Un lien direct vers ce sondage (lien PDF):
La question:
Je vais lire l’article ci-dessus plus tard, mais ça m’a fait penser à cette vidéo:
Sa solution à la fin est simpliste et très spécifique à Barcelone, mais déjà avec Projet Montréal on voit qu’il y a une volonté de redonner de l’espace de la rue au public: Projet Ste-Catherine O, de Rouen, REV, et tous les petits projets de saillies végétalisés et trottoirs larges.
En fait, la plupart des rues dans l’est sont assez larges pour avoir des bandes cyclables, des zones tampons pour l’emportiérage et des places de stationnement. En plus, ça rend les rues plus étroites et ça fait ralentir le traffic. Bien mieux que des dos d’ânes!
Les parcomètres coûteront un peu plus cher aux Montréalais à partir du 21 février.
17 février 2022 | Publié à 11h19 | PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD | LA PRESSE
L’agence en charge du stationnement a annoncé jeudi que leur taux horaire augmenterait de 0,25 $ partout dans la ville.
Le prix des parcomètres varie selon l’arrondissement et le quartier. Au centre-ville, dans Griffintown et sur le Plateau-Mont-Royal, le stationnement coûtera dorénavant 4 $ l’heure, contre 3,75 $ actuellement. À Verdun et Lachine, le prix des parcomètres passera à 2,50 $ l’heure, contre 2,25 $ actuellement.
Il s’agit d’« une augmentation qui se veut en deçà du taux d’inflation », indique l’Agence de la mobilité durable (l’ancien Stationnement de Montréal) dans un communiqué.
« Par ailleurs, le règlement sur les tarifs prévoit également une hausse tarifaire pour les terrains de stationnement gérés par l’Agence. Cette hausse sera effective, cette fois-ci, à compter du 1er avril 2022 », continue le communiqué.
Ces augmentations ont été votées par les élus municipaux à la fin du mois de janvier.
NOUVELLES FOURNIES PAR | Agence de mobilité durable | Févr 17, 2022, 10:00 ET
MONTRÉAL, le 17 févr. 2022 /CNW Telbec/ - L’Agence de mobilité durable appliquera, dès le 21 février 2022, les nouveaux tarifs de stationnement adoptés le 24 janvier 2022 par le conseil municipal de la Ville de Montréal, une augmentation qui se veut en deçà du taux d’inflation. Une hausse tarifaire de 0,25 $ de l’heure s’appliquera donc sur le coût de toutes les places tarifées sur rue. Les tarifs des parcojours seront également ajustés en conséquence. Par ailleurs, le règlement sur les tarifs prévoit également une hausse tarifaire pour les terrains de stationnement gérés par l’Agence. Cette hausse sera effective, cette fois-ci, à compter du 1er avril 2022.
Les bornes de paiement ainsi que les applications P$ Service mobile et P$ Montréal Centre-Ville seront ajustées en conséquence. Vous pouvez trouver les tarifs à jour sur le site de l’Agence www.agencemobilitedurable.ca sous l’onglet stationnement.
À propos de l’Agence de mobilité durable
L’Agence de mobilité durable est une organisation paramunicipale qui innove pour une mobilité plus durable, en gérant les espaces qui lui sont confiés dans la bordure et dans les stationnements hors rue, par ses activités de surveillance de l’espace public sur le territoire montréalais et par une information améliorée à la collectivité. Elle met son expertise en mobilité durable au service de la Ville de Montréal afin d’améliorer la qualité de vie et d’appuyer la vitalité économique en facilitant le partage équitable de l’espace et l’accessibilité de la ville pour tous. En soutenant les actions qui favorisent la mobilité urbaine, l’Agence travaille entre autres à améliorer l’expérience client, le partage de la rue et l’occupation du domaine public. Elle mise également sur sa capacité opérationnelle et d’expérimentation pour appuyer la Ville de Montréal et ses partenaires dans l’atteinte de leurs objectifs, tout en fédérant les acteurs de la mobilité.
SOURCE Agence de mobilité durable
Est-ce juste moi, mais je vois plusieurs pancartes en double ??
J’imagine qu’elles venaient en paquet de 2…
Surtout qu’elles sont rendues inutiles, car la rue est devenue piétonne ?
J’ai mal à la tête soudainement…
À mettre dans “Aménagements déficients”?
oui!
Possiblement. J’ai pris cette photo entre le Chemin Côte-des-Neiges et l’Avenue Gatineau.
Juste en face du 3555 Jean-Brillant:
On remarque en effet le corridor de cette “promenade”, mais également les doublons de toutes ses pancartes.
Le professeur de UCLA, Donald Shoup, qui milite contre les stationnements sur rue gratuits donne une conférence virtuelle le 31 mars.
J’ai découvert ses travaux grâce à cet article publié en 2021 dans Bloomberg : Free Parking Is Killing Cities
Vous connaissez p-ê son groupe FB, The Shoupitas
Inscription ici : https://us06web.zoom.us/webinar/register/WN_ReHYmW0GQwm3ro4FO4MF6A
Avis aux automobilistes montréalais:
C’est cool! Idéalement ça pourrait accélérer le processus assez pour que les contraventions pour bloquer les pistes cyclables, stationner en double, bloquer les voies réservées, etc. puissent se faire de façon plus facile. Je montre mon jupon mais je crois sincèrement que la meilleure façon de réduire ces incivilités c’est qu’il y ait une chance crédible de se faire donner une contravention.
Ah merde je ne pourrais plus stationner 5h dans les zones 60 min
Ça me semble assez difficile d’intervenir efficacement pour corriger ce genre de comportement. Auto stationnée sur le trottoir parce que c’est trop de trouble se stationner un peu plus loin; le temps qu’un agent se pointe la personne aura probablement déjà quitter.
21 avril 2022 | Publié à 5h00 | ISABELLE DUCAS | LA PRESSE
Avant d’en arriver là, il faudra de nouveaux outils, notamment des capteurs placés dans le sol ou dans les panonceaux indiquant les numéros des places tarifées. Mais l’Agence de mobilité durable, la société paramunicipale qui gère les stationnements sur rue et hors rue de Montréal, a déjà commencé à les implanter à quelques endroits.
« On souhaite faire évoluer notre application mobile, qui compte près de 600 000 utilisateurs actifs, pour lui donner beaucoup de fonctionnalités additionnelles, pour que les citoyens aient les bonnes informations pour planifier leurs déplacements », explique Laurent Chevrot, directeur général de l’agence, en entrevue à la suite d’une présentation de son bilan annuel devant le comité exécutif de la Ville de Montréal, mercredi.
L’agence devrait définir d’ici la fin de l’année ce qu’elle souhaite offrir dans sa nouvelle application, puis lancer un appel d’offres en 2023, afin de pouvoir offrir le nouvel outil en 2024, révèle M. Chevrot.
Déjà, les données de paiement donnent certaines informations sur l’occupation des espaces tarifés, mais l’agence souhaite avoir des données encore plus précises.
Selon le directeur général, de meilleures informations permettront aux utilisateurs de faire des choix plus éclairés pour leurs déplacements. Ils pourraient décider de prendre le transport collectif si on leur indique que les places de stationnement sont rares dans le secteur où ils doivent se rendre.
« Quand vous cherchez un trajet en transports en commun sur Google Maps, on vous indique combien de temps vous devrez marcher jusqu’à l’arrêt d’autobus, combien de temps vous attendrez l’autobus et combien de temps vous devrez encore marcher jusqu’à votre destination après le trajet, fait remarquer M. Chevrot. Mais quand vous cherchez un trajet en voiture, on ne vous indique pas combien de temps vous devrez tourner en rond pour trouver une place de stationnement et combien de temps vous devrez marcher entre votre stationnement et votre destination. On se retrouve donc à favoriser artificiellement l’auto. »
On peut faciliter beaucoup la vie des Montréalais et favoriser le transfert modal, parce qu’actuellement, les gens font leur choix sans avoir toute la bonne information.
Laurent Chevrot, directeur générale de l’Agence de mobilité durable
En ce qui concerne les places non tarifées sur rue, il pourrait être plus difficile d’avoir des données sur leur occupation. Mais une future application mobile pourrait au moins indiquer à l’automobiliste s’il a le droit de se garer à un certain endroit, puisque la signalisation est parfois difficile à comprendre, reconnaît M. Chevrot.
Autre changement à prévoir dans les prochaines années : les tarifs de stationnement pourraient être modulés selon la demande. Plus il y aura d’automobilistes qui désirent se garer à un certain endroit et à une certaine heure, plus les prix grimperont.
Des projets-pilotes seront mis en place sous peu pour tester ce modèle de tarification.
L’Agence de mobilité durable a aussi des projets pour les terrains de stationnement municipaux hors rue : elle souhaite en faire de véritables « pôles de mobilité ».
Comment ? En y réservant des espaces pour différents modes de transport, comme les véhicules en libre-service, les BIXI, les vélos, le covoiturage et les taxis.
« Les terrains de stationnement sont de véritables trésors entre les mains de la Ville, dit Laurent Chevrot. Il faut les faire évoluer, en gardant une partie des espaces pour le stationnement, mais en leur donnant aussi une fonction de pôles de mobilité. »
DES AGENTS À TROTTINETTES ÉLECTRIQUES
Au cours de la belle saison, de plus en plus d’agents de stationnement délaissent la voiture pour faire leurs tournées de distribution de contraventions. Vous les verrez de plus en plus à vélo, sur des vélos à assistance électrique et en trottinettes électriques. L’Agence de mobilité durable a ajouté ces véhicules à son parc dans le but de réduire son empreinte écologique. « Ç’a été très, très bien reçu par nos agents, on a plus de demandes que de véhicules disponibles », indique Laurent Chevrot, directeur général de l’agence. Déjà, l’agence n’achète que des voitures hybrides quand elle doit remplacer d’anciens véhicules, et prévoit sous peu n’acheter que des voitures électriques. « On explore aussi la possibilité d’avoir des véhicules à basse vitesse, de type cart de golf, qui sont très bien adaptés aux opérations de surveillance puisqu’ils permettent de s’arrêter sans bloquer la rue, dit M. Chevrot. Nous sommes en train de regarder avec un fournisseur québécois pour développer un véhicule répondant à nos besoins. »
REVENUS DE STATIONNEMENT TARIFÉ SUR RUE ET HORS RUE À MONTRÉAL
- 2021 : 44,2 millions
- 2020 : 36,7 millions
- 2019 : 66,6 millions
Source : Agence de mobilité durable
Bonne nouvelle, ça permet plus d’agilité qu’en voiture tout le temps.
Cela étant dit, les trottinettes électriques n’ont pas le droit de rouler sur les rues ou les trottoirs au Québec et leurs utilisateurs se font souvent donner des contraventions par le SPVM pour leur utilisation. Je me demande bien comment la ville pourra justifier le double discours…
Merci @jacouzi ! Par ce partage sur ton fil Twitter, tu as fait mon midi !
https://twitter.com/poirieryvesTVA/status/1532007937811656707
La scène particulière était impossible à manquer pour toute personne qui circulait sur la rue Champlain, près de Logan.
Contacté à ce sujet, le service des relations médias de la Ville a confirmé qu’il ne s’agit pas d’une façon conforme d’installer de la signalisation.
«À ce titre, dès que nous en avons été informés, une équipe de l’arrondissement de Ville-Marie a été dépêchée sur les lieux. Les pancartes ont été retirées et la situation a rapidement été corrigée. Des vérifications sont en cours pour tenter de comprendre ce qui a pu se passer», a fait savoir par courriel le relationniste média Hugo Bourgoin à TVANouvelles.ca.
https://www.tvanouvelles.ca/2022/06/01/la-ville-de-montreal-est-rendue-la