les bénéfices qui devaient y être associés, ce qui a pour effet de plomber l’essor du transport collectif dans la région ».

EN SAVOIR PLUS

80,6 %
C’est le taux de réalisation des projets de la STM, selon son rapport annuel 2021. Principal chantier de mobilité dans la métropole, la ligne bleue a vu son budget de 6,4 milliards être confirmé, en mars, par Québec et Montréal. Des économies d’environ 1,1 milliard ont été dégagées par rapport aux coûts initiaux. Le projet devrait être livré en 2029.

MINISTÈRE DES TRANSPORTS DU QUÉBEC (MTQ)

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Une étape de plus vers le paiement par carte bancaire dans le métro de Montréal

Les nouveaux tourniquets (à gauche) remplaceront graduellement les anciens tourniquets (à droite).

Photo : Twitter
Radio-Canada
Publié hier à 16 h 10

La Société de transport de Montréal (STM) a entamé l’installation de nouveaux tourniquets qui permettront à terme la lecture des cartes bancaires.

La STM

a indiqué sur Twitter que “l’installation de ces infrastructures devrait s’échelonner sur environ un an”.

“En plus d’être munis de nouveaux écrans plus visibles et lisibles, à terme, nos valideurs seront compatibles avec la technologie NFC et permettront la lecture des cartes bancaires”, mentionne la STM

.

Questionnée par un usager qui se demandait si la nouvelle technologie incorporée dans les tourniquets allait permettre de concrétiser le projet visant à avoir la carte Opus dans son propre téléphone, la STM

prône la patience.

“L’orientation choisie vise en effet à permettre les portefeuilles électroniques. Il reste cependant à mettre en place la technologie allant avec ces infrastructures, qui relève d’un projet mené à l’échelle métropolitaine via l’ARTM”

, répond l’organisation montréalaise. Ce projet est dans les cartons depuis plus de 7 ans.

Au moment de publier, Radio-Canada était en attente d’une réponse de la STM

concernant le coût de remplacement des tourniquets et l’horizon de déploiement du paiement par carte bancaire.

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Je m’excuse, mais je dois passer un coup de gueule et cela me semblait le thread le plus pertinent. J’ai eu plusieurs fois à prendre le train dans les derniers mois, et je le prend aujourd’hui encore, et à chaque fois je suis exaspéré par le transfert entre Bonaventure et la Gare Centrale. Des trois minuscules portes tournantes, aux séries d’escalators dont les minuscules qu’il faut prendre avant d’arriver à la gare, en passant par les nombreuses portes, on dirait qu’on a tout fait pour rendre le trajet entre le métro et la gare le plus ardu possible pour les voyageurs. Avec une valise en plus, c’est un parcours du combattant. Avec le projet du train à haute fréquence, on devrait en profiter pour rendre l’expérience plus agréable.

En plus aujourd’hui avec la tempête il y avait des inondations qui ont stoppé les escalators, et il y a de l’eau qui coule à plusieurs endroits dans la salle des pas perdus…Ça fait dur.

Désolé, je devais me vider le coeur :sweat_smile:

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Personnellement, je dois avouer n’avoir aucun amour pour la gare centrale. Je comprends que certains éléments sont considéré comme patrimoniaux, mais ça ne me dérangerait vraiment pas de voir une part importante de l’ensemble être démoli et remplacé par une gare plus moderne, mieux conçu. Au pire, on ne concerne que les éléments les plus intéressants et on les intègrent à la nouvelle gare. Pour l’instant, la gare actuelle suffit à la tache, mais éventuellement, il va falloir faire quelque chose si on veut augmenter la part de transport en commun.

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Autre argument pour l’aérien, si ceci devient la norme:

Le déluge a causé une accumulation d’eau sur plusieurs rues de la métropole, dont l’intersection Jeanne-Mance et Viger Ouest, ainsi qu’Iberville et Saint-Joseph. La station de métro Square-Victoria–OACI et le corridor entre la station de métro Bonaventure et la gare Centrale de Montréal sont également inondés.


  • PHOTO TIRÉE DE TWITTER @ORFALI
    La station de métro Square-Victoria – OACI

  • PHOTO TIRÉE DE TWITTER @BIGHISSES
    La station de métro Bonaventure
    Par ailleurs, une interruption de service sur la ligne orange du métro entre les stations Crémazie et Montmorency est prévue jusqu’à 19 h. Le service sur le reste de la ligne peut également s’en trouver ralenti.
    La pluie abondante est causée par l’arrivée d’un système dépressionnaire en provenance des Grands Lacs.
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Je me promène là-bas depuis la mi-août quand je suis revenu à Montréal, et les escaliers mécaniques ne fonctionnent plus depuis, ce qui est ridicule

I’ve never seen the metro stations not handle heavy rains until this year. We have had heavy rainfalls this year, but the fact that now streets and metros are getting flooded easily or leaks just shows that Montreal’s infrastructure is in dire state. We also have to realize that this means Montreal is not prepared to mitigate climate change and there needs to be serious investments to tackle this issue.

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Il a plu 25mm en une heure, c’est exceptionnel. Si je ne me trompe pas, nos infrastructures sont conçues pour du 24mm/h.

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je dirais plutôt un argument pour des édicules fermés au lieu des escalier à ciel ouvert.

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I’d say it’s more an argument against heavy rain. Also, Guignard did nothing wrong.