STM - Discussion générale

Est-ce qu’on sait quel département vont écoper le plus? J’imagine que c’est probablement les départements comme la planification qui vont écoper le plus. Après le fameux rapport dévastateur, il ne faut pas trop se surprendre. C’est la réplique de Legault. Il se débarrasse d’employers jugé nuisible de manière détourné dans le cadre de compressions budgétaires.

La prochaine fois que le gouvernement présente un projet, la STM et l’ARTM vont avoir moins d’effectifs pour produire un autre rapport. Bref, le résultat est à peu près ce à quoi je m’attendais depuis un bout. Reste à voir à quoi va ressembler la nouvelle agence du gouvernement et si il va y avoir un réinvestissement en 2024.

Si c’est comme d’habitude, ça sera des postes non attribuées qui seront «abolis». Le manque de main-d’œuvre a du bon, plus facile de faire des coupes sans que ça affecte le nombre réel d’employés !

La STM compte supprimer 255 postes


Valérian Mazataud, Le Devoir
La STM affirme redoubler d’ardeur afin d’optimiser ses dépenses, après s’être engagée à faire des économies de « 100 millions en cinq ans », sans toutefois réduire l’offre de service.

Florence Morin-Martel
30 novembre 2023
Transports / Urbanisme

La Société de transport de Montréal (STM) entend abolir 255 postes, soit environ 5 % de son effectif, afin de générer des économies, sans toutefois « toucher à l’offre de service ». L’annonce faite mercredi a provoqué la consternation du syndicat du personnel administratif, technique et professionnel de l’entreprise publique.

La pandémie a exacerbé les défis financiers majeurs auxquels le transport en commun faisait déjà face. La STM affirme donc redoubler d’ardeur afin d’optimiser ses dépenses, après s’être engagée à faire des économies de « 100 millions en cinq ans », sans toutefois réduire les services offerts à la population. « Une réduction de 5 % de la masse salariale fait partie des mesures pour atteindre notre objectif », a soutenu Amélie Régis, des affaires publiques de la Société.

À la mi-novembre, la STM avait fourni aux médias son budget préliminaire, selon lequel il lui manquait 35,6 millions de dollars pour boucler son budget 2024. Quand ce dernier sera achevé et approuvé, l’entreprise sera en mesure de faire le point, a assuré jeudi Mme Régis.

Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) a pour sa part souligné que ses membres étaient « particulièrement choqués » de l’annonce de mercredi. Il y a deux semaines, la STM avait évoqué « l’abolition de 120 postes, alors qu’aujourd’hui, il s’agit plutôt du double », a-t-il déploré.

« Les emplois non syndiqués, syndiqués, administratifs et professionnels sont notamment touchés », précise l’organisation syndicale.

Rencontre à venir

Le syndicat a prévu une réunion avec la direction de la STM la semaine prochaine afin d’obtenir plus de détails concernant le plan de restructuration de l’entreprise. « Il est important pour nous de préserver non seulement les emplois, mais aussi la qualité du service offert au public, et ce, malgré les défis financiers rencontrés par la Société », soulève le président de la section locale SCFP 2850, Stéphane Lamont.

Ce dernier se dit toutefois conscient du contexte plus large à considérer, comme « le bras de fer en cours concernant le financement des sociétés de transport entre Québec et les municipalités ».

Début novembre, le gouvernement de François Legault a dévoilé son offre finale qui épongera, selon son analyse, 70 % du déficit du transport en commun en sol québécois, avec une somme de 265 millions de dollars.

Or, d’après les villes de la grande région de Montréal, le déficit est en réalité plus élevé. Afin de couvrir 75 % de celui-ci, elles réclament à Québec une contribution additionnelle de 128 millions de dollars.

Avec Zacharie Goudreault

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Je sais qu’on est pas sur l’autre forum et sa mascotte célèbre, mais seigneur que la photo choisie pour la rame du métro n’est pas flatteuse… des scratch noires à la grandeur.

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Mais à propos quand l’entretien se fait sabrer en ce moment pour équilibrer les budgets!

Si on veut que nos Azure restent beaux longtemps, repousser le calendrier de maintien ne va pas aider.

En effet, mais il faut avouer dans ce cas que l’entretien est sabrée depuis fort longtemps et ne semble pas liée aux compressions récentes. La peinture des MR-63 à la fin étaient rendus dégeulasses à la fin. Les MR-73 ne sont pas tellement mieux.

Effectivement, mais ça tient quand même à la base à un financement restreint de nos TEC. Ces voitures ont roulées longtemps, c’était ça la priorité d’entretien. Si la STM avait les ressources pour mieux entretenir l’apparence de ses équipements, elle le ferait. Mais en termes de priorité avec des ressources retreintes, ça passe en dernier.

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Ah je suis d’accord, il y en a pour 10 milliards en travaux requis et seulement la moitié est financée…

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https://twitter.com/stminfo/status/1731689897646285289?t=5IagDsZ8lhqd5tB03UO33Q&s=19

So they still recognize the green express line or they forgot that this asset needs to be remade with purple.

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It’s probably an asset that was made a long time ago, and the person that is monitoring the social media accounts is just reusing it. I don’t think the person who operates the accounts, does the design themselves.

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You’re right, I also believe 99% of people wouldn’t notice a detail like that :sweat_smile:

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Service de métro maintenu tel quel

La STM sabre ses dépenses de 85,6 M$ en 2024

Des gens marchent sur le quai du métro, alors qu'un train passe.
La station de métro Jean-Talon, à Montréal (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS

Radio-Canada
Publié hier à 22 h 21 HNE

La société de transport de Montréal (STM) a annoncé mercredi soir une réduction de ses dépenses de 85,6 millions de dollars pour 2024.

La STM avance que cette réduction ne modifiera pas le niveau de service.

[Le] budget, qui s’élève à 1,77 G$, maintient donc l’offre de service bus et métro au niveau de 2023 et augmente celle du transport adapté de 29,5 % pour atteindre le niveau de 2019, et ce, malgré les défis liés au financement.

Une citation de Extrait du communiqué de la STM

Cette réduction du budget se concrétisera notamment par une diminution de la masse salariale de 4 %, selon la STM, qui ne précise pas le nombre de postes éventuellement touchés.

En 2024, nous délaissons les économies non récurrentes au profit de mesures récurrentes, notamment par une baisse de la masse salariale des employés et des cadres non liés à l’exploitation et par une diminution du budget de biens et services, écrit la STM.

Par ailleurs, la STM s’engage pour les cinq années à venir, à générer 100 M$ en réduction récurrente de ses dépenses, sans impacter le service offert à la clientèle.

Concernant les infrastructures, on indique que, d’ici 2030, 93 % des infrastructures de la STM auront atteint plus de 40 ans de durée de vie utile. Ainsi, la société prévoit une hausse du programme des immobilisations de 0,7 G$, soit un total de 21,1 G$ pour les 10 années à venir.

Plus tôt dans la journée, Radio-Canada rapportait que la Société de transport de Laval avait quant à elle récemment informé ses employés que 41 postes seront abolis pour l’exercice budgétaire de 2024.


Budget 2024 et PI 2024-2033: La STM réduit ses dépenses de 85,6 M$ tout en maintenant le niveau de service

Communiqué
6 décembre 2023

À la suite de la confirmation de sa rémunération par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), la Société de transport de Montréal (STM) dépose son budget final pour 2024 qui inclut 85,6 M$ en réduction de dépenses tout en maintenant le niveau de service. Il s’agit d’efforts colossaux qui impacteront la capacité de l’entreprise à maintenir la qualité de l’expérience globale des clients. Ce niveau d’efforts ne pourra suivre ce rythme dans les prochaines années, sans mettre à risque la capacité à maintenir l’offre de service.

Ce budget, qui s’élève à 1,77 G$, maintient donc l’offre de service bus et métro au niveau de 2023 et augmente celle du transport adapté de 29,5 % pour atteindre le niveau de 2019, et ce, malgré les défis liés au financement.

« La STM est engagée à trouver des pistes d’économies à même ses dépenses, mais ne peut à elle seule résoudre l’entièreté du problème du financement du transport collectif. Il est primordial de conserver le niveau de service et même de poursuivre son développement pour continuer d’être un mode de transport attractif pour notre clientèle d’aujourd’hui et de demain. Il serait dramatique de briser l’élan de la relance du transport collectif à ce moment charnière de la reprise », a fait savoir le président du conseil d’administration de la STM, Éric Alan Caldwell.

Réduire les dépenses de façon récurrente

La STM est décidée à faire sa juste part dans le contexte financier difficile et elle a mené des efforts considérables pour contrôler ses dépenses dans les dernières années.

« En 2022 et en 2023, nous avons sécurisé des économies non récurrentes respectives de l’ordre de plus de 18 M$ et de 52 M$. En 2024, nous délaissons les économies non récurrentes au profit de mesures récurrentes, notamment par une baisse de la masse salariale des employés et des cadres non liés à l’exploitation et par une diminution du budget de biens et services. Ces mesures auront des effets à long terme, ce qui marque un tournant majeur pour la STM », a expliqué la directrice générale de la STM, Marie-Claude Léonard.

Malgré ces efforts, la STM complète son exercice de planification budgétaire pour 2024 avec un risque financier de 45,95 M$. Ce montant comprend un objectif d’optimisation de dépenses sous forme de risque à pourvoir de 35,6 M$ ainsi qu’une somme de 10,3 M$ qui nécessite des actions à identifier en vue de maintenir le service. La STM poursuit ses discussions avec ses partenaires pour trouver des solutions renouvelées et viables pour l’exercice 2024 visé et sur le long terme.

Concernant le risque à pourvoir de 35,6 M$, la STM entend :

  • Réduire sa masse salariale de 4 % de plus que le 1 % déjà réalisé sur des postes non liés à la livraison du service : 24 M$
  • Réduire ses dépenses en biens et services (ex : services professionnels et techniques, fournitures, location) : 9 M$
  • Ajuster le budget d’exploitation spéciale de certains projets : 3 M$

En plus des actions en cours, la STM s’engage également, pour les cinq années à venir, à générer 100 M$ en réduction récurrente de ses dépenses, sans impacter le service offert à la clientèle. Pour y arriver, la STM devra, toutefois, pouvoir compter sur des sources de revenus pérennes et prévisibles.

Modernisation des réseaux : performance et capacité accrues

Pour que le transport collectif puisse continuer d’offrir les bénéfices attendus, malgré le contexte financier difficile, la STM doit continuer de moderniser et de développer ses réseaux. D’ici 2030, 93 % des infrastructures de la STM auront atteint plus de 40 ans de durée de vie utile. Devant ces constats, le Programme des immobilisations 2024-2033 totalise 21,1 G$, en hausse de 0,7 G$ par rapport à 2023.

Ces investissements permettent d’optimiser l’usage des actifs existants, d’augmenter la capacité de l’offre, d’améliorer l’accessibilité du métro et de soutenir l’attractivité du transport collectif, sans avoir à construire de nouveaux équipements.

Budget 2024

PI 2024-2033

Je crois que dans le cas de la STM sur les dépenses autant le gouvernement que la STM ont raisons. Cependant, le premier responsable est le gouvernement. Il devrait avoir des investissements massifs pour intégré des technologies plus performantes: tramway dans les corridors du CV, plus de bus articulé, automatisation du métro si possible. Et alors, on pourra diminuer les couts d’exploitations par la suite.

Il devra aussi avoir une rationalisation des ressources. Est-ce qu’il y a trop de ligne d’autobus qui ont des trajets non-linéaire , je crois que oui.

Vous en pensez-quoi?

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Le problème c’est que notre gouvernement semble allergique aux décisions à long terme. La preuve : on sabre dans l’amélioration du réseau pour payer le déficit actuel. Je doute fortement que Québec soit capable de comprendre que l’investissement à long terme est une solution. On n’a qu’à regarder l’état des routes et le déficit d’entretien des infrastructures pour comprendre qu’un changement de mentalité est nécessaire.

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C’est parce que politiquement ce qui paie c’est les nouvelles infrastructures, pas la maintenance des anciennes. Après on se ramasse avec des ponts de l’Île-aux-Tourtes qui coutent 2 milliards à remplacer.

Fort heureusement, la STM et la Ville de Montréal ont des leviers qui leurs sont propres. Améliorer la vitesse moyenne du réseau bus peut se faire (jusqu’à un certain point) sans l’aide de Québec, et ça ça permet de générer des économies liées à l’efficacité du réseau.

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Transport collectif Le couperet tombe à la STM, 230 postes supprimés

PHOTO ARCHIVES LA PRESSE

Les cibles du programme de remplacement des trains AZUR pourraient être revues à la baisse.

La Société de transport de Montréal (STM) devra finalement éliminer 230 postes, l’équivalent d’une baisse de 5 % sur sa masse salariale. Le transporteur assure que ces compressions n’affecteront pas le niveau de service, mais ne cache pas qu’il craint pour la suite en 2025.

Publié à 14h00

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Henri Ouellette-Vézina
Henri Ouellette-Vézina La Presse

« C’est la dernière chose qu’on veut faire, mais on se doit d’équilibrer notre budget », a laissé tomber jeudi la directrice générale de la STM, Marie-Claude Léonard, en conférence de presse dans le centre-ville.

Des compressions de 50 millions avaient déjà été annoncées lors du dernier budget, mais il restait encore un manque à gagner de 46 millions à éponger.

Trois mesures permettront de combler une importante partie de ce manque à gagner résiduel, soit 36 des 46 millions. La suppression de 230 postes permettra d’abord à elle seule de dégager au moins 25 millions. Tous les travailleurs concernés, qui ont été rencontrés dans les derniers jours, sont des employés ou des cadres « non liés directement à l’offre de service ».

Autrement dit, il ne s’agit pas de chauffeurs de bus ou de métro. Des départements administratifs, comme l’approvisionnement, les relations partenaires, la communication ou la comptabilité, seront les plus touchés. Environ 70 % des postes étaient déjà vacants ; ce sont donc 60 personnes qui perdront un emploi actif.

Les dépenses baisseront aussi de neuf millions en matière de biens et services, ce qui inclut par exemple les campagnes de communication ou de marketing. Une somme de deux millions sera aussi tirée en ajustant le budget d’exploitation de certains projets. Les cibles du programme de remplacement des trains AZUR pourraient par exemple être revues à la baisse. Il restera donc 10 millions au manque à gagner de la STM. Au total, les coupes seront de l’ordre de 86 millions.

Un service préservé… à court terme

Pour le moment, le niveau de service demeurera intact, ce à quoi s’était formellement engagée la société au cours des derniers mois. La fréquence du transport adapté sera quant à elle augmentée de 29,5 %, permettant de retrouver le niveau de 2019.

N’empêche, Mme Léonard ne cache pas qu’elle a beaucoup d’inquiétudes pour la suite. « C’est certain qu’on craint pour l’offre de service de 2025, a-t-elle affirmé. Au moins, comme on bascule vers des pistes de réduction de dépenses récurrentes, on ne partira pas avec un déficit d’année en année, mais c’est certain qu’on a encore des inquiétudes. »

Le tout survient alors que s’amorceront bientôt de nouvelles négociations en vue de la mise sur pied d’un cadre de financement « récurrent et prévisible » sur cinq ans dans le transport collectif, un mandat que s’est donné la ministre des Transports, Geneviève Guilbault. Les discussions à court terme, pour 2024, s’étaient terminées abruptement en décembre dernier, après des semaines de négociations sur la place publique.

« Ce qu’on souhaite avoir, c’est de la prévisibilité, que ça ne se règle pas à la fin de l’année », s’est limitée à dire Mme Léonard sur le sujet, jeudi.

Québec lancera aussi prochainement des audits de performance sur les dix sociétés de transport du Québec, avec pour objectif d’évaluer les dépenses de ces opérateurs. « Notre objectif à travers ça va être de démontrer l’efficacité de la STM », a persisté la DG, en assurant que son groupe est déjà audité par plusieurs firmes externes dans le cadre de ses activités régulières.

165 millions en trois ans

En trois ans, soit depuis l’année fiscale 2022, l’opérateur de transport collectif aura donc effectué des coupes budgétaires de l’ordre de 165 millions au total. Ces compressions avaient été de 27 millions en 2022, puis de 52 millions en 2023, pour finalement atteindre 86 millions en 2024.

Lors de son plan budgétaire préliminaire à la mi-novembre, que La Presse avait d’abord révélé, la STM avait initialement évoqué la suppression des 120 effectifs. Vu l’augmentation des compressions, on savait toutefois depuis que la STM, dont les finances sont fragiles comme l’ensemble des sociétés de transport, devrait supprimer plus de postes. Le chiffre de 255 postes avait même été évoqué à un moment.

À plus long terme, la STM a réitéré jeudi qu’elle s’engage aussi « sur un plan de réduction des dépenses récurrentes de 100 millions sur cinq ans ». Autrement dit, les coupes risquent de continuer de se multiplier au cours des prochaines années.

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STM commends new ATUQ study on the economic impact of public transit

Montréal, February 5, 2024 – The Société de transport de Montréal (STM) commends a new study released today by ATUQ, Quebec’s urban transit association, on the economic impact of public transit in Quebec.

“This study reaffirms the STM’s importance within the economic ecosystem of the metropolitan area and the province of Quebec as a whole,” says Éric Alan Caldwell, Chair of the STM Board of Directors. “In the coming years, the STM will have to tackle some major challenges while facing limited resources and rising costs. It is vital that the Quebec government provide our organization with a new recurring, indexed and predictable financial framework so that we can pursue our mission of providing quality public transit and responding effectively to the travel needs of our customers.”

Study highlights

Among the key highlights of the study, the following are of particular note:

  • The STM injected $2.8 billion into the economy in 2022, including $1.89 billion in operations and $920 million in capital investments ($870 million excluding land acquisition).
  • The STM’s spending supported 16,565 direct and indirect jobs (person-years) and generated $2.2 billion in value added (contribution to Quebec’s gross domestic product).
  • The STM’s activities generated $336.5 million in tax revenue for the Quebec government and $114.1 million for the Canadian government.
  • Overall, the STM injected $1.5 billion into the economy of the administrative region of Montréal through its suppliers, supporting a total of 5,804 jobs (person-years) and generating $857.5 million in value added in the area.
  • Over 60% of the STM’s total value added in Quebec is generated outside the administrative region of Montréal.

Thanks to the expertise and efforts of the 10,413 employees who operate our métro, bus and paratransit networks, the STM provides Montrealers with sustainable, reliable and safe mobility solutions, delivering more than 237.1 million trips in 2022, including 3.2 million trips in paratransit. Every day, the STM runs approximately one million trips on its 71-kilometre métro network, which consists of four lines, and its bus network, which consists of 225 lines.

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